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@@hermanndjaha6845 Bonjour cher Monsieur. Veuillez excuser mon retard à vous répondre. J'ai été submergée de travail. L'igname en Afrique de l'ouest prend 7-8 mois pour produire. Cela fait que je ne comprends pas très bien le contexte de contre saison dans ce cas. Au Bénin, la plantation a normalement lieu en décembre ou en janvier. Des variétés telles que Laboko, Kpouna, Ankploman, Ofegui et Soagoné doivent être plantées dès le début du mois de décembre. Ces variétés sont parmi les premières à arriver sur les marchés, dès les mois de juillet-août ; elles doivent être consommées rapidement en raison de leur courte période de dormance. À l’inverse, certaines variétés locales sensibles à la chaleur, telles que Kodjewé, Gnananbo, Agatou, Baniouré, Kpakouvè ou Aloungan doivent être plantées profondément et tardivement vers la fin du mois de février, de manière à éviter la pourriture dans les buttes. La date de plantation varie fortement en fonction du début de la saison des pluies, mais aussi de la variété. Afin de conserver le semenceau jusqu’à la plantation, l’agriculteur a recours parfois à un égermage, technique qui consiste à casser la tige germée en cours de stockage. Il est important de noter que le moment de la journée le plus favorable pour la plantation est le matin de 6h30 à 11 heures. Les variétés précoces arrivent à maturité 5 à 7 mois après plantation, les semi- tardives 8 à 9 mois après (août-septembre) et les tardives 10 à 12 mois après la plantation (en décembre-janvier). Veuillez me situer sur votre concept de contre saison je vous prie.

Il existe trop de variétés d'ignames en général pour vous donner une réponse affirmative. Il y a beaucoup de recherches et d'expérimentation à faire pour aboutir à une conclusion précise. La réponse que je peux vous offrir par contre est que beaucoup de variétés en Afrique de l'ouest peuvent être ainsi fragmentées. Merci...

Bonjour.. Merci beaucoup pour la suggestion. J'avoue que j'aurais dû parler de la culture au début de la vidéo et non vers la fin comme je l'ai fait. J'en tiendrai compte dorénavant. Mais je suis en train de préparer une autre vidéo où je vais vous montrer la culture du gingembre en hors sol. Prenez soin et bon dimanche à vous 🙂

Je vous remercie..

C'est sur un hectare, comme culture associée à du moringa. Donc nous avons planté un hectare de moringa et nous avons associé le soja à ça... Voilà. Merci...

Merci

Merci à vous aussi..

Merci pour la précision. Vous avez bien raison... L'espace leur fait beaucoup du bien.

Bonjour. Vous allez bien j'espère ? Travailler dans quelle mesure ?

Bonjour à vous. Merci pour votre question: L’ail apprécie d’être bien ensoleillé et ça s’épanouit dans un sol : léger, riche en humus et très bien drainé. Ce que l'ail craint surtout c'est l’eau stagnante autour des plants d’ail. Donc il faut éviter d'arroser trop régulièrement. Je sais que le Sahel se caractérise depuis des siècles par un climat erratique, lié à l’irrégularité des précipitations. Malgré cela, le Niger cultive des oignons qui arrive jusqu'au Bénin par exemple. L'ail se conserve plus longtemps que l'oignon donc c'est une culture de choix dans les pays du Sahel. Une astuce qui marche bien serait de faire une rotation de culture avec du poivron, du gombo et du maïs en assurant une présence d'eau sur le site. Merci !

Merci à vous de l'avoir regarder 🙂

Merci a vous d'avoir regarder cette video....

Bonjour et merci pour vos encouragements. Je n'ai pas encore établi un compte WhatsApp. Je vous informerai dès que ce sera fait. Joyeux Noël à vous 🙏

Le rendement moyen dépend des distances de plantation, un schéma couramment utilisé pour les variétés qui produisent des fruits jusqu’à 14 kg est une distance de 1 m entre les plantes de la rangée, et de 3,5 m entre les rangées. Ce schéma donnera 2000-2500 plants par hectare. Les distances et le nombre de plantes dépendent de la variété de pastèque, des conditions environnementales et bien sûr, de la taille de la pastèque désirée, qui est toujours dictée par le marché. Par exemple, si on plante plus de semis par hectare, on va récolter des fruits de plus petite taille. Un schéma différent pour les variétés de petits fruits est de 1,5 m entre les rangées, et de 0,6 m entre les plantes dans la rangée. Suivant ce modèle, on peut planter environ 11 000 plantes par hectare Un bon rendement, après quelques années d’expérience, est de 50 à 80 tonnes par hectare. Dans les cultures commerciales de pastèques, on peut s’attendre à récolter 1,5 à 2 pastèques de taille normale par plante.

Le goût du cola... Certains trouvent ça neutre..

La coloration de la coquille est très variable et dépend du régime alimentaire. Généralement, le brun est la couleur prédominante et la coquille est rayée. Ce que vous décrivez ressemble au marginata. La meilleure façon de savoir est d'examiner la pointe de la coquille. Chez le marginata, elle n'est pas pointu mais ronde comme vous pouvez le constater dans les images de la vidéo... J'espère que ma réponse vous satisfait...

Oui mais la réalisation des pépinières d’oignon en saison des pluies est, en général, considérée comme délicate. Aussi, il est conseillé aux producteurs de réaliser des pépinières surélevées, méthode classique en saison des pluies pour éviter une stagnation de l’eau au niveau des jeunes plants et les conséquences que cela peut entraîner. Ceci permettra d'éviter des problèmes de fonte de semis (attaques de champignons) et de pertes dues aux fortes pluies éventuelles. Trois facteurs peuvent vous donner de bons résultats: 1. La pépinière est sur un sol sableux qui ne retient pas l’eau et assure un très bon drainage, même en cas de fortes pluies. Ce n’est donc pas un milieu favorable au développement des maladies fongiques c’est-à-dire dues à des champignons. 2. Utilisez un compost bien fermenté, qui a pu « chauffer » lors de sa décomposition afin de tuer les micro-organismes, ravageurs et graines de mauvaises herbes qu’il pouvait contenir. 3. Une dose très réduite d’engrais pour ne pas favoriser les pourritures. J'espère que ma réponse vous satisfait. Merci 🙂

vos réponses sont magnifiques,que Dieu vous protége​@@fermessourcedeviebenin6126

La liste est longue Mr.. 1. Il y a les maladies bactériennes dont le flétrissement bactérien 2. Les maladies fongiques dont - Brûlure alternarienne des feuilles - Tache alternarienne - Tache alternarienne et nécrose veineuse Alternaria alternata - Anthracnose - Pourriture aspergillaire du collet - Coque noire - Brûlure Botrytis - Pourriture charbonneuse et tache foliaire de Macrophomina - Tache des feuilles de Choanephora - Pourriture du collier - Tache des feuilles du Colletotrichum - Pourriture noire cylindrocladienne - Tache foliaire, précoce - Tache des feuilles, tardive Etc..... 3. Les nématodes parasites dont -la lésion des gousses -et la lésion radiculaire... Etc... 4. Phytoplasmes, virus et maladies pseudo-virales dont - Le Croustillant d'arachide et - Oculaire d'arachide - Chlorose marginale - Touffe d'arachide etc.... Pour n'en citer que peu. La liste est plus longue malheureusement. Si les plants d'arachide sont soumis à une grave sécheresse pendant la formation des gousses, ou si les gousses ne sont pas correctement stockées, elles peuvent être contaminées par la moisissure Aspergillus flavus qui peut produire des substances cancérigènes appelées aflatoxines. Ne vous laissez pas décourager surtout. Pour chaque catégorie de maladies, utiliser les solutions qu'il faut. Exemple : 1. La méthode de lutte la plus pratique contre les nématodes de l'arachide demeure la rotation des cultures. La présence de cer- taines cultures dans l'assolement, en particulier le maïs et le sor- gho, réduisent les taux d'infestation des sols à des niveaux tolérables. 2. L'utilisation de fongicides sont, à l'heure actuelle, les seules techniques de lutte possibles contre les maladies fongiques de l'arachide qui causent chaque année de graves dégâts aux cultures. J'espère que j'ai répondu à votre question, Mr... Peut-être ferais-je une vidéo pour aller plus en profondeur... Merci 🙂

@@fermessourcedeviebenin6126 vraiment c bon

Merci beaucoup à vous, Mr...