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Cassou Math Prépa
France
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T'es en prépa / licence et tu bloques sur des exercices de math ?
Quand tu lis les corrigés, tu trouves les solutions magiques ou tombées du ciel ?
... alors cette chaîne UA-cam est faite pour toi !
Je suis Roch Cassanas. J'enseigne les maths en prepa CUPGE depuis plus de 15 ans, en cours, en khôlle.
Ici tu trouveras :
- Des exercices classiques incontournables
- Des oraux de concours
- Et surtout des méthodes de résolutions pour apprendre à RÉFLÉCHIR, CHERCHER ... et TROUVER
Souvent les débutants essaient de résoudre un exercice en partant dans une direction au hasard, ou en essayant de cloner un exercice déjà vu... en vain ! Pourtant pas besoin d'être un génie pour réussir en math.
La première étape fondamentale, c'est de bien savoir ton cours...
Puis je te montrerai ici comment mettre en pratique ces connaissances pour arriver à résoudre des problèmes... pour que les ruses diaboliques te paraissent enfin naturelles et que tu trouves toi-même le chemin vers la solution !
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CONTINUITÉ: oral Mines-Ponts (PC) 2023 (sup/L1)
Un oral de mathématiques du concours Mines-Ponts 2023 (PC) , sur la continuité, accessible dès la premiere année (math-sup/L1). Il s'agit de prouver existence et unicité d'un point fixe pour la composée fog, mais aussi gof.
De quoi réviser le théorème des valeurs intermédiaires.
00:00 Introduction
00:45 Énoncé
01:14 Solution question 1)
07:20 Indication question 2)
07:58 Solution question 2)
De quoi réviser le théorème des valeurs intermédiaires.
00:00 Introduction
00:45 Énoncé
01:14 Solution question 1)
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Відео
Un petit oral MATRICES super A LA MODE ! (spé/L2)
Переглядів 5 тис.21 годину тому
Voici un oral de math super à la mode, qui est tombé aux concours MINES-PONTS, mais aussi IMT, ou même CCINP, Centrale ces dernières années Il sur des matrices de taille 2, à coefficients entiers. On suppose que A^n=I2. Il faut montrer que A^12=I_2 De quoi réviser la diagonalisabilité, les théorèmes de diagonalisation, valeurs propres... etc 00:00 Introduction 00:20 Énoncé 01:08 2 indications (...
2 SUITES IMPLICITES aux Mines-Ponts !
Переглядів 4,1 тис.14 днів тому
Vidéo très complète, avec deux supers oraux de mathématiques récents tombés au concours Mines-Ponts en 2023, portant sur les suites implicites, accessible dès la 1ere année (sup/L1). Ces deux oraux permettent d'aborder les deux principales situations de ce type d'exercice. Au menu : monotonie, convergence, limite, équivalent et enfin développement asymptotique à 2 ou 3 termes 00:00 Introduction...
Oral IMT : une SUITE RÉCURRENTE avec une INFINITÉ de points fixes ! (sup/L1)
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Voici un oral de mathématiques du concours IMT (Mines-Télécom) de 2023, qui propose d'étude d'une suite récurrente construite avec la partie entière, et dont la fonction d'itération admet une infinité de points fixes. Mais vers lequel la suite va-t-elle converger ? A vous de le découvrir ! En fin de vidéo je donne un autre exemples un peu différent mais toujours avec une infinité de points fixe...
VRAI FAUX : TESTEZ VOS RÉFLEXES ! (spé/L2)
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Voici un grand vrai faux sur les intégrales niveau 2ème année math spé / L2. 9 Vrai ou faux la thématique des intégrales I. Interversion limite et somme II. Intégrales impropres et propriétés asymptotique de la fonction Lien éventuel avec les séries, uniforme continuité 00:00 Introduction 02:01 Vrai-Faux 1 (énoncé) 02:56 Solution 05:39 Vrai-Faux 2 (énoncé) 06:32 Solution 07:49 Vrai-Faux 3 (énon...
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3 super EQUATIONS DIFFERENTIELLES EXOTIQUES à l'oral MINES-PONTS / TPE (sup/L1)
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MATRICES CIRCULANTES (oral CCINP, Centrale, Mines...) (spé/L2)
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on a existence et unicité des points fixes sur la miniature de la vidéo :o
Merci
مقطع جد راائع، هنا نرى جمالية الدراسة التحليلية في الرياضيات،دراسة بدون معرفة ماهية المدروس بشكل مباشر..رائع كم أحب الرياضيات،من شدة جمالية هدا المقطع قمت بتحميله و حفضه لدي..قناة مميزة حقا ليت تواصل على هدا النحو
La 2 est vrai sur Sn(R) non ?
Très cool l'exo, mais du coup on n'a pas besoin que la décroissance de f•g soit stricte
Pour l'unicité du point fixe
@CassouMathPrepa Même pour l'unicité du point fixe, il suffit que f•g soit décroissante, puisque la pente entre 2 points fixe est nécessairement 1 et donc >0
@@CassouMathPrepa f○g est décroissante (pas nécessairement stricte) -Id est strictement décroissante f○g - Id est strictement décroissante par somme (str décr + décr = str décr) et donc on peut toujours appliquer le TVI strictement monotone à f○g - Id (sinon il y a le "ça se voit", on peut pas tracer une fonction continue décroissante qui touche deux fois y = x )
Magnifique t shirt HxH
On commence toujours par la pieeeerre !! 😉🔥
Le boss pour motiver à bosser des exercices exotiques
magnifique
Exo sympa. Merci pour tes vidéos!!
Avec plaisir 😊
4:15 , l'oral est juste mais la craie a écrit f°g(x) ET NON f°g(0) !
Oups. En effet ! Ah ces fichues craies qui n'en font que leur tête j'te jure 😅😅
Tres bon exo merci beaucoup
Mon prof me l'avait donné en oral d'entraînement
Un super exo pour finir l'année ! Merci Cassou, t'es trop cool. ❤
🙏🙏🙏
J'aime beaucoup les vidéos sur les oraux X-ENS. C'est vraiment sympa à résoudre
@@Cusofay faut que je fasse la suite de celle-ci 😅😅😅
La première n’est-elle pas vraie sur Mn(R) ? En tout cas sur Sn(R) oui via polynôme interpolateur de Lagrange
Je dirais que la première affirmation est également vraie sur Mn(R) comme elle est vraie sur Mn(C) Mn(R) est un espace vectoriel de dimension finie Tout sous-espace vectoriel de cet espace est un fermé. Le sous-espace vectoriel des polynômes en A est fermé exp(A) est une limite de polynômes en A (en utilisant la définition de l'exponentielle). exp(A) reste dans l'espace des polynômes. On utilise le même argument pour Mn(C), et on peut aussi l'utiliser pour Sn(R)
Me concernant il s’agit donc d’une langue étrangère .😅qu’elle peut être l’application utile pour la vie courante?
En plus d'être un outil théorique fondamental, l'algèbre linéaire est indispensable par exemple dans le traitement de l'image, du son, la mécanique, etc etc etc... ou encore récemment l'intelligence artificielle...
Merci pour votre réponse c’est fascinant
plus d'exercice X-ENS MP svpp !
Autre solution, à partir du moment où on a que A est symmétrique (et on y arrive assez vite en commençant par brute force le machin), on peut en déduire que A est diagonalisable. Comme on a que B est un polynome en A, on en déduit que les deux sont diagonalisables dans la même base et que pour toute valeur propre lambda de B il exise une valeur propre mu de A telle que P(mu) = lamba. On diagonalise B ce qui permet d'avoir la matrice de passage M et le spectre de B ({0, 2}) et on en déduit les quatre matrices Ds diagonales telles que P(D) = MBM^-1 (on a diag(0, 1), diag(0, -2), diag(-1, 1) et diag(-1, 2)). On fait rapidement le changement de base dans l'autre sens et on tombe sur les matrices solutions. La solution me parait correcte mais si j'avoue que ça "les deux sont diagonalisables dans la même base et que pour toute valeur propre lambda de B il exise une valeur propre mu de A telle que P(mu) = lamba" ne semble marcher que dans le cas où A est diagonalisable (ce qui est le cas ici) et la preuve doit être faite.
J'ai une autre solution à proposer : Le polynôme caractéristique de A est de la forme X^2 + aX + b avec a et b appartenant à Z. De plus, ses racines sont dans Un. Or, en regardant la matrice compagnon de ce polynôme et les disques de Gershgorin, on en déduit que a ne peut prendre que 0, +-1 ou +-2 comme valeur. Toujours avec l'arguments des disques de Gershgorin, si a = 2 alors 1 est racine double, si a = -2, -1 est racine double. Si a =0, alors la valeur absolue de b est 1. Donc b = +-1. Donc les racines sont soit 1 et -1 ou i et -i. Enfin si a=+-1, on retrouve les racines en e^(iPi/3)
@@clementpealat7571 Hello ! Merci pour cette solution. Ça marche en effet. Bon après, utiliser les disque de Gershgorin plutôt que la trace, avouons que cela peut paraître un peu snob 😁. Mais ça a l'avantage de nous faire réviser Gershgorin (d'ailleurs j'ai une vidéo la dessus), et de l'appliquer sur un cas simple. Bonne fêtes 🥳
Bonjour, on a pas prouvé que la matrice M trouvée était nulle. Comment faire ?
Pas de grande révolution, mais une petite amélioration peut être, une fois établie la diagonalisabilité dans C. Le déterminant de A est un entier, mais c'est aussi le produit des valeurs propres, disons l1 et l2. On utilise alors le fait que le déterminant d'un produit est le produit des déterminants, on a donc (l1l2) ^12 = 1, donc l1.l2, qui est entier, est égal à 1 ou -1, d'où l2 = 1 / l1 ou son opposé. On obtient alors le résultat de façon identique au cas complexe conjugué en utilisant le fait que l1 et l2 sont des racines de l'unité inverses l'une de l'autre (au signe près), ce qui évite de faire un cas particulier pour l1 = 1 ou -1 .
Hum... si les 2 racines sont conjuguées le produit vaut 1. On ne peut pas en déduire directement le résultat A^12=I. 🤔
@ La dernière phrase était un peu rapide. Je voulais dire que l on termine comme dans la vidéo pour le cas des racines complexes conjuguées, l’inversion d une racine de l unité revenant à sa conjugaison. J ai édité mon post en ce sens
@@gholler1 ok
J'aimerais savoir en quoi trouver un polynôme annulateur d'une matrice permet de conclure que celle-ci est inversible. Les matrices Ei,j avec i et j distincts sont non inversibles bien qu'elles soient annuler par le polynome X²
Bonsoir. Je sais plus si c'est le sujet de la vidéo, mais pour conclure à l'inversibilité il faut trouver un polynôme annulation P tq P(0) différent de zéro. Comme ça on fait passer In de l'autre côté, puis on factoriser par la matrice.
@CassouMathPrepa d'accord je comprends
Elle est symétrique mais c'est aussi la représentation d'une base orthonormé ainsi c'est une matrice orthogonale. C'est donc une symétrie orthogonal (Exo classique) Etant différente de +- In ces valeurs propres sont 1 et -1
Super vidéo cette fois ci c'est très bien expliqué.
A diagonalisable est une question flash ultra classique.
Bel exercice et super vidéo! Je dois avouer que sans les indications j'avais du mal à partir... Sans avoir planché dessus j'ai le sentiment que: 1/la propriété reste juste si A est dans M_3[Z] (le polynôme caractéristique impose det(A), tra(A), tr(com(A)) dans Z et delà je pense que cela impose qu'une des valeurs propres (toutes racine n-ieme de l'unité) soit +/-1 et la discussion sur les deux restantes est identique à celle de la dimension 2) 2/devient fausse si A est dans M_4[Z] (on doit pouvoir prendre deux paires de racines n-ième de l'unité conjuguées deux à deux pour un n grand au besoin premier avec 12). J'en appelle aux neurones de la communauté: Un avis, une demo pour 1/ ? Un contre exemple explicite pour 2/ ?
oupsi, je n'avais pas vu le commentaire de @marsupilable
A^3=I pour A=1, -1// 1,0 (en ligne). Par exemple. Il faut A^2+A+I=0. Donc tr(A)=-1 et det(A)=1 + coeff dans Z Oui pour n=4, il suffit de choisir la matrice de rotation d'angle 2pi/4=pi/2 qui est à coeff entiers
@@CassouMathPrepaok deux exemples concrets dans M_2[Z], c’est toujours bon à prendre. Mon questionnement était sur M_3[Z] et M_4[Z], mais @marsupilable a déjà plus qu’ebauché une réponse (même s’il saute pas mal d’étapes et que je ne sais pas remplir tous les blancs).
@@CassouMathPrepa: Peut-être plus une réponse pour la laconique question de cainabel2553 ? Bref, assez de commentaires pour un 24/12, bon réveillon !
De tête, je vois du 4 mais je n'arrive pas du tout à voir d'où on sort le 3 et quel exemple a du 3. LOL
Je ne comprends pas pourquoi vous dites que f s’annule une fois quand vous répondez à la question 2.
Hum. Parce que ça a été obtenu dans la question 1) j'imagine 🤔... dans la question. 2) on rajoute une hypothèse
À la question nous avons prouvé que f s'annulait une fois La question 2 nous rajoute une hypothèse supplémentaire "On suppose DE PLUS" (l'intégrale de fcos = 0). Cela veut dire que l'on a toujours comme arme l'hypothèse que l'intégrale de fsin = 0. Ce qui permet d'utiliser le résultat de la question 1 utile pour la question 2
a_n := (1+(-1)^n)/n est un contre exemple pour les deux.
On peut le faire avec les polynômes cyclotomiques (programme M1). chaque valeur propre est racine d'un polynôme cyclotomique; ces polynomes sont irréductibles sur Q donc les valeurs propres sont des racines d'un poly cyclotomique de degré 1 ou 2, le n ième polynome cyclotomique est de degré phi(n). phi(n)=1 ou 2 ssi n=1,2,3,4,6. Donc le polynôme cyclotomique associé une vp va toujours diviser X^12-1, donc chi(A) aussi
@@alexisbaudour2337intéressant Je comprends pas l'argument "de degré 1 ou 2" ? 🤔 Les polynomes irréductibles dans Q peuvent pourtant être de degré qcq. Faut passer par le polynome minimal qui est de degré 1 ou 2 et dans Q[X] et divisé X^n- 1, donc divisible par un polynome cyclotomique c'est ça ?
OK c'est bon j'ai fini par comprendre Fallait que je révise un peu mes polynomes cyclotomiques Bravo c'est très élégant 👍👍👍
Ce qui est étrange c'est qu'on n'utilise pas que la matrice est à coefficients entiers mais juste rationnels non ? 🤔
Merci, je pense que ça marche pour une matrice à coefficients rationnels et même pour une matrice de taille 3 je crois qu'il y a forcément une vp=1 ou -1. Et oui chi(A) va être un produit de polynômes cyclotomiques ce qui donne une majoration sur l'ordre de A dans GL(n).
Ah je l'avais eu en khôlle celui-là ; c'était donc déjà à la mode en en 2007/2008 ^^ Merci pour la super boulot comme d'hab :)
@@lyrian9263 oui ça fait une mode assez large en effet 🤣🤣... nous dirons donc plutôt "indémodable" 😁😁
Bonjour tout le monde et joyeuses fêtes. Donc finalement dans M_2(Z), si A^n = I, alors un peu plus précisément : A⁴ = I ou A⁶ = I. On a le même résultat dans M_3(Z) : 4 ou 6. En revanche, dans M_4(Z), la matrice compagnon du polynôme X⁴ + X³ + X² + X +1 vérifie A⁵ = I. Donc là, en dimension 4, on a : A⁵ = I ou A¹² = I. Mais là, c'est un vrai A¹² = I, pas au choix 4 ou 6 ! (pas d'autre solution si je ne m'abuse) Donc en tout, A⁶⁰ = I. Dans M_5(Z), je pense que c'est comme dans M_4(Z).
@@marsupilable Merci encore un commentaire qui envie de bois ! 🙏🙏 oui en taille 3, le polynome caracteristique etant a coeff reels, une des 2 vp est 1 ou -1, donc les 2 autres sont de même ou alors conjuguées dans S^1. Donc avec la trace on se ramène au même cas. Pas eu le temps de regarder la taille 4 j'avoue,... Mais on peut donc se poser les questions suivante en taille "n"quelconque si A^p=In et A à ceff dans Z : 1/ alors il existe un entier "m" universel ne dépendant que de n tq A^m=I ??? -2/ si c'est le cas alors trouver le min de ces "m"... ??? Bref il s'agit de majorer l'ordre d'un élément du groupe (SLn(Z),×), qui n'est pas fini mais finiment engendré (de mémoire)... sans être commutatif 🤔... Autant ce que je dis est trivial pour les connaisseurs de SLn(Z) (ce qui n'est pas mon cas). J'en suis désolé à l'avance... Bref cette étude fait bien sur penser au cas des matrices nilpotentes ou lorsqu'une puissance de A vaut 0, alors A^n vaut zéro en dim n...
Si tu aboutis au résultat et que c’est pas trop technique, ça serait tres cool d’en faire une autre vidéo, je suis curieux. Peut être que l’on peut au moins encadrer le min des m par n.
Je l'ai fait d'une autre manière, mais je ne sais pas vraiment si elle est plus courte : Comme A est à coefficient dans Z, son polynome caracteritique que je note P_A est dans Z[X] et unitaire. - Si n=1, alors A est l'identité et donc on a bien A^12=I_2. - Si n>=2, alors je considère la division euclidienne de X^n par P_A. Je note le reste R qui est un polynome de degré 1. Comme A^n=I_2, on a alors que I_2=R(A) par cayley-hamilton. Je note R(X)=mX+p et A=(a, b a la ligne c, d). On obtient alors le système suivant : - 1=ma+p - 0=mb - 0=mc - 1= md+p. Si m=0, alors on a I_2=pI_2 et donc p=1. Finalement on a donc A^n=I_2, qui est vrai en particulier quand n=12. Sinon, on a alors b=0 et c=0. A est alors diagonale. De l'egalite de base A^n=I_2, on a a^n=1 et d^n=1. Comme a et d sont dans Z, on a que a et d sont égales à+-1. Et donc on a que comme 12 est paire, a^12=1 et d^12=1. Donc on a bien A^12=I_2. Cqfd. Merci pour tes vidéos, je commente rarement, mais j'apprécie beaucoup ton contenue 🎉. Bonne fêtes de fin d'année ! Edit : c'est faux puisque les relations sont vraies pour un n en partciulier et pas seulement pour n'importe quel n, je suis vraiment mauvais 😅. Je modifirai si je trouve une solution qui marche en partant de cette methode.
@@Isometric57 oui y a un bug. Il te faudrait dire que si k est entier alors A^k est CL de A et I2 avec des coeff ak et bk... puis peut etre trouver une relation de reccurence et utiliserble fait que ce sont des entiers... que pur k=n an=0 et bn=1... je viens d'essayer mais je n'aboutis pas à grande chose 🤷 Sinon le polynome caractéristique est X-tr(A)X+ det(A) avec det(A)=1 ou -1 ... mais bon Bref vaut mieux passer par les vp quand même.
Merci pour ce beau cadeau de Noël en avance ! J'avais une stratégie plus laborieuse pour la fin (je listais comme un relou tous les polynômes caractéristiques possibles). J'imagine que connaître la structure de SL2(Z) peut donner un gros raccourci mais je n'ai pas essayé vu qu'on n'y a pas droit.
@@UnNimois Hello Ô Nimois ! Et merci Ah oui c'est vrai SL2(Z) est engendré par S et T où ... etc... mais je sais comment ça aide parce que c'est pas commutatif non ? 🤔
Bonnes fêtes à toi ! 🥳
Bien vu merci
Merciiiii ❤
Très bonne vidéo mais j'avais une question, cela pouvait tout aussi bien marcher avec A^6, parce que au vu de l'énoncé on pourrait penser que le 12 a une certaine importance ?
I^6=-1 et pas 1 😉
@@CassouMathPrepa ah oui effectivement merci
Super vidéo, comme d'habitude! J'ai juste une petite question, j'ai pas bien compris l'argument au début pour dire que la matrice est diagonalisable, quelqu'un serait d'accord de me l'expliquer ?
Le polynôme X^n - 1 annule M or ce polynôme est scindé à racine simple dans C
@pineapplez2154 Yes, ça je suis d'accord. Mais comment est-ce qu'on conclut que la matrice est diagonalisable à partir de là?
@@JoachimFavre "Une matrice est diagonalisable ssi elle possède un polyôme annulateur scindé à racine simple" , c'est un théorème de deuxième année de prépa, on peut le prouver avec le lemme des noyaux
@@JoachimFavreapprend ton cours peut être ?
Oui c'est du cours. Mais vous l'avez peut-être pas encore vu. Y a des prof qui séparent réduction, puis polynomes d'endomorphismes.
Question 1 : Vrai Mn(C) est un espace vectoriel de dimension finie Tout sous-espace vectoriel est un fermé. L'espace vectoriel des polynômes en A est donc un fermé. exp(A) est limite une suite de polynômes en A (par définition de l'exponentielle matricielle) exp(A) est donc lui-même un polynôme en A. Question 2 : Faux A n'est pas nécessairement un polynôme en exp(A). Si on prend A = 2πJ où J est matrice : 0 -1 1 0 J est une représentation matricielle de l'unité imaginaire i. exp(2πJ) = I Les polynômes en exp(A) = I sont juste des matrices scalaires. (Toutes les puissances de I sont I) or 2πJ n'est pas une matrice scalaire. Donc affirmation fausse
Il manque pas un argument ? R est un ev de dimension finie. Pour tout x, les P(x) est un sous-ev. Donc fermé. Donc exp(x) est un polynôme en x ?
@@lilycorne9503Quels sont les arguments manquants ?
OUI ! 😃🤩👍👍
@@lilycorne9503 Pour moi y'a pas de problème dans ce que t'écris : oui pour x fixé dans IR, le réel exp(x) est polynôme en x (il est P(x) avec P = exp(x)X par exemple. En fait, n'importe quel nombre est polynôme en n'importe quel nombre dans IR). Là où il y a un piège, c'est qu'on ne peut pas en déduire pour autant que la fonction exp est polynôme en la fonction Id.
@@paperyka8160 tu as mis un X en trop. C’est le polynôme constant qu’il faut prendre. D’accord en fait je pensais que le polynôme ne devait pas avoir de coefficients qui dépendent de x.
Toujours pour le 1 Avec Cayley Hamilton ( ou polynôme minimal) on trouve un tel polynôme de degré n-1 (voire moins) Par contre si quelqu’un a un lien vers une preuve bien rédigée je suis preneur.
Je pense qu'il n'y a même pas vesoin d'utiliser Cayley-Hamilton ou le polynôme minimal Mn(C) est un espace vectoriel de dimension finie. Tout sous-espace vectoriel est un fermé. L'ensemble des polynômes en A est un sous-espace vectoriel donc un fermé Ainsi, comme exp(A) est une limite d'une suite de polynômes en A, exp(A) est un polynôme en A J'avais rédigé ceci : A admet un polynôme annulateur P de degré d. A^d + c_(d-1)A^(d-1) + ... c_0 I = 0 A^d = -c_(d-1)A^(d-1) ... - c_0 I A^d € Vect (I, ..., A^(d-1)) En multipliant la relation précédente par A , on a que A^(d+1) € Vect (A,...., A^d) donc à Vect(I, ..., A^(d-1)) puisque A^d est lié à I,..., A^(d-1). De même pour A^(d+2) et plus généralement toutes les puissances de A sont dans Vect(I,..., A^(d-1)) Vect(I,...,A^(d-1)) est un sous-espace vectoriel de Mn(C) qui est de dimension finie donc c'est un ensemble fermé. exp(A) est une limite de sommes de puissances de A (par définition de l'exponentielle matricielle). Les puissances de A sont toutes dans Vect(I,...,A^(d-1)) donc les sommes sont toutes dans Vect(I,..., A^(d-1)) (un espace vect. c'est fait pour être stable par somme) Ainsi comme ce Vect(I,...,A^(d-1)) est fermé les limites de suites d'éléments de cet espace restent dans cet espace. exp(A) € Vect(I,...,A^(d-1)) donc exp(A) est bien un polynôme en A
Le premier est vrai car les matrices triangulaires cest un fermé, surement que le 2 cest faux mais jai pas d'exemple
Triangulaires ? 🤔
La matrice diag(0,2i pi) n'est pas un polynôme en son exponentielle qui vaut I_2. @@CassouMathPrepa
Bonjour, Dans l'exercice 1) pour déterminer la limite de xn je suis passé à la limite dans l'équation (vu que fn est continue), on obtient que la suite fn(xn) qui est la suite nulle CV vers fn(l) donc fn(l) = 0 mais vous obtenez l = 0 et fn(0) est non nul, je ne comprends pas ou est mon erreur
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Pour le 1 K[A] est un sev donc fermé de Mn(k) donc exp(A) est bien un polynôme en A.
Le 1er est vrai car exp(A) c’est la limite des somme partielle d’un polynôme en A mais les polynôme en A c’est un fermé donc exp(A) est un polynôme en A
C’est un fermé car Mn(C) est un evn de dim fini et que les polynômes en A est un sev de Mn(C)
Le premier est vrai car si l’on considère pour tout n dans N l’exponentielle tronqué de la matrice A à l’ordre n c’est est une suite d’éléments de C[A] qui converge de limite exp(A) or C[A] est un sev de dimension finie donc il est fermé donc la limite exp(A) appartient à C[A] .
Je n'avais pas compris son indication car j'ai d'abord pensé à Dunford (mais en effet c'est plus simple comme ça)
As-tu eu mon courriel ? Sinon je n’ai pas trouvé d’autre adresse que celle de la cité papiste….
Hello. Bizarrement non 🤔 C'est prénom.nom @ univ-avignon. fr
Je retente Pourtant c’est bien l’adresse que j’ai