Відео

Ça fait plaisir! Des fois, je recommande de regarder les vidéos en ordre chronologique…mais les premiers sont moins bons. C’est ce que j’ai fait. J’ai regardé toutes les vidéos de Tanner Murtagh en ordre chronologique, et ensuite, toutes les vidéos de Jim Prussack en ordre chronologique. Je recommande également les livres suivants: Déjouer la douleur chronique de Alan Gordon, Bye bye douleurs chroniques de Lili Road. Et aussi les 2 livres de John E. Sarno traduits en Français: Guérir le mal de dos (qui s’applique à n’importe quel symptôme, évidemment) et Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau. Si il y a des questions, voici mon courriel: mrbienetre111@gmail.com

@@déjouerladouleurchronique merci pour votre retour, je note votre e-mail en cas de questions. Je vais écouter toutes vos vidéos. Bien à vous, Dominique (Var, France)

Oui, j’ai déjà été là. Il fallait que je me tourne et me retourne constamment, sinon j’étais en douleurs atroces. À cette étape, ce qui m’aidait le plus était les pistes audio de relaxation profonde. Il y en a beaucoup sur UA-cam. Les repérages somatiques aussi. J’en ai plusieurs sur la chaîne. J’avais plutôt en tête ceux qui se remettent à l’exercice physique ou au Yoga. La première étape pour moi a été de changer ma confession. Au lieu de dire que je souffrais de douleur chronique, ou que j’avais la «fibromyalgie» J’ai commencé à dire: «Mon corps est en parfaite état et je vais de mieux en mieux.» Et je le disais tellement souvent que mon subconscient a fini par me croire. Mais, dans mon expérience, il faut être très familier avec le concept de la douleur neuroplastique pour que ça fonctionne.

@déjouerladouleurchronique Merci pour la réponse. Oui pour douleurs neuropathiques. Je vais tester une autre de vos vidéos plutôt 😅

Mes vidéos sont pour les gens qui ont des douleurs neuroplastiques (aussi nommées «nociplastiques» mais je n’aime pas ce terme) c’est à dire qu’il n’y a aucun dommage structurel. Dans mon cas, j’avais mal 9,5 partout dans mon corps pendant des années, mais je n’avais aucun problème physique. Dès que j’ai réglé le problème au niveau psycho-émotionnel, toutes les douleurs sont parties. Le livre de Alan Gordon: Déjouer la douleur chronique explique bien le processus.

Oui c'est mon cas 😊

Y a t'il moyen de vous contacter pour discuter ou bien ? Je fais des recherches spécifiques sur ce type de douleurs, en centrant la problématique sur les douleurs des violonistes.

Oui, j’en avais déjà parlé. Je vois l’importance de répéter maintenant, ha ha ha! Il faut répéter et répéter. C’est comme ça que j’ai appris. Ils répètent constamment sur les chaînes en Anglais. C’est Howard Schubiner qui en parlait dans son livre «Désapprendre sa douleur» lorsqu’un mouvement me faisait peur ou me faisait mal juste à y penser, je le faisais en imagination plusieurs fois avant de le performer pour vrai. Très important. Des fois, je le faisais 30-40 fois. Autant de fois que ça prenait pour que ça ne me fasse plus mal. D’habitude après 40 fois ça ne faisait plus mal. Alors, je faisais le mouvement pour vrai, une ou deux fois, je déclenchais la réaction et ensuite, je faisais un repérage somatique pour enseigner à mon cerveau que la réaction (ou la sur-réaction plutôt) n’était pas dangereuse. Entre 3 et 5 minutes. Je faisais ça pour chaque mouvement gâchette. Ça vraiment été une des clés de mon rétablissement. Ça nous montre aussi à quel point c’est l’esprit et non le corps. C’est donc un beau cas d’exception également. Je disais à mon cerveau: «Tu vois, ce n’est pas le corps, tu as mal juste à y penser!»

@@déjouerladouleurchroniquemerci de nous expliquer dans les détails comment vous avez fait , très utile 👍 👍 l’ensemble des techniques , outils, demande bc de volonté, de concentration pour visualiser chaque geste avant de le faire, et persévérance ! 😅Mais bon faut se dire que ca vaut la peine , vous en êtes la preuve 😊

Je n’avais pas pensé à ça. Oui, ça pourrait être intéressant. Je vais y réfléchir. Mais je réponds à toutes les questions par courriel et je peux faire des sessions de vidéos Messenger gratuitement chaque semaine.

@@déjouerladouleurchronique oui mais ça pourrait être plus "convivial" disons et pour ceux qui n'osent pas te contacter, plus abordable/simple. Il y a moyen de faire des sondages je crois pour voir si des gens seraient intéressés.

Oui, dans mon expérience avec la douleur chronique, non seulement les docteurs ont été inutiles, mais ils m’ont été nuisibles. Je n’hésite pas à utiliser ce mot. Mais je ne leur en veux pas. Le lâcher prise et le pardon sont essentiels dans le reconditionnement de la douleur. La médecine occidentale est vraiment excellente pour certaines choses, mais la douleur chronique n’en est pas une. C’est un de leurs plus gros angles morts. Ce n’est pas de leur faute. Ils sont éduqués dans le système biomédicale, où les émotions n’ont pas un grand rôle à jouer. Mais je crois que, peu à peu, les choses vont changer. Le problème principal semble être l’argent. Il n’y a pas de profits à faire avec la méthode corps/esprit. Quant aux psychologues, je crois qu’ils sont les mieux placés pour aider les gens en douleur chronique. Un bon psy qui s’instruit sur la douleur neuroplastique est la personne la mieux placée pour aider. Ce n’est pas vraiment le rôle du médecin quand on y pense. Malheureusement, ça peut prendre du temps trouver la bonne personne. C’est comme toute relation humaine, des fois les choses ont fait leur temps. Je suis en train de lire le livre: Le développement de la personne de Carl Rogers, et on y trouve beaucoup de pistes intéressantes sur ce qui crée une bonne «relation d’aide» Je recommande ce livre. Je n’ai pas eu besoin de psychologue pour transcender la douleur chronique. Mais je consulte des thérapeutes présentement, et ça m’aide énormément. J’apprends à me connaître. Je réalise que je ne me connaissais pas. Je trouve le regard d’un autre essentiel pour ce processus.

Wow, intéressant. Est-ce fait par intelligence artificielle ou naturelle? En tous les cas, excellent!

@@déjouerladouleurchronique Avec ChatGPT, ça me permet de mieux mémoriser ton travail. Merci en tout cas !

Dans le livre de Fred Amir, il dit qu’il récompensait son enfant intérieur quand il faisait ce qu’il voulait avec de la crème glacée, par exemple. Ha ha ha! Étrange! Je n’ai jamais eu à faire ça. Moi, je le rassurais constamment. L’image qui me vient enfant tête est celle d’un enfant qui a peur d’un monstre en dessous du lit. Alors, on allume la lumière et on lui montre qu’il n’y a pas de monstre. J’imagine que c’est une métaphore pour tous les cas d’exceptions que je lui citais constamment et toutes les images de bonheur et de santé que je lui projetais.

Oui, je me servais aussi des symptômes pour me couper du monde. J’étais un hermite. Maintenant, je ne suis pas la personne la plus sociale au monde. Comme nous dit David Schechter, nous n’avons pas besoin de changer notre personnalité du tout au tout. Il faut baisser le volume sur certaines de nos tendances, monter le volume sur d’autres. Il a fallu que je devienne plus social et plus aventureux. Mais je suis loin d’être très social et aventureux. J’ai découvert à travers ce processus qu’il suffit souvent de faire les premiers pas. Même pas besoin de se rendre à la destination. C’est le fait de ne plus stagner qui change la chronicité, pas la vitesse à laquelle on bouge, ou la distance parcourue. C’est mon expérience personnelle.

Oui, j’avais les 2. J’avais les vieilles douleurs: l’aine gauche et le trapèze droit, qui ne bougeaient pas et les nouvelles. Lorsqu’on considère l’impératif du symptôme, ça n’a pas d’importance que les douleurs soient vieilles ou nouvelles, car elles sont toutes des distractions. Elles nous font focuser sur le corps, au lieu de focuser sur l’aspect psycho-émotionnel. Je me posais toujours 3 questions: De quoi ai-je peur? (autre que la douleur, évidemment, qui est une distraction) Qu’est-ce que j’évite? Et, à quoi est-ce que je résiste? La réponse était souvent: Le changement! La transformation! Je m’étais construit une armure et je ne voulais plus changer. Mais c’est ça la chronicité, c’est le contraire du changement. Lorsque je me suis ouvert au changement et à la transformation, mes vieilles douleurs se sont mises à bouger elle aussi. C’est mon expérience personnelle avec cet aspect.

J’utilise la version gratuite. Ça dit que la seule façon de l’enlever c’est de payer pour la version pro. Je fais tout gratuitement. Est-ce qu’il y a une façon d’éditer sans logo gratuitement? Ce n’est pas très important.

Oui, pour moi aussi c’était difficile de surmonter mes peurs. Avec le recul, je dirais que c’était simple, mais difficile. Très difficile même. C’est pour ça que je regardais 6 ou 7 vidéos par jours parfois… pour me rassurer. Pour moi, Jim Prussack était le plus rassurant. Il disait que je ne pouvais pas me blesser, et de plus en plus je le croyais, car j’accumulais les cas d’exceptions. En as-tu eu récemment? En vacances peut-être? J’espère que oui.

@@déjouerladouleurchronique alors justement je suis parie une semaine, les 3 premiers jours mes symptômes se sont déplacés vers le haut du dos puis je n'ai quasiment plus rien senti jusqu'à ce que je revienne chez moi. C'est ) ce moment que ça réapparaît mais c'est "supportable". C'est pénible car je m'y attends à chaque fois du coup! Mais c'était vraiment agréable en vacances d'être "normale" et surtout je suis restée presque 3h assise dans le train sans aucun soucis; ça c'est acquis!

As-tu essayé de faire du Yoga pendant les vacances?

@@déjouerladouleurchronique non car je n'avais pas accès à internet, c'est le désavantage d'être au fin fond de la campagne.

En tous les cas, c’est un beau cas d’exception. Une formulation que je remarque… «je m’y attends» Dans mon processus, j’ai vraiment été surpris de voir à quel point mes «attentes» justement construisent, non seulement ma douleur, mais mon expérience de la réalité. On «s’y attend» parce que c’est ce qui est arrivé dans le passé, mais c’est ça qui recréé l’expérience. Nous devenons prisonniers d’une mauvaise boucle de prédiction. Dans mon expérience, il est crucial de changer ses attentes… Toujours s’assurer que nous anticipons le meilleur scénario possible.

Avant j’avais de l’anxiété chronique, sociale et généralisée. Maintenant, j’en ai encore un peu, mais ce n’est pas problématique. J’ai réalisé que l’anxiété était un symptôme au même titre que la douleur et je l’ai traité de la même manière. L’évitement était la clé. J’évitais toute situation qui me rendait anxieux, j’ai donc fini comme un hermite, seul chez moi. Lorsque la douleur est arrivée, j’ai commencé à éviter certains mouvements, jusqu’à ce que je me retrouve couché au lit toute la journée, n’étant plus capable de bouger. L’évitement! C’est la pire stratégie. Lorsque j’ai compris le concept du reconditionnement de la douleur, j’ai commencé à m’exposer au mouvement et j’ai enseigné à mon cerveau que la réaction (les sensations de douleurs) n’étaient pas dangereuses. Alors, j’ai compris que je pouvait faire la même chose avec l’anxiété. Je me suis exposé aux situations qui me rendaient «anxieux» comme les situations sociales, et j’ai enseigné à mon cerveau que la réaction (l’anxiété) n’était pas dangereuse. Les deux processus se sont fait en parallèle. Je m’exposais de plus en plus, j’évitais de moins en moins et j’apprenais à mon cerveau que ces sensations n’étaient pas dangereuses, qu’on les appelle «douleur» ou «anxiété» c’est le système nerveux qui est en état d’alerte, c’est une fausse alarme. Il faut calmer le système nerveux. Lorsqu’on calme le système nerveux les douleurs s’en vont, l’anxiété s’en va, même mes acouphènes sont disparus, la fatigue chronique aussi. Ce sont tous des symptômes d’un système en état d’alerte. Le plus important a été d’apprendre à mon cerveau que mes émotions (qui sont des sensations au fond) n’étaient pas dangereuses. Pourquoi j’évitais les gens? Parce qu’ils créaient des sensations en moi (émotions) que je trouvais désagréables et dangereuses. Lorsque j’ai appris à mon cerveau que la colère, la tristesse et la culpabilité n’étaient pas des sensations dangereuses, j’ai pu m’exposer aux gens sans grands problèmes. Il faut apprendre à notre cerveau que les sensations ne sont pas dangereuses. Que ce soit de la «douleur physique» ou de la «douleur émotionnelle» ou de l’anxiété. Au fond, ce sont tous des sensations. On apprends à notre cerveau que ce n’est pas dangereux. C’est la première étape. Ensuite, comme je le disais dans la vidéo, je peux commencer à creuser plus loin et me demander: «Pourquoi je me sens coupable lorsque je dis: non! à quelqu’un. Mais ce travail est plus profond. Si on apprend à notre cerveau que la culpabilité n’est pas dangereuse, c’est déjà un bon début. Le repérage somatique est idéal pour ça. On déclenche de la tristesse ou de la colère ou de l’anxiété et on enseigne à notre cerveau: ce n’est pas dangereux! J’espère que ça répond à la question.

C’est trompeur de dire «le cerveau» comme si c’était une unité. C’est très rare que je parle de quelle zone du cerveau fait quoi. La seule vidéo où je l’ai adressé est intitulée: Fermer la porte aux symptômes. Même si c’est une simplification, cette image m’a beaucoup aidé. Jim Prussack parle constamment de ça, mais moi, j’essaye d’éviter, ha ha ha! C’est une simplification mais en gros, l’amygdale est le centre de la peur. Le cortex pré-frontal peut raisonner et contrôler l’amygdale lorsqu’elle panique. Le problème, c’est lorsque le cortex préfontal est faible, l’amygdale peut faire ce qu’elle veut et créer un état de panique. En Français, ça s’appelle le: détournement de l’amygdale. (Amigdala hijack) Il faut donc «muscler» le cortex préfrontal pour qu’il puisse résister au crises de panique de l’amygdale. C’est vraiment une simplification et une vulgarisation, mais ça peut aider. Il ne faut pas voir le cerveau comme une unité, il y a plusieurs zones qui ont des fonctions différentes. Mais, dans mon expérience, ce n’est pas utile de trop se perdre dans ces considérations. Je ne dis pas: «J’enseigne à mon cortex préfrontal à contrôler les crises de l’amygdale» Je dis juste, j’enseigne à mon cerveau à ne plus avoir peur des mes sensations. Dans mon expérience, il faut simplifier. Ne pas se perdre dans la complexité. J’ai une douleur… ce n’est pas dangereux. J’ai de l’anxiété… ce n’est pas dangereux. Ce ne sont que des sensations. C’est le mieux que je puisse faire dans la section commentaire UA-cam. J’espère que ça aide. Sinon, Jim Prussack parle plus en détail, de quelle zone du cerveau fait quoi. Mais je n’ai pas eu besoin de comprendre ça pour éliminer les symptômes.

J’ai entendu de bonnes choses de Carl Tétillon, il est sur la liste. Il n’a pas beaucoup de vidéos, par contre. Ma chaîne favorite en Français est celle de Jean Itier.

Personnellement, les docteurs m’ont toujours dit que je n’avais rien, ou que j’avais la «fibromyalgie» que je ne considère pas comme un vrai diagnostic. Ma stratégie au début, quand j’avais beaucoup de symptômes, était de ne plus me poser ce genre de questions du tout. On s’y perd facilement, et ça garde notre esprit fixé sur la douleur. On est toujours en train de réfléchir à la douleur: j’ai mal quand je fais ci, je n’ai pas mal quand je fais ça. Qu’est-ce que ça veut dire? Je ne m’occupais plus des symptômes. Je les considérais tous comme des erreurs de prédictions du cerveau. Ça m’a beaucoup aidé à ne plus penser à la douleur du tout. Ensuite, lorsque j’allais de mieux en mieux, j’ai commencé à faire des liens entre mes états émotionnels et les symptômes. Mais pour moi, le plus gros du travail c’est fait dans le reconditionnement: Si, lorsque je marche en nature je n’ai pas mal, je me sers de ce fait comme d’un beau cas d’exception, je dis à mon cerveau: tu vois ce n’est pas structurel, la douleur structurel ne change pas parce qu’on est en nature. C’était ma stratégie, mais chacun est différent.

Oui, il faut que le niveau de confiance soit haut pour atteindre cette phase. J’ai oublié de mentionner qu’il faisait aussi de la relaxation profonde le soir avec la voix de Emmett Miller MD. Je ne le connaissais pas. Personnellement, j’ai appris à faire de l’auto-hypnose. Je ne me faisais pas d’autres auto-suggestions. Je me mettais simplement dans des états de relaxation très profonds pour calmer le système nerveux. Très important de calmer le système nerveux. Surtout le soir, après une journée où nous avons défié les symptômes.

Dans ce cas, je conseillerais peut-être une première lecture en «survol» sans faire aucun des exercices. Juste pour absorber l’information. Ça n’engage à rien. J’ai beaucoup appris juste en lisant. D’ailleurs, elle considère qu’une de ses douleurs est structurelle, celle à son pied. Lili Road est disponible comme coach. Je crois qu’une session téléconférence d’une heure avec elle coûte 60€. Une fois qu’on a survolé le livre, on peut voir si il y a des exercices qu’on peut faire soi-même sans aucune aide, ou si certains exercices pourraient nous aider, mais pour lesquels nous avons besoin d’aide, qu’elle vienne d’un coach ou d’un psychothérapeute.

Wow, cette conversation est beaucoup trop complexe pour les commentaires UA-cam. Voici mon adresse courriel: mrbienetre111@gmail.com

Je viens de vérifier avec un nouveau compte. J’ai écrit: Bien-Être Chronique et c’est apparu. Ce n’est pas un groupe ou une page. C’est dans «Personnes» et c’est le premier qui apparaît dans Personnes. Il y a ma photo. Si il y a d’autres difficultés, j’aimerais le savoir. Je veux que les gens puissent la trouver. Il y a beaucoup d’informations dessus. Je crois que ça peut être utile. Sinon, peut-être que je devrais faire une page ou un groupe? Je ne connais pas grand chose à Facebook. Laissez-moi savoir.

Oui, très important de trouver les bonnes personnes en thérapie. J’ai consulté 12 thérapeutes avant de trouver quelqu’un avec qui ça cliquait. J’ai fait une session de la technique de Allan Abbass et ça peut être très intense. Premièrement, ils filment la session, comme ça, ils n’ont pas besoin de prendre des notes. Comment veux-tu être attentif lorsque tu prends des notes? Ensuite, ils peuvent te questionner constamment pour que tu n’aies pas le temps d’utiliser tes mécanismes de défense habituels. Ils te ramènent toujours à ton corps. Ils veulent te rejoindre à travers la résistance, comme dit le titre. Ce mot devient de plus en plus important pour moi: Résistance. C’est l’obstacle principal à l’élimination des symptômes. Et une fois que nous avons éliminé les symptômes, on remarque notre résistance dans les autres sphères de notre vie. Il faut arrêter de résister. Il faut inviter et… laisser couler!

Certaine douleurs étaient du pur conditionnement. Mon cerveau avait fait de fausses associations entre certaines positions, activité, moments et la douleur. Il a suffi de faire du reconditionnement, corriger l’erreur du cerveau, et les douleurs ont disparu. Mais il y avait de la douleur plus profonde et émotionnelle. Comme j’en parle dans plusieurs vidéo, à ce jour, si je me mets trop de pression, j’ai des douleurs qui apparaissent. Des fois je sais que je devrais arrêter, mais je continue et je peux développer une brûlure dans la colonne vertébrale, par exemple. Cette douleur est comme un baromètre de la pression que je me mets sur les épaules. Lorsque je relâche la pression, la douleur s’en va. La question est: Pourquoi est-ce que je me mets cette pression? Elle n’est pas nécessaire. Je me l’impose moi-même. C’est le genre de questions qu’il faut adresser dans la partie psycho-émotionnelle du processus. Les questions sont différentes pour chacun. Un autre exemple, quelqu’un peut se demander: pourquoi est-ce que je m’autocritique constamment. Ça crée du stress et de la pression inutile sur le système, qui peut se traduire en douleur. J’espère que ça répond à la question. C’est différent pour chacun. Mais la plupart du temps, il y a un travail de reconditionnement à faire, mais aussi un travail psycho-émotionnel plus profond.

@@staceypollack808 Hello, my email is: mrbienetre111@gmail.com I answer all mail. If I don’t answer, I did not get it. Try again via comments and I will get back to you.

Oui, c’est une bonne idée. Je devrais explorer cet aspect. Je vais m’y mettre. Car je vais en faire de plus en plus. Les repérages somatiques ont été une clé majeure dans mon rétablissement. Surtout le barrage qui se défait!

@déjouerladouleurchronique c'est une bonne idée ça donne des exemples d'exercices autres que celui que l'on trouve dans le livre de Sarno.