Considérer l'histoire au prisme des enjeux est vraiment intéressante. Merci de cette synthèse. Elle donne une grille de lecture à la fois simple et structurante. À réécouter pour saisir la force de cette approche. 🙏💐
Merci Johanna de mettre la notion d'enjeu en lumière, cela me permet d'approfondir la réflexion sur mon travail qui, bien qu'avancée, était encore un peu flou sur ce point. :)
Comment commenter une vidéo aussi aboutie ? Tout y est ! Tu devrais essayer de faire moins bien...🤣🤣🤣 En parallèle à l'intrigue et à ses rebondissements, les enjeux servent aussi à envoyer le lecteur sur une piste "facile" qui masque le véritable objet de l'histoire. C'est un des moyens (simples) de retarder le moment de dévoiler la finalité du texte. Plus j'avance (modestement) dans l'écriture, plus je pense que le personnage principal est le lecteur. Le jeu de l'auteur revient à le manipuler et le surprendre jusqu'à un dénouement et des effets auquel il ne s'attend pas.
Merci Jean-Yves, pour te répondre vraiment, il faudrait que tu précises ce que tu veux vraiment dire par "objet de l'histoire" et "finalité du texte". Sinon, pour le personnage principal, tu l'assimiles à un lecteur ? Tu veux dire que le lecteur se projette en lui ? Pour ma part, j'ai plus l'impression que c'est le personnage principal qui "manipule" l'auteur ou plutôt, prend sa liberté au fil de l'écriture. :)
@@johannaconseileditorial Ce que je veux dire c'est que les lecteurs sont les véritables interlocuteurs de l'auteur. Le scénario et les personnages sont secondaires dans l'optique de séduire, de faire apprécier le roman. Tout ce qui concerne la construction de l'histoire, les techniques d'écriture sont les outils ad hoc. C'est à partir de là que doit se positionner l'auteur/trice : j'écris pour le lecteur ou pour me satisfaire de "mon" œuvre ? Certaines maisons d'édition poussent les écrivain(e)s à modifier, supprimer voire réécrire des passages. Dans quel but, sinon pour augmenter les ventes ? Si, au bout, il y a un Goncourt ou un Renaudot, la légitimité s'en trouve écornée.
Tout est dit. Quelle merveille de concision. Merci, Johanna.
Merci à vous. Un commentaire très gratifiant qui fait du bien ! :)
Considérer l'histoire au prisme des enjeux est vraiment intéressante. Merci de cette synthèse. Elle donne une grille de lecture à la fois simple et structurante. À réécouter pour saisir la force de cette approche. 🙏💐
Merci pour vos commentaires sympathiques et chaleureux !
Merci Johanna de mettre la notion d'enjeu en lumière, cela me permet d'approfondir la réflexion sur mon travail qui, bien qu'avancée, était encore un peu flou sur ce point. :)
Merci Thierry :)
Comment commenter une vidéo aussi aboutie ? Tout y est ! Tu devrais essayer de faire moins bien...🤣🤣🤣
En parallèle à l'intrigue et à ses rebondissements, les enjeux servent aussi à envoyer le lecteur sur une piste "facile" qui masque le véritable objet de l'histoire. C'est un des moyens (simples) de retarder le moment de dévoiler la finalité du texte.
Plus j'avance (modestement) dans l'écriture, plus je pense que le personnage principal est le lecteur. Le jeu de l'auteur revient à le manipuler et le surprendre jusqu'à un dénouement et des effets auquel il ne s'attend pas.
Merci Jean-Yves, pour te répondre vraiment, il faudrait que tu précises ce que tu veux vraiment dire par "objet de l'histoire" et "finalité du texte". Sinon, pour le personnage principal, tu l'assimiles à un lecteur ? Tu veux dire que le lecteur se projette en lui ? Pour ma part, j'ai plus l'impression que c'est le personnage principal qui "manipule" l'auteur ou plutôt, prend sa liberté au fil de l'écriture. :)
@@johannaconseileditorial Ce que je veux dire c'est que les lecteurs sont les véritables interlocuteurs de l'auteur. Le scénario et les personnages sont secondaires dans l'optique de séduire, de faire apprécier le roman. Tout ce qui concerne la construction de l'histoire, les techniques d'écriture sont les outils ad hoc.
C'est à partir de là que doit se positionner l'auteur/trice : j'écris pour le lecteur ou pour me satisfaire de "mon" œuvre ?
Certaines maisons d'édition poussent les écrivain(e)s à modifier, supprimer voire réécrire des passages. Dans quel but, sinon pour augmenter les ventes ? Si, au bout, il y a un Goncourt ou un Renaudot, la légitimité s'en trouve écornée.