L’Éthique de Spinoza | Entretien avec Maxime Rovere

Поділитися
Вставка
  • Опубліковано 28 гру 2024

КОМЕНТАРІ • 3

  • @jacquestoledano5975
    @jacquestoledano5975 Рік тому +1

    Bravo bravo bravos
    SPINOZA n'a t'il pas été le porte parole d' une philosophe collective, remarquable? ET par là un inspirateur d'une humanité commune, en phase avec la Nature vivante tellement complexe par ses multiples richesses inter-relations INTERDÉPENDANTES, dont en sommes en tant qu'humains, ET que nous ne comprenons encore ou à peine.
    Notre histoire des multiples vivants, des PEUPLES, ..., est tellement entremêlée, que seul l'ONU, en tant qu'organisme protecteur du vivant naturel différent, pourrait être en situation de de définir, ou d'indiquer, une identité commune, qui ne soit pas anthropocenique.
    D'autant plus que cette organisation, à but pacifique mais pas que, a compris depuis longtemps l'interdépendance des multiples vivants naturels, complexes par leurs interrelations, sont la base des richesses communes. Et l'ONU, plus que l'OMC, a compris depuis pas mal de temps la nécessité de préserver l'environnement naturel sain, base de la vie de tous les vivants naturels, dont nous faisons partie.
    Et que maintenant une partie de l'humanité, attachée exclusivement à l'exploitation abusive des ressources naturelles fossiles, représentant une puissance (machines et énergies) près de 300 esclaves par occidental, est la seule responsable des nombreux échanges climatiques et injustices sociales, culturelles, ... en cours aggravant les inégalités. Et comme celà ne leur suffisait pas, ils financent à outrance les climatosceptiques pour prolonger le règne de l'ignorance.
    Qui a intérêt à la continuité des guerres, fruits d'ignorances bien propagées par qqs intérêts particuliers, souvent privés.
    Voilà où nous sommes, alors que nous disposons sur notre unique planète TERRE, tous les moyens nécessaires pour vivre, de manière honorable et digne, tout en renforçant nos connaissances, dont celles reliant les multiples relations entre les multiples vivants naturels et celles de notre planète TERRE avec le cosmos. N'est ce pas, là, une plus belle aventure que celle qui nous est imposée par qqs intérêts particuliers privés, principaux fauteurs de troubles tant au sein de notre fragile humanité que notre planète TERRE, unique jusqu'à nouvelles découvertes.
    ETRE UN VIVANT SUR NOTRE UNIQUE PLANÈTE TERRE, C'EST ÊTRE TOLÉRANT ENVERS TOUS LES VIVANTS NATURELS, COMPLEXES PAR LEURS MULTIPLES RICHESSES QUI SONT NOS NÉCESSAIRES ET INTERDÉPENDANCES, DONT NOUS NE SOMMES QU'UNE DES PARTIES VIVANTES, À LA CONDITION DE N'EN PAS DÉTRUIRE.

    • @patricedelestre3156
      @patricedelestre3156 7 місяців тому

      Spinoza est certes un très grand philosophe, voire de loin le plus grand, mais un assez petit penseur quand même quand à ses savoirs du fonctionnement de l'humain, c'est dire le niveau archi nul des autres et de tout intellectuel. L'humain est en fait un animal malade dont le cerveau, l'inconscient en fait, composé de deux entités distinctes même si censées travailler à un même but a son ensemble qui dysfonctionne, l'entité principale ne pouvant plus donner à l'entité secondaire, son adjoint, les bonnes directives et qui sans elles fait des conneries sans que l'entité principale puisse corriger le problème seule. C'est pourquoi quand ce dysfonctionnement est apparu chez l'humain, il y a très très longtemps, a été adjoint à ce cerveau une sorte d'entité de secours, capable de penser et raisonner, soit nous, dans le but que cette entité comprenne le problème, et ensuite aide l'entité principale, l'entité secondaire ne sachant pas qu'elle fasse des conneries tout en continuant de faire ce pourquoi elle est là, à pallier les conséquences toutes néfastes du dysfonctionnement. L'entité de secours que j'appelle la conscience, soit nous, ne sachant rien de son seul rôle, réfléchit et cherche dans toutes les directions, et petit à petit au fil du temps à appris des tas de choses que l'entité secondaire, dont le rôle est l'adaptation à l'extérieur, utilise pour organiser ce qu'on appelle le progrès, assez utile au départ si on pense à la découverte de l'emploi du feu par exemple, mais devenu ensuite inutile, voire dangereux si on pense au réchauffement climatique augmenté par la consommation inutile d'énormes quantités d'énergie. C'est l'inconscient qui est le véritable acteur de l'humain, nous ne sommes que son spectateur interne, qui pense et essaie de comprendre. Nous ne sommes seulement que de la pensée, même ce que nous appelons nos volontés nous sont soufflées par les deux entités de l'inconscient. Le libre arbitre n'existe donc pas pour nous, bravo Spinoza. L'entité principale qui gère le corps et donc les actes de l'humain quelle oriente afin que par leur biais elle nous envoie des tas énormes d'informations que nous ne voyons pas comme telles, persuadés d'être celui qui décide. Elle nous envoie aussi les émotions, ressentis et autres informations utiles si on les comprend, et aussi ce que nous appelons les intuitions, et là encore bravo à Spinoza qui a raison de placer l'intuition au dessus du raisonnement. L' Amour est une chose plusieurs fois utile. Il est à 100% inconscient, de par sa génération par l'entité principale, sans que nous en décidions la moindre chose, l'expression tomber Amoureux n'est pas tirée du hasard, comme de par son interdiction, en raison du dysfonctionnement, par l'entité secondaire, qui chez plus de 95% des humains le rend invisible à la conscience, ces gens passant à côté sans même le savoir. Si on n'en décide absolument rien, ni pour plus de 95% d'entre nous ne sommes capables de nous rendre compte de son existence en "notre" personne, alors qu'il est d'une importance capitale, pour quelle raison étrange, je vous le demande, pourrions nous décider par contre de tout le reste? Désolé, mais ça n'a aucun sens que nous puissions le faire. Je connais les deux conditions nécessaires pour qu'il soit généré chez et entre deux personnes par l'entité principale de l'inconscient depuis plus de 20 ans, temps suffisant pour vérifier que cela corresponde à la réalité et je peux affirmer que de ces deux conditions nous ne décidons ni de leur existence, ni de ce qu'elles donnent comme résultat. Je n'ai pas vraiment de mérite d'avoir découvert tout ça, même si au départ je suis loin d'être bête, mais mon vécu m'y a énormément aidé avec en plus des intuitions que j'ai su suivre.