Super intéressant. Ravi d'entendre ce que je supposais : l'idéologie trans s'est servie des combats LGB comme d'un cheval de Troie. J'ai même la sensation que leur action a aggravée les attaques contre les LGB car ils ont semé la confusion. Je vais même poser une hypothèse encore pire : ils sont en partie responsables des reculs des droits lgb dans les pays d'Afrique et moyen orient puisqu'ils ont donné à l'Europe cette identité de continent gangréné par une perte totale de repère.
Je me questionne en toute honnêteté sur la position que prendraient les signataires du Code de Déontologie des Psychologues sur le sujet transgenre et ainsi que sur vos opinions bien tranchées que véhicule votre chaîne à ce sujet. Au plaisir de visualiser une table ronde de psychologues français discuter de façon scientifique et rigoureuse de ce sujet.
Merci à vous, à chaque vidéo, c'est un point sur un I qui se redresse, et dans le marasme, le brouillage, les inversions en tout genre, qu'une ambulance se transforme en dragon bleu, c'est de l'ordre de l'urgence !
Qd j’étais petite je pensais souvent : j’aurais bien voulu être un garçon. Je l’ai évoqué à Maman. Par bonheur nous n’étions ds ce épique pervers emprunt de cette propa 💩..! Aujourd’hui j’en voudrais à Maman et Papa d’avoir écouter cette idée étrange, tel un caprice inconscient des répercussions irréversibles. Je suis tellement heureuse d’être MOI fille 👧 !!! Laissez les Petits en Paix ☀️☝🏽💕
Je nai pas tout écouté (car j'étais déjà beaucoup écouté de vidéos sur ce sujet), c'est le titre qui m'a intéressé, car je trouve que croire qu'on peut naître dans un mauvais corps est en grande partie dû à une pensée et mentalité matérialiste qui ignore le sens profond de tout phénomène naturel.
Pourriez-vous expliciter, s'il-vous-plaît, ce que vous entendez par "sens profond de tout phénomène naturel" et par "pensée et mentalité matérialiste" ? Ces expressions peuvent recevoir des significations très différentes et c'est de leurs significations que dépend en grande partie la possibilité de comprendre votre propos.
@@thanatophore0130 On peut sentir et comprendre que tout évènement visible dans notre monde physique n'est pas simplement une suite ou conséquence de ce seul monde physique, mais qu'un monde plus subtil invisible aux yeux physiques le sous-tend, en est l'origine, un monde spirituel qui régie avec sagesse et logique tous les phènomènes physiques constatables, ainsi que le hasard n'existe pas tel qu'il est souvent crû, mais qu'il est une émanation d'une cause souvent incomprise car non perçue car se plaçant dans le monde spirituel. Toute circonstance naturelle a ainsi un sens, est juste, justifiée, et n'est pas dûe à un hasard, un accident, une erreur. Là où on perçoit un sens et une sagesse, on accepte et accueille.
*Notons aussi l'excellent livre des auteurs du site Le partage : "Ne(e)s dans la mauvaise société : notes pour une critique féministe et socialiste du phénomène trans"*
Bonjour, j’aimerais savoir sur quelle base se fonde le sujet. Si on reprend l’histoire il y a toujours eu la notion de 3e genre ou 3e sexe pour qualifier les personnes neutres qu’on appelle non binaire (pandaka, eunuque, les bernaches…). Je pense que ça a toujours existé, il n’y pas d’études scientifiques qui expliquent ce phénomène mais il existe. En revanche, là où je suis d’accord, c’est de pointer les gens de transphobes à tout va. Je pense qu’il y a un phénomène d’appartenance qui met à porte à faux un sujet qui mérite plus de sérieux et d’analyse
Bonjour. Ce n'est pas faux ce que vous dites, Alizée, mais c'est à nuancer, car il n'y avait pas tellement de "troisième sexe" (sauf peut-être les intersexes, et encore, ils tirent à peu près entre mâle et femelle / garçon - fille. D'où le terme "inter"). Donc, il y a bien deux entités sexuelles de base, de fait (femelle - mâle / fille - garçon, intersexes compris). Le "neutre" en fait, ce n'était pas tant "sexuel", pas tant une remise en question des entités biologiques de base, mais une spiritualité à vrai dire. Sans qu'il n' y ait du binarisme social absolu, du genrisme avec des obligations véritables de "normes". Chez des Amérindiens (Sioux il me semble), on naissait garçon, fille globalement, au niveau du corps... Mais l'esprit pouvait se mélanger, être interchangeable, se fondre : le 2 spirits de base, c'est ça. Il y en avait cinq en fait. C'est une métaphore qui signifie que quelque soit son sexe, on pouvait faire ce qu'on voulait sans que les taches à effectuer, les vêtements à porter, ne soient "normés". Et cela assure la complémentarité femmes - hommes. Des prêtres et prêtresses médiateurs - médiatrices, invoquaient ces esprits et assuraient la stabilité entre femmes et hommes au sein de la tribu, par des moyens divers, sans véritable restrictions pour un tel - une telle. C'est la conciliation de la nature sexuelle - corporelle et de l'esprit de l'individu, esprit qu'on retrouve chez... Tout le monde en fait. D'où la complémentarité. Ce message a été tronqué à partir de la colonisation du Far West. Et même encore, des "progressistes" tronquent ce message, en genrant tout en fait... Ce qui ne résout aucun problème du sexisme et du malaise social, notamment chez des jeunes femmes, et même des jeunes hommes, et dans tout le monde occidental. Perso, j'ai été embêté car je n'étais pas un garçon "normé" du stéréotype masculin... Or, j'ai appris à faire la part des choses, étant très malade, AVC. Mais le "progressisme" qui s'inscrit sur la notion de "genre" réduite, artificielle et perpétuelle n'aide pas à nous repérer globalement. Aussi, les identitarismes se mêlent à l'individualisme et au paraître (ça ne concerne pas que la question "trans", mais tout le monde). Certains natifs américains sonnent une alarme, tandis que d'autres se laissent séduire par le genrisme, le "transactivisme" etc... Car ils ont perdu leur repère. Perte de repère due à un essentialisme puritain remontant au colonialisme et une évangélisation forcée, rigoriste. Ah oui, le terme "bernache" est une insulte faite à l'encontre des Amérindiens qui furent considérés comme des "païens sauvages". Autrement, je suis d'accord avec vous. Il y en a marre de la construction d'une pensée unique, quand-bien même "progressiste" mais inquisitrice. Si on se concentre sur ce qu'ont donné les totalitarismes quelque soit la nature de l'idéologie mise en avant.... Et à propos de dérives scientifiques et d'idéologies à visée totalitaire (le totalitarisme conceptuel s'appuyant sur une absolutisation de la science pour créer un "homme nouveau"), le transhumanisme pose problème... Bientôt, les bébés ne pourront plus tellement naître tels qu'ils sont... On pourra choisir le sexe, la couleur de peau etc. Dérive, si elle prend de l'ampleur, qui se révélera affreusement dangereuse. Ce sera réduire l'humain à un objet, et ce sera faire une sélection qui s'apparente au racisme. Voilà, j'ai essayé d'expliquer au mieux 😅😅😊
Je voudrais savoir comment on peut discerner chez un psychologue sa position professionnelle pour permettre à notre enfant de trouver une véritable écoute pour l'aider à mesurer la réalité du mensonge sur cette influence du genre dans sa vie.
C'est vrai que la contamination sociale du phénomène transgenre est tout à fait étonnante. Ça me fait penser à la théorie du désir mimétique de René Girard.
Les universitaires sont les plus influençables de par leur manque de bon sens. Les financements de la recherche font le reste. La recherche fondamentale n'est plus financée.
Qu'appelez-vous "bon sens" ? Et comment mesurez-vous objectivement le "bon sens" des universitaires et des autres CSP pour pouvoir affirmer qu'ils en manquent ? Si vous n'êtes pas l'auteur de cette recherche, pourriez-vous partager, s'il-vous-plaît, les sources sur lesquelles s'appuient vos assertions ?
Certaines personnes naissent dans le mauvais corps et la transition leur est vitale . Évitez de généraliser. En vrai vous supposez , vous ne savez pas ce que ressens une personne sincèrement dysphorique. La réassignation de genre existe et elle sauve des gens du suicide , qui vivent leur vie heureuse et tranquille post transition.
Hmm, hmm... C'est vicieux en fait. Il n'y a pas de solution alternative, soit "comment apprendre à accepter son corps tel qu'il est sans être fondu - fondue dans la norme (sociale, "normée" qui entretient une confusion) ?" Question à se poser. Je fais partie des gens qui ont souffert qu'on les critique car "pas dans la norme". J'étais - et je le suis toujours - un garçon qui ne correspond pas à la norme, au "genre masculin" dans le caractère. Pas stéréotypé, parfois plus "féminin" on va dire (et encore, je me moque du genre donné à l'attitude)... Mais ça s'arrête là. J'avais souffert d'un malaise, d'une déprime en plus de me battre contre les stigmates de l'AVC... Mais j'ai appris à accepter mon corps de garçon, tout en ayant une attitude pas "normée", "atypique"; ce que vous voulez. C'est possible.
Merci pour ces très pertinents échanges c'est très apprécié 👍 je découvre avec plaisir les vidéos et viens d'appuyer sur la cloche pour recevoir les notifications
Il est très en retard mais il avance. Il est très long aussi, je vais probablement couper en deux la 2ème partie. Bref ça avance. Trop tôt pour donner une date de sortie pour le moment.
@@oiseaudeminerve1478 alors justement merci de m'aider à financer la partie 3, ça ira plus vite : www.helloasso.com/associations/ninsun-project/formulaires/2
Mais … il y a plusieurs sexes. La biologiste Anne Fausto sterling le montre assez bien. Ensuite , ce n’est pas parceque le thérapeute doit en effet porter un regard critique sur le patient et son discours pour le soigner qu’il doit nécessairement invalider le propos du patient. Ce pourrait même être contraire à l’éthique. Ce qui caractérise la trans identité c’est le fait que cela s impose à a la personne, et l’entretien clinique peut évaluer ce degré d’identification à l’autre genre. Une personne qui se des socialise, ne peut se regarder dans un miroir ou est en échec scolaire sont autant de signes qui doivent alarmer le thérapeute et envisager , dans les meilleurs conditions et avec prudence comme tout scientifique biensur , la transition.
De fait, on doit tous faire avec, en gros avant les technologies actuelles c'est ce qu'on a toujours fait ! Les lobbies, cad ceux qui nous dominent sont à boycotter.
![[AVS] L’emprise : comment s’en sortir et en guérir ? - Anne Clotilde Ziégler](http://i.ytimg.com/vi/Irb4DOCizeo/mqdefault.jpg)
Merci pour cet entretien de qualité 💪
Merci pour cette interview très intéressante et bon courage au professeur espagnol !
En effet, les enfants qui se disent trans n'ont pas un langage d'enfants.
Super intéressant. Ravi d'entendre ce que je supposais : l'idéologie trans s'est servie des combats LGB comme d'un cheval de Troie. J'ai même la sensation que leur action a aggravée les attaques contre les LGB car ils ont semé la confusion. Je vais même poser une hypothèse encore pire : ils sont en partie responsables des reculs des droits lgb dans les pays d'Afrique et moyen orient puisqu'ils ont donné à l'Europe cette identité de continent gangréné par une perte totale de repère.
Je me questionne en toute honnêteté sur la position que prendraient les signataires du Code de Déontologie des Psychologues sur le sujet transgenre et ainsi que sur vos opinions bien tranchées que véhicule votre chaîne à ce sujet.
Au plaisir de visualiser une table ronde de psychologues français discuter de façon scientifique et rigoureuse de ce sujet.
Voir aussi Institut Tavistock.
*Titre très prometteur !*
Merci à vous, à chaque vidéo, c'est un point sur un I qui se redresse, et dans le marasme, le brouillage, les inversions en tout genre, qu'une ambulance se transforme en dragon bleu, c'est de l'ordre de l'urgence !
Qd j’étais petite je pensais souvent : j’aurais bien voulu être un garçon.
Je l’ai évoqué à Maman.
Par bonheur nous n’étions ds ce épique pervers emprunt de cette propa 💩..!
Aujourd’hui j’en voudrais à Maman et Papa d’avoir écouter cette idée étrange,
tel un caprice inconscient des répercussions irréversibles.
Je suis tellement heureuse d’être MOI fille 👧 !!!
Laissez les Petits en Paix ☀️☝🏽💕
Je nai pas tout écouté (car j'étais déjà beaucoup écouté de vidéos sur ce sujet), c'est le titre qui m'a intéressé, car je trouve que croire qu'on peut naître dans un mauvais corps est en grande partie dû à une pensée et mentalité matérialiste qui ignore le sens profond de tout phénomène naturel.
Pourriez-vous expliciter, s'il-vous-plaît, ce que vous entendez par "sens profond de tout phénomène naturel" et par "pensée et mentalité matérialiste" ?
Ces expressions peuvent recevoir des significations très différentes et c'est de leurs significations que dépend en grande partie la possibilité de comprendre votre propos.
@@thanatophore0130 On peut sentir et comprendre que tout évènement visible dans notre monde physique n'est pas simplement une suite ou conséquence de ce seul monde physique, mais qu'un monde plus subtil invisible aux yeux physiques le sous-tend, en est l'origine, un monde spirituel qui régie avec sagesse et logique tous les phènomènes physiques constatables, ainsi que le hasard n'existe pas tel qu'il est souvent crû, mais qu'il est une émanation d'une cause souvent incomprise car non perçue car se plaçant dans le monde spirituel. Toute circonstance naturelle a ainsi un sens, est juste, justifiée, et n'est pas dûe à un hasard, un accident, une erreur. Là où on perçoit un sens et une sagesse, on accepte et accueille.
Merci pour le taff, c'est important d'avoir des gens comme vous, pour notre futur.
"Transphobophobie" mdr il faudra que je fasse une vidéo la dessus !
*Notons aussi l'excellent livre des auteurs du site Le partage : "Ne(e)s dans la mauvaise société : notes pour une critique féministe et socialiste du phénomène trans"*
Oui!
Bonjour, j’aimerais savoir sur quelle base se fonde le sujet. Si on reprend l’histoire il y a toujours eu la notion de 3e genre ou 3e sexe pour qualifier les personnes neutres qu’on appelle non binaire (pandaka, eunuque, les bernaches…). Je pense que ça a toujours existé, il n’y pas d’études scientifiques qui expliquent ce phénomène mais il existe. En revanche, là où je suis d’accord, c’est de pointer les gens de transphobes à tout va. Je pense qu’il y a un phénomène d’appartenance qui met à porte à faux un sujet qui mérite plus de sérieux et d’analyse
Bonjour. Ce n'est pas faux ce que vous dites, Alizée, mais c'est à nuancer, car il n'y avait pas tellement de "troisième sexe" (sauf peut-être les intersexes, et encore, ils tirent à peu près entre mâle et femelle / garçon - fille. D'où le terme "inter").
Donc, il y a bien deux entités sexuelles de base, de fait (femelle - mâle / fille - garçon, intersexes compris). Le "neutre" en fait, ce n'était pas tant "sexuel", pas tant une remise en question des entités biologiques de base, mais une spiritualité à vrai dire. Sans qu'il n' y ait du binarisme social absolu, du genrisme avec des obligations véritables de "normes".
Chez des Amérindiens (Sioux il me semble), on naissait garçon, fille globalement, au niveau du corps... Mais l'esprit pouvait se mélanger, être interchangeable, se fondre : le 2 spirits de base, c'est ça. Il y en avait cinq en fait. C'est une métaphore qui signifie que quelque soit son sexe, on pouvait faire ce qu'on voulait sans que les taches à effectuer, les vêtements à porter, ne soient "normés". Et cela assure la complémentarité femmes - hommes. Des prêtres et prêtresses médiateurs - médiatrices, invoquaient ces esprits et assuraient la stabilité entre femmes et hommes au sein de la tribu, par des moyens divers, sans véritable restrictions pour un tel - une telle. C'est la conciliation de la nature sexuelle - corporelle et de l'esprit de l'individu, esprit qu'on retrouve chez... Tout le monde en fait. D'où la complémentarité.
Ce message a été tronqué à partir de la colonisation du Far West. Et même encore, des "progressistes" tronquent ce message, en genrant tout en fait... Ce qui ne résout aucun problème du sexisme et du malaise social, notamment chez des jeunes femmes, et même des jeunes hommes, et dans tout le monde occidental.
Perso, j'ai été embêté car je n'étais pas un garçon "normé" du stéréotype masculin... Or, j'ai appris à faire la part des choses, étant très malade, AVC. Mais le "progressisme" qui s'inscrit sur la notion de "genre" réduite, artificielle et perpétuelle n'aide pas à nous repérer globalement.
Aussi, les identitarismes se mêlent à l'individualisme et au paraître (ça ne concerne pas que la question "trans", mais tout le monde).
Certains natifs américains sonnent une alarme, tandis que d'autres se laissent séduire par le genrisme, le "transactivisme" etc... Car ils ont perdu leur repère.
Perte de repère due à un essentialisme puritain remontant au colonialisme et une évangélisation forcée, rigoriste.
Ah oui, le terme "bernache" est une insulte faite à l'encontre des Amérindiens qui furent considérés comme des "païens sauvages".
Autrement, je suis d'accord avec vous. Il y en a marre de la construction d'une pensée unique, quand-bien même "progressiste" mais inquisitrice.
Si on se concentre sur ce qu'ont donné les totalitarismes quelque soit la nature de l'idéologie mise en avant....
Et à propos de dérives scientifiques et d'idéologies à visée totalitaire (le totalitarisme conceptuel s'appuyant sur une absolutisation de la science pour créer un "homme nouveau"), le transhumanisme pose problème...
Bientôt, les bébés ne pourront plus tellement naître tels qu'ils sont... On pourra choisir le sexe, la couleur de peau etc. Dérive, si elle prend de l'ampleur, qui se révélera affreusement dangereuse. Ce sera réduire l'humain à un objet, et ce sera faire une sélection qui s'apparente au racisme.
Voilà, j'ai essayé d'expliquer au mieux 😅😅😊
Je voudrais savoir comment on peut discerner chez un psychologue sa position professionnelle pour permettre à notre enfant de trouver une véritable écoute pour l'aider à mesurer la réalité du mensonge sur cette influence du genre dans sa vie.
Vous pouvez lui poser franchement la question sur sa position vis à vis de l'auto affirmation du genre, et consulter le collectif Ypomoni également.
C'est vrai que la contamination sociale du phénomène transgenre est tout à fait étonnante. Ça me fait penser à la théorie du désir mimétique de René Girard.
Les universitaires sont les plus influençables de par leur manque de bon sens. Les financements de la recherche font le reste. La recherche fondamentale n'est plus financée.
Qu'appelez-vous "bon sens" ? Et comment mesurez-vous objectivement le "bon sens" des universitaires et des autres CSP pour pouvoir affirmer qu'ils en manquent ? Si vous n'êtes pas l'auteur de cette recherche, pourriez-vous partager, s'il-vous-plaît, les sources sur lesquelles s'appuient vos assertions ?
Un plaisir d'entendre Marino Pérez, que je connaît d'une école matérialiste de philosophie espagnole
Merci pour l'entretien
Sans oublier les hormones ("pilule") déversées et non traitées.
Certaines personnes naissent dans le mauvais corps et la transition leur est vitale . Évitez de généraliser. En vrai vous supposez , vous ne savez pas ce que ressens une personne sincèrement dysphorique. La réassignation de genre existe et elle sauve des gens du suicide , qui vivent leur vie heureuse et tranquille post transition.
Hmm, hmm... C'est vicieux en fait. Il n'y a pas de solution alternative, soit "comment apprendre à accepter son corps tel qu'il est sans être fondu - fondue dans la norme (sociale, "normée" qui entretient une confusion) ?" Question à se poser.
Je fais partie des gens qui ont souffert qu'on les critique car "pas dans la norme". J'étais - et je le suis toujours - un garçon qui ne correspond pas à la norme, au "genre masculin" dans le caractère. Pas stéréotypé, parfois plus "féminin" on va dire (et encore, je me moque du genre donné à l'attitude)... Mais ça s'arrête là. J'avais souffert d'un malaise, d'une déprime en plus de me battre contre les stigmates de l'AVC... Mais j'ai appris à accepter mon corps de garçon, tout en ayant une attitude pas "normée", "atypique"; ce que vous voulez. C'est possible.
Merci pour ces très pertinents échanges c'est très apprécié 👍 je découvre avec plaisir les vidéos et viens d'appuyer sur la cloche pour recevoir les notifications
Merci à vous.
Bonjour qd va apparaître le chapitre 2 :)?
Il est très en retard mais il avance. Il est très long aussi, je vais probablement couper en deux la 2ème partie. Bref ça avance. Trop tôt pour donner une date de sortie pour le moment.
@@DragonBleuTV Et la partie 3 svp ?
@@oiseaudeminerve1478 alors justement merci de m'aider à financer la partie 3, ça ira plus vite : www.helloasso.com/associations/ninsun-project/formulaires/2
Bonjour belle 🤩 dame tu apporte toujours des sujets très intéressant 🧐 😊
Oui, je rêvais un instant d'avoir une discussion en tête à tête avec cette dame que je découvre... 😊
Et bon anniversaire en retard !
Mais … il y a plusieurs sexes. La biologiste Anne Fausto sterling le montre assez bien.
Ensuite , ce n’est pas parceque le thérapeute doit en effet porter un regard critique sur le patient et son discours pour le soigner qu’il doit nécessairement invalider le propos du patient. Ce pourrait même être contraire à l’éthique.
Ce qui caractérise la trans identité c’est le fait que cela s impose à a la personne, et l’entretien clinique peut évaluer ce degré d’identification à l’autre genre. Une personne qui se des socialise, ne peut se regarder dans un miroir ou est en échec scolaire sont autant de signes qui doivent alarmer le thérapeute et envisager , dans les meilleurs conditions et avec prudence comme tout scientifique biensur , la transition.
Ils n’ont pas le droit de voter encore mais ils peuvent changer de sex 😮😮😊
Ni le droit de se faire un tatouage sans autorisation parentale. Pour en revenir a l'intégrité du corps.
Personne ne change de sexe. Il faudrait que nous n'utilisons pas le vocabulaire des transactivistes. 😉
Vous avez disparu de chez l' (eX)oiseau bleu ... Peut-on vous retrouver ailleurs qu'ici ?
sur facebook
De fait, on doit tous faire avec, en gros avant les technologies actuelles c'est ce qu'on a toujours fait !
Les lobbies, cad ceux qui nous dominent sont à boycotter.