Annie-Ève est tout simplement excellente. Je le dis À CHAQUE FOIS que je parle d'elle mais elle est parfaitement didactique et elle va à la racine du sens des mots et c'est puissant à écouter. Merci à toi Sophie et à Annie-Ève.
Je n'avais pas vu leur contradiction sur les "cisgenre" : pour savoir le sexe d'une personne, il faut croire sur parole ce que nous disent les trans, mais pour les soit disant "cisgenres" non il ne faut plus écouter le "ressenti" des gens, ça devient une réalité objective même si toi tu te ressens pas "cisgenre" !!
Oui ! Et encore plus fondamentalement paradoxal : critiquer la discrimination des trans et inventer une nouvelle catégorisation sociale binaire cis/trans pour... discriminer les cis. C'est logiquement absurde.
@@bonsai_musicC'est la continuité absolue du genrisme, des discriminations sexistes. Tout réduire à un "genre", un "concept". Si le sexe n'est qu'un concept, fondu dans le genre, alors l'humanité n'est qu'un concept. Bah, logiquement c'est ça si on se fie à cette idée. D'où émerge le transhumanisme. On pourra choisir le sexe, la couleur de peau etc du nourrisson puisque rien n'est naturel chez nous (pour le coup, ce ne sera plus naturel). C'est grave
Vidéo très instructive. Car dans tout ce délire il y a vraiment un abus des éléments de langage et une manipulation des définitions des mots qui ne peuvent qu'apporter confusion et inconséquence dans les débats, d'où l'énorme difficulté de trouver un terrain d'entente et d'écoute. Certains mots et leurs définitions sont comme pris en otage et peu à peu ils deviennent des propriétés privées (ceci est caractéristique d'une volonté de manipulation et d'imposition, et ce phénomène est loin d'être nouveau dans l'histoire humaine), alors que les mots et le langage appartiennent universellement à l'ensemble du groupe humain, et non uniquement à des individualités qui s'autoproclament isolés et ontologiquement différente des autres membres du groupe. On en parle peu, et pourtant on le constate de plus en plus, que tout ce transactivisme se comporte comme une secte, imposant non seulement ses codes à ses nouveaux adhérents mais aussi en les ordonnant comme des nouvelles normes à suivre par tout le reste des êtres humains, ce qui est caractéristique d'une dérive sectaire et ou religieuse déviante. Il est évident que ce conformisme totalitaire que l'on voit se réaliser, entre autre, par et sur les réseaux-sociaux a une immense influence sur la jeunesse : Quand un non conformisme prend forme se répand et s'étend au point de lever une armée, il devient de facto du conformisme, parce-ce qu'il impose à tous sa nouvelle doctrine et son nouvel uniforme.
On a le choix entre être ce qu'on est ou s'identifier à quelque chose d'autre. Soit on est un être humain en entier, soit on est un être humain fragmenté qui joue un personnage imaginaire. Plus simplement, soit on est vrai, soit on est fake.
30:00 Hijacker les mots et changer leur sens, c'est toute la théorie de la déconstruction qui se base sur une supposée performativité des langues. Il suffit que nous l'acceptions passivement pendant 1 génération et ce sera comme si le sens avait toujours été celui qui leur a été substitué. Ca n'est donc pas bénin ni une "expérience" qu'il serait facile d'annuler. C'est aussi ce que condamne Orwell dans 1984 avec la Novlangue et c'est "en toute jeunesse et en toute beauté" le marqueur le plus caractéristique de la tyrannie. C.ns de vieux, crétins de jeunes ;-)
Heureusement, tous les jeunes ne sont pas aussi timbrés. Vous avez une preuve 😉. Mais je constate que des gens aussi jeunes voire plus que moi basculent dans deux extrêmes : le genrisme "progressiste" (transactivisme, voire transhumanisme), comme le genrisme "classique" justifiant l'inégalité hommes - femmes (les masculinistes, les trad - wives etc)... Extrêmes alimentes par Internet et les réseaux sociaux. Ce sont les mêmes extrêmement binaires qui sont soit pour Melenchon, Poutou etc, soit qui sont pour Le Pen ou Zemmour.
Malheureusement, Vanessa Vokey, l'artiste qui a fait l'oeuvre, semble avoir disparu d'internet (elle a été vicieusement harcelée par les trans-activistes).
@@annie-evecollin102 Quelle tristesse ! Tiens je profite de vous avoir au bout du "fil" si jamais vous me lisez pour vous demander si à l'ocasion vous seriez d'accord pour qu'on vous interview. Mais personnellement j'ai pris la décision pour conserver une vie de ne pas lire les réponses aux divers commentaires que je poste, donc si jamais vous étiez partante il vaudrait mieux répondre sur une video de ma chaine (la je lis tous les commentaires). La demande est un peu cavalière mais sentez vous libre de refuser ;-) Bravo pour votre travail !
Femme de gauche, je ne comprends et n'adhère absolument pas à cette idéologie du genre, sans fondement scientifique et défiant les lois de la logique. Comme disait l'intervenante, je pense qu'on n'a pas vu les choses venir. J'ai réalisé l'ampleur du phénomène lors d'une campagne du planning familial français qui représentait un homme "enceint". Tout ça pour dire que je vous remercie pour cette entrevue avec cette femme brillante et aussi courageuse par les temps qui courent.
Vous êtes une fasciste, d’extrême droite, transphobe!!!😂😂😂😂 Sinon, plus sérieusement je me suis déjà faite traitée comme cela alors que je n’ai pour le moment toujours pas d’opinion tranchée sur le sujet. On m’a accusé juste parce que je posais des questions pour comprendre… et ce que j’ai compris a ce moment là c’est qu’on s’est comporté comme dans une secte religieuse: il faut adhérer et non pas questionner… si on questionne c’est qu’on est contre et donc transphobe… j’ai eu un sentiment bizarre… censure, dictature, haine… la démocratie et la liberté d’expression est elle toujours d’actualité en occident ?
Chercher le sens juste des mots, c'est ainsi qu'a commencé la philosophie. Aussi, je vous soumets la désignation par Dora Moutot de la personne née masculine et qui a fait une transition du côté féminin car il me semble techniquement juste : c'est un homme transféminisé. C'est un homme qui prend des hormones et parfois a demandé une chirurgie afin d'avoir certains attributs de la féminité corporelle. Ce n'est pas une femme. Bien nommer les choses permet de ne pas se laisser entraîner dans le mensonge d'autrui ou ses illusions.
il faudrait que légalement il y ait une loi qui m'oblige à nommer camembert une poire ... or cette loi précisément n'existe pas .... Par ailleurs en France "la liberté d'expression" fait partie des libertés fondamentales et la liberté de conscience aussi. Alors celui ou celle qui cède à cette hystérie ... est sa propre marque de faiblesse qu'il ne l'impose pas aux autres Un camembert est un camembert avec une odeur de camembert et une poire est une poire. Même l' ADN le dit. Si son ressenti lui change la face .... il ne peut en aucun cas s'imposer au mien
Simone de beauvoir épouse l'existentialisme , de Sartre, dont l'idée est, sois qui tu veux, Si n'importe qui peut devenir n'importe quoi...a mon sens ,c"'est une vision libérale de l'etre. tout est permis rien n'est possible, et si on ne nait pas femme et qu'on le devient alors qui sommes nous? Et là... Voilà voilà.. j'essaie d'expliquer mon propos, j'espère que vous avez compris. Donnez votre avis !
@@mariemenard7577 Pour ma part je comprends votre propos, enfin je crois, je m'interroge. Ce que dit Simone de Beauvoir peut s'adapter à l'être humain, ce qui reviendrait à dire que : On ne naît pas humain on le devient. Mais alors que sommes-nous à notre naissance ? Cette fameuse phrase de Simone qui est devenue le mantra de toute une grande partie du féminisme français jusqu'à aujourd'hui, est-ce que finalement cette phrase ne contiendrait-elle pas en elle les germes, ou plutôt le substrat idéologique sur lequel reposent toutes ces nouvelles normes transgenres ? Est-que le transgenre wokiste n'est pas la continuité logique d'une vision purement libérale libertaire de l'être humain dont le féminisme du milieu du siècle précédent en fut une des têtes de proue principale ? On est en droit de se poser la question. Peut-être qu'en procédant à une critique radicale du féminisme l'on pourrait apporter des réponses sur le surgissement spectaculaire de ce phénomène du wokiste transgenre. Est-que le féminisme est une idéologie ?
Allez lire le 2eme sexe, ce n'est absolument pas dans ce sens là qu'elle le dit. Elle ne remet pas du tout la réalité biologique en cause, mais la construction sociale qui nous asservi. On ne devient pas femme par choix.
@@madameelodie Je sais très bien qu'elle ne niait pas les réalités biologiques. Mon propos ne se situe pas ici. Il est évident qu'on ne choisit pas d'être une femme, pas plus qu'on ne choisit d'être un homme...ou un castor. Mon propos porte plus sur les réalités matérielles, sociologiques et l'existence de réseaux qui ont tous permis l'engendrement du féminisme de ces 200 dernières années, ce qui ne devrait pas enlever le courage et la légitimité des combats menés (les 343 salopes etc.), mais que ces trois facteurs sont très souvent occultés, alors que cela s'est produit dans tous les pays occidentaux, relativement dans le même temps, pourquoi et comment ? Vous devriez prêter attention sur les propos d'Aaron Russo : ua-cam.com/video/f1I6vZ3OCk0/v-deo.html La réalité et l'influence des réseaux dans les promulgation de nouvelles lois : ua-cam.com/video/c2C7jtMTe5Y/v-deo.html Ainsi que les réalités matérielles : ua-cam.com/video/3fod-0n2Vk4/v-deo.html Edit : La contraception : ua-cam.com/video/W3rcWYTkY8I/v-deo.html Il est évident que ces trois facteurs ont grandement contribués à l'émergence du féminisme de la deuxième moitié du 19ième siècle jusqu'à aujourd'hui. Donc compte tenu des similitudes du discours des féministes et des trans-activistes, qui part pour l'un du postulat d'une victimisation qui trouve son origine dans une imposition de stéréotypes sociaux attribués aux femmes, parce-que des femmes, et pour l'autre l'assignation de genre imposée aux individus à la naissance par des préjugés stéréotypés de genres qui les emprisonnent, comme ils le proclament, je me permets de vous poser cette même question : Est-que le transgenre wokiste n'est pas la continuité logique d'une vision purement libérale libertaire de l'être humain dont le féminisme du milieu du siècle précédent en fut l'une des têtes de proue principale ? Je pose l'assertion, le phénomène du transgenre provient de la logique libérale qui a en partie donnée le féminisme, qui lui-même est né du progrès et de l'évolution des moyens de productions, donc du capitalisme. Si vous connaissez une féministe qui articule intelligemment ces trois facteurs cités plus haut je suis preneur.
J'ai connu des trans activistes, aucun d'eux n'avaient pour but le chaos ! Je les ai vu totalement sincères dans leur idée d'inclure tout le monde y compris dans leurs réflexions sur le langage et leurs définitions de ce qu'est un homme ou une femme. Qu'ils soient barrés ou '' dans un autre monde '' à force de tout '' déconstruire '', c'est un fait, mais je pense que vous leurs prêter des mauvaises intentions qu'ils n'ont pas
Je pense qu'il faudrait arrêter de confondre RÉALITÉ du concept de GENRE et théorie QUEER. LE MAL DEVRAIT ÊTRE NOMMÉ POUR CE QU'IL EST : LA THÉORIE QUEER USURPATRICE DU CONCEPT DE GENRE. Les mots sont un moyen d'oppression et ce qui est dénoncé par Sophie Robert n'est pas le concept de genre qui n'est pas une idéologie mais une RÉALITÉ. Le concept de GENRE est la base du FÉMINISME MATÉRIALISTE RADICAL qui désigne l'ensemble des injonctions sociales pesant de manière différenciée selon le sexe de l'individu. Le genre a été mis en évidence par les féministes en tant que moyen d'oppression systémique des femmes. Je ne suis donc pas d'accord avec le terme "idéologie du genre" qui est l'expression de l'extrême droite pour argumenter sur son désir de maintenir la domination masculine et le patriarcat qui opère par les stéréotypes de genre. C'est la théorie queer qui a usurpé ce concept pour le vider de son sens, l'inverser et produire la confusion actuelle entre sexe et genre. Alors que les féministes se sont battues pour décrire la réalité qui est celle-ci : le sexe est la raison de l'oppression et le genre est son moyen ! C'est précisément des féministes canadiennes qui ont bien mis les point sur le "i" quant à cette confusion dans le concept de genre sur sisyphe.org : sisyphe.org/spip.php?article4426
Très interessant, Le discours me fait penser aux dérives islamistes dans l'école , chez les profs, en france. Avec la sensure islamiste et les violenses qi'ils exercent ses islamistes, sur les professeurs en faisant pression sur le langage. Vous etes d'accord?
'"Transphobes", "islamophobes", effectivement tout ça participe du même délire et du même terrorisme intellectuel (voir du terrorisme tout court). On est en pleine "cage aux phobes", pour reprendre le jeu de mots de Philippe Muray.
A dire qu'un fidounet est un "réseau d'échange de messages", alors que je pensais à tort que ce terme désignait un petit animal appartenant à la famille des rongeurs...
@@madi2203Mais alors c'est quoi un fidounet ? C'est quoi ? Je veux absolument une réponse rapide. Maintenant le soir quand je m'endors j'ai le mot "fidounet" qui me vient brutalement à l'esprit et je n'arrive plus à me rendormir ! Quelle angoisse ! Je veux une réponse, vite !
*La tyrannie portée à son comble, après avoir encadré et orienté la pensée, la dissout radicalement.* "Lorsque notre nourriture, nos vêtements, nos toits ne seront plus que le fruit exclusif de la production standardisée, ce sera le tour de notre pensée. Toute idée non conforme au gabarit devra être éliminée." John Steinbeck
J'ai bien peur qu'aujourd'hui ce n'est plus seulement la pensée et les idées qui doivent être éliminées, remoulées, transformées, mais bien tous les facteurs vivants qui composent l'ensemble du genre humain, de ce que nous sommes pour nous-mêmes et pour les autres.
Je pensait exactement cela que c’est le même genre 😂 genre de refus de dialogue que des religieux utilise, c’est la fois qui apporte la réponse et comme l'islam la religion est aux dessus des lois humaines 😊 Merci ☺️
11:10 Rationality Rules dit que dire qu'une femme = un adulte de sexe féminin, c'est seulement externaliser le problème de définition, car on pourra vous demander ce que signifie être un adulte (16 ans, 18 ans, 21 ans ?) et que faire avec les personnes qui naissent avec des malformations génitales, etc. ? Je propose : "Une femme n'est pas un homme, un homme n'est pas une femme et la transidentité est une fiction du même ordre que des sosies de célébrités" Après, je ne suis pas philosophe, et c'est peut-être de la merde 😅
Rationality Rules ? Qui est cet olibrius ? Non parce que c'est parfaitement irrationnel, comme propos, pour le coup. Rationality Rules ne sait pas définir "adulte" ? Que sait-on définir, à ce compte-là ? Ce n'est pas parce que la puberté et la maturation cérébrale (jusqu'à 25-30 ans) sont des phénomènes longs et continus que l'on ne devrait plus pouvoir définir ce qu'est un enfant et un adulte. Tout le monde s'accorde à dire qu'un humain de 6 mois, de 4 ans, de 8 ans... est un enfant, et que l'on est adulte à 30 ans. Peu importent les critères que l'on décide de prioriser pour fixer la majorité : ça ne change rien au fait qu'"enfant" et "adulte" permettent de décrire une part du réel, tout en admettant que le champ de pertinence de leur définition peut admettre un léger flou en sa frontière, comme n'importe quel terme. Si on en vient à dire que ce flou de bordure de pertinence, qui existe nécessairement, implique que les mots sont en fait vides et peuvent être utilisés n'importe comment pour dire n'importe quoi, alors on ne peut plus communiquer et on ne peut même plus penser. C'est ahurissant que l'on en soit à devoir apporter de tels éclaircissement. Dans quelle dystopie se retrouve-t-on ?
@@Metamonita Oui c'est le règne de la confusion et du non penser. Cela contribue aux clivages et aux dissensions que l'on ressent de plus en plus dans notre entourage et la difficulté croissante de vivre ensemble, car l'omniprésence des réseaux et du virtuel nous somment de prendre parti et d'avoir des avis sur tous les sujets.
Vous n'avez par là rien défini. Définir une chose seulement par ce qu'elle n'est pas, ce n'est pas dire ce qu'elle est. Et les propos de Rationality Rules sont à côté de la plaque. Un adulte chez l'espèce animale comme humaine est identifiable/reconnaissable très facilement. On peut discuter de qques années d'écart si vous voulez, il n'en reste qu'à partir dun certain moment c'est identifiable. Pas la peine de revenir sur les définitions de ce qui existe depuis la nuit des temps et que tout le monde comprend de base instantanément...
@@Cocoytb-24 Mais tellement... Lorsque même ceux qui se revendiquent du scepticisme et de la rationalité se mettent à promouvoir ce nihilisme sémantique (et donc ce nihilisme tout court), c'est vraiment effrayant. Je n'arrive toujours pas à savoir s'il s'agit de mauvaise foi stratosphérique, d'idiotie abyssale, de fanatisme profond, ou tout ça en même temps.
Annie-Ève est tout simplement excellente. Je le dis À CHAQUE FOIS que je parle d'elle mais elle est parfaitement didactique et elle va à la racine du sens des mots et c'est puissant à écouter.
Merci à toi Sophie et à Annie-Ève.
Merci. Moi qui ai tant de mal à parler calmement. Ça me calme d’entendre une personne exprimer ce que je ressens. Ça me fait du bien. Merci
Il faut soutenir cette chaîne et la faire connaître.
Je n'avais pas vu leur contradiction sur les "cisgenre" : pour savoir le sexe d'une personne, il faut croire sur parole ce que nous disent les trans, mais pour les soit disant "cisgenres" non il ne faut plus écouter le "ressenti" des gens, ça devient une réalité objective même si toi tu te ressens pas "cisgenre" !!
Oui ! Et encore plus fondamentalement paradoxal : critiquer la discrimination des trans et inventer une nouvelle catégorisation sociale binaire cis/trans pour... discriminer les cis.
C'est logiquement absurde.
@@bonsai_musicC'est la continuité absolue du genrisme, des discriminations sexistes.
Tout réduire à un "genre", un "concept". Si le sexe n'est qu'un concept, fondu dans le genre, alors l'humanité n'est qu'un concept. Bah, logiquement c'est ça si on se fie à cette idée.
D'où émerge le transhumanisme. On pourra choisir le sexe, la couleur de peau etc du nourrisson puisque rien n'est naturel chez nous (pour le coup, ce ne sera plus naturel). C'est grave
Allez Brigitte ! On est derrière toi mon gars
Intéressant d'avoir le point de vue d'une philosophe du langage !
petite rectification : je ne suis pas spécialisé en philosophie du langage.
excellente vidéo, très bien étayée. merci énormément Annie-Eve et Sophie! je vais la partager
Vidéo très instructive. Car dans tout ce délire il y a vraiment un abus des éléments de langage et une manipulation des définitions des mots qui ne peuvent qu'apporter confusion et inconséquence dans les débats, d'où l'énorme difficulté de trouver un terrain d'entente et d'écoute.
Certains mots et leurs définitions sont comme pris en otage et peu à peu ils deviennent des propriétés privées (ceci est caractéristique d'une volonté de manipulation et d'imposition, et ce phénomène est loin d'être nouveau dans l'histoire humaine), alors que les mots et le langage appartiennent universellement à l'ensemble du groupe humain, et non uniquement à des individualités qui s'autoproclament isolés et ontologiquement différente des autres membres du groupe. On en parle peu, et pourtant on le constate de plus en plus, que tout ce transactivisme se comporte comme une secte, imposant non seulement ses codes à ses nouveaux adhérents mais aussi en les ordonnant comme des nouvelles normes à suivre par tout le reste des êtres humains, ce qui est caractéristique d'une dérive sectaire et ou religieuse déviante.
Il est évident que ce conformisme totalitaire que l'on voit se réaliser, entre autre, par et sur les réseaux-sociaux a une immense influence sur la jeunesse : Quand un non conformisme prend forme se répand et s'étend au point de lever une armée, il devient de facto du conformisme, parce-ce qu'il impose à tous sa nouvelle doctrine et son nouvel uniforme.
Excellente comme toujours.
00:44:50 hallucinant la citation de Trudeau, je vais la reprendre pour un short ! 🤪🤯
On a le choix entre être ce qu'on est ou s'identifier à quelque chose d'autre. Soit on est un être humain en entier, soit on est un être humain fragmenté qui joue un personnage imaginaire. Plus simplement, soit on est vrai, soit on est fake.
30:00 Hijacker les mots et changer leur sens, c'est toute la théorie de la déconstruction qui se base sur une supposée performativité des langues.
Il suffit que nous l'acceptions passivement pendant 1 génération et ce sera comme si le sens avait toujours été celui qui leur a été substitué. Ca n'est donc pas bénin ni une "expérience" qu'il serait facile d'annuler. C'est aussi ce que condamne Orwell dans 1984 avec la Novlangue et c'est "en toute jeunesse et en toute beauté" le marqueur le plus caractéristique de la tyrannie.
C.ns de vieux, crétins de jeunes ;-)
Heureusement, tous les jeunes ne sont pas aussi timbrés. Vous avez une preuve 😉.
Mais je constate que des gens aussi jeunes voire plus que moi basculent dans deux extrêmes : le genrisme "progressiste" (transactivisme, voire transhumanisme), comme le genrisme "classique" justifiant l'inégalité hommes - femmes (les masculinistes, les trad - wives etc)... Extrêmes alimentes par Internet et les réseaux sociaux.
Ce sont les mêmes extrêmement binaires qui sont soit pour Melenchon, Poutou etc, soit qui sont pour Le Pen ou Zemmour.
Je suis un roudoudou car je m'identifie comme un roudoudou. Non à la roudoudophobie !
Super tee shirt c'est commandé où ?
Malheureusement, Vanessa Vokey, l'artiste qui a fait l'oeuvre, semble avoir disparu d'internet (elle a été vicieusement harcelée par les trans-activistes).
@@annie-evecollin102
Quelle tristesse !
Tiens je profite de vous avoir au bout du "fil" si jamais vous me lisez pour vous demander si à l'ocasion vous seriez d'accord pour qu'on vous interview.
Mais personnellement j'ai pris la décision pour conserver une vie de ne pas lire les réponses aux divers commentaires que je poste, donc si jamais vous étiez partante il vaudrait mieux répondre sur une video de ma chaine (la je lis tous les commentaires).
La demande est un peu cavalière mais sentez vous libre de refuser ;-)
Bravo pour votre travail !
Femme de gauche, je ne comprends et n'adhère absolument pas à cette idéologie du genre, sans fondement scientifique et défiant les lois de la logique.
Comme disait l'intervenante, je pense qu'on n'a pas vu les choses venir.
J'ai réalisé l'ampleur du phénomène lors d'une campagne du planning familial français qui représentait un homme "enceint".
Tout ça pour dire que je vous remercie pour cette entrevue avec cette femme brillante et aussi courageuse par les temps qui courent.
Vous êtes une fasciste, d’extrême droite, transphobe!!!😂😂😂😂
Sinon, plus sérieusement je me suis déjà faite traitée comme cela alors que je n’ai pour le moment toujours pas d’opinion tranchée sur le sujet. On m’a accusé juste parce que je posais des questions pour comprendre… et ce que j’ai compris a ce moment là c’est qu’on s’est comporté comme dans une secte religieuse: il faut adhérer et non pas questionner… si on questionne c’est qu’on est contre et donc transphobe… j’ai eu un sentiment bizarre… censure, dictature, haine… la démocratie et la liberté d’expression est elle toujours d’actualité en occident ?
Chercher le sens juste des mots, c'est ainsi qu'a commencé la philosophie. Aussi, je vous soumets la désignation par Dora Moutot de la personne née masculine et qui a fait une transition du côté féminin car il me semble techniquement juste : c'est un homme transféminisé. C'est un homme qui prend des hormones et parfois a demandé une chirurgie afin d'avoir certains attributs de la féminité corporelle. Ce n'est pas une femme. Bien nommer les choses permet de ne pas se laisser entraîner dans le mensonge d'autrui ou ses illusions.
Exactement!
Tellement!
question : si je vois un camem
bert qui peut m'obliger à dire que je vois une poire ? Leur ego est plus légal que le mien ? à quel titre de loi ?
Eh oui! Au titre des nouveaux habits de la patriarchie...
il faudrait que légalement il y ait une loi qui m'oblige à nommer camembert une poire ... or cette loi précisément n'existe pas .... Par ailleurs en France "la liberté d'expression" fait partie des libertés fondamentales et la liberté de conscience aussi. Alors celui ou celle qui cède à cette hystérie ... est sa propre marque de faiblesse qu'il ne l'impose pas aux autres Un camembert est un camembert avec une odeur de camembert et une poire est une poire. Même l' ADN le dit. Si son ressenti lui change la face .... il ne peut en aucun cas s'imposer au mien
@@DragonBleuTV je précise je suis française en France . Les principes de loi "égalité et liberté" ne sont pas prêt d'être destitué
Madame Beauvoir dit , on ne nait pas femme on le devient, l'idéologie T, n'est ce pas une dérive de cela?
Qu'en pensez vous ?
Comment ça, quel rapport ??
Simone de beauvoir épouse l'existentialisme , de Sartre, dont l'idée est, sois qui tu veux,
Si n'importe qui peut devenir n'importe quoi...a mon sens ,c"'est une vision libérale de l'etre. tout est permis rien n'est possible, et si on ne nait pas femme et qu'on le devient alors qui sommes nous? Et là...
Voilà voilà.. j'essaie d'expliquer mon propos, j'espère que vous avez compris.
Donnez votre avis !
@@mariemenard7577 Pour ma part je comprends votre propos, enfin je crois, je m'interroge.
Ce que dit Simone de Beauvoir peut s'adapter à l'être humain, ce qui reviendrait à dire que : On ne naît pas humain on le devient. Mais alors que sommes-nous à notre naissance ?
Cette fameuse phrase de Simone qui est devenue le mantra de toute une grande partie du féminisme français jusqu'à aujourd'hui, est-ce que finalement cette phrase ne contiendrait-elle pas en elle les germes, ou plutôt le substrat idéologique sur lequel reposent toutes ces nouvelles normes transgenres ? Est-que le transgenre wokiste n'est pas la continuité logique d'une vision purement libérale libertaire de l'être humain dont le féminisme du milieu du siècle précédent en fut une des têtes de proue principale ?
On est en droit de se poser la question.
Peut-être qu'en procédant à une critique radicale du féminisme l'on pourrait apporter des réponses sur le surgissement spectaculaire de ce phénomène du wokiste transgenre.
Est-que le féminisme est une idéologie ?
Allez lire le 2eme sexe, ce n'est absolument pas dans ce sens là qu'elle le dit. Elle ne remet pas du tout la réalité biologique en cause, mais la construction sociale qui nous asservi. On ne devient pas femme par choix.
@@madameelodie Je sais très bien qu'elle ne niait pas les réalités biologiques. Mon propos ne se situe pas ici. Il est évident qu'on ne choisit pas d'être une femme, pas plus qu'on ne choisit d'être un homme...ou un castor.
Mon propos porte plus sur les réalités matérielles, sociologiques et l'existence de réseaux qui ont tous permis l'engendrement du féminisme de ces 200 dernières années, ce qui ne devrait pas enlever le courage et la légitimité des combats menés (les 343 salopes etc.), mais que ces trois facteurs sont très souvent occultés, alors que cela s'est produit dans tous les pays occidentaux, relativement dans le même temps, pourquoi et comment ?
Vous devriez prêter attention sur les propos d'Aaron Russo : ua-cam.com/video/f1I6vZ3OCk0/v-deo.html
La réalité et l'influence des réseaux dans les promulgation de nouvelles lois : ua-cam.com/video/c2C7jtMTe5Y/v-deo.html
Ainsi que les réalités matérielles : ua-cam.com/video/3fod-0n2Vk4/v-deo.html
Edit : La contraception : ua-cam.com/video/W3rcWYTkY8I/v-deo.html
Il est évident que ces trois facteurs ont grandement contribués à l'émergence du féminisme de la deuxième moitié du 19ième siècle jusqu'à aujourd'hui. Donc compte tenu des similitudes du discours des féministes et des trans-activistes, qui part pour l'un du postulat d'une victimisation qui trouve son origine dans une imposition de stéréotypes sociaux attribués aux femmes, parce-que des femmes, et pour l'autre l'assignation de genre imposée aux individus à la naissance par des préjugés stéréotypés de genres qui les emprisonnent, comme ils le proclament, je me permets de vous poser cette même question : Est-que le transgenre wokiste n'est pas la continuité logique d'une vision purement libérale libertaire de l'être humain dont le féminisme du milieu du siècle précédent en fut l'une des têtes de proue principale ?
Je pose l'assertion, le phénomène du transgenre provient de la logique libérale qui a en partie donnée le féminisme, qui lui-même est né du progrès et de l'évolution des moyens de productions, donc du capitalisme.
Si vous connaissez une féministe qui articule intelligemment ces trois facteurs cités plus haut je suis preneur.
28:30 C'est quoi l'age moyen de ces "manifestants" ? 15 ans? Ils sont a McGill eux autres? Sinon, de quel droit ils bloquent le campus?
C'est une vaste opération qui s'origine infiniment plus haut.
Les activistes sont manipulés-téléguidés.
J'ai connu des trans activistes, aucun d'eux n'avaient pour but le chaos ! Je les ai vu totalement sincères dans leur idée d'inclure tout le monde y compris dans leurs réflexions sur le langage et leurs définitions de ce qu'est un homme ou une femme. Qu'ils soient barrés ou '' dans un autre monde '' à force de tout '' déconstruire '', c'est un fait, mais je pense que vous leurs prêter des mauvaises intentions qu'ils n'ont pas
Je pense qu'il faudrait arrêter de confondre RÉALITÉ du concept de GENRE et théorie QUEER. LE MAL DEVRAIT ÊTRE NOMMÉ POUR CE QU'IL EST : LA THÉORIE QUEER USURPATRICE DU CONCEPT DE GENRE. Les mots sont un moyen d'oppression et ce qui est dénoncé par Sophie Robert n'est pas le concept de genre qui n'est pas une idéologie mais une RÉALITÉ. Le concept de GENRE est la base du FÉMINISME MATÉRIALISTE RADICAL qui désigne l'ensemble des injonctions sociales pesant de manière différenciée selon le sexe de l'individu. Le genre a été mis en évidence par les féministes en tant que moyen d'oppression systémique des femmes. Je ne suis donc pas d'accord avec le terme "idéologie du genre" qui est l'expression de l'extrême droite pour argumenter sur son désir de maintenir la domination masculine et le patriarcat qui opère par les stéréotypes de genre. C'est la théorie queer qui a usurpé ce concept pour le vider de son sens, l'inverser et produire la confusion actuelle entre sexe et genre. Alors que les féministes se sont battues pour décrire la réalité qui est celle-ci : le sexe est la raison de l'oppression et le genre est son moyen ! C'est précisément des féministes canadiennes qui ont bien mis les point sur le "i" quant à cette confusion dans le concept de genre sur sisyphe.org : sisyphe.org/spip.php?article4426
Ceci va peut-être vous remettre en question :
ua-cam.com/video/kBCDU_PnavQ/v-deo.html
Le subjectif remplace l'objectif. C'est pour ca que j'en veux au mouvement woke de m'avoir enlevé le droit de m'en foutre.
Top intervenante 👍
Très interessant,
Le discours me fait penser aux dérives islamistes dans l'école , chez les profs, en france. Avec la sensure islamiste et les violenses qi'ils exercent ses islamistes, sur les professeurs en faisant pression sur le langage. Vous etes d'accord?
'"Transphobes", "islamophobes", effectivement tout ça participe du même délire et du même terrorisme intellectuel (voir du terrorisme tout court). On est en pleine "cage aux phobes", pour reprendre le jeu de mots de Philippe Muray.
"Qu est ce qu un fidounet ?" Je la ressortirai celle la😂
A dire qu'un fidounet est un "réseau d'échange de messages", alors que je pensais à tort que ce terme désignait un petit animal appartenant à la famille des rongeurs...
@@mendosa2519 Non, ça c'est un FidoNet, pas un fidounet
@@madi2203 Oui vous avez raison.
@@madi2203Mais alors c'est quoi un fidounet ? C'est quoi ? Je veux absolument une réponse rapide. Maintenant le soir quand je m'endors j'ai le mot "fidounet" qui me vient brutalement à l'esprit et je n'arrive plus à me rendormir ! Quelle angoisse ! Je veux une réponse, vite !
@@oiseaudeminerve1478 c'est quelqu'un qui s'identifie comme un fidounet !
Merci pour cette démonstration agréable de logique imparable, mais je reste sur ma faim concernant la définition d'un fidounet, qu'est ce que c'est?
C'est un petit lapin que l'on trouve qu'au Mexique.
@@mendosa2519 merci
@@Acnozz Non mais veuillez m'excuser, je plaisantais, je ne sais absolument pas ce que signifie ce mot.
Mille excuses.
@@mendosa2519 mdr
Ça doit être un truc quebecois
Un petit fidou.
C'est la qu'on se dit que finalement on a de la chance, ça peut encore devenir pire...
*La tyrannie portée à son comble, après avoir encadré et orienté la pensée, la dissout radicalement.*
"Lorsque notre nourriture, nos vêtements, nos toits ne seront plus que le fruit exclusif de la production standardisée, ce sera le tour de notre pensée.
Toute idée non conforme au gabarit devra être éliminée."
John Steinbeck
J'ai bien peur qu'aujourd'hui ce n'est plus seulement la pensée et les idées qui doivent être éliminées, remoulées, transformées, mais bien tous les facteurs vivants qui composent l'ensemble du genre humain, de ce que nous sommes pour nous-mêmes et pour les autres.
Je pensait exactement cela que c’est le même genre 😂 genre de refus de dialogue que des religieux utilise, c’est la fois qui apporte la réponse et comme l'islam la religion est aux dessus des lois humaines 😊
Merci ☺️
11:10 Rationality Rules dit que dire qu'une femme = un adulte de sexe féminin, c'est seulement externaliser le problème de définition, car on pourra vous demander ce que signifie être un adulte (16 ans, 18 ans, 21 ans ?) et que faire avec les personnes qui naissent avec des malformations génitales, etc. ?
Je propose : "Une femme n'est pas un homme, un homme n'est pas une femme et la transidentité est une fiction du même ordre que des sosies de célébrités"
Après, je ne suis pas philosophe, et c'est peut-être de la merde 😅
Rationality Rules ? Qui est cet olibrius ?
Non parce que c'est parfaitement irrationnel, comme propos, pour le coup. Rationality Rules ne sait pas définir "adulte" ? Que sait-on définir, à ce compte-là ?
Ce n'est pas parce que la puberté et la maturation cérébrale (jusqu'à 25-30 ans) sont des phénomènes longs et continus que l'on ne devrait plus pouvoir définir ce qu'est un enfant et un adulte. Tout le monde s'accorde à dire qu'un humain de 6 mois, de 4 ans, de 8 ans... est un enfant, et que l'on est adulte à 30 ans. Peu importent les critères que l'on décide de prioriser pour fixer la majorité : ça ne change rien au fait qu'"enfant" et "adulte" permettent de décrire une part du réel, tout en admettant que le champ de pertinence de leur définition peut admettre un léger flou en sa frontière, comme n'importe quel terme. Si on en vient à dire que ce flou de bordure de pertinence, qui existe nécessairement, implique que les mots sont en fait vides et peuvent être utilisés n'importe comment pour dire n'importe quoi, alors on ne peut plus communiquer et on ne peut même plus penser.
C'est ahurissant que l'on en soit à devoir apporter de tels éclaircissement. Dans quelle dystopie se retrouve-t-on ?
@@Metamonita Oui c'est le règne de la confusion et du non penser. Cela contribue aux clivages et aux dissensions que l'on ressent de plus en plus dans notre entourage et la difficulté croissante de vivre ensemble, car l'omniprésence des réseaux et du virtuel nous somment de prendre parti et d'avoir des avis sur tous les sujets.
@@mendosa2519 On croirait vivre dans un sketch des Monty Python ou dans un chapitre du Disque-Monde.
Vous n'avez par là rien défini. Définir une chose seulement par ce qu'elle n'est pas, ce n'est pas dire ce qu'elle est. Et les propos de Rationality Rules sont à côté de la plaque. Un adulte chez l'espèce animale comme humaine est identifiable/reconnaissable très facilement. On peut discuter de qques années d'écart si vous voulez, il n'en reste qu'à partir dun certain moment c'est identifiable. Pas la peine de revenir sur les définitions de ce qui existe depuis la nuit des temps et que tout le monde comprend de base instantanément...
@@Cocoytb-24 Mais tellement...
Lorsque même ceux qui se revendiquent du scepticisme et de la rationalité se mettent à promouvoir ce nihilisme sémantique (et donc ce nihilisme tout court), c'est vraiment effrayant.
Je n'arrive toujours pas à savoir s'il s'agit de mauvaise foi stratosphérique, d'idiotie abyssale, de fanatisme profond, ou tout ça en même temps.