Bernard FRIOT, « L’urgence de sortir d'une culture du communisme pour demain »
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- Опубліковано 21 гру 2022
- A l’occasion de la 15ème édition des rencontres « Actualités de Marx et nouvelles pensées critiques », autour du thème "Sortir du capitalisme: nécessités, possibilités", qui se sont tenues du 30 Novembre au 3 décembre 2022 à Bordeaux, Bernard FRIOT*, Sociologue et économiste, professeur émérite à l'université Paris-Nanterre, nous a fait partager une contribution intitulée : « L’urgence de sortir d'une culture du communisme pour demain ».
Avec comme points abordés :
- la culture du communisme pour demain, cœur de "l'anticapitalisme",
- la nocivité de l'obstination à ne pas voir le déjà-là communiste (trois exemples de propositions aveugles sur le déjà là communiste : le "pôle public de crédit", la pension à "75% du net des 10 meilleures années" (y compris pour les fonctionnaires qui le choisiraient), la proposition de "droit au contrat de travail ou de formation"),
- la conquête de la souveraineté sur le travail productif dans sa dimension concrète, voie de la poursuite du déjà là communiste.
*En travail conversations sur le communisme de Bernard Friot, Frédéric Lordon chez La Dispute
*Retraites : généraliser le droit au salaire de Bernard Friot, Nicolas Castel, Les cahiers du salariat, Juin 2022.
Espaces Marx Aquitaine-Bordeaux-Gironde
Contact: Espaces.MarxBx@gmail.com
" Travailler, c'est pas... être au travail " ( définition capitaliste du Travail )
" ... Travailler, c'est être en responsabilité de la production de valeur. " ( définition communiste du Travail )
Merci, Mr Friot, pour ce déroulé limpide.
Et merci à tous ceux qui participent :)
De la majorité à la mort,
C'est un élément de la citoyenneté communiste ✨
-- le travail de l'humain, comme de la machine, n'a jamais produit la moindre valeur, --
@@galaxieafr pas intrinsèquement en tout cas
-- cette affirmation constitue l'axiome premier de la "PéA", la Philosophie de l'économie Altéférienne
-- il faudrait être croyant comme Marx pour penser que l'ouvrier communique de la valeur, par l'imposition des mains, à l'objet à destination marchande (odm) dont il participe à la fabrication, --
Bernard Friot, comme Lucien Seve, nous amene a avancer dans la pensée révolutionnaire qu’implique le communisme
Tellement brillant.
La lecture des ouvrages de Lucien Sève, cité par monsieur Friot, me semble essentielle pour approfondir, notamment, le sens donné par Marx à l'analyse dialectique.
Marx et Sève sont des ...marxistes. Donc des matérialistes
En tant que matérialistes ils savent que l'idéologie est forgée par les conditions matérielles dans lesquelles est organisée socialement la production.
Comment sont redistribuées les richesses.
On sait que le patron gagne plus sur la revente d'un produit que ce qu'il paye son employé: c'est la plus-value.
De plus Marx et Sève conçoivent leur discours uniquement comme une action sur le réel. Pas une théorie en l'air.
Voilà pourquoi ils affirment que la conscience de l'exploitation capitaliste, la conscience de classe se ressent, s'apprend, se vit au travail.
Et c'est pour cela qu'ils affirment que l'émancipation des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes.
Le monde du travail est une référence CARDINALE dans l’esprit des révolutionnaires.
Voilà pourquoi elle est rejetée par les verts, les socialistes, les Insoumis : ils y sont étrangers.
D'ailleurs ils reprochent au communistes d'être attaché à cette valeur capitaliste aliénante, alors que le marxiste dit justement qu'il faut s'affranchir de l'exploitation capitaliste.
Voilà pourquoi Friot n'est pas marxiste.
Il rejette la portée sociale du travail.
Il rejette la valeur sociale du travail.
Certes il invoque le communiste Croizat, mais là-encore, c'est pareil, il le détourne contre ce que Croizat disait, faisait.
La sécurité sociale est entièrement régie par le monde du travail et financé par lui (employé et ouvriers).
La Sécurité Sociale ne porte que sur une partie de la valeur (au sens financier cette fois) du travail.
C'est le salaire différé, ou socialisé.
Il vient exprimer une solidarité, une continuité des revenus quand le travailleur est en congé, en maladie, en formation, en retraite....
Cela reste un complément.
Ce n'est pas le revenu entier.
Ce n'est pas le salaire.
* Quand il parle de revenu lié au " grade", "à la qualification" , ou au " salaire universel", Friot fait un détournement complet du marxisme, du communisme.*
C'est grave.
On voit aujourd'hui que le chômage de masse est lié au dumping social social généralisé en France par l'exportation des productions.
C'est un véritable lock-out des usines en France par le patronat français qui importe de Serbie ou de chine.
Cette situation est une machine de guerre contre les salaires, le droit du travail, les retraites, la Sécu....
L'état au service de la finance, de la bourse, des banques reverse des allocations.
Un revenu minimal. Un minimal social.
Il achète la paix sociale sur les deniers publics.
La redistribution des richesses créées n'est toujours pas au rendez-vous, les patrons se gavent, et l'état ne cesse de leur faire des cadeaux.
La proposition de Friot n'est rien d'autre que ce minimal social là.
Un minimal de pauvre désoeuvré, désocialisé.
Un minima qui laisse le système capitaliste aux affaires.
Voilà pourquoi Friot est un imposteur quand il se dit communiste, marxiste.
En fait il sert le MEDEF et le gouvernement de droite.
Peut-être le fait-il inconsciement, mais je crois le contraire.
Car ses cibles préférées sont le PCF et son secrétaire général, Fabien Roussel: ce n'est pas un hasard ( même si cela fait rire certains).
S'il était communiste, il ne dirait pas "le communisme pour demain". Il dirait le communisme est "déjà là" (mot emprunté par lui à Lucien Sève), car il existe dans la sécurité sociale, dans les services publics (oeuvre de MLarcel Paul), dans le droit de vote des femme ( Fernand Grenier), et bien ailleurs. Il existe dans l'action quotidienne des communistes, en particulier de leurs élus.
Il faut simplement rassembler, discuter, se mettre en action, toujpours plus nombreux et dans l'unité.
C'est ça le communisme, au grand jour.
C'est pas un lendemain.
Ni une idée.
Ni une dictature, même si son nom est repris par des régimes qui ne sont pas communistes.
Intéressant !
:) ... la suite, vite!
c'est ce qu'on appelle "un penseur". merci Monsieur!
Plus on comprend Friot, plus on devient intelligent.... merci
Marx et Sève sont des ...marxistes. Donc des matérialistes
En tant que matérialistes ils savent que l'idéologie est forgée par les conditions matérielles dans lesquelles est organisée socialement la production.
Comment sont redistribuées les richesses.
On sait que le patron gagne plus sur la revente d'un produit que ce qu'il paye son employé: c'est la plus-value.
De plus Marx et Sève conçoivent leur discours uniquement comme une action sur le réel. Pas une théorie en l'air.
Voilà pourquoi ils affirment que la conscience de l'exploitation capitaliste, la conscience de classe se ressent, s'apprend, se vit au travail.
Et c'est pour cela qu'ils affirment que l'émancipation des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes.
Les communistes savent cela.
Le monde du travail est une référence CARDINALE dans l’esprit des révolutionnaires.
Voilà pourquoi elle est rejetée par les verts, les socialistes, les Insoumis : ils y sont étrangers.
D'ailleurs ils reprochent au communistes d'être attachés à cette valeur capitaliste aliénante, déshumanisante,
alors que le marxiste dit justement qu'il faut s'affranchir de l'exploitation capitaliste.
Voilà pourquoi Friot n'est pas marxiste.
Il rejette la portée sociale du travail.
Il rejette la valeur sociale du travail.
Il rejette sa portée culturelle et émancipatrice.
Certes il invoque le communiste Croizat, mais là-encore, c'est pareil, il le détourne contre ce que Croizat disait, faisait.
La sécurité sociale est entièrement régie par le monde du travail et financé par lui (employé et ouvriers).
La Sécurité Sociale ne porte que sur une partie de la valeur (au sens financier cette fois) du travail.
C'est le salaire différé, ou socialisé.
Il vient exprimer une solidarité, une continuité des revenus quand le travailleur est en congé, en maladie, en formation, en retraite....
Cela reste un complément.
Ce n'est pas le revenu entier.
Ce n'est pas le salaire.
* Quand il parle de revenu lié au " grade", "à la qualification" , ou au " salaire universel", Friot fait un détournement complet du marxisme, du communisme.*
C'est grave.
On voit aujourd'hui que le chômage de masse est lié au dumping social social généralisé en France par l'exportation des productions.
C'est un véritable lock-out des usines en France par le patronat français qui importe de Serbie ou de chine.
Cette situation est une machine de guerre contre les salaires, le droit du travail, les retraites, la Sécu....
L'état au service de la finance, de la bourse, des banques reverse des allocations.
Un revenu minimal. Un minimal social.
Il achète la paix sociale sur les deniers publics.
La redistribution des richesses créées n'est toujours pas au rendez-vous, les patrons se gavent, et l'état ne cesse de leur faire des cadeaux.
La proposition de Friot n'est rien d'autre que ce minimal social là.
Un minimal de pauvre désoeuvré, désocialisé.
Un minima qui laisse le système capitaliste aux affaires.
Voilà pourquoi Friot est un imposteur quand il se dit communiste, marxiste.
En fait il sert le MEDEF et le gouvernement de droite.
Peut-être le fait-il inconsciement, mais je crois le contraire.
Car ses cibles préférées sont le PCF et son secrétaire général, Fabien Roussel: ce n'est pas un hasard ( même si cela fait rire certains).
S'il était communiste, il ne dirait pas "le communisme pour demain".
Il dirait le communisme est "déjà là" (mot emprunté par lui à Lucien Sève), car il existe dans la sécurité sociale, dans les services publics (oeuvre de MLarcel Paul), dans le droit de vote des femme ( Fernand Grenier), et bien ailleurs.
Il existe dans l'action quotidienne des communistes, en particulier de leurs élus, dans leur discours, en particulier celui de leur secrétaire général.
Il faut simplement rassembler, discuter, se mettre en action, toujpours plus nombreux et dans l'unité.
C'est ça le communisme, au grand jour.
C'est pas un lendemain.
Ni une idée.
Ni une dictature, même si son nom est repris par des régimes qui ne sont pas communistes.
Pour certains (marxistes) il s’agit de la montée de l’insignifiance comme disait Castoriadis… il faudrait des débats !
Plus on est intelligent moins l'on est pour Friot
Merci bernard, tout à fait raison, pour éviter d'être long dans mon explication car on s'en fou, merci pour vos recherches depuis de longues années ...... Vous avez raison raison..... C'est factuel.... 💪💪👍
mdr 21:23 "Avec un diplôme on peut se torcher si on a pas de qualification"
Magnifique!
terrible ce manque de suite
par contre la vidéo est passionnante
Le fond est excellent et porte la réflexion profondément à gauche. Mais je crains que dans la forme ce soit peu visible surtout auprès des plus jeunes. Même en accéléré, les pauses m'ont fait décrocher alors que ce que dit Bernard est ultra stimulant. Des vidéastes pour vulgariser et dynamiser le fond de l'exposé, que les plus jeunes voient ça ?
ultra stimulant ? tu es sûr ? tu imagines la société selon les directives de Friot ? Surtout quand il a fermé ses yeux en disant .... le communisme !, le bonheur ! le Paradis !, sans classe sans société sans travail une société de l'abondance ! C'est beau le rêve mais la réalité c'est pas mal non plus ! Cela finira dans le sang des pauvres gens comme toujours !
N'ayez crainte, il existe une multitude de livres et de vidéos de Bernard, sous des formes très diverses, des conftérences classiques aux conférences gesticulées, en passant par les débats, les duos avec Judith Bernard, Frédéric Lordon, sans compter tous les futurs échanges auxquels il se prête avec énormément de bonne volonté...
J'oubliais : vous et moi pouvons, devons peut-être (?) contribuer avec nos propres mots, à partager notre enthousiasme pour ce mode de pensée révolutionnaire !
Je m'y essaie en tous cas, autant que je le puis 😉
La prochaine étape pour la jeunesse est la montée en puissance de l'extrême droite.
Il y a la vidéo d'Usul sur Friot : ua-cam.com/video/uhg0SUYOXjw/v-deo.html
@espoircommun On est là ! 😉
le compte de résultat édité chaque année par une entreprise montre comment le bénéfice est obtenu. dans ce bilan le salarié est au même niveau que les machines!
Depuis les années 1970, la productivité des machines augmente beaucoup plus vite que celle des salariés, évidemment l’investissement est pour les machines, pas pour l’humain.
Dans mon usine sidérurgique dans les années 1960 nous étions 2 000, aujourd’hui, 200 suffisent pour la même production. Les patrons ont investi dans les machines, ils ont créé du chômage et les politiques ont regardé comme on regarde un match de foot, sans se poser de question.
J’espère que la suite sera publiée
Propos majeur tenu ici, ce tracé historique de la gauche, des impostures et de ses échecs, ce lien qu'il fait entre stalinisme, sociale démocratie et sociologie bourdieusienne, bien que sans doute à nuancer, posent les bases d'une trajectoire divergente absolument nécessaire pour la gauche, pour le communisme.
C’est tout à fait ça. Nous ce qu’on veut c’est un monde sans argent sans salariat sans état sans chef !
Le contraire de ce que propose BF...
waouh ! tu ne dois pas avoir la lumière à tous les étages toi ! tu réfléchis des fois ou tu fais juste du bruit avec ta bouche ? Remarque je ne t'en veux même pas car si tu écoutes les conneries à Friot ...
Nous ?
Sans chef effectivement, si ce n'est nous toutes et tous, citoyennes et citoyens... En revanche, j'appelle pour ma part de mes voeux un état et un salaire communistes !
@@MS-cg9sy Mr fait la leçon?
Sauf erreur de ma part, concernant la loi Le Pors article 3: elle a été "Abrogée par Ordonnance n°2021-1574 du 24 novembre 2021 - art. 3" (visible sur le site de Legifrance). Reste à savoir par qui. Il semblerait que d'autres articles touchant au statut de la Fonction Publique aient subit le même sort... Ce qui est très inquiétant pour la suite des événements.
Concernant l'article 30 et non 3 relatif au traitement ce dernier n'a pas été abrogé. Les syndicats auraient pu/du mener une action.
En cas de faute grave commise par un fonctionnaire, qu'il s'agisse d'un manquement à ses obligations professionnelles ou d'une infraction de droit commun, l'auteur de cette faute peut être suspendu par l'autorité ayant pouvoir disciplinaire qui saisit, sans délai, le conseil de discipline.
Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois. Si, à l'expiration de ce délai, aucune décision n'a été prise par l'autorité ayant pouvoir disciplinaire, l'intéressé, sauf s'il est l'objet de poursuites pénales, est rétabli dans ses fonctions.
Le fonctionnaire qui, en raison de poursuites pénales, n'est pas rétabli dans ses fonctions peut subir une retenue qui ne peut être supérieure à la moitié de la rémunération mentionnée à l'alinéa précédent. Il continue, néanmoins, à percevoir la totalité des suppléments pour charges de famille.
@@danielevannoni9045 Merci pour votre réponse, à la minute 18, il parle bien de l'article 3 et non du 30 réactualisant la loi Thorez. Une erreur de sa part effectivement, et il l'a réitéré dans une autre conférence.
De formation universitaire et militante depuis des décennies, il m'aura fallu un peu - beaucoup - de temps pour nettoyer mon cerveau de toute la réthorique capitaliste qui avait réussi à embrumer ma pensée… mais j'ai fini par y arriver.
Je suis absolument convaincue qu'il faut généraliser à la plus grande échelle possible la pensée de Bernard Friot. D'une part parce qu'elle est plus que rationnelle mais surtout parce qu'elle est la seule aujourd'hui porteuse d'espoir pour notre classe… elle n'engrange pas les successions de défaites accumulées mais bien le déjà-là communiste institué par Croizat et Paul en 1946.
Si nous mettions autant de force à nous baser sur ces conquêtes que les capitalistes mettent à les détruire depuis le début… il ne serait plus jamais question de réforme des retraites mais tout au contraire de l'extention du "régime général" à tous les domaines de notre vie.
Commençons donc par nettoyer nos cerveaux de la bouillie dans laquelle nous ont englués les capitalistes et, ce qui est pire, leurs desservants se prévalant de notre camp tout en l'impuissantant.
Partagez au maximum !
Force pernicieuse de l'idéologie dominante...
Tu n' as pas "nettoyé" ton cerveau (il n'y a AUCUNE "réthorique capitaliste" nulle part) mais l' a pollué avec le totalitarisme communiste
Merci Mr Friot.
j'ai souvent entendu cité ce passage de Lénine "ce qui est la substance même, l'âme vivante du marxisme : l'analyse concrète d'une situation concrète". Ce qui l'a amené, je crois, à adopter des postures politiques très différentes selon les périodes de la révolution russe. De l'alliance avec des partis non marxistes avant octobre 17, le rejet de la violence jusqu'à la guerre civile où il préconisait de rendre coup pour coup. Actuellement nous constatons que les pouvoirs politique, économique, médiatique, etc. sont d'une violence telle que le recours à leurs supplétifs fascistes est déjà à l'œuvre dans plusieurs pays européens. En France, le gouvernement semble laisser filer la violence d'extrême droite pour analyser son acceptabilité par l'opinion publique labourée par les médias. Dans ce contexte la mosaïque de courants souvent contradictoires à gauche me semble plus un danger qu'une force. D'un autre côté nous payons aujourd'hui les erreurs du PCF qui, à l'époque de son influence forte au sein du populaire, n'a pas réussi ou voulu évoluer vers un fonctionnement réellement communiste selon les analyses de Lucien Sève. LFI me semble être une forme intermédiaire entre un parti de type léniniste, adapté à la lutte intensive visant la prise du pouvoir politique, et un espace de vaste dialogue entre courants d'idées parfois vaporeuses, parfois hors sol, parfois pernicieuses...la naïveté pour moi serait de penser que la résolution dialectique de ces contradictions se fera sans violence au sein de LFI, de la gauche et des classes dominées...hélas. Comme l'a si bien dit Warren Buffet, sa classe sociale gagne la lutte des classes, appuyée par un lumpenprolétariat qui se glisse dans tout les interstices créés par la dislocation sociale provoquée par le capitalisme.
C'est quoi un "fonctionnement réellement communiste selon les analyses de Lucien Sève" ?
excellent christian .on ne peut dire mieux
Issus de famille communiste grecque et espagnole d'après guerre.
Les mouvements de pensées de gauche,
Sont des pensées vivantes en résonance avec son époque.
On ira vers une pensée vivace des pensées sociales mais pas sans les pensées qui iront vers le respect du Viviant comme une lutte à part entière.
Le déjà- là communiste existe , mais on pourrait mieux l'appeler déjà- là socialiste c'est suffisant,mis à mal par des ordonnances macroniennes vicieuses...On devrait protester davantage!
Le socialisme est une impasse tant dans sa variante stalinienne que sa variante social-démocrate. Il s'agit bien, en accord avec ce que dit monsieur Friot, du communisme comme mouvement réel de la société. Jaurès, fin marxiste, parlait de réformisme révolutionnaire.
"Qu'il y ait ou pas travail concret, qu'importe ! " : c'est la plus belle définition de la Bureaucratie ! À force d'outrance on induit l'idée contraire que heureusement qu'il y a le capitalisme face au bureaucratisme. Le silence sur Lénine ainsi que sur l'histoire des soviets (=assemblées populaires de base) laisse une impression d'étrangeté.
Plutôt que cette logomachie (on dirait Lacan parlant) où, mais Où Donc sont les vrais historiens (ni hagiographes ni haineux graphes) de l'Histoire des luttes de classe, et du syndicalisme du 19ème siècle (succès, échecs, continuations) et du communisme du 20ème siècle (succès, échecs, continuations). Assez de Baratin et d'idéalisme ! De l'histoire, des faits, des continuités, des analyses.
Tiens en voilà un: le fascisme est inventé après 14-18 par un des grands dirigeants ouvriers de lutte de classe d'avant 1914, un vrai prolétaire biberonné au marxisme et persécuté par la classe capitaliste : Benito Mussolini. Chuuuut. Omertà.
Et un autre : les soviets étaient la démocratie directe en action inventés fin 19ème siècle. Quelle est leur histoire ? Et une autre : après l'effondrement de l'Urss, que sont devenus les Sovkozes, propriété des paysans coopératifs (il paraît que la production agricole russe est double de celle des Usa) ? Bref une foule de questions toujours non posées, non étudiées. Et l'esprit reste en friche.
0 bas l'état , l'argent , l'économie et la politique , a la lecture du livre " au commencement était " de David Graeber , 750 pages de synthèse sur les histoires des différentes civilisations depuis le début , il se trouve qu'il y a eu énormément d'expériences différentes dont beaucoup d'égalitaires qui ont perduré très longtemps , et il n'y a pas de " sens de l'histoire
Decrire de manière doctrinale la situation économique actuelle pousse à un conservatisme quasi religieux Le cynisme du quantitativisme actuel a l avantage d adapter vite les structures à la nouvelle donne. Faire monter la citoyenneté dans l organe de production risque d aboutir à terme à des contradictions, puis crises (voir les interrogations de Mendes sur l égalité du vote des citoyens, connaisseurs ou non de l économie) Franchement on court vers le goulag?
Comment on peut filmer comme ça dommage le cadreur n'est as à la hauteur du debateur!!
Cet homme est l'avenir de la Gauche. L'entendrons-nous avant qu'il ne soit trop tard?
Sur le communisme : ua-cam.com/video/FvSLXt32NW0/v-deo.html
Ne "tenir aucun compte des cotisations". comment faire mieux pour jeter les prolos dans les bras du capital.,.....
l'abondance sans travail!?......on est au début et déjà je ne comprends rien.....
Le travail est partout dans la conception marxienne de la société et de la production. Pourquoi si je tonds ma pelouse le dimanche dans mon jardin je ne travaille pas, alors que si je le fais lundi avec un uniforme de Veolia sur le dos, je travaille ? Alors que je fais EXACTEMENT la même chose ? Pour la bourgeoisie seul l'emploi (cad le travail décidé a leurs conditions, dans leur cadre, uniquement pour mettre en valeur du capital) est du travail. C'est totalement faux : le travail est partout...tout le temps...
Je ne comprends pas son rejet du marxisme-léninisme, le simple fait d'accuser Staline de social-démocratie m'étonne beaucoup. Quelqu'un pourrait-il m'expliquer?
oui y a bien marx!, mais il est pas là!!!
Il accuse avant tout la vision du marxisme leninisme développé par Staline, qui fait de l'état la clé de voûte de la société communiste. Hors l'état n'est qu'un outil, une superstructure qui ne doit pas occulter que la véritable révolution s'opère d'abord et avant tout par l'organisation des masses prolétaires et la lutte des classes. Le pouvoir d'état seul est insuffisant pour modifier les rapports de production et les prolétaires continueront de subir l'aliénation que ce soit sous la sociale démocratie ou sous un régime marxiste léniniste au sens stalinien.
Il explique que le marxisme-léninisme mène soit au "baissage de froc" de la sociale-democratie soit à la dictature Stalinienne. Il a pas parlé de sociale-democratie pour Staline
C'est tout son propos d'ailleurs. Si on pense le communisme pour après et pas maintenant c'est une erreur fondamentale qui ne peut aboutir qu'à deux catastrophes, la sociale-democratie ou la dictature
Ce type n'est absolument pas marxiste
Le communisme n’est pas un mode de production mais une religion, avec tout ce que cela implique d’opium du peuple distribué sous la forme de rituels, de défilés, de manifs, de littérature, de films… Karl Marx lui-même à la fin de sa carrière a fait savoir que lui-même n’était pas marxiste mais plutôt un analyste procédant par essais et erreurs d’observation et d’hypothèse. Karl Marx ne proposa sa nomenclature : communisme primitif, esclavagisme, féodalisme, capitalisme, mode asiatique, socialisme, communisme final … qu’à titre très temporaire, d’esquisse : or de la progression de ces modes de production on a fait une religion. Last but not least : Karl Marx eut une double, voire une triple vie. Il était informateur et influenceur de police de son premier métier et pratiquait la sociologie comme violon d’Ingres utile à son premier métier. Or on fait de ce penseur un demi-dieu. Non c’est un être intéressé, tourmenté et complexe qui a posé tant dans le concret de sa vie que dans l’abstrait des questions originales mais apporté peu de réponses.
Oui Judith, il a été enlevé par les extraterrestres.
Ils font tjrs ce coup, raconter dla merde, pour changer d'avis juste avant de crever
Merci pour cet éclairage. J'arrivais à cette conclusion sur Marx : des questions pertinentes, peu de réponses.
cretin .tu n as pas compris grand chose
Mouais pour la religion c'est un peu tiré par les cheveux
Marx était avant tout un philosophe et comme les philosophe modernes il cerne et analyse les contradictions de la société et leur tenants et aboutissants mais apporte peu de réponses
Bien que Marx se soit plongé dans le monde politique réel à la fin de sa vie
Je suis le seul à remarquer que ce type est fou à lier ? sincèrement ?
Des arguments ?
Ne croyez-vous pas qu'il serait plus sage de vous interroger sur votre propre santé mentale ?
Oui ... mais dans ce cas qui est le fou ?
Ce discours aux allures schizophrènes n'est rien de plus que de la sénilité, tout à fait normal à cet âge.
@@Maximilien1794 je ne vois toujours pas d'arguments, vous êtes ridicules
.
²et. On
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