Spirits Rejoice (La Marseillaise) - Albert Ayler
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- Опубліковано 8 тра 2010
- Genre : Free Jazz
Artist : Albert Ayler
Album : Spirits Rejoice
Year : 1965
Line-up :
Albert Ayler (saxophone)
Donald Ayler (trumpet)
Charles Tyler (saxophone)
Henry Grimes (contrabass)
Gary Peacock(contrabass)
Sunny Murray (drums)
Call Cobbs (clavecin)
I've cut the bass solo, the track was too long.
Pour nous amis francophones, pensez à lire La Marseillaise, ce "petit livre bleu-blanc-rouge" de Marc-Édouard Nabe à propos d'Ayler et de sa musique. Un chef d'oeuvre : www.amazon.fr/Marseillaise-Mar...
I was lucky enough to see albert and donald and maybe henry grimes on bass, with their great anthemic music a # of times circa 1965-66 at a theater right off astor place in the east village, where they alternated with the fugs
Un souffle, un souffle... que du souffle... géant
Nabe brought me here
Same for me.
same for me two
Same for MeToo
Toujours aussi extraordinaire
Rough time for La Marseillaise...
Ich möchte nur halb so frei sein. Wahnsinn 😎
super
Awesome!
should have put it in 2 tracks! cutting the bass solo is a crime :O
still, thanks, this is great stuff!
Cool Stuff....
VG+
Vivent les noirs!
Paul McCartney brought me here...
+Josh Freilich And I. Just watched that bit of the Arena doc.
how?
@@kaisertita8224 home movie in france in 1966
Pour apprécier cette musique il faut d'abord faire une plongée dans toutes les musiques noires. Le Free en est l'apogée.
Apogée ? Juste une étape, sans doute la fin d'un cycle, entamé avec le be-bop, où nombre de grand jazzmen ont voulu rompre avec la musique de danse et s'adresser à un public plus restreint d'initiés. Malheureusement à part quelques génies les partisans du free jazz ont souvent fait une musique qui n'intéressait que ceux qui la jouaient. Et se sont retrouvés face à des salles vides. Et les contre-tendances ont toujours existé, avec des musiciens allant chercher des mélodies et des rythmes dans la musique de variétés de leur pays comme dans ce qui s'inventait ailleurs dans le monde, en particulier en Amérique Latine et en Afrique ; et aussi d'autres instruments, Miles Davis en tête, qui embauchait sans cesse de nouveaux très jeunes musiciens tous promis à de très belles carrières. À chaque fois qu'on dit que le jazz est mort il renaît d'une manière surprenante.
Et c'est tant mieux.
je trouve cela affreux
il faut dire : je n'apprécie guère le gazz
je préfère le rap ou l'italo-disco
Khonnard!
je ne saurais dire si c'est là du premier ou second degré...?
Pour apprécier, avant il faut passer par toutes les musiques noires (et memes blanches)