NOTE : Malgrés tout le soin que j'apporte à mes présentations, j'ai fais une grosse boulette dans le schéma de mon montage de test, en effet, j'ai mis le symbole d'un Mos-Fet canal P et non celui du Canal N utilisé dans le montage. Désolé pour cette petite coquille, je confirme que c'est bien un Mos-Fet canal N qu'il faut prendre dans ce montage. Merci à JF de m'avoir alerté sur ce point.
Yep, vu aussi, par trois fois !... Mais, ça me rappelle le nombre de fois où j'ai aussi fait cette confusion par "fausse" similitude avec le symbole d'un transistor BJT...
Merci pour ces épisodes I & II :-) Superbe travail de votre part ! Intéressant tout ça ! Je lis "Dans la prochaine vidéo, on regardera les datasheets en détail et les stratégies de choix des modèles ". Impeccable : cela tombe à pic car je suis en train de rechercher (pour les utiliser après des sorties d'arduino) une solution à base MOS-FET et notamment : IRF520 vs IRL540 (il y a beaucoup de littérature sur ce sujet...). Je suivrai donc avec intérêt l'épisode III...
Au début, quand j’ai commencé avec les mosfets, je me disais : chouette, c’est comme des tubes électroniques sans filament, j’ai vite déchanté quand j’ai vu que la capacité d’entrée était de l’ordre du Nanofarad.
Bravo Philippe, vidéo commentaires toujours simples, compréhensifs. Pourquoi j'ai pas eu un prof comme toi. C'est vrai qu'il y a plus de 40 ans déjà. Mon Dieu que c'est loin
Salut Philippe, j'ai bien apprécié cet épisode qui démontre que piloter correctement un MOSFET n'est pas aussi simple qu'il y paraît (à la coquille du symbole près). Une autre raison de rajouter une (petite) résistance dans la grille : dans certains cas extrême, éviter un dépassement du di/dt qui pourrait endommager la grille. En tous cas, très bonne série de vulgarisation sur le thème de ce composant incontournable de nos jours.
Salut Philippe ! Encore planté dans ces 🤬 symboles, moi je dis toujours que tant qu'on a la bonne patte sur le montage et qu'il marche... Tout ceci est fort bien expliqué, même si les limites de "sortance" comparées des différents types de circuits auraient pu éclairer un peu plus les explications. Après, je me disais bien qu'on allait un moment où un autre citer un circuit de commande spécialisé. Il faudrait dans cet usage encore aussi en revenir aux cahiers des charges (fréquence de commutation max!), divers data sheets et infos disponibles, car l'aspect "économique" du projet est en cause dès lors que l'adjonction de ces composants supplémentaires intervient. Les MOSFETs sont maintenant disponibles pour des quantités énormes de spécifications, ce qui n'était pas le cas dans les années 80, et leurs performances savent souvent s'adapter à la majorité des besoins du marché en matière de commutation. Il est vrai aussi que l'on hésitera moins à utiliser un driver ou un autre, pour les applications plus critiques, d'autant qu'il en existe des spécialisés par exemple pour la gestion de charges de bus contrôleur, d'autres qui sont dotés de fonctions de protection supplémentaire (thermique). Il y a toujours aussi eu la voie des fondeurs qui intègrent driver et MOS de puissance dans la même puce (vive le CMS!). Bref, l'usage d'un circuit supplémentaire reste souvent très anecdotique. Tout ça rendrait presque simple l'utilisation dans les domaines "linéaires"! Mais tous ceux qui ont eu à utiliser dans ce cas ce type de composants savent bien que la partie III saurait être encore plus touffue: on s'en régale d'avance, ça va être une MOS fête !
Très intéressant et avec une bonne approche… petite question... Dans une future présentation, y aura-t-il l’utilisation des mosfets pour commuter (en mode linéaire) des courants élevés (entre 100A et 200A) …? Par exemple, pour activer un onduleur CC à AC… Ou créer une charge résistive de grande puissance... Ou encore faire du ORING Power Supply? J'ai bien hâte à la prochaine vidéo... Merci pour cette vidéo et de partager votre passion avec générosité… Grer…
Super vidéo pour moi qui avait étudier l'électromécanique et qui essais, et aimerai bien comprendre l'électronique. J'ai une question je travaille sur machine outils si je souhaitai faire fonctionner le moteur de la pompe à lubrifiant (c'est du tri) sans passer par un contacteur pour la puissance est-ce qu'avec un mosfet c'est possible ? Et bien sûr comment ? Merci bien Philippe pour tous ces cours qui ne permettent d'apprendre même si c'est un peu difficile partant de presque pas de connaissances. 👍
Hello, merci. Pour commander la mise en route d'un moteur Triphasé, l'utilisation de MosFet est potentiellement possible mais sera compliquée, couteuse et peu efficace. Des Triacs seront bien plus adapté. On trouve des relais statiques pour cela. Chercher SSR triphasé su Google. Bonne continuation.
Cela me rappelle un montage avec un MOSFET piloté par un Arduino. Sans résistance de limitation le courant de grille était si fort qu'il provoquait un brownout et le redémarrage du microcontrôleur.
@@Cyrob-org cela me donne l'explication pourquoi quand je monte en fréquence le signal n'est pas celui que j'attend, merci encore pour cette explication, et oui intéressé aussi par une démo sur des fréquences plus élevé
Bonjour Philippe. Tu fais un test avec plusieurs portes loiques en parallèles pour piloter le MOSFET plus efficacement, afin de charger la capacité parasite de la gate plus rapidement et limiter le temps de transition au plus court. Mais je vois souvent l'inverse. Une armée de MOSFETs en parallèle piloté par un seul driver (souvent IRF2110, vu dans des onduleurs sinus DC/AC). On comprend intuitivement que le fait de mettre plusieurs MOSFETs en parallèle permet de passer plus de courant, aussi de partager la puissance dissipée lors des nombreuses commutations nécessaires pour redessiner un beau sinus en sortie. Mais pour le coup, on a aussi sans doute l'effet indésirable que, la propension du driver à piloter correctement un seul MOSFETs soit divisée par le nombre de MOSFETs en //. Et de la, un temps de commutation allongé avec une puissance dissipée supérieure allant à l'encontre de l'effet recherché initialement. Où se trouve donc le bon compromis ?
Hello, les drivers de mosfet sont souvent très performants, si les tests montrent qu'ils pilotent plusieurs grilles avec succès, whynot... c'est comme tout, c'est le résultat qui compte. Mettre un driver par mosfet sera sans doute meilleur mais le coût sera plus élevé, c'est toujours une affaire de compromis.
Une question au sujet de capa parasite (ex: Cgs) : Si le courant de (dé)charge est trop vite et important, est-ce que l'on peut griller le MOSFET ? Si oui comment le dimensionner correctement ? Merci ;-)
pour les diodes zener c'est la meme chose la chute de tension est perdue en chaleur nn ? ducou c'est pas une bonne idée de faire passer beacoup de courrant ? pour la " diode " interne du mosfet, elle a les memes caracteristiques que le mos ? si le mos supporte 1a sur ids il peut faire passer 1a sur isd ?
Hello, oui la puissance dissipée dans un dipole est toujours égale au courant qui le traverse multiplié par la tension à ses bornes. Et oui les diodes parasites passent en gros autant que le mosfet, c'est indiqué dans le datasheet.
bonjour Philippe. Je viens de faire un clignoteur pour moto (à cause des lampes à leds qui ont une courbe de réponse... de led, et pas CTP comme une ampoule à filament). J'ai mesuré l'inductance de la bobine du relais et le courant en charge, j'ai fait U=L.di/dt pour que U ne dépasse pas Vmax du mosfet, j'ai donc eu dt, puis j'ai posé le temps et la capacité de la grille et finalement il y a une résistance de 470k entre la sortie du µC et la grille du Mosfet. J'ai tout de même laissé la diode de roue libre sur la bobine du relais, par sécurité... Merci pour la première vidéo en fait, mosfet je n'avais jamais utilisé, voilà un usage pour tous ces petits canal N récupérés sur une carte mère
Bonjour, j'apprend alors j'essaye de suivre ton raisonnement di/dt je n'ai pas encore trouvé tout le scenario . di/dt ca recouvre quoi comme termes ? c'est pour exprimer l'appel de courant quand on ferme un circuit (?) - la diode de roue libre, c'est une dérivation finalement ? un bypass ? Merci si tu as le temps ... (il me faut 3 visionnages pour ce type de video, (super utile) pour te donner une idée du niveau ;)
@@IsaacOLEG U=L.di/dt. L c'est l'inductance de la bobine, 100mH ou 0,1. di c'est la variation de courant et dt c'est la variation de temps, merci Isaac Newton qui a inventé le calcul infinitésimal. Tu as un courant i de 40 mA qui traverse la bobine du relais quand il est alimenté et 0 mA quand il est libre. Donc di=40-0=40mA. Si tu coupes l'alimentation en disons dt=1 millionième de seconde, ça va créer une tension de 0.1*0.040/0.000001 = 4000 volts, largement assez pour claquer le mosfet. Comme le mosfet a une capacité de grille, l'idée est de mettre une résistance de 470 kohms. Vu la capacité de la grille, ça te fait un temps de coupure de l'ordre de la milliseconde, le temps de charger et décharger la capacité de la grille. Reprenons le calcul L=0,1, di=40mA, dt=0,001 secondes, donc là à la coupure tu as une tension de 4 volts. ça passe...
@@CaptainDangeax Merci de ces éclaircissements, avec , j'ai toutes les cartes en main. tres surpris du 4000 V mais il faudra que je m'habitue ;) je cherche une réponse aussi a une question : dans un circuit d'alimentation a découpage, je trouve des rsistances de moins de1ohms; est ce qu'elle servent de shunt pour evaluer une tension/(courant?) , mais aussi, est ce qu'elles peuvent etre la pour decharger des condensateurs quand l'appareil est hors tension ? me semble peu probable mais ... Merci si tu as le temps pour répondre.
@@IsaacOLEG N'oublie pas que c'est une valeur théorique. La self parfaite n'existe pas, pas plus que le conducteur de résistance nulle. Par contre, tu as l'ordre de grandeur, c'est ce qui nous intéresse. 4000 volts, tu claques n'importe quel petit transistor utilisé pour cet usage, ils tiennent 40 à 100 fois moins. Avec une bobine, on crée les étincelles pour les bougies de nos voitures, c'est dans les 15000 à 20000 volts, donc 4000 ça n'a rien d'exceptionnel. La résistance de quelques dixièmes d'ohms en entrée d'alimentation à découpage est effectivement une sécurité pour éviter les surcharges, c'est indiqué dans les datasheets, et ne servent pas à décharger les condensateurs
@@CaptainDangeax Bonjour, et merci pour les précisions apportées à Issac je comprenais pas non plus. J’ai le même problème sur ma moto j’ai mis des clignos led qui font chenillard à l’arrière et le composant électronique est directement intégrer dans le cligno et à l’avant des clignotants qui s’adaptaient plus au profil de mon carénage, mais le problème c’est qu’à l’avant ils ne clignotent pas comme il faut car il n’y a pas d’électronique à l’intérieur comme ceux de l’arrière la cause c’est « surement » dû au relais . J’ai donc acheté un relais pour led sur Aliexpress avec la possibilité de régler le temps de clignotement, ça fonctionne, mais maintenant c’est ceux de l’arrières qui ont un fonctionnement du chenillard incomplet. Je pense, que pour l’arrière si le cligno fait son cycle « chenillard » en 2 secondes en temps ordinaire (comme il a l’électronique déjà intégrer), le relais pour led lui ne me permet qu’un temps de 1.5 secondes (par exemple) d’ouverture, ce qui fait que maintenant ce sont ceux de l’arrière qui ne font plus leurs cycle chenillard à fond. Comment je peux régler le problème en sachant que le relais pour led, les composants sont tout petits je pense pas pouvoir y toucher( je suis pas électronicien j’essaie d’apprendre un peu des bricoles) est-ce qu’un montage avec un MOSFET ferait l’affaire, et comment le faire, si tu as régler ton problème sur ta bécane de cette façon , merci
NOTE : Malgrés tout le soin que j'apporte à mes présentations, j'ai fais une grosse boulette dans le schéma de mon montage de test, en effet, j'ai mis le symbole d'un Mos-Fet canal P et non celui du Canal N utilisé dans le montage. Désolé pour cette petite coquille, je confirme que c'est bien un Mos-Fet canal N qu'il faut prendre dans ce montage.
Merci à JF de m'avoir alerté sur ce point.
Ok. Merci pour la précision
J'allais justement signaler la petite erreur. En tout cas merci pour tes vidéos ! (si tu me permet le tutoiement)
Ah, OK. Car la diode interne conduisait en permanence. Encore un coup de Mo-Riss !
Que celui qui n'a jamais fait d'erreur te jette la première pierre.
Yep, vu aussi, par trois fois !... Mais, ça me rappelle le nombre de fois où j'ai aussi fait cette confusion par "fausse" similitude avec le symbole d'un transistor BJT...
Miracle, toutes les infos que on trouve pas ailleurs, merci beaucoup pour ce superbe concentré de savoir !
Merci pour cette série de vidéos sur le Mosfet. C'est très intéressant.
Merci pour ces épisodes I & II :-) Superbe travail de votre part ! Intéressant tout ça ! Je lis "Dans la prochaine vidéo, on regardera les datasheets en détail et les stratégies de choix des modèles ". Impeccable : cela tombe à pic car je suis en train de rechercher (pour les utiliser après des sorties d'arduino) une solution à base MOS-FET et notamment : IRF520 vs IRL540 (il y a beaucoup de littérature sur ce sujet...). Je suivrai donc avec intérêt l'épisode III...
Très belle présentation et très claire ! Merci Philippe !
Au début, quand j’ai commencé avec les mosfets, je me disais : chouette, c’est comme des tubes électroniques sans filament, j’ai vite déchanté quand j’ai vu que la capacité d’entrée était de l’ordre du Nanofarad.
ben suis bien content de cette arrivée rapide de l'épisode deux....Merci à toi Philippe. Une mine d'or tes vidéos^^
Depuis le temps que je l'attendais celle-là, j'en ai pas perdu une miette!!! merci Philippe
Bravo Philippe, vidéo commentaires toujours simples, compréhensifs. Pourquoi j'ai pas eu un prof comme toi. C'est vrai qu'il y a plus de 40 ans déjà. Mon Dieu que c'est loin
Ah j'attendais cet épisode 2 :-) et comme le premier très instructif. Impec. Mercibcp.
J'allais le dire Mosfet canal P, mais c'est mieux quand c'est celui qui fait la vidéo qui corrige 👍
Merci pour la vidéo Philippe 😉
Bravo Philippe pour cette présentation et essais biens expliqués
Salut Philippe, j'ai bien apprécié cet épisode qui démontre que piloter correctement un MOSFET n'est pas aussi simple qu'il y paraît (à la coquille du symbole près). Une autre raison de rajouter une (petite) résistance dans la grille : dans certains cas extrême, éviter un dépassement du di/dt qui pourrait endommager la grille. En tous cas, très bonne série de vulgarisation sur le thème de ce composant incontournable de nos jours.
Très pédagogique 👌
Merci pour cette vidéo remplie d'informations utiles.
Merci également pour ces délicates explications.
Pouce bleu, comme d'habitude.
Merci bcp très très précieux renseignements vive la suite
alimentation à découpage de puissance sans sonde différentielle frustration ......
Toujours très pro les vidéos de Philippe ...
Salut Philippe ! Encore planté dans ces 🤬 symboles, moi je dis toujours que tant qu'on a la bonne patte sur le montage et qu'il marche... Tout ceci est fort bien expliqué, même si les limites de "sortance" comparées des différents types de circuits auraient pu éclairer un peu plus les explications. Après, je me disais bien qu'on allait un moment où un autre citer un circuit de commande spécialisé. Il faudrait dans cet usage encore aussi en revenir aux cahiers des charges (fréquence de commutation max!), divers data sheets et infos disponibles, car l'aspect "économique" du projet est en cause dès lors que l'adjonction de ces composants supplémentaires intervient. Les MOSFETs sont maintenant disponibles pour des quantités énormes de spécifications, ce qui n'était pas le cas dans les années 80, et leurs performances savent souvent s'adapter à la majorité des besoins du marché en matière de commutation. Il est vrai aussi que l'on hésitera moins à utiliser un driver ou un autre, pour les applications plus critiques, d'autant qu'il en existe des spécialisés par exemple pour la gestion de charges de bus contrôleur, d'autres qui sont dotés de fonctions de protection supplémentaire (thermique). Il y a toujours aussi eu la voie des fondeurs qui intègrent driver et MOS de puissance dans la même puce (vive le CMS!). Bref, l'usage d'un circuit supplémentaire reste souvent très anecdotique. Tout ça rendrait presque simple l'utilisation dans les domaines "linéaires"! Mais tous ceux qui ont eu à utiliser dans ce cas ce type de composants savent bien que la partie III saurait être encore plus touffue: on s'en régale d'avance, ça va être une MOS fête !
Merci ! Je suis cette série avec attention 👍
Très bonne série de vidéos. Merci
Très intéressant, et expliqué simplement Merci
Très intéressant et avec une bonne approche… petite question... Dans une future présentation, y aura-t-il l’utilisation des mosfets pour commuter (en mode linéaire) des courants élevés (entre 100A et 200A) …? Par exemple, pour activer un onduleur CC à AC… Ou créer une charge résistive de grande puissance... Ou encore faire du ORING Power Supply? J'ai bien hâte à la prochaine vidéo... Merci pour cette vidéo et de partager votre passion avec générosité… Grer…
Hello, je vais y réfléchir, il faut que je trouve des approches simples....
Merci, c'est très clair et instructif.
Super, j'adore ça
Super vidéo pour moi qui avait étudier l'électromécanique et qui essais, et aimerai bien comprendre l'électronique. J'ai une question je travaille sur machine outils si je souhaitai faire fonctionner le moteur de la pompe à lubrifiant (c'est du tri) sans passer par un contacteur pour la puissance est-ce qu'avec un mosfet c'est possible ? Et bien sûr comment ?
Merci bien Philippe pour tous ces cours qui ne permettent d'apprendre même si c'est un peu difficile partant de presque pas de connaissances. 👍
Hello, merci.
Pour commander la mise en route d'un moteur Triphasé, l'utilisation de MosFet est potentiellement possible mais sera compliquée, couteuse et peu efficace.
Des Triacs seront bien plus adapté. On trouve des relais statiques pour cela.
Chercher SSR triphasé su Google.
Bonne continuation.
@@Cyrob-org merci de l'info
Merci pour la vidéo et les détails, et un bonjour a morisse 😉
Cela me rappelle un montage avec un MOSFET piloté par un Arduino. Sans résistance de limitation le courant de grille était si fort qu'il provoquait un brownout et le redémarrage du microcontrôleur.
Bonjour, Y aura-t-il aussi un épisode sur l'utilisation en ampli HF pour les OM ? En tous cas, merci pour le partage !
Hello c'est un domaine que je maîtrise moins mais je vais voir ce que je peux faire..
@@Cyrob-org cela me donne l'explication pourquoi quand je monte en fréquence le signal n'est pas celui que j'attend, merci encore pour cette explication, et oui intéressé aussi par une démo sur des fréquences plus élevé
Passionnant !
Merci Philippe !
merci beaucoup philippe
Bonjour Philippe.
Tu fais un test avec plusieurs portes loiques en parallèles pour piloter le MOSFET plus efficacement, afin de charger la capacité parasite de la gate plus rapidement et limiter le temps de transition au plus court.
Mais je vois souvent l'inverse. Une armée de MOSFETs en parallèle piloté par un seul driver (souvent IRF2110, vu dans des onduleurs sinus DC/AC). On comprend intuitivement que le fait de mettre plusieurs MOSFETs en parallèle permet de passer plus de courant, aussi de partager la puissance dissipée lors des nombreuses commutations nécessaires pour redessiner un beau sinus en sortie.
Mais pour le coup, on a aussi sans doute l'effet indésirable que, la propension du driver à piloter correctement un seul MOSFETs soit divisée par le nombre de MOSFETs en //.
Et de la, un temps de commutation allongé avec une puissance dissipée supérieure allant à l'encontre de l'effet recherché initialement.
Où se trouve donc le bon compromis ?
Hello, les drivers de mosfet sont souvent très performants, si les tests montrent qu'ils pilotent plusieurs grilles avec succès, whynot... c'est comme tout, c'est le résultat qui compte. Mettre un driver par mosfet sera sans doute meilleur mais le coût sera plus élevé, c'est toujours une affaire de compromis.
Une question au sujet de capa parasite (ex: Cgs) : Si le courant de (dé)charge est trop vite et important, est-ce que l'on peut griller le MOSFET ? Si oui comment le dimensionner correctement ? Merci ;-)
Hello, si la variation est hyper rapide sous très basse impédance, oui sur certains modèles. Il faut voir le datasheet.
Salut, je suppose que la 3e partie sera sur les Ciss, Coss, gm, plateau de Miller, gate charge, l'effet de la température...
Hi cette série s'adresse aux débutants pas sûr que j'aille si loin ...
Super video... on pourrait juste dire qu'un driver ça sort genre 3 ou 5A, ce qui est tout de même intuitivement dingue pour une patte 'en l'air'... 😅
Bonsoir.
C'est moi ou je ne trouve l'épisode 3 de cette super série ?
Merci pour vos vidéos
Hello, le fait que je ne l'ai pas encore tournée y est sans doute pour quelque chose :)
@@Cyrob-org 🤣
J'ai pissé de rire à la blague!
pour les diodes zener c'est la meme chose
la chute de tension est perdue en chaleur nn ?
ducou c'est pas une bonne idée de faire passer beacoup de courrant ?
pour la " diode " interne du mosfet, elle a les memes caracteristiques que le mos ?
si le mos supporte 1a sur ids il peut faire passer 1a sur isd ?
Hello, oui la puissance dissipée dans un dipole est toujours égale au courant qui le traverse multiplié par la tension à ses bornes. Et oui les diodes parasites passent en gros autant que le mosfet, c'est indiqué dans le datasheet.
@@Cyrob-org merci beacoup 🙂
J'avais lu qu'une résistance de pull down était préférable. Vrai ou faux ?
Hello, tout dépend de la topologie du driver, on ne peut pas généraliser.
Allo Philippe, quand la "introduction aux mosfet épisode 3"🙂
Aucune idée...
@@Cyrob-org 👨🔬
wow si clair merci mais
j'ai besoin de la meme chose avec les bipolaires 🙃
par ce que ces histoire de control en courrent et hfe🤔😆
👍👍🙋♂️
Le symbole du Mosfet est un canal P.
Hello oups bien vu je me suis trompé...désolé
@JM Coulon Et oui, ça arrive aux meilleurs ! Un rien devant le bénéfice cérébral de cette vidéo. Merci Philippe.
Mince je redescend dans mon niveau d'amateurisme, mais ce n'est que de l'amour, c'est pour mon bien ^^
bonjour Philippe. Je viens de faire un clignoteur pour moto (à cause des lampes à leds qui ont une courbe de réponse... de led, et pas CTP comme une ampoule à filament). J'ai mesuré l'inductance de la bobine du relais et le courant en charge, j'ai fait U=L.di/dt pour que U ne dépasse pas Vmax du mosfet, j'ai donc eu dt, puis j'ai posé le temps et la capacité de la grille et finalement il y a une résistance de 470k entre la sortie du µC et la grille du Mosfet. J'ai tout de même laissé la diode de roue libre sur la bobine du relais, par sécurité... Merci pour la première vidéo en fait, mosfet je n'avais jamais utilisé, voilà un usage pour tous ces petits canal N récupérés sur une carte mère
Bonjour, j'apprend alors j'essaye de suivre ton raisonnement di/dt je n'ai pas encore trouvé tout le scenario . di/dt ca recouvre quoi comme termes ? c'est pour exprimer l'appel de courant quand on ferme un circuit (?) - la diode de roue libre, c'est une dérivation finalement ? un bypass ? Merci si tu as le temps ... (il me faut 3 visionnages pour ce type de video, (super utile) pour te donner une idée du niveau ;)
@@IsaacOLEG U=L.di/dt. L c'est l'inductance de la bobine, 100mH ou 0,1. di c'est la variation de courant et dt c'est la variation de temps, merci Isaac Newton qui a inventé le calcul infinitésimal. Tu as un courant i de 40 mA qui traverse la bobine du relais quand il est alimenté et 0 mA quand il est libre. Donc di=40-0=40mA. Si tu coupes l'alimentation en disons dt=1 millionième de seconde, ça va créer une tension de 0.1*0.040/0.000001 = 4000 volts, largement assez pour claquer le mosfet. Comme le mosfet a une capacité de grille, l'idée est de mettre une résistance de 470 kohms. Vu la capacité de la grille, ça te fait un temps de coupure de l'ordre de la milliseconde, le temps de charger et décharger la capacité de la grille. Reprenons le calcul L=0,1, di=40mA, dt=0,001 secondes, donc là à la coupure tu as une tension de 4 volts. ça passe...
@@CaptainDangeax Merci de ces éclaircissements, avec , j'ai toutes les cartes en main. tres surpris du 4000 V mais il faudra que je m'habitue ;) je cherche une réponse aussi a une question : dans un circuit d'alimentation a découpage, je trouve des rsistances de moins de1ohms; est ce qu'elle servent de shunt pour evaluer une tension/(courant?) , mais aussi, est ce qu'elles peuvent etre la pour decharger des condensateurs quand l'appareil est hors tension ? me semble peu probable mais ... Merci si tu as le temps pour répondre.
@@IsaacOLEG N'oublie pas que c'est une valeur théorique. La self parfaite n'existe pas, pas plus que le conducteur de résistance nulle. Par contre, tu as l'ordre de grandeur, c'est ce qui nous intéresse. 4000 volts, tu claques n'importe quel petit transistor utilisé pour cet usage, ils tiennent 40 à 100 fois moins. Avec une bobine, on crée les étincelles pour les bougies de nos voitures, c'est dans les 15000 à 20000 volts, donc 4000 ça n'a rien d'exceptionnel. La résistance de quelques dixièmes d'ohms en entrée d'alimentation à découpage est effectivement une sécurité pour éviter les surcharges, c'est indiqué dans les datasheets, et ne servent pas à décharger les condensateurs
@@CaptainDangeax Bonjour, et merci pour les précisions apportées à Issac je comprenais pas non plus.
J’ai le même problème sur ma moto j’ai mis des clignos led qui font chenillard à l’arrière et le composant électronique est directement intégrer dans le cligno et à l’avant des clignotants qui s’adaptaient plus au profil de mon carénage, mais le problème c’est qu’à l’avant ils ne clignotent pas comme il faut car il n’y a pas d’électronique à l’intérieur comme ceux de l’arrière la cause c’est « surement » dû au relais .
J’ai donc acheté un relais pour led sur Aliexpress avec la possibilité de régler le temps de clignotement, ça fonctionne, mais maintenant c’est ceux de l’arrières qui ont un fonctionnement du chenillard incomplet.
Je pense, que pour l’arrière si le cligno fait son cycle « chenillard » en 2 secondes en temps ordinaire (comme il a l’électronique déjà intégrer), le relais pour led lui ne me permet qu’un temps de 1.5 secondes (par exemple) d’ouverture, ce qui fait que maintenant ce sont ceux de l’arrière qui ne font plus leurs cycle chenillard à fond. Comment je peux régler le problème en sachant que le relais pour led, les composants sont tout petits je pense pas pouvoir y toucher( je suis pas électronicien j’essaie d’apprendre un peu des bricoles) est-ce qu’un montage avec un MOSFET ferait l’affaire, et comment le faire, si tu as régler ton problème sur ta bécane de cette façon , merci
Il est con ce Morris... Il a mis un pouce en bas....