Un discours qui me paraît censé et m'incite à tendre la main à ceux qui, morts de trouille, ont accepté et cautionné l'horreur, en montrant leur pass de la honte. Je crains (pour eux) par contre quand certains voudront continuer à jouer les grands humanistes...
Toute l'oeuvre de kubrick tourne autour de la domination. Le héros n'a que 3 choix : se soumettre et accepter d'être soumis, se soumettre et accepter d'être un prédateur. Se battre et mourir.
L’industriel synthétise le glyphosate, le politique l’autorise, le commercial le vend, l’agriculteur l’épand... disparition des insectes, des oiseaux, cancers. Fragmentation, déresponsabilisation, catastrophe... banalité du mal !
La banalité du Mal est quotidienne. Dans "Les Origines Du Totalitarisme" (1951) Hannah ARENDT l'a très bien identifiée et décrit dans ce Chef d'Oeuvre. Même si cette expression sort de l'ouvrage sur le Procès d'Eichmann, Hannah ne fait que compléter son analyse de son livre sur "les Origines du Totalitarisme", il suffit de relire le dernier chapitre "Idéoligie et Terreur - Une forme nouvelle de gouvernement". Il n'y a pas plus contemporain que cette description très juste... un diamant. Ce type de nouvelle forme de gouvernement prend les même travers que lors de la Pandémie du Covid-19. En France, le choix fut Autoritaire avec des accents de Totalitarisme. Certes, il n'y a pas eu de "Solution Finale", de "Shoah"... seulement un manque de lits en réanimation et de soins en France détruits depuis plus de 20 années. Mais la manière dont les actions ont été gérées, la privation des libertés, le nombre exponentiel de verbalisations réalisées qui furent bien plus que le nombre de masques distribués, les milices qui ce sont organisées, les dénonciations qui ont été engendrées... etc... etc... avec en point d'orgue, la quasi totalité des médias de la pensée unique.... J'attends avec impatience les 10 à 15 années qui séparent les faits et le récit "journalistique" à une vraie analyse historique et du même type qu'Hannah ARENDT sur cette pandémie du Covid 19 géré par un abruti fini : Emmanuel Macron. Christopher BROWNING et "Des Hommes Ordinaires" a fait un travail exceptionnel sur ce Bataillon de Police, idem pour Harald WELZER et Sönke NEITZEL avec "Soldats : Combattre, Tuer, Mourir". Tous ces excellents ouvrages complètent l'analyse d'Hannah ARENDT. On pourrait ajouter peut-être quelques analyses pertinentes de René GIRAD dans "La Violence Et le Sacré"... Tout ceci nous donnent des réponses et permettent de comprendre énormément de choses. La banalité du Mal est quotidienne.
Oui. Et "c'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal" - Hannah Arendt. Merci pour les pistes de lecture que vous suggérez. L'humain ne s'élève plus. Il régresse. La catastrophe est proche. Nous avons mis au pouvoir des enfants-roi exempts d'empathie. Et les soumis et les serviles sont légions.
@@rolanderijmenhout6097 En effet, mais il ne faut pas généraliser. Il y a des personnes intelligentes et responsables qui comprennent cela. On ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac 😉. En ces années 2020, c'est du Zemmour à en veux-tu en voilà. Pour les soumis et serviles, comme vous dites, un autre ouvrage magnifique "Discours De La Servitude Volontaire" d'Étienne De La Boetie (1574)... Toujours d'actualité. Je vous souhaite un excellent Dimanche.
@@lobservatoiresituationnist3583 Excellent ! C'est ce qui est aussi très bien décrit dans l'ouvrage d'Étienne De La Boetie "Discours De La Servitude Volontaire" et de Christopher BROWNING "Des Hommes Ordinaires".
Elle est intéressante, mais parfois elle se trompe. Les personnes qui sont dans le clivage ont toujours un souci avec l'émotionnel (Eichmann avait un souci avec cela; il pouvait mimer des émotions et des ressentis, mais il ne les ressentait pas comme les autres les ressentaient). Ce que nommait H. Arendt au niveau banalité, c'est qu'Eichmann n'était pas intelligent, il avait une existence ordinaire, ni plus ni moins, avec ce vide intérieur propre aux personnes dans le clivage qui l'empêchait de penser et de conscientiser qu'est-ce qui est bien et qu'est-ce qui est mal (la pensée donne cette sensation d'être plein, même en l'absence de biens matériels et d'activités physiques).
Bonjour! Vous avez peut-être raison dans ce que vous voyez, dans un sens, mais j'ai une autre impression. Pour moi, le souci émotionnel de Eichmann peut à la fois être caractérisé au plan psychologique, et physiologique, comme une pauvreté psychique qui prête à un conformisme aveugle. Ce que Cynthia Fleury énonce, c'est le fait que Eichmann est comme victime du système dans lequel il évolue, dans sa malléabilité morale propre, qui ne le différencie pas nécessairement de bien des gens normaux, si on les considère comme des sujets doués d'âme, mais "déconnectables". Le déracinement est d'ailleurs un procédé de la propagande hitlérienne, énoncée notamment par Aldous Huxley, dans "Retour au meilleur des mondes". Ensuite Cytnhia Fleury va parler du geste arendtien comme le geste de nommer l'absence de pensée, comme cause environnementale de l'effondrement d'un système social. Cynthia Fleury a déjà dit qu'elle avait besoin du concept d'âme pour penser l'être humain, et sans le nommer clairement, je ne pense pas que l'on peut négliger ce fait pour bien cerner son propos, car avoir un souci au plan émotionnel, cela relève d'une pauvreté psychique que permet l'acte de conscience de penser et que soutien une droiture que l'on ne peut attendre que d'une certaine veille. Le geste arendtien sera alors, si je comprends bien le propos de Cynthia Fleury, de faire contrepoids à l'effondrement moral par un retour au bien, en libérant la pensée de ses empêchements et des mécanismes de l'obscurantisme des totalitarismes de tout acabit, qui sont la mort de la pensée, laquelle doit être en possession de ses moyens, de ses appuis, d'une soi-connaissance minimale.
@@dominicmailhot1357 elle s'est trompée. Cela arrive. Que la société joue un rôle dans son dysfonctionnement pourrait être le cas de certains, pas du tout de lui !! La société ne cause pas son trouble, elle lui permet de le vivre pleinement sans limite ! Il présentait une psychose blanche, une psychopathie grave sans symptômes bruyants de délire, pouvant suivre ce qui est (si c'est la paix, il suit; si il faut agresser, il agresse). Les psychiatres devraient les pathologiser mais, comme vous le voyez, étrangement, les psychoses blanches sont étrangement excusées et banalisées par des professionnels, ce qui pose nombreuses questions éthiques, déontologiques, humaines... (voir travaux d'A. Green et de Jean-Luc Donnet sur la psychose blanche).
II est important de faire remarquer, que le mal n'est pas radical , il peu être absolu, féroce, atroce etc.. Mais pas radical au sens étymologique du terme. C'est le bien, le bon , l'harmonieux qui est radical, qui est à la racine de la vie elle-même. dans sa forme équilibrée , dans sa forme qui perdure et se maintien. Même si la vie intègre le principe de sa propre destruction et donc du mal . Chaque cellule vivante est capable de s'autodétruite (voir l'embryogénèse) Par extrapolation on peut dire qu'Eichmann était pseudo vivant loin de son humanité, loin de l'essence de ce qui le maintenait en vie
Établir des parallèles entre " la banalité du mal" et les travers du management contemporain...oh la la... voilà un propos audacieux et un tantinet...comment dire... politiquement fort incorrect...n'est ce pas carrément un peu dangereux ? Heureusement que Cynthia Fleury est une philosophe de renom car cela pourrait entraîner quelques ennuis...et heureusement aussi que des voix comme la sienne font écho à tant de silence...
L'historien Johann Chapoutot a publié "Libres d'obéir : le management, du nazisme à la RFA" chez Gallimard, Pas lu mais ça rejoint vos propos je trouve j’écris sur la banalité du mal en ce moment mais dans un sens différent de l'héritage d'Harent pour nous éclairer " Un être qui s'habitue à tout, voilà, la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme.Fedor Dostoïevski. Je suis aussi tombé sur Barthes penseur très important dont j'ai réussi à déchiffrer ce qu'il voulait dire " ce n'est pas empêcher de dire , c'est obliger à dire " on ne vous empêche pas de dire non mais on vous oblige à dire oui
De grâce, soignez votre français. Évitez par exemple les " c'est ça que ça raconte". Et j'en passe. Comment avec un tel niveau de syntaxe et de vocabulaire, vous présentez-vous comme une intellectuelle ? Évitez aussi le mot "chose' propre aux discussions de salon.
C'est de l'expression orale improvisée. Si vous voulez entendre des verbes conjugués à l'imparfait du subjonctif, il n'y a guère que sur France Culture que c'est encore possible.
Un discours qui me paraît censé et m'incite à tendre la main à ceux qui, morts de trouille, ont accepté et cautionné l'horreur, en montrant leur pass de la honte.
Je crains (pour eux) par contre quand certains voudront continuer à jouer les grands humanistes...
merciii pour vos sujets d'actualité, c'est vraiment bien d'avoir qqn chez les philosophes qui en parlent, du direct sur le réel ! MERCiiiiii
Toute l'oeuvre de kubrick tourne autour de la domination. Le héros n'a que 3 choix : se soumettre et accepter d'être soumis, se soumettre et accepter d'être un prédateur. Se battre et mourir.
L’industriel synthétise le glyphosate, le politique l’autorise, le commercial le vend, l’agriculteur l’épand... disparition des insectes, des oiseaux, cancers. Fragmentation, déresponsabilisation, catastrophe... banalité du mal !
Excellent ! Très bon exemple !
Et les cancers pediatriques sont en.augmentation .
Merci pour les générations futures !
@@oliviermisson8249C'est l' inévitable progrès,ou dégénérescence.
La banalité du Mal est quotidienne.
Dans "Les Origines Du Totalitarisme" (1951) Hannah ARENDT l'a très bien identifiée et décrit dans ce Chef d'Oeuvre. Même si cette expression sort de l'ouvrage sur le Procès d'Eichmann, Hannah ne fait que compléter son analyse de son livre sur "les Origines du Totalitarisme", il suffit de relire le dernier chapitre "Idéoligie et Terreur - Une forme nouvelle de gouvernement". Il n'y a pas plus contemporain que cette description très juste... un diamant.
Ce type de nouvelle forme de gouvernement prend les même travers que lors de la Pandémie du Covid-19. En France, le choix fut Autoritaire avec des accents de Totalitarisme. Certes, il n'y a pas eu de "Solution Finale", de "Shoah"... seulement un manque de lits en réanimation et de soins en France détruits depuis plus de 20 années. Mais la manière dont les actions ont été gérées, la privation des libertés, le nombre exponentiel de verbalisations réalisées qui furent bien plus que le nombre de masques distribués, les milices qui ce sont organisées, les dénonciations qui ont été engendrées... etc... etc... avec en point d'orgue, la quasi totalité des médias de la pensée unique.... J'attends avec impatience les 10 à 15 années qui séparent les faits et le récit "journalistique" à une vraie analyse historique et du même type qu'Hannah ARENDT sur cette pandémie du Covid 19 géré par un abruti fini : Emmanuel Macron.
Christopher BROWNING et "Des Hommes Ordinaires" a fait un travail exceptionnel sur ce Bataillon de Police, idem pour Harald WELZER et Sönke NEITZEL avec "Soldats : Combattre, Tuer, Mourir". Tous ces excellents ouvrages complètent l'analyse d'Hannah ARENDT. On pourrait ajouter peut-être quelques analyses pertinentes de René GIRAD dans "La Violence Et le Sacré"... Tout ceci nous donnent des réponses et permettent de comprendre énormément de choses.
La banalité du Mal est quotidienne.
Le mal, c’est l’Homme.
Oui. Et "c'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal" - Hannah Arendt.
Merci pour les pistes de lecture que vous suggérez.
L'humain ne s'élève plus. Il régresse.
La catastrophe est proche. Nous avons mis au pouvoir des enfants-roi exempts d'empathie. Et les soumis et les serviles sont légions.
@@rolanderijmenhout6097 En effet, mais il ne faut pas généraliser. Il y a des personnes intelligentes et responsables qui comprennent cela. On ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac 😉.
En ces années 2020, c'est du Zemmour à en veux-tu en voilà.
Pour les soumis et serviles, comme vous dites, un autre ouvrage magnifique "Discours De La Servitude Volontaire" d'Étienne De La Boetie (1574)... Toujours d'actualité.
Je vous souhaite un excellent Dimanche.
Banalisation, fragmentation et dilution du mal.
ua-cam.com/video/ObgE29XPzQ8/v-deo.html (en 50 secondes !)
@@lobservatoiresituationnist3583 Excellent ! C'est ce qui est aussi très bien décrit dans l'ouvrage d'Étienne De La Boetie "Discours De La Servitude Volontaire" et de Christopher BROWNING "Des Hommes Ordinaires".
Merci, très pertinent et clair
Banalisation, fragmentation et dilution du mal.
ua-cam.com/video/ObgE29XPzQ8/v-deo.html (en 50 secondes !)
Elle est intéressante, mais parfois elle se trompe. Les personnes qui sont dans le clivage ont toujours un souci avec l'émotionnel (Eichmann avait un souci avec cela; il pouvait mimer des émotions et des ressentis, mais il ne les ressentait pas comme les autres les ressentaient). Ce que nommait H. Arendt au niveau banalité, c'est qu'Eichmann n'était pas intelligent, il avait une existence ordinaire, ni plus ni moins, avec ce vide intérieur propre aux personnes dans le clivage qui l'empêchait de penser et de conscientiser qu'est-ce qui est bien et qu'est-ce qui est mal (la pensée donne cette sensation d'être plein, même en l'absence de biens matériels et d'activités physiques).
Bonjour! Vous avez peut-être raison dans ce que vous voyez, dans un sens, mais j'ai une autre impression. Pour moi, le souci émotionnel de Eichmann peut à la fois être caractérisé au plan psychologique, et physiologique, comme une pauvreté psychique qui prête à un conformisme aveugle. Ce que Cynthia Fleury énonce, c'est le fait que Eichmann est comme victime du système dans lequel il évolue, dans sa malléabilité morale propre, qui ne le différencie pas nécessairement de bien des gens normaux, si on les considère comme des sujets doués d'âme, mais "déconnectables". Le déracinement est d'ailleurs un procédé de la propagande hitlérienne, énoncée notamment par Aldous Huxley, dans "Retour au meilleur des mondes". Ensuite Cytnhia Fleury va parler du geste arendtien comme le geste de nommer l'absence de pensée, comme cause environnementale de l'effondrement d'un système social. Cynthia Fleury a déjà dit qu'elle avait besoin du concept d'âme pour penser l'être humain, et sans le nommer clairement, je ne pense pas que l'on peut négliger ce fait pour bien cerner son propos, car avoir un souci au plan émotionnel, cela relève d'une pauvreté psychique que permet l'acte de conscience de penser et que soutien une droiture que l'on ne peut attendre que d'une certaine veille. Le geste arendtien sera alors, si je comprends bien le propos de Cynthia Fleury, de faire contrepoids à l'effondrement moral par un retour au bien, en libérant la pensée de ses empêchements et des mécanismes de l'obscurantisme des totalitarismes de tout acabit, qui sont la mort de la pensée, laquelle doit être en possession de ses moyens, de ses appuis, d'une soi-connaissance minimale.
@@dominicmailhot1357 elle s'est trompée. Cela arrive. Que la société joue un rôle dans son dysfonctionnement pourrait être le cas de certains, pas du tout de lui !! La société ne cause pas son trouble, elle lui permet de le vivre pleinement sans limite ! Il présentait une psychose blanche, une psychopathie grave sans symptômes bruyants de délire, pouvant suivre ce qui est (si c'est la paix, il suit; si il faut agresser, il agresse). Les psychiatres devraient les pathologiser mais, comme vous le voyez, étrangement, les psychoses blanches sont étrangement excusées et banalisées par des professionnels, ce qui pose nombreuses questions éthiques, déontologiques, humaines... (voir travaux d'A. Green et de Jean-Luc Donnet sur la psychose blanche).
Merci!
Mme Fleury ne dit pas qu'il n'y a pas mime des émotions.Elle évoque( implicitement) le clivage d'où découle le faux self.
II est important de faire remarquer, que le mal n'est pas radical , il peu être absolu, féroce, atroce etc..
Mais pas radical au sens étymologique du terme. C'est le bien, le bon , l'harmonieux qui est radical, qui est à la racine de la vie elle-même. dans sa forme équilibrée , dans sa forme qui perdure et se maintien.
Même si la vie intègre le principe de sa propre destruction et donc du mal . Chaque cellule vivante est capable de s'autodétruite (voir l'embryogénèse)
Par extrapolation on peut dire qu'Eichmann était pseudo vivant loin de son humanité, loin de l'essence de ce qui le maintenait en vie
Banalisation, fragmentation et dilution du mal.
ua-cam.com/video/ObgE29XPzQ8/v-deo.html (en 50 secondes !)
Conbien CF a t elle facturé pour cette vidéo ?
Cf=?
Établir des parallèles entre " la banalité du mal" et les travers du management contemporain...oh la la... voilà un propos audacieux et un tantinet...comment dire... politiquement fort incorrect...n'est ce pas carrément un peu dangereux ? Heureusement que Cynthia Fleury est une philosophe de renom car cela pourrait entraîner quelques ennuis...et heureusement aussi que des voix comme la sienne font écho à tant de silence...
L'historien Johann Chapoutot a publié "Libres d'obéir : le management, du nazisme à la RFA" chez Gallimard,
Pas lu mais ça rejoint vos propos je trouve
j’écris sur la banalité du mal en ce moment mais dans un sens différent de l'héritage d'Harent
pour nous éclairer " Un être qui s'habitue à tout, voilà, la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme.Fedor Dostoïevski.
Je suis aussi tombé sur Barthes penseur très important dont j'ai réussi à déchiffrer ce qu'il voulait dire " ce n'est pas empêcher de dire , c'est obliger à dire "
on ne vous empêche pas de dire non mais on vous oblige à dire oui
MON DIEU QUE JE SUIS DACCORD AVEC VS ON EST EN PLEIN DEDANS ET LE SILENCE EST ETOURDISSANT
De grâce, soignez votre français. Évitez par exemple les " c'est ça que ça raconte". Et j'en passe. Comment avec un tel niveau de syntaxe et de vocabulaire, vous présentez-vous comme une intellectuelle ? Évitez aussi le mot "chose' propre aux discussions de salon.
C'est de l'expression orale improvisée. Si vous voulez entendre des verbes conjugués à l'imparfait du subjonctif, il n'y a guère que sur France Culture que c'est encore possible.
Povre esthète !