Je suis heureux de voir ce type de discours s'émanciper, j'ai arrêté complètement l'alcool depuis environ 3 ans, et pourtant je suis dans une famille de vrais alcooliques... Je souhaite tout le meilleur à ceux qui auront le courage d'outrepasser les normes sociales autour de l'alcool et de faire un pas vers une page meilleure hygiène de vie
Désolé même si je suis en parti d'accord avec ce que tu dis, je me permettrais de dire que c'est le discours de tout le monde pour se déculpabiliser. C'est d'ailleurs très bien expliqué dans le reportage. On pense toujours que nous ca va mais c'est les autres le problème. C'est quoi une consommation raisonnée ? On va pas se mentir même si pour beaucoup d'entre nous on a pas perdu pied face à l'alcool, faut arrêté cette hypocrisie datant de mathusalem qui minimise et normalise l'alcool.
Arrêt total de l’alcool depuis 8 mois . Et en effet je passe pour un extra terrestre dans mon entourage , c’est le monde à l’envers , c’est moi qui ait un problème d’après eux !! 😀😀
@@Dekalboy moi, pour rire, desfois je leur demande pourquoi ils ne prennent pas de la cocaïne à la place, tant qu'à se droguer, autant prendre quelque chose de génial! Haha
Quand j'ai arrêté de boire, je me suis réconcilier avec moi-même, j'ai dû me confronter à toutes les choses que j'ai refoulé pendant toutes ces années de cuites. Ne plus boire, pour moi, c'est la liberté.
Cette année, je fête mes 25 ans d'abstinence avec l'alcool. J'ai vécu pendant des années auparavant avec la bouteille depuis l'âge de 6 ans. Je n'ai pas que de mauvais souvenirs...En 1999, j'ai décidé brutalement d'arrêter de boire étant dans une situation financière catastrophique, mon cerveau qui commençait à vriller...Je souhaite à tous ceux qui souhaitent arrêter l'alcool beaucoup de courage, la Foi, deux éléments indispensables pour assumer cette décision. Frédéric, malade alcoolique, abstinent à ce jour 🙏.
Un autre rituel pour se retrouver est celui de boire du thé. Selon moi, quand je creuse, cette non liberté vis à vis de l'alcool, je la retrouve vis à vis de tout, la nourriture, le café, youtube... Et je n'ai pas envie, ni ne peut tout arrêter. Ce que je peux faire en tout cas c'est inviter la modération, pratiquer le jeûne et.. me rappeler que rien que je 'consomme' n'est ma véritable source de bonheur
Après une chimio j'ai voulu arrêter l'alcool (substance cancérigène), un tel pressions social m'a fait craquer. Aujourd'hui je bois très peu, même en soirée, et à chaque fois que je passe au soft j'ai le droit à des réflexions: "t'es malade ?" "tu conduit ?" "tu vas pas faire ta tapette !" "allez c'est bon quoi !". Merci pour ce podcast, on se sent moins seul 😊
@@samvabien2956 Courage, c'est les premiers mois les plus dur, de loins. Des rechutes sont possibles mais il faut s'accrocher. Au bout d'un moment on y pense plus, ça ne fait plus envie, et on passe à autre chose. Moi ça m'a pris 5 mois parsque j'ai fais quelques rechutes, et ça dépend de chacun. Mais maintenant c'est complètement fini, je le sens, et ça ne pose aucun problème bien au contraire 😊
@@Cedrico1994 salut et merci . en effet j'ai bu un pack de 6 fois 25 cl avant hier, j'ai trouvé la bière fade et être un peu saoul ne m'a pas plu. je vais attendre autant que peux avant la prochaine bière. j'ai fini par comprendre que c'était pas une aide mais le problème , et qui m'a fait faire beaucoup d'erreurs . tu as raison, ça ne me fait plus envie non plus .merci encore, bonne soirée à toi
Je suis alcoolo dépendante et c'est un autre problème mais ça fait plaisir que le sujet soit évoqué et peut contribuer à changer le regard social (et donc le nôtre )
Pour moi, sans avoir été jusqu'à l'addiction c'était les soirées tous les week-end qui m'ont fait me poser la question : est-ce que tu es capable de ne plus boire d'alcool en soirée alors que les autres continueront ? Du coup, du jour au lendemain, j'ai arrêté et j'ai continué les soirée au Thé ou jus de fruits 😊 ... et je suis devenu le SAM attitré 😉
J'adorerais avoir un épisode parlant de ce "renouvellement de la carte des boissons" car de mon point de vue, choisir de boire de l'alcool c'est à la fois social mais aussi j'ai l'impression que dans beaucoup de bars, seuls les alcools ont de l'intérêt (les bières sont souvent locales, artisanales, bio) alors que les "alternatives" softs sont toujours les mêmes: Coca cola, Ice tea, Minute maid, de grosses entreprises qui me font préférer le choix de l'alcoolisme et de la bonne action. Voyez vous?
Il est clair qu'une bonne part a plus de diversité côté alcools que côté soft, même dans les cocktails par exemple. Alors qu'il y a des établissements qui font des efforts là-dessus et peuvent proposer des boissons très sympas :)
Clairement,il y a jamais d'eau aussi pour celui qui veut ni boire alcool ni des cocktails mais juste voir amis si il faut être bourré pour être sociable il y a pas grand chose à retenir en amitié trouble des le départ
Être ,'sociable en buvant' êtes vous certains de l annonce ? Prenez un repas sans alcool, le niveau du cortex frontal cérébral constant, de l entrée à la tarte grand mère. La raison garde les amis. Être ''sociable en buvant ' venez oui oui venez écouter un groupe de soutien aux proches de personnes dépendantes ( groupe al anon, il y en a d autres). L ami , hésite, je reste au côté de celui devenu dépendant ou je pars en courant, c est devenu tellement toxique tellement asocial donc.
J'adore ce podcast, mais de plus 3n plus j'ai parfois l'impression de rester sur ma fin, que certains sujet sont survolés et que ça ne va pas assez en profondeur. Questionner son rapport à l'alcool, ok. Mais Quid de l'influence des lobbies ? Ok on parle de la vision esthétisante de l'alcool dans les séries mais justement, d'où ça vient ? Comment l'alcool a pris une part si importante dans nos sociétés ? La réponse culturelle n'est plus suffisante en plein capitalisme. Comment l'alcool a été rendu si présent ? Si promu ? Une petite analyse sur les lobbies marketing et les grands groupes aurait apporté un peu plus de profondeur je pense. À ensuite relier avec "attention l'alcool est dangereux..." Et pour autant pas de changement dans les habitudes. Puis faire le lien avec un nouvel épisode qui présenterait ce revirement de la nouvelle génération qui se détache de l'alcool, les interroger sur leurs valeurs, leurs motivations permettrait de boucler la boucle. Épisode 1 "nous avons un pb", épisode 2 "comment on en est venu à avoir un pb", épisode 3 "un monde sans alcool ?"
Merci, ce que je vois c'est un podcast qui est devenu bien bourgeois et qui ne parles plus de lutte des classes. Et ici des personnes bien alcooliques mais qui passent tout l'épisode a essayer de justifier pourquoi elles ne veulent pas traiter leur situation en se représentant dans l'image de l'alcoolique détruit par la vie, proletaire fantasmé par la bourgeoisie, qu'elles ne font pas partie de "ces gents là". La concequence, une critique du rapport a l'alcool qui parle de sois mais pas de société,je ne trouve aucun humanisme là dedans, on sort de la gauche ... Dommage
Blast a fait une vidéo très interessante sur la question des lobies du vin qui mettent la pression pour réduire la prévention: ua-cam.com/video/OZ_VdHOsI14/v-deo.htmlsi=eA-AWDx9rgRl3nwj
Commentaire très pertinent. Il y a effectivement la question des lobbies et des intérêts économiques, mais on pourrait également aborder la question de la façon suivante : d'où viennent les addictions et les comportements nocifs pour sa santé et celle des autres ? Qu'est-ce qui fait, en dehors du côté culturel, qu'on ressent le besoin de faire de grosses soirées, de se lâcher en fin de semaine ? On sait par exemple que les situations difficiles de la vie (stress, etc) favorisent les addictions. On peut aussi s'interroger sur nos modes de vie (conditions de travail, vie chère, précarité, vie de couple compliquée...), qui font que la pression s'accumule toute la semaine, créant un besoin ou une envie de l'évacuer régulièrement.
Tout le monde ne lève pas le coude autour de moi, je ne sais pas si c'est une exception ou un phénomène qui démarre. Notamment dans certaines associations très festives, l'ambiance est totalement sobres, cela n'empêche pas de beaux moments de folie :) On peut espérer que les gens commencent à savoir que l'alcool n'est pas seulement nocif à forte dose, mais dès la première goutte. Et il y a tellement d'autre façons magnifiques de profiter de la vie !
Parceque les lobbies de l'alcool ne veulent pas que on sache que c'est une drogue dur et meme plus que la cocaine heroine etc, il perdrai trop d'argent.
Jour 6 de mon dry january : tout va bien. Ah oui j'oubliais, je nai que tres peu de tentation car je me suis exilée à l'étranger récemment. Bon courage à tou ceux qui le font. L'ayant fait il ya 2 ans, c'était riche en apprentissage
Jour 6 du mien, j'arrive à ne pas boire et pourtant j'ai de quoi faire. C'est top le dry january car j'ai l'impression que de plus en plus de personnes le font J'ai décidé ça le 31 en me rendant compte que ma consommation était excessive et journalière
J'ai fait un dry January cette année... Sans même le vouloir. Ça s'est juste fait comme ça : peu de sorties ce mois ci et pas de raison particulière de boire de l'alcool (malgré une petit collection de whiskies).
Très interressant (j’en ai appris et pourtant je me goinfre de lectures et vidéos sur le sujet depuis un an). Traiter de façon aussi profonde le sujet sans parler d’addiction (c’en est une, même si ce n’est « que » une addiction sociale m) est très fort et permet de communiquer sur le sujet de façon plus claire.
Merci infiniment ! J ai eu une conversation qui reprend les grosses lignes de ce podcast avec ma voisine que j avais invité au nouvel an, elle a clairement un problème avec l alcool et elle a rejeté assez violemment la conversation...moi je ne bois pas
Super podcast qui remet vraiment en question notre rapport à l'alcool 👍. Pour ma part,j'aime boire occasionnellement et en petite quantité. Etant donné que j'ai horreur de perdre le contrôle de moi-même et d'être dans le mal,j'ai été très rarement en état d'ivresse. Quand je bois et que je sens que je suis à ma limite,je stoppe et je passe aux boissons non alcoolisées. Il m'arrive parfois même de boire que du soft en soirée. Cela me permet d'être pleinement consciente et de profiter de l'instant présent. En grandissant,j'ai d'ailleurs remarqué que les critiques s'estompent et que l'incitation est de moins en moins présente au sein d'un groupe 😊
Je me reconnais énormément dans cette histoire. Perso, ce que j’essaie de faire en ce moment (faute d’avoir trouver de la doc sur le sujet) et ça marche assez bien, est d’arrêter d’acheter mes bières préférées. Et du coup j’ai brisé mon habitude de boire en faisant à manger.
Première partie très intéressante > la notion sociale et traditionnelle > sauf que cela n'est que la partie visible > en réalité c'est juste l'illusion normalisée. Ancienne Buveuse = Abstinente et Sobre depuis 8ans membre active d'un Groupe de Paroles ( Vie Libre : AAVL : Alcool Addictions Vie Libre) Je rappelle que tout le monde n'est pas égal face à l'alcool dans ce cas précis ou et au Produit. Le Vrai sujet c'est l'addiction et ce que cela soutant > - Le cerveau - Les Émotions - Nos Traumas et parfois voir souvent des pathologies mentales Dans mon cas, j'ai découvert que j'étais HPE Haut Potentiel Émotionnel( anciennement nommé hyperactive), avec TDHA avec une part de syndrome d'asperger... L'alcool et ou d'autre produits ne sont que l'arbre qui cache la forêt en général > d'où le terme de maladie. Il faut absolument pouvoir se faire aider car un arrêt seul peut être fatal > accompagnement obligatoire + thérapie à s'imposer. Merci pour ce très bon podcast.
Conclure en devant être bourré.e.... peut etre faut-il revoir aussi les étapes de séduction et de passage à l'acte voir les ralentir ou les redéfinir en écoutant son propre rythme ❤ Tout est interessant dans ce podcast, notamment le passage sur les abus de consentement quand on est alcoolisé. Merci !
Trop bon à écouter j’suis dans ce problème d’alcool depuis mes 17 j’ai 37 ça me suis toujours j’aime écouter c’est témoignage les gens qu’on aime est a qui ont déçois malgré la volonté il faut de l’aide
Les personnes qui vous aiment, ont tout compris. Restez Zen. Ne culpabilisez pas. L addiction est la consequence d in trauma de l enfance. Etes vous responsable de cela ? Non
Podcast intéressant. Je comprends qu'on ne veuille pas de l'étiquette d'alcoolique ( " je n'ai pas besoin d'un diagnostic, j'ai besoin de me défaire d'une habitude" ). Soit. Mais quand on en est à se dire " Ce n'est pas moi, c'est mon cerveau " et que ce constat révolutionnaire vous libère, le niveau d'acceptation du réel et de la responsabilité individuelle dans les actes n'est quand même pas top. Ça me fait penser aux gens qui devant la dérive totalitaire qui a eu lieu en France, lorsqu'on les interroge sur leurs passivité ou leur soumission, disent " Mais attends, le Président, les gens l'ont élu quand même". Oui, non seulement tu veux pas t'interroger sur tes actes, mais en plus tu renvoies sur le choix de 15 % du corps électoral au premier tour. Alors, pour revenir à cette femme, elle a certes été bien inspirée de consulter la documentation anglo-saxonne, mais ses qualités ( en particulier la vivacité de ses analyses ), tout comme ses défauts ( déni ultime du réel sur son plan " politique " : à savoir la responsabilité de l'être humain) sont bien représentatif du paradoxe français. Je rappelle qu'on est aussi les plus gros consommateurs d'antidépresseurs et également de cannabis en Europe, donc ce n'est pas qu'une culture de la convivialité, il y a aussi la recherche d'anesthésie collective bizarrement en interface avec un niveau de conscience psychologique en moyenne et culturellement plus poussé qu'ailleurs.
L'alcool me permet de sentir l'ivresse parce que je m'ennuie souvent. L'alcool me permet de diluer mon esprit, avec son côté anxiolytique. Certains mauvais esprit parlent d assomoir.
@@larietournelle7904 : Je te comprends parfaitement, je suis dans le même cas, comme beaucoup de personnes malheureusement... D'ailleurs, je pense que je vais aller me boire un petit peu de Gin.
Gérant de HCR J’ ai toujours su que l ´alcool que je vendais modifiais les humeurs et les interprétations de mes clients Moi sobre comme un poisson il M’arrivait de me demander : que fais-tu là ? Ok il y’a la caisse
Je suis passé de gros fêtard a alcoolique suite a un drame personnel. Maintenant c'est fini je ne bois plus du tout. Ce n'était pas facile d'arrêter d'autant plus qu'il y a toujours une occasion. J'ai finir par dire a tout lon entourage que pour moi c'était complètement fini, maintenant on ne m'en parle plus et c'est tant mieux. Je m'amuse toujours autant quand je vois mes amis, voir plus. Sauf quand ils sont tous bourré je préfère partir, en vérité les gens complètement saouls se crois drole mais c'est loins d'etre le cas. Je suis tres content de m'etre sevré et je me sens beaucoup mieux comme ca.
Apprendre a se détendre sans alcool, sans Sucre, sans cigarette, dans chocolat, apprendre à gérer ses montees de stress, ses tracas sans tt ca ... c est le meme dada:) mais ca pd du temps et du boulot sur soi! Faites vous accompagner, ce n est pas rien et tt le monde y passe donc pas de quoi se flageller! Courage à ceux qui font le chemin:)
À mes yeux, l’épisode de l’aéroport correspond à une personne alcoolique plus qu’une personne « qui boit de l’alcool » et 2 bouteilles d’alcool à une soirée c’est aussi quelqu’un qui a un problème avec le liquide
Oui, mais on a affaire à quelqu'un qui ne se rend pas compte que défigurer sa fille à vie n'est pas une raison de ne plus jamais boire une goutte d'alcool.
Personnellement, j'ai l'impression qu'il y a un besoin de juger les autres afin de se juger soi-même. Quand on se bourre la gueule a l'aéroport avec sa fille de trois ans, il est grand temps de se remettre en question !
J'aime l'idée ! En plus de réfléchir et se questionner sur des phénomènes de société, pourquoi ne pas en plus imaginer les scénarios qui permettraient de réinventer le monde ? Maintenant que nous avons identifié tel ou tel pb, quelles réponses collectives pouvons nous apporter ?
Il est aussi possible de reprendre le contrôle sans arrêter. Un problème de l'arrêt total est le non droit à l'erreur. J'ai compté ma consommation précisément pour ensuite me fixer des objectifs (évolutifs à la baisse). Le fait d'être sportif aide beaucoup j'imagine. Je suis désormais facilement en-dessous de la consommation recommandée en France (moins de 10 doses par semaines, 3 doses maximum par jour et pas tous les jours) et surtout je n'ai plus de dérapage qui amène à la dépression du lendemain entre autres.
Je suis d'accord avec vous, il n'y a d'intérêts a vouloir tout arrêter. Gestion de soi et de ses émotions. Du temps et du travail. L'arrêt demande trop de tentions au quotidien.
@@Cmoipsy Je pense que cela dépend des personnes. La tension est là aussi avec la diminution, surtout au début. Et si, il y a au moins l'intérêt de la santé, c'est sans équivoque.
Je partage la vie d'un alcoolique et j'étais persuadée qu'il perdrait le contrôle s'il reprenait ne serait-ce qu'une goutte. Puis j'ai cru l'inverse. Avec plus de 10 ans d'expérience, je reviens à la théorie initiale : pour un "vrai" alcoolique, même une goutte c'est le début de la fin....
@@nathaliemargueritte4561 Désolé de l'apprendre. Un "vrai" alcoolique :/ Je pense qu'il nous faut trouver plus de degrés de précisions que : abstinent / alcoolique normal pour un français / vrai alcoolique.
Un épisode sur ce sujet dit tabou par certains me fait beaucoup de bien. À cause de ma maladie, je n'ai pas le droit de boire l'alcool et je remarque donc l'intérêt dit social de la boisson. En soirée si la personne ne me connaît pas, la première chose ce: " pourquoi tu ne bois pas ? " ou " tu ne bois pas de l'alcool ? ! " et qu'ils veulent savoir le pourquoi comme si c'était anormal. Il y a quand même dans le tas avec le temps des gens qui me répondent : " "tu as bien raison ". Mais le côté social est aussi dans le fait que tu es soit obligé de prévenir l'hôte soit tu ramènes ta bouteille de soft parce que à part de l'eau il n'y a souvent pas d'alternative chez la personne. Cela m'est arrivé que la personne me dise : " ah , bah j'ai rien d'autre à te proposer " . J'ai aussi vécu l'inverse, j'avais organisé chez moi et mes amis étaient au courant donc mon meilleur ami m'a dit : " on dirait un goûter d'anniversaire " parce qu'il y avait que des softs , je l'ai très mal pris . Donc MERCI pour avoir aborder ce sujet dont peu de personnes parlent.
C'est très intéressant merci. Par contre il serait sûrement mieux de faire expliquer les neurosciences par des neuroscientifiques, notamment sur l'attribution faite aux neuro transmetteurs. Cf. Albert Moukheiber qui fait preuve d'une grande prudence vis à vis de cela.
Socialement, je trouve qu'il est plus facile de présenter son refus de boire de l'alcool, par un "je ne bois pas de trucs sucrés, je tiens à ma ligne" (vu positivement), plutôt que "je ne bois pas d'alcool", qui est perçu comme un refus de faire la fête 🎉 (super négatif). Pour lutter contre la pression sociale du pot entre amis, utilisez une autre pression sociale, celle du culte du corps et ça passe crème ^^
Tres intéressant, jusqu’à la conclusion pour ma part. C est fatiguant que tout soit rapporté au relations homme/femme avec le sous-jactent que les hommes sont encore plus ou moins coupables de la situation. Si une femme est timide (et féminisme), ce n est pas mon problème si elle a besoin d être à 2G pour accepter de parler à un homme.
C'est la réflexion que je me fais. Pourquoi des réactions si virulentes? Serait-ce parce que se poser la question de son propre rapport à l'alcool met mal à l'aise...
Il y a-t-il un DM pour partager sur les idées développées, que ce soit la consommation, l'arrêt, l'envie ou autres, juste des inputs à l'etudes, très intéressante
Dans la serie How To Get Away With Murder , l'alcoolisme de Annalise Keating (l'avocate) est montré de maniere tres peu glorieuse , elle se bat contre cette addiction au fil des saisons et on voit que sa consommation est tres destructrice , son succès n'est pas du tout du a sa consommation dalcool dans la serie
c'est le commentaire que je cherchais ! la série le montre très bien que ça l'a rend minable et même que ça entrave sa carrière (peut être pas dans le première saison cependant)
@@vba2469 oui , j'ai aimé le podcast aussi , je tenais seulement à soulever cette précision. Autrement , c'est réellement ma façon de penser depuis quelques années. J'ai étudié le rapport à l'alcool et l'alcoolo-dépendance pendant 2 ans et rédigé un mémoire sur le sujet , donc je n'ai pas forcément appris grand chose , mais je trouve que le message véhiculé est important , et peut produire chez certains une prise de conscience donc c'est super cool 😊
Je ne suis pas vraiment d'accord. Personnellement je trouve que les gens qui cherchent des prétextes pour boire c'est se déculpabiliser en se disant que c'est juste "la fête" Je bois souvent des bières chez moi mais je boirais pareil si je suis seul ou en compagnie de mes amis !!
Le paradoxe c’est que alcool égale mauvais mais égale aussi société. On a pas envie de vivre seul pour y échapper ( en ville ou en montagne ). Tout n’est pas blanc ou noir, alors ce qu’il faut c’est réfléchir à la démarche et au priorité, apprendre à être extrêmement bon dans nos choix.
Vraiment désolé mon commentaire va être très très long ! Par ce que c'est important d'en parler. Mon rapport à l'alcool a commencé en 2008, lors de mon entrée chez Look Voyages et Club Med. À cette époque, l’alcool était un moyen de "se lâcher", de "se rendre plus drôle", et de tenir la saison, les 8 mois loin de la France et hors de tout repère. Tout le monde buvait, souvent avec excès. Après trois ans d’alcool quotidien, j'ai rencontré mon ex, qui buvait beaucoup aussi. Nous avons partagé cette habitude ensemble pendant presque deux ans. La machine était déjà bien en route. Les "apéros" familiaux ont aussi joué un rôle, l’alcool y était toujours présent. On proposait même aux enfants de goûter, c’était presque un jeu, une tradition "latine". En parallèle, les soirées avec les amis étaient dominées par la boisson ; refuser un verre, c'était s'exposer à l'exclusion ou au jugement. Ne pas boire signifiait être perçu comme l’extra-terrestre du groupe. Les années passant, j’ai rencontré ma femme, qui boit très peu. Elle a une histoire compliquée avec l’alcool, liée à sa famille. Je me suis adapté, j’ai considérablement réduit ma consommation. Mais plusieurs événements m'ont ramené vers l’alcool : des disputes, des angoisses, du stress. À ce moment-là, l'alcool était devenu un moyen de relâcher la pression. Une journée de travail terminée se ponctuait toujours par une bière ou deux, un verre de vin ou deux. Pas une soirée sans alcool. En 2019, la naissance de mon fils a provoqué un tournant. Après une grossesse difficile et des problématiques familiales du côté de ma belle famille, je me suis retrouvé face à ce nouveau rôle de père. J’avais peur, je me sentais dépassé. Nous étions les premiers de notre groupe d’amis à avoir un enfant, et la pression (inconsciente) sociale se faisait ressentir. Mon hygiène de vie était alors catastrophique : je fumais, je buvais beaucoup, juste pour "tenir". En 2020, ma consommation s'est calmée, mais restait sans réelle maîtrise. En 2021, à 31 ans, je suis retourné aux études, sans diplôme de base, avec seulement un BPJEPS en poche. J’ai intégré une formation d’éducateur spécialisé et une licence de sciences de l’éducation en parallèle. Je me suis aussi remis à la musique, signant des contrats lucratifs. J’ai découvert une passion pour l’apprentissage, l’écriture (c'est à ce moment-là que j'ai commencé à écrire mon roman qui sortira je l'espères pour 2025) , et je me suis remis au sport. C'est également en 2021 que j'ai vu une vidéo de Jérémy Ferrari parlant de son addiction à l’alcool. Cela a été un premier déclic. J’ai pris conscience que j’avais un problème avec l’alcool. Malgré cela, le chemin vers l’arrêt a été long. Je buvais en cachette. L’alcool me désinhibait, je pensais que cela me détendait, mais en réalité, je sombrais de plus en plus. À ce moment-là, ma relation à l'argent était également chaotique : je gagnais beaucoup, mais je dépensais sans compter, souvent dans n’importe quoi. Pendant ce temps, ma femme gérait tant bien que mal les finances, l'organisation, une charge mentale énorme, trouvant des cannettes et des bouteilles d’alcool un peu partout. Elle m'en parlait, essayant différentes approches pour m'aider, mais son propre passé familial lié à l’alcool compliquait encore les choses. En 2022, notre fille est née. J’ai arrêté de fumer et j'ai pris le sport comme une habitude. Bien que la grossesse se soit bien passée, l’après a été plus difficile. Je devais être là pour ma femme, mon fils et maintenant notre fille. Mais malgré mes efforts, je continuais à boire, en ressentant une honte immense. J'avais honte de boire et encore plus de faire subir cela à ma femme. J'ai réalisé que dans notre société, être addict à l'alcool est stigmatisé. Les gens jugent facilement, car tout le monde à sa propre définition de "l'alcoolique" et c'est mal vu... Un homme qui boit, ça passe, c'est "un bon vivant" . "Oh ça va, c'est Dédé, il est bourré" on en rigole... et il faut savoir qu'une une femme qui boit est plus durement critiquée. Pendant tout ce temps, je voyais ma psychologue, un soutien qui m’a permis de ne pas être jugé. Aller voir un psy, c’était pour moi aussi important que de faire du sport. Et puis, en juillet 2024, j'ai pris une décision qui a changé ma vie : j’ai arrêté de boire. Cela faisait longtemps que je me préparais à ce moment. J’ai pris des vacances avec ma femme et mes deux enfants, et j'étais inquiet à l’idée de retrouver mes amis d’enfance, pensant que les soirées seraient synonymes d’alcool. Mais à ma grande surprise, tout s’est passé merveilleusement bien. Je n’ai pas ressenti le besoin de boire, et j’ai découvert que je pouvais passer des moments incroyables sans alcool. J’ai reconnecté avec mes enfants et ma femme, avec plus de sincérité, de patience, et de détente. Aujourd’hui, je suis sobre et vigilant, vivant jour après jour sans l'alcool, qui ne me manque absolument pas. Grâce à l'amour de mes enfants, de ma femme de ma thérapie et de l'application : "I m Sobber" que je conseille vivement à toutes personnes ayant besoin d'aide. J’ai retrouvé confiance en moi, je suis plus sportif, je mange mieux, je suis moins irrité et irritable. Ma relation avec ma femme et mes enfants s’est renforcée. En arrêtant l’alcool, je répare mon corps, mon foie et mon cœur. Je fais de nouvelles rencontres et m'amuse tout autant qu’avant, sinon plus. C’est la meilleure décision que j’ai prise dans ma vie, et je suis fier de ce chemin parcouru. "Je ne suis pas encore là où j’aimerais être, mais je suis fier de ne plus être là où j’étais." Prenez soin de vous. Sylvain Ledy Berry
Les humains s’amusent non pas pour être heureux mais pour oublier qu’ils ne sont pas heureux La modération dans l’alcool et dans tout est la voie la plus difficile L’alcool illusionne celui qui le consomme Paroles d’un gérant d ´HCR
Interessant cet angle de l'alcool vu au travers de la dépendance sociale. D'ailleurs cette dépendance ne concerne pas que l'alcool, mais aussi le tabac, la mode et la consommation en général...
Je préfère boire seul que mal accompagné . Autour de moi on ne bois plus. Mais il est vrai que lors d'un apéro ou une tablée certains insistent lourdement pour vous servir de l'alcool .
J'ai bien aimé ce podcast, très intéressante démarche. Mais perso je suis dans la démarche opposée. J'ai très bien compris les mécanismes physiologiques à l'œuvre dans notre cerveau (depuis des années, j'ai arrêté le sucre si on excepte l'alcool) et notre système digestif et j'ai bien aimé dans le podcast quand elle dit ''mais en fait ça n'a rien à voir avec Moi'' et sa volonté de se distancier avec son cerveau. (vers 17min) Mais rien à faire. J'aime boire. J'aime le gout des bières (pas toutes évidement), des vins, de certains spiritueux. J'aime l'ébriété. J'aime le fait que ça soit un anxiolytique puissant et que j'ai besoin de ça étant très anxieux par nature (avec ou sans alcool puisque je l'étais déjà gamin). Donc oui je bois, j'assume de le faire, je ne complexe plus là dessus. Mais je m'impose des limites conscientes; quasi jamais de spiritueux, pas plus que ma consommation courante, bien s'hydrater, se supplémenter avec certaines vitamines et minéraux pour équilibrer les effets nocifs de l'alcool. J'ai même réussi ainsi à diminuer ma consommation d'alcool par rapport à il y a quelques années où j'étais en mode 'sans limite'. Au final consciemment je suis entré dans l'art de profiter avec raison d'un bon produit riche en histoire, en culture et en convivialité. Comme énormément de nos ancêtres pouvaient le faire avant.
Beaucoup de gens qui picolent trop et son talcoolo ne le sont que par pure dépendance physique et pour se bourrer la gueule. Le plaisir du gout n'arrive qu'en second .
Moi aussi . De toute façon par quoi changer le petit verre de vin ou la bière à la terrasse. ? C'est hyper agréable .Je me fais une limite . Un verre et uniquement le soir quand je suis dehors . 3 verres de vins le soir en mangeant un bon repas . Sinon le reste du temps je suis clean . Mais je ne vais pas tomber dans l'hygiénisme et j'aime le vin et sa variété et d'accorder tel ou tel vin avec tel ou tel plat
Vécu très similaire. Je buvais seulement à l'occasion, en groupe et sans grand excès. Mais l'alcool était un lubrifiant social, une béquille à tout coup. J'en avais besoin pour me sentir dans le coup en soirée, et pire encore, pour arriver à endurer la présence de gens de mon entourage qui me font sentir comme de la merde. Le déclic s'est fait à mes vingt-huit ans. Je n'ai rien bu depuis une décennie. Je ne fréquente plus les gens qui me pousse à boire, et quand je ne peux éviter leur présence j'ai développé d'autres outils pour les endurer.
Certains exemples montrent tout de même bien les ravages de l'alcool : dans bridget jones nous voyons bien la honte, la gêne de elle-meme ou par rapport aux autres que certaines situations de cuite lui procure. Dans le reportage io est dit "ne pas boire est un super pouvoir, je peux choisir qui je séduit..." Oui enfin il faut que la personne en face soit aussi non alcoolisée sinon ça ne marche pas.
Il semble que dans chaque verre il y ai la dose suffisante pour oublier ou se libérer d 'avoir déjà bu le verre précédent et cette règle s applique a tous
Oui mais deux verres de temps en temps... C'est hyper vague. On ne sait pas la taille du verre, le type d'alcool... Si tu bois 2 verres tous les mois ou tous les deux mois, tu n'as pas à y réfléchir.
L'important est il de ne plus vouloir vivre de telle ou telle manière ou de de vouloir vivre autre chose? Personnellement c'est cette envie de vivre autre chose après avoir bien profité, et bien entendu subi, de différents états altérés. Tant que je culpabilisais et me comparais aux autres ça ne fonctionnait pas.
C'est insidieux, je me retrouve totalement dans le propos, mais avec le cannabis, où toutefois les effets ne sont pas les mêmes mais sont aussi nocifs sur le long terme, avec un modèle binaire qui n'aide pas à comprendre, et une consommation qui permet de paraître là où au fond vous n'êtes plus qu'un légume mais qui ne se voit pas tellement
Bonne question . Le vin fait partie de notre culture mais certains veulent éradiquer cette culture. Je bois parfois trois verres de vins associés à un bon repas . Je ne vois pas le problème. Je peux m'arrêter pendant quelques jours et reprendre . Cela ne m'empêchait pas de faire du sport .
Le fait qu'elle n'arrive pas à se considérer alcoolique (et maltraitante envers ses enfants mais c'est un autre débat) alors qu'elle n'est pas capable d'emmener sa fille aux urgence montre l'ampleur du problème, et du déni...
Et c'est bien ça qui rend la situation si difficile. Personne n'a envie de se reconnaitre comme alcoolique ou que les autres vous considèrent comme alcoolique, alors on reste dans le déni, jusqu'au moment où quelque chose, peut-être, nous fait ouvrir les yeux. Première étape: on reconnait qu'on " a un problème avec l'alcool". Il faut parfois du temps ensuite pour réussir à prononcer les mots "je suis alcoolique".
Tout à fait d’accord. Et puis, le quasi dénigrement des personnes dépendantes est limite avec des« j’avais pas envie d’être dans la catégorie alcoolique », « sue Ellen »… c’est très très limite je trouve. Je parle en connaissance de cause.
Déjà quand tu vas chez le caviste pour ramener une bouteille à l'apéro des potes tu fais partie de la haute... Une bouteille de fond de rayon au Casino du coin et tous le monde est heureux !
Les trois dernières minutes sont primordiales : rapport alcool/sexe. Et oui car c'est la qu'est toute la problématique liée à l'alcool. Le buveur s'invente une vie sexuelle qui très vite le dépasse et l'emprisonne (à vie). Celui qui ne boit pas est un marginal, celui qui ne baise pas (à la mode de chez nous) n'en parlons même pas! Celui là est à coup sûr victime dune affreuse pathologie. Réveillez vous, affranchissez vous de ce récit qui fait de nous des victimes et des Esclaves, c'est le moment de dire non.
En effet, même quand on a clarifié notre propre rapport à l'alcool, ça reste un sujet face à l'incompréhension et l'insistance des autres. Alors que personne ne posera de question si on dit qu'on ne fume pas.
@@simonfz99A l'évidence si il est toujours invité c'est que ses amis sont assez matures pour ne pas le rejeter pour une simple divergence d'opinion. Quand j'ai arrêté de boire certains ont continué à m'inviter, d'autres non. Ça a fait du tri et c'est très bien comme ça ;)
Très bonne vidéo ça change du discours américain qui nous explique des nôtres adolescence que la vie c'est Américain pie et si t'as pas la grosse maison pas grave t'a alcool. Et franchement le vin c'est mauvais
J'ai rien dit sur tout les autre commentaire, mais là tu a abuses quand même! Le vin c'est très bon mais il faut le consommer telle un accompagnement avec un plat, et non comme de l'eau ou du soda.
J ai lu ce livre récemment ainsi que " sans alcool " de Claire Touuzard qui suit la même ligne. Effectivement ce qui est dérangeant c est de se rendre compte de sa dépendance même considérée comme acceptable = 1 ou 2 verres par jour. Et cette pression des autres quand tu décides de faire autrement. Perso je fait un dry january du lundi au vendredi et m autorise 1 verre ou 2 le week-end. Pas non plus envie de tomber dans un conditionnement inverse du" 0 alcool" mais juste reprendre la main sur ma consommation et me débarrasser de cette habitude débile de prendre un verre après sa journée de travail. Je me rends compte que ne plus boire comme les autres c est ça être un rebelle.
Toi t'es Parisien. Il n'y a que chez les citadins CSP+ qu'on est stigmatisé parce qu'on boit pas un verre après la taff. Chez les ouvriers quasi personne ne fait ça. Du coup j'espère que les leçons de morale c'est seulement pour votre milieu.
L'alcool est dans tous les milieux sociaux. Pour les tests en ligne pour s'évaluer par rapport à l'alcool, après avoir vu une affiche dans une salle d'attente j'ai fait ce test le résultat fut que j'avais un souci avec l'alcool. Ce test n'est pas très pertinent car il se basait sur la consommation de la semaine passée et j'avais eu qq événements (nouvel an et un anniversaire où j'avais bu trois et deux verres et ras le reste de la semaine). Donc attention à la fiabilité des tests qui devraient porter sur une période plus longue, mais cela permet de s'interroger dans sa relation avec l'alcool. Et bien avoir en tête que l'espérance de vie diminue dès le premier verre.
" plus on boit plus on a envie de boire, mais c'est pas moi"..... Oui oui le principe de récompense et dopamine vaut pour tout, chocolat, sexe, Mac do etc... Je veut bien qu'on explique les phénomène, mais faut pas se cacher derriere
Podcast très intéressant avec de très bonnes pistes de réflexion, même si ça ne m'aurait pas dérangé qu'il soit plus long et pousse un peu plus la thématique. Par contre, je trouve que la série How to get away with murder est un très mauvais exemple de l'image de la femme forte et indépendante pour qui l'alcool n'a aucune conséquences. Au contraire la série montre la relation difficile qu'a Annalise avec l'alcool et les conséquences que finissent par avoir son alcoolisme sur ses relations et sur son travail. Le tout reste relativement dramatisé, mais je pense que l'autrice n'a clairement pas vu la série en entier.
Et pourquoi ne serions nous pas alcoolique ? Nous avons toujours et tous un défaut..... Peut-être que nous ne voulons pas forcément vivre 99 ans comme ma maman qui fait tout ses besoin s dans une couche est ce que c'est un avenir ?❤😊
L'épisode 2 sur l'alcool est disponible : ua-cam.com/video/JF5p7a3didM/v-deo.htmlsi=kS5KA0FtnPaY6l0t
Cheers 🍻
Je suis heureux de voir ce type de discours s'émanciper, j'ai arrêté complètement l'alcool depuis environ 3 ans, et pourtant je suis dans une famille de vrais alcooliques... Je souhaite tout le meilleur à ceux qui auront le courage d'outrepasser les normes sociales autour de l'alcool et de faire un pas vers une page meilleure hygiène de vie
Désolé même si je suis en parti d'accord avec ce que tu dis, je me permettrais de dire que c'est le discours de tout le monde pour se déculpabiliser. C'est d'ailleurs très bien expliqué dans le reportage. On pense toujours que nous ca va mais c'est les autres le problème. C'est quoi une consommation raisonnée ? On va pas se mentir même si pour beaucoup d'entre nous on a pas perdu pied face à l'alcool, faut arrêté cette hypocrisie datant de mathusalem qui minimise et normalise l'alcool.
Ca fait 3 ans et 19 jours que j'ai arrêté 😁
Bravo!
Arrêt total de l’alcool depuis 8 mois . Et en effet je passe pour un extra terrestre dans mon entourage , c’est le monde à l’envers , c’est moi qui ait un problème d’après eux !! 😀😀
@@Dekalboy moi, pour rire, desfois je leur demande pourquoi ils ne prennent pas de la cocaïne à la place, tant qu'à se droguer, autant prendre quelque chose de génial! Haha
ya boire et boire...et il y a boire et deboires....
Quand j'ai arrêté de boire, je me suis réconcilier avec moi-même, j'ai dû me confronter à toutes les choses que j'ai refoulé pendant toutes ces années de cuites. Ne plus boire, pour moi, c'est la liberté.
Enfin une émission qui devrait être disponible dans les écoles pour éviter les dérives des jeunes une x adultes. Merci Arte. 👍
Cette année, je fête mes 25 ans d'abstinence avec l'alcool. J'ai vécu pendant des années auparavant avec la bouteille depuis l'âge de 6 ans. Je n'ai pas que de mauvais souvenirs...En 1999, j'ai décidé brutalement d'arrêter de boire étant dans une situation financière catastrophique, mon cerveau qui commençait à vriller...Je souhaite à tous ceux qui souhaitent arrêter l'alcool beaucoup de courage, la Foi, deux éléments indispensables pour assumer cette décision. Frédéric, malade alcoolique, abstinent à ce jour 🙏.
Bravo
Faut arroser ça ! 😂
@@patrickgarcia96 À l'eau...Car, l'eau est forte, elle porte les bateaux 😉
Bonnes 24 heures 🍀
@@colombiecouleursdafrique9911 Mille mercis bénis 🙏
Un autre rituel pour se retrouver est celui de boire du thé.
Selon moi, quand je creuse, cette non liberté vis à vis de l'alcool, je la retrouve vis à vis de tout, la nourriture, le café, youtube... Et je n'ai pas envie, ni ne peut tout arrêter. Ce que je peux faire en tout cas c'est inviter la modération, pratiquer le jeûne et.. me rappeler que rien que je 'consomme' n'est ma véritable source de bonheur
Bravo
Paroles de sagesse.
Après une chimio j'ai voulu arrêter l'alcool (substance cancérigène), un tel pressions social m'a fait craquer. Aujourd'hui je bois très peu, même en soirée, et à chaque fois que je passe au soft j'ai le droit à des réflexions: "t'es malade ?" "tu conduit ?" "tu vas pas faire ta tapette !" "allez c'est bon quoi !". Merci pour ce podcast, on se sent moins seul 😊
Moi j'ai arrêté les cons, c'est plus facile que l'alcool
Salut Alex Kid
C'est tellement intéressant! Tout le monde devrait écouter ça
19 mois sans alcool ! Ça change la vie en bien mieux ! 🍀
bravo
Merci ! :) @@elcoco1985
j'en suis au premier après des dizaines d'années de consommation , merci au déclic qui m'encourage, merci à toi , bravo
@@samvabien2956 Courage, c'est les premiers mois les plus dur, de loins. Des rechutes sont possibles mais il faut s'accrocher. Au bout d'un moment on y pense plus, ça ne fait plus envie, et on passe à autre chose. Moi ça m'a pris 5 mois parsque j'ai fais quelques rechutes, et ça dépend de chacun. Mais maintenant c'est complètement fini, je le sens, et ça ne pose aucun problème bien au contraire 😊
@@Cedrico1994 salut et merci . en effet j'ai bu un pack de 6 fois 25 cl avant hier, j'ai trouvé la bière fade et être un peu saoul ne m'a pas plu. je vais attendre autant que peux avant la prochaine bière. j'ai fini par comprendre que c'était pas une aide mais le problème , et qui m'a fait faire beaucoup d'erreurs . tu as raison, ça ne me fait plus envie non plus .merci encore, bonne soirée à toi
Je suis alcoolo dépendante et c'est un autre problème mais ça fait plaisir que le sujet soit évoqué et peut contribuer à changer le regard social (et donc le nôtre )
La pression sociale est très forte. Nous, les "malades" et particulièrement les femmes, on intériorise ce regard
Arrêter l'alcool, la cigarette, c'est gagner du pouvoir d'achat immédiatement
le pouvoir d'achat c'est l'addiction de l'esclave du capitalisme.
mdr tueur a gage de verité va
Pour moi, sans avoir été jusqu'à l'addiction c'était les soirées tous les week-end qui m'ont fait me poser la question : est-ce que tu es capable de ne plus boire d'alcool en soirée alors que les autres continueront ?
Du coup, du jour au lendemain, j'ai arrêté et j'ai continué les soirée au Thé ou jus de fruits 😊 ... et je suis devenu le SAM attitré 😉
J'adorerais avoir un épisode parlant de ce "renouvellement de la carte des boissons" car de mon point de vue, choisir de boire de l'alcool c'est à la fois social mais aussi j'ai l'impression que dans beaucoup de bars, seuls les alcools ont de l'intérêt (les bières sont souvent locales, artisanales, bio) alors que les "alternatives" softs sont toujours les mêmes: Coca cola, Ice tea, Minute maid, de grosses entreprises qui me font préférer le choix de l'alcoolisme et de la bonne action.
Voyez vous?
Il est clair qu'une bonne part a plus de diversité côté alcools que côté soft, même dans les cocktails par exemple. Alors qu'il y a des établissements qui font des efforts là-dessus et peuvent proposer des boissons très sympas :)
Clairement,il y a jamais d'eau aussi pour celui qui veut ni boire alcool ni des cocktails mais juste voir amis si il faut être bourré pour être sociable il y a pas grand chose à retenir en amitié trouble des le départ
Être ,'sociable en buvant' êtes vous certains de l annonce ? Prenez un repas sans alcool, le niveau du cortex frontal cérébral constant, de l entrée à la tarte grand mère. La raison garde les amis. Être ''sociable en buvant ' venez oui oui venez écouter un groupe de soutien aux proches de personnes dépendantes ( groupe al anon, il y en a d autres). L ami , hésite, je reste au côté de celui devenu dépendant ou je pars en courant, c est devenu tellement toxique tellement asocial donc.
Ne pas frequenter les bars sinon
L'eau reste la meilleure alternative à mon gout...
J'imagine que je suis ni dans la même perspective, ni la cible, mais en tant que mec ce podcast m'a fait beaucoup de bien.
J'adore ce podcast, mais de plus 3n plus j'ai parfois l'impression de rester sur ma fin, que certains sujet sont survolés et que ça ne va pas assez en profondeur. Questionner son rapport à l'alcool, ok. Mais Quid de l'influence des lobbies ? Ok on parle de la vision esthétisante de l'alcool dans les séries mais justement, d'où ça vient ? Comment l'alcool a pris une part si importante dans nos sociétés ? La réponse culturelle n'est plus suffisante en plein capitalisme. Comment l'alcool a été rendu si présent ? Si promu ? Une petite analyse sur les lobbies marketing et les grands groupes aurait apporté un peu plus de profondeur je pense. À ensuite relier avec "attention l'alcool est dangereux..." Et pour autant pas de changement dans les habitudes. Puis faire le lien avec un nouvel épisode qui présenterait ce revirement de la nouvelle génération qui se détache de l'alcool, les interroger sur leurs valeurs, leurs motivations permettrait de boucler la boucle. Épisode 1 "nous avons un pb", épisode 2 "comment on en est venu à avoir un pb", épisode 3 "un monde sans alcool ?"
Merci, ce que je vois c'est un podcast qui est devenu bien bourgeois et qui ne parles plus de lutte des classes. Et ici des personnes bien alcooliques mais qui passent tout l'épisode a essayer de justifier pourquoi elles ne veulent pas traiter leur situation en se représentant dans l'image de l'alcoolique détruit par la vie, proletaire fantasmé par la bourgeoisie, qu'elles ne font pas partie de "ces gents là". La concequence, une critique du rapport a l'alcool qui parle de sois mais pas de société,je ne trouve aucun humanisme là dedans, on sort de la gauche ... Dommage
En fait cela s'appelle un "angle" : le thème n'est pas l'alcool, mais nous avons un problème. Le sujet est vu à "hauteur d'homme".
@evaplez5537Merci pour votre conseil, j’y vais de ce pas !
Blast a fait une vidéo très interessante sur la question des lobies du vin qui mettent la pression pour réduire la prévention: ua-cam.com/video/OZ_VdHOsI14/v-deo.htmlsi=eA-AWDx9rgRl3nwj
Commentaire très pertinent. Il y a effectivement la question des lobbies et des intérêts économiques, mais on pourrait également aborder la question de la façon suivante : d'où viennent les addictions et les comportements nocifs pour sa santé et celle des autres ? Qu'est-ce qui fait, en dehors du côté culturel, qu'on ressent le besoin de faire de grosses soirées, de se lâcher en fin de semaine ? On sait par exemple que les situations difficiles de la vie (stress, etc) favorisent les addictions. On peut aussi s'interroger sur nos modes de vie (conditions de travail, vie chère, précarité, vie de couple compliquée...), qui font que la pression s'accumule toute la semaine, créant un besoin ou une envie de l'évacuer régulièrement.
Je ne consomme plus d'alcool depuis 5 mois. Et j'en suis fier.
Bravo à toi 🎉😊
@@alicepassolunghi
Je te remercie, Alice 😊
Il y a de quoi d'être fier, bravo!
T'as arrêté le joint aussi? C'est vrai que c'est mieux qu'un verre de Chardonnay😅
Félicitations 🎉
Tout le monde ne lève pas le coude autour de moi, je ne sais pas si c'est une exception ou un phénomène qui démarre.
Notamment dans certaines associations très festives, l'ambiance est totalement sobres, cela n'empêche pas de beaux moments de folie :)
On peut espérer que les gens commencent à savoir que l'alcool n'est pas seulement nocif à forte dose, mais dès la première goutte.
Et il y a tellement d'autre façons magnifiques de profiter de la vie !
Pas nocif dès la première goutte à vrai dire
Il y a toujours le chichon n'est ce pas ?
Oui, j'ai d'ailleurs jamais compris en quoi être torché, c'était profiter de la vie.
Pourquoi n'y a t'il pas de meilleures tribunes pour ce genre de sujets et de travail ? Encore une fois, bravo Arte !
Parceque les lobbies de l'alcool ne veulent pas que on sache que c'est une drogue dur et meme plus que la cocaine heroine etc, il perdrai trop d'argent.
Jour 6 de mon dry january : tout va bien. Ah oui j'oubliais, je nai que tres peu de tentation car je me suis exilée à l'étranger récemment. Bon courage à tou ceux qui le font. L'ayant fait il ya 2 ans, c'était riche en apprentissage
Jour 6 du mien, j'arrive à ne pas boire et pourtant j'ai de quoi faire.
C'est top le dry january car j'ai l'impression que de plus en plus de personnes le font
J'ai décidé ça le 31 en me rendant compte que ma consommation était excessive et journalière
J'ai fait un dry January cette année... Sans même le vouloir. Ça s'est juste fait comme ça : peu de sorties ce mois ci et pas de raison particulière de boire de l'alcool (malgré une petit collection de whiskies).
Merci, un sacré effet miroir.
Il n'est jamais trop tard pour mettre (ou de sortir) le sujet de l'alcoolisme social sur la table.
Et de le déboucher 😁
Très interressant (j’en ai appris et pourtant je me goinfre de lectures et vidéos sur le sujet depuis un an). Traiter de façon aussi profonde le sujet sans parler d’addiction (c’en est une, même si ce n’est « que » une addiction sociale m) est très fort et permet de communiquer sur le sujet de façon plus claire.
Waaaaaw… ça me parle tellement. Merci pour ce reportage qui me fait l’effet d’une claque !
Merci infiniment ! J ai eu une conversation qui reprend les grosses lignes de ce podcast avec ma voisine que j avais invité au nouvel an, elle a clairement un problème avec l alcool et elle a rejeté assez violemment la conversation...moi je ne bois pas
3 ans sans alcool!
Super podcast qui remet vraiment en question notre rapport à l'alcool 👍. Pour ma part,j'aime boire occasionnellement et en petite quantité. Etant donné que j'ai horreur de perdre le contrôle de moi-même et d'être dans le mal,j'ai été très rarement en état d'ivresse. Quand je bois et que je sens que je suis à ma limite,je stoppe et je passe aux boissons non alcoolisées. Il m'arrive parfois même de boire que du soft en soirée. Cela me permet d'être pleinement consciente et de profiter de l'instant présent. En grandissant,j'ai d'ailleurs remarqué que les critiques s'estompent et que l'incitation est de moins en moins présente au sein d'un groupe 😊
Bravo pour ces témoignages qui me parlent beaucoup. Merci
Bravo et tout mon soutien aux personnes qui souhaitent réduire ou arrêter leur conso
On as qune vie
En plein questionnement sur mon alcoolisme, merci pour cet épisode.
Je me reconnais énormément dans cette histoire. Perso, ce que j’essaie de faire en ce moment (faute d’avoir trouver de la doc sur le sujet) et ça marche assez bien, est d’arrêter d’acheter mes bières préférées. Et du coup j’ai brisé mon habitude de boire en faisant à manger.
Première partie très intéressante > la notion sociale et traditionnelle > sauf que cela n'est que la partie visible > en réalité c'est juste l'illusion normalisée.
Ancienne Buveuse = Abstinente et Sobre depuis 8ans membre active d'un Groupe de Paroles ( Vie Libre : AAVL : Alcool Addictions Vie Libre)
Je rappelle que tout le monde n'est pas égal face à l'alcool dans ce cas précis ou et au Produit.
Le Vrai sujet c'est l'addiction et ce que cela soutant >
- Le cerveau
- Les Émotions
- Nos Traumas
et parfois voir souvent des pathologies mentales
Dans mon cas, j'ai découvert que j'étais HPE Haut Potentiel Émotionnel( anciennement nommé hyperactive), avec TDHA avec une part de syndrome d'asperger...
L'alcool et ou d'autre produits ne sont que l'arbre qui cache la forêt en général > d'où le terme de maladie.
Il faut absolument pouvoir se faire aider car un arrêt seul peut être fatal > accompagnement obligatoire + thérapie à s'imposer.
Merci pour ce très bon podcast.
Conclure en devant être bourré.e.... peut etre faut-il revoir aussi les étapes de séduction et de passage à l'acte voir les ralentir ou les redéfinir en écoutant son propre rythme ❤
Tout est interessant dans ce podcast, notamment le passage sur les abus de consentement quand on est alcoolisé.
Merci !
Merci pour ce partage. Instructif, cajolant et qui me recentre sur le pourquoi j’ai arrêté de trinquer !
Vraiment génial votre diversification des programmes Arte, bravo a vous
Trop bon à écouter j’suis dans ce problème d’alcool depuis mes 17 j’ai 37 ça me suis toujours j’aime écouter c’est témoignage les gens qu’on aime est a qui ont déçois malgré la volonté il faut de l’aide
Les personnes qui vous aiment, ont tout compris. Restez Zen. Ne culpabilisez pas. L addiction est la consequence d in trauma de l enfance. Etes vous responsable de cela ? Non
Très bien raconté. On s'identifie facilement. Merci pour votre travail
Podcast intéressant. Je comprends qu'on ne veuille pas de l'étiquette d'alcoolique ( " je n'ai pas besoin d'un diagnostic, j'ai besoin de me défaire d'une habitude" ). Soit. Mais quand on en est à se dire " Ce n'est pas moi, c'est mon cerveau " et que ce constat révolutionnaire vous libère, le niveau d'acceptation du réel et de la responsabilité individuelle dans les actes n'est quand même pas top.
Ça me fait penser aux gens qui devant la dérive totalitaire qui a eu lieu en France, lorsqu'on les interroge sur leurs passivité ou leur soumission, disent " Mais attends, le Président, les gens l'ont élu quand même". Oui, non seulement tu veux pas t'interroger sur tes actes, mais en plus tu renvoies sur le choix de 15 % du corps électoral au premier tour.
Alors, pour revenir à cette femme, elle a certes été bien inspirée de consulter la documentation anglo-saxonne, mais ses qualités ( en particulier la vivacité de ses analyses ), tout comme ses défauts ( déni ultime du réel sur son plan " politique " : à savoir la responsabilité de l'être humain) sont bien représentatif du paradoxe français. Je rappelle qu'on est aussi les plus gros consommateurs d'antidépresseurs et également de cannabis en Europe, donc ce n'est pas qu'une culture de la convivialité, il y a aussi la recherche d'anesthésie collective bizarrement en interface avec un niveau de conscience psychologique en moyenne et culturellement plus poussé qu'ailleurs.
Amen
Au contraire, le meilleur commentaire sous cette vidéo indéniablement.
L'alcool me permet de sentir l'ivresse parce que je m'ennuie souvent.
L'alcool me permet de diluer mon esprit, avec son côté anxiolytique.
Certains mauvais esprit parlent d assomoir.
@@larietournelle7904 : Je te comprends parfaitement, je suis dans le même cas, comme beaucoup de personnes malheureusement...
D'ailleurs, je pense que je vais aller me boire un petit peu de Gin.
@@alex---- perso je domestique mon addiction en me cantonnant à la bière.
Maximum 8 degré d'alcool pour ne pas abuser
Plus d’alcool depuis des années et quelle etait ma profession !:caviste,sommelière. La tête de mes compagnons d’apero quand ils l’apprennent😅
Alors ca c'est pas banal !! Avez vous changé d'emploi ? Qu'avez vous senti de positif ?
Gérant de HCR
J’ ai toujours su que l ´alcool que je vendais modifiais les humeurs et les interprétations de mes clients
Moi sobre comme un poisson il
M’arrivait de me demander : que fais-tu là ?
Ok il y’a la caisse
Très intéressant et utile en ce dry january d interroger ce sujet tellement central en occident 👍 bravo !
Je suis passé de gros fêtard a alcoolique suite a un drame personnel. Maintenant c'est fini je ne bois plus du tout. Ce n'était pas facile d'arrêter d'autant plus qu'il y a toujours une occasion. J'ai finir par dire a tout lon entourage que pour moi c'était complètement fini, maintenant on ne m'en parle plus et c'est tant mieux. Je m'amuse toujours autant quand je vois mes amis, voir plus. Sauf quand ils sont tous bourré je préfère partir, en vérité les gens complètement saouls se crois drole mais c'est loins d'etre le cas. Je suis tres content de m'etre sevré et je me sens beaucoup mieux comme ca.
Si Apollinaire avait intitulé le recueil de ses poèmes "Eaux minérales", aurait-on autant envie de le lire ?
peut être qui sait haha
La vie est un théâtre un peu bancal ooù chacun se joue de lui-même
Merci pour votre reportage et la façon dont nous recevons avec humour vos histoires
Incroyable merci pour ce podcast
super super super intéressant, merci pour ce beau boulot !
Merci Arte pour cette qualité
Apprendre a se détendre sans alcool, sans Sucre, sans cigarette, dans chocolat, apprendre à gérer ses montees de stress, ses tracas sans tt ca
... c est le meme dada:) mais ca pd du temps et du boulot sur soi! Faites vous accompagner, ce n est pas rien et tt le monde y passe donc pas de quoi se flageller! Courage à ceux qui font le chemin:)
C'est quoi le problème avec le chocolat ?
À mes yeux, l’épisode de l’aéroport correspond à une personne alcoolique plus qu’une personne « qui boit de l’alcool » et 2 bouteilles d’alcool à une soirée c’est aussi quelqu’un qui a un problème avec le liquide
Oui, mais on a affaire à quelqu'un qui ne se rend pas compte que défigurer sa fille à vie n'est pas une raison de ne plus jamais boire une goutte d'alcool.
Personnellement, j'ai l'impression qu'il y a un besoin de juger les autres afin de se juger soi-même. Quand on se bourre la gueule a l'aéroport avec sa fille de trois ans, il est grand temps de se remettre en question !
Un podcast plaisant.
Très bien construit. Fines analyses. Merci !
Merci pour ce podcast ❤ ! Je me reconnais et des personnes de mes entourages passés sur ce phénomène d’alcool social
À quand une émission "vivons heureux APRÈS la fin du monde" ?
J'aime l'idée ! En plus de réfléchir et se questionner sur des phénomènes de société, pourquoi ne pas en plus imaginer les scénarios qui permettraient de réinventer le monde ? Maintenant que nous avons identifié tel ou tel pb, quelles réponses collectives pouvons nous apporter ?
Il est aussi possible de reprendre le contrôle sans arrêter.
Un problème de l'arrêt total est le non droit à l'erreur.
J'ai compté ma consommation précisément pour ensuite me fixer des objectifs (évolutifs à la baisse).
Le fait d'être sportif aide beaucoup j'imagine.
Je suis désormais facilement en-dessous de la consommation recommandée en France (moins de 10 doses par semaines, 3 doses maximum par jour et pas tous les jours) et surtout je n'ai plus de dérapage qui amène à la dépression du lendemain entre autres.
Je suis d'accord avec vous, il n'y a d'intérêts a vouloir tout arrêter. Gestion de soi et de ses émotions. Du temps et du travail. L'arrêt demande trop de tentions au quotidien.
@@Cmoipsy Je pense que cela dépend des personnes. La tension est là aussi avec la diminution, surtout au début.
Et si, il y a au moins l'intérêt de la santé, c'est sans équivoque.
Je partage la vie d'un alcoolique et j'étais persuadée qu'il perdrait le contrôle s'il reprenait ne serait-ce qu'une goutte. Puis j'ai cru l'inverse. Avec plus de 10 ans d'expérience, je reviens à la théorie initiale : pour un "vrai" alcoolique, même une goutte c'est le début de la fin....
@@nathaliemargueritte4561 Désolé de l'apprendre.
Un "vrai" alcoolique :/ Je pense qu'il nous faut trouver plus de degrés de précisions que : abstinent / alcoolique normal pour un français / vrai alcoolique.
@@cpi5977 c'est pour ça que je l'ai mis entre guillemets ! "Vrai" dans le sens "malade" car l'alcoolisme est une maladie chronique
Un épisode sur ce sujet dit tabou par certains me fait beaucoup de bien. À cause de ma maladie, je n'ai pas le droit de boire l'alcool et je remarque donc l'intérêt dit social de la boisson. En soirée si la personne ne me connaît pas, la première chose ce: " pourquoi tu ne bois pas ? " ou " tu ne bois pas de l'alcool ? ! " et qu'ils veulent savoir le pourquoi comme si c'était anormal. Il y a quand même dans le tas avec le temps des gens qui me répondent : " "tu as bien raison ". Mais le côté social est aussi dans le fait que tu es soit obligé de prévenir l'hôte soit tu ramènes ta bouteille de soft parce que à part de l'eau il n'y a souvent pas d'alternative chez la personne. Cela m'est arrivé que la personne me dise : " ah , bah j'ai rien d'autre à te proposer " .
J'ai aussi vécu l'inverse, j'avais organisé chez moi et mes amis étaient au courant donc mon meilleur ami m'a dit : " on dirait un goûter d'anniversaire " parce qu'il y avait que des softs , je l'ai très mal pris .
Donc MERCI pour avoir aborder ce sujet dont peu de personnes parlent.
C'est très intéressant merci. Par contre il serait sûrement mieux de faire expliquer les neurosciences par des neuroscientifiques, notamment sur l'attribution faite aux neuro transmetteurs. Cf. Albert Moukheiber qui fait preuve d'une grande prudence vis à vis de cela.
Socialement, je trouve qu'il est plus facile de présenter son refus de boire de l'alcool, par un "je ne bois pas de trucs sucrés, je tiens à ma ligne" (vu positivement), plutôt que "je ne bois pas d'alcool", qui est perçu comme un refus de faire la fête 🎉 (super négatif). Pour lutter contre la pression sociale du pot entre amis, utilisez une autre pression sociale, celle du culte du corps et ça passe crème ^^
Tres intéressant, jusqu’à la conclusion pour ma part.
C est fatiguant que tout soit rapporté au relations homme/femme avec le sous-jactent que les hommes sont encore plus ou moins coupables de la situation.
Si une femme est timide (et féminisme), ce n est pas mon problème si elle a besoin d être à 2G pour accepter de parler à un homme.
a lire les commentaires... oui on a un problème
C'est la réflexion que je me fais. Pourquoi des réactions si virulentes? Serait-ce parce que se poser la question de son propre rapport à l'alcool met mal à l'aise...
@hpierre2820, vous en doutiez ? Les français sont quand même particuliers avec l'alcool...
Magnifique podcast
Tres interressant. Merci
Il y a-t-il un DM pour partager sur les idées développées, que ce soit la consommation, l'arrêt, l'envie ou autres, juste des inputs à l'etudes, très intéressante
Est ce que ce ne serait pas pareil avec le sucre ?
C’est encore plus insidieux!
bien sur c'est pire, l'alcool est subversif socialement mais le sucre endors l'esclave
sauf que le "sucre" on en a besoin, celui des fruits, le sucre raffiné est additif en effet mais l'alcool on en a pas du tout besoin
La solution? De la musique entrainante et la danse!
La solution ? Ne plus avoir d'homo Sapiens.
Plus de problèmes sur Terre ensuite.
Merci beaucoup !
Merci beaucoup pour ce Podcast ❤️
Arte, de la bombe, comme d'hab
Dans la serie How To Get Away With Murder , l'alcoolisme de Annalise Keating (l'avocate) est montré de maniere tres peu glorieuse , elle se bat contre cette addiction au fil des saisons et on voit que sa consommation est tres destructrice , son succès n'est pas du tout du a sa consommation dalcool dans la serie
c'est le commentaire que je cherchais ! la série le montre très bien que ça l'a rend minable et même que ça entrave sa carrière (peut être pas dans le première saison cependant)
@@eb6295 Oui c'est vrai que la première saison s'intéresse seulement à sa vie conjugale avec Sam mais pas vraiment sur sa vie personnelle à elle
Cette mauvaise compréhension de la série est le seul reproche que j'ai à faire à cet épisode, autrement excellent.
@@vba2469 oui , j'ai aimé le podcast aussi , je tenais seulement à soulever cette précision. Autrement , c'est réellement ma façon de penser depuis quelques années. J'ai étudié le rapport à l'alcool et l'alcoolo-dépendance pendant 2 ans et rédigé un mémoire sur le sujet , donc je n'ai pas forcément appris grand chose , mais je trouve que le message véhiculé est important , et peut produire chez certains une prise de conscience donc c'est super cool 😊
là ou ça va vraiment pas 'est quand on commence à boire tout seul, après c'est très difficile de s'en défaire même si on a plus un rond
Je ne suis pas vraiment d'accord. Personnellement je trouve que les gens qui cherchent des prétextes pour boire c'est se déculpabiliser en se disant que c'est juste "la fête"
Je bois souvent des bières chez moi mais je boirais pareil si je suis seul ou en compagnie de mes amis !!
Le paradoxe c’est que alcool égale mauvais mais égale aussi société. On a pas envie de vivre seul pour y échapper ( en ville ou en montagne ). Tout n’est pas blanc ou noir, alors ce qu’il faut c’est réfléchir à la démarche et au priorité, apprendre à être extrêmement bon dans nos choix.
Merci!!!
Vraiment désolé mon commentaire va être très très long !
Par ce que c'est important d'en parler.
Mon rapport à l'alcool a commencé en 2008, lors de mon entrée chez Look Voyages et Club Med. À cette époque, l’alcool était un moyen de "se lâcher", de "se rendre plus drôle", et de tenir la saison, les 8 mois loin de la France et hors de tout repère. Tout le monde buvait, souvent avec excès. Après trois ans d’alcool quotidien, j'ai rencontré mon ex, qui buvait beaucoup aussi. Nous avons partagé cette habitude ensemble pendant presque deux ans. La machine était déjà bien en route.
Les "apéros" familiaux ont aussi joué un rôle, l’alcool y était toujours présent. On proposait même aux enfants de goûter, c’était presque un jeu, une tradition "latine". En parallèle, les soirées avec les amis étaient dominées par la boisson ; refuser un verre, c'était s'exposer à l'exclusion ou au jugement. Ne pas boire signifiait être perçu comme l’extra-terrestre du groupe.
Les années passant, j’ai rencontré ma femme, qui boit très peu. Elle a une histoire compliquée avec l’alcool, liée à sa famille. Je me suis adapté, j’ai considérablement réduit ma consommation. Mais plusieurs événements m'ont ramené vers l’alcool : des disputes, des angoisses, du stress. À ce moment-là, l'alcool était devenu un moyen de relâcher la pression. Une journée de travail terminée se ponctuait toujours par une bière ou deux, un verre de vin ou deux. Pas une soirée sans alcool.
En 2019, la naissance de mon fils a provoqué un tournant. Après une grossesse difficile et des problématiques familiales du côté de ma belle famille, je me suis retrouvé face à ce nouveau rôle de père. J’avais peur, je me sentais dépassé. Nous étions les premiers de notre groupe d’amis à avoir un enfant, et la pression (inconsciente) sociale se faisait ressentir. Mon hygiène de vie était alors catastrophique : je fumais, je buvais beaucoup, juste pour "tenir". En 2020, ma consommation s'est calmée, mais restait sans réelle maîtrise.
En 2021, à 31 ans, je suis retourné aux études, sans diplôme de base, avec seulement un BPJEPS en poche. J’ai intégré une formation d’éducateur spécialisé et une licence de sciences de l’éducation en parallèle. Je me suis aussi remis à la musique, signant des contrats lucratifs. J’ai découvert une passion pour l’apprentissage, l’écriture (c'est à ce moment-là que j'ai commencé à écrire mon roman qui sortira je l'espères pour 2025) , et je me suis remis au sport.
C'est également en 2021 que j'ai vu une vidéo de Jérémy Ferrari parlant de son addiction à l’alcool. Cela a été un premier déclic. J’ai pris conscience que j’avais un problème avec l’alcool. Malgré cela, le chemin vers l’arrêt a été long. Je buvais en cachette. L’alcool me désinhibait, je pensais que cela me détendait, mais en réalité, je sombrais de plus en plus.
À ce moment-là, ma relation à l'argent était également chaotique : je gagnais beaucoup, mais je dépensais sans compter, souvent dans n’importe quoi. Pendant ce temps, ma femme gérait tant bien que mal les finances, l'organisation, une charge mentale énorme, trouvant des cannettes et des bouteilles d’alcool un peu partout. Elle m'en parlait, essayant différentes approches pour m'aider, mais son propre passé familial lié à l’alcool compliquait encore les choses.
En 2022, notre fille est née. J’ai arrêté de fumer et j'ai pris le sport comme une habitude. Bien que la grossesse se soit bien passée, l’après a été plus difficile. Je devais être là pour ma femme, mon fils et maintenant notre fille. Mais malgré mes efforts, je continuais à boire, en ressentant une honte immense. J'avais honte de boire et encore plus de faire subir cela à ma femme. J'ai réalisé que dans notre société, être addict à l'alcool est stigmatisé. Les gens jugent facilement, car tout le monde à sa propre définition de "l'alcoolique" et c'est mal vu... Un homme qui boit, ça passe, c'est "un bon vivant" . "Oh ça va, c'est Dédé, il est bourré" on en rigole... et il faut savoir qu'une une femme qui boit est plus durement critiquée.
Pendant tout ce temps, je voyais ma psychologue, un soutien qui m’a permis de ne pas être jugé. Aller voir un psy, c’était pour moi aussi important que de faire du sport.
Et puis, en juillet 2024, j'ai pris une décision qui a changé ma vie : j’ai arrêté de boire. Cela faisait longtemps que je me préparais à ce moment. J’ai pris des vacances avec ma femme et mes deux enfants, et j'étais inquiet à l’idée de retrouver mes amis d’enfance, pensant que les soirées seraient synonymes d’alcool. Mais à ma grande surprise, tout s’est passé merveilleusement bien. Je n’ai pas ressenti le besoin de boire, et j’ai découvert que je pouvais passer des moments incroyables sans alcool. J’ai reconnecté avec mes enfants et ma femme, avec plus de sincérité, de patience, et de détente.
Aujourd’hui, je suis sobre et vigilant, vivant jour après jour sans l'alcool, qui ne me manque absolument pas. Grâce à l'amour de mes enfants, de ma femme de ma thérapie et de l'application : "I m Sobber" que je conseille vivement à toutes personnes ayant besoin d'aide. J’ai retrouvé confiance en moi, je suis plus sportif, je mange mieux, je suis moins irrité et irritable. Ma relation avec ma femme et mes enfants s’est renforcée. En arrêtant l’alcool, je répare mon corps, mon foie et mon cœur. Je fais de nouvelles rencontres et m'amuse tout autant qu’avant, sinon plus. C’est la meilleure décision que j’ai prise dans ma vie, et je suis fier de ce chemin parcouru.
"Je ne suis pas encore là où j’aimerais être, mais je suis fier de ne plus être là où j’étais."
Prenez soin de vous.
Sylvain Ledy Berry
Les humains s’amusent non pas pour être heureux mais pour oublier qu’ils ne sont pas heureux
La modération dans l’alcool et dans tout est la voie la plus difficile
L’alcool illusionne celui qui le consomme
Paroles d’un gérant d ´HCR
Merci pour ce podcast, je vous aime :)
Interessant cet angle de l'alcool vu au travers de la dépendance sociale.
D'ailleurs cette dépendance ne concerne pas que l'alcool, mais aussi le tabac, la mode et la consommation en général...
Le joint aussi
@@mcbba6906 effectivement si on fréquente plein de fumeurs de joint....mais c’est quand même moins répandu, la pression sociale est moins forte 😄
Je préfère boire seul que mal accompagné . Autour de moi on ne bois plus. Mais il est vrai que lors d'un apéro ou une tablée certains insistent lourdement pour vous servir de l'alcool .
J'ai bien aimé ce podcast, très intéressante démarche.
Mais perso je suis dans la démarche opposée. J'ai très bien compris les mécanismes physiologiques à l'œuvre dans notre cerveau (depuis des années, j'ai arrêté le sucre si on excepte l'alcool) et notre système digestif et j'ai bien aimé dans le podcast quand elle dit ''mais en fait ça n'a rien à voir avec Moi'' et sa volonté de se distancier avec son cerveau.
(vers 17min)
Mais rien à faire. J'aime boire. J'aime le gout des bières (pas toutes évidement), des vins, de certains spiritueux. J'aime l'ébriété. J'aime le fait que ça soit un anxiolytique puissant et que j'ai besoin de ça étant très anxieux par nature (avec ou sans alcool puisque je l'étais déjà gamin).
Donc oui je bois, j'assume de le faire, je ne complexe plus là dessus. Mais je m'impose des limites conscientes; quasi jamais de spiritueux, pas plus que ma consommation courante, bien s'hydrater, se supplémenter avec certaines vitamines et minéraux pour équilibrer les effets nocifs de l'alcool. J'ai même réussi ainsi à diminuer ma consommation d'alcool par rapport à il y a quelques années où j'étais en mode 'sans limite'.
Au final consciemment je suis entré dans l'art de profiter avec raison d'un bon produit riche en histoire, en culture et en convivialité. Comme énormément de nos ancêtres pouvaient le faire avant.
Beaucoup de gens qui picolent trop et son talcoolo ne le sont que par pure dépendance physique et pour se bourrer la gueule. Le plaisir du gout n'arrive qu'en second .
pareil merci de l'avoir écrit
Moi aussi . De toute façon par quoi changer le petit verre de vin ou la bière à la terrasse. ? C'est hyper agréable .Je me fais une limite . Un verre et uniquement le soir quand je suis dehors . 3 verres de vins le soir en mangeant un bon repas . Sinon le reste du temps je suis clean . Mais je ne vais pas tomber dans l'hygiénisme et j'aime le vin et sa variété et d'accorder tel ou tel vin avec tel ou tel plat
Vécu très similaire.
Je buvais seulement à l'occasion, en groupe et sans grand excès.
Mais l'alcool était un lubrifiant social, une béquille à tout coup.
J'en avais besoin pour me sentir dans le coup en soirée, et pire encore, pour arriver à endurer la présence de gens de mon entourage qui me font sentir comme de la merde.
Le déclic s'est fait à mes vingt-huit ans. Je n'ai rien bu depuis une décennie.
Je ne fréquente plus les gens qui me pousse à boire, et quand je ne peux éviter leur présence j'ai développé d'autres outils pour les endurer.
Et ilun petit joint ça passe?
Merci partager cette expérience
Certains exemples montrent tout de même bien les ravages de l'alcool : dans bridget jones nous voyons bien la honte, la gêne de elle-meme ou par rapport aux autres que certaines situations de cuite lui procure.
Dans le reportage io est dit "ne pas boire est un super pouvoir, je peux choisir qui je séduit..."
Oui enfin il faut que la personne en face soit aussi non alcoolisée sinon ça ne marche pas.
Il semble que dans chaque verre il y ai la dose suffisante pour oublier ou se libérer d 'avoir déjà bu le verre précédent et cette règle s applique a tous
On peut juste avoir envie de boire 2 verres de telps en temps pour s'ennivrer ou il faut tout le temps interpréter ça comme une prison ?
Oui mais deux verres de temps en temps... C'est hyper vague. On ne sait pas la taille du verre, le type d'alcool... Si tu bois 2 verres tous les mois ou tous les deux mois, tu n'as pas à y réfléchir.
L'hygiénisme fait peur.
Tu as cliqué sur un podcast qui parle du rapport à l'alcool. Tu es pas obligé de le prendre comme une attaque envers tes habitudes non-plus...
L'important est il de ne plus vouloir vivre de telle ou telle manière ou de de vouloir vivre autre chose? Personnellement c'est cette envie de vivre autre chose après avoir bien profité, et bien entendu subi, de différents états altérés. Tant que je culpabilisais et me comparais aux autres ça ne fonctionnait pas.
Super épisode ! Merci beaucoup ;)
Un peu trop orienté idéologogiquement pour moi mais tout de même intéressant :)
Elle est très gentille et bien intentionnée
C'est insidieux, je me retrouve totalement dans le propos, mais avec le cannabis, où toutefois les effets ne sont pas les mêmes mais sont aussi nocifs sur le long terme, avec un modèle binaire qui n'aide pas à comprendre, et une consommation qui permet de paraître là où au fond vous n'êtes plus qu'un légume mais qui ne se voit pas tellement
Bonne question . Le vin fait partie de notre culture mais certains veulent éradiquer cette culture. Je bois parfois trois verres de vins associés à un bon repas . Je ne vois pas le problème. Je peux m'arrêter pendant quelques jours et reprendre . Cela ne m'empêchait pas de faire du sport .
Le fait qu'elle n'arrive pas à se considérer alcoolique (et maltraitante envers ses enfants mais c'est un autre débat) alors qu'elle n'est pas capable d'emmener sa fille aux urgence montre l'ampleur du problème, et du déni...
Et c'est bien ça qui rend la situation si difficile. Personne n'a envie de se reconnaitre comme alcoolique ou que les autres vous considèrent comme alcoolique, alors on reste dans le déni, jusqu'au moment où quelque chose, peut-être, nous fait ouvrir les yeux. Première étape: on reconnait qu'on " a un problème avec l'alcool". Il faut parfois du temps ensuite pour réussir à prononcer les mots "je suis alcoolique".
Tout à fait d’accord. Et puis, le quasi dénigrement des personnes dépendantes est limite avec des« j’avais pas envie d’être dans la catégorie alcoolique », « sue Ellen »… c’est très très limite je trouve. Je parle en connaissance de cause.
Déjà quand tu vas chez le caviste pour ramener une bouteille à l'apéro des potes tu fais partie de la haute... Une bouteille de fond de rayon au Casino du coin et tous le monde est heureux !
Ya genre 3 semaines en soirée jme suis dit que jallais pas boire une goûte et bien on ma pris pour un OVNI toute la soiree
Merci
Les trois dernières minutes sont primordiales : rapport alcool/sexe.
Et oui car c'est la qu'est toute la problématique liée à l'alcool.
Le buveur s'invente une vie sexuelle qui très vite le dépasse et l'emprisonne (à vie).
Celui qui ne boit pas est un marginal, celui qui ne baise pas (à la mode de chez nous) n'en parlons même pas! Celui là est à coup sûr victime dune affreuse pathologie.
Réveillez vous, affranchissez vous de ce récit qui fait de nous des victimes et des Esclaves, c'est le moment de dire non.
15 ans que j''explique ca chaque apéro...
En effet, même quand on a clarifié notre propre rapport à l'alcool, ça reste un sujet face à l'incompréhension et l'insistance des autres. Alors que personne ne posera de question si on dit qu'on ne fume pas.
Et 15 ans qu'on t'invite toujours ? Tes amis sont en or.
@@simonfz99A l'évidence si il est toujours invité c'est que ses amis sont assez matures pour ne pas le rejeter pour une simple divergence d'opinion. Quand j'ai arrêté de boire certains ont continué à m'inviter, d'autres non. Ça a fait du tri et c'est très bien comme ça ;)
Merci !
Très bonne vidéo ça change du discours américain qui nous explique des nôtres adolescence que la vie c'est Américain pie et si t'as pas la grosse maison pas grave t'a alcool.
Et franchement le vin c'est mauvais
J'ai rien dit sur tout les autre commentaire, mais là tu a abuses quand même! Le vin c'est très bon mais il faut le consommer telle un accompagnement avec un plat, et non comme de l'eau ou du soda.
40 ans depuis janvier, on est en octobre, 10 mois sans une goutte.
Faut que tout tourne à la fin au féminisme!!! c’est incroyable quand même!!! 😅😅😅😅
Elles ne peuvent pas s'empêcher, dommage car hors sujet
J ai lu ce livre récemment ainsi que " sans alcool " de Claire Touuzard qui suit la même ligne. Effectivement ce qui est dérangeant c est de se rendre compte de sa dépendance même considérée comme acceptable = 1 ou 2 verres par jour.
Et cette pression des autres quand tu décides de faire autrement.
Perso je fait un dry january du lundi au vendredi et m autorise 1 verre ou 2 le week-end. Pas non plus envie de tomber dans un conditionnement inverse du" 0 alcool" mais juste reprendre la main sur ma consommation et me débarrasser de cette habitude débile de prendre un verre après sa journée de travail.
Je me rends compte que ne plus boire comme les autres c est ça être un rebelle.
Toi t'es Parisien. Il n'y a que chez les citadins CSP+ qu'on est stigmatisé parce qu'on boit pas un verre après la taff. Chez les ouvriers quasi personne ne fait ça.
Du coup j'espère que les leçons de morale c'est seulement pour votre milieu.
Qu'est ce tu racontes simone je viens de la.campagne et c est pareil voir pire dans le milieu ouvrier qu est ce qui faut pas lire comme bétise
L'alcool est dans tous les milieux sociaux.
Pour les tests en ligne pour s'évaluer par rapport à l'alcool, après avoir vu une affiche dans une salle d'attente j'ai fait ce test le résultat fut que j'avais un souci avec l'alcool. Ce test n'est pas très pertinent car il se basait sur la consommation de la semaine passée et j'avais eu qq événements (nouvel an et un anniversaire où j'avais bu trois et deux verres et ras le reste de la semaine). Donc attention à la fiabilité des tests qui devraient porter sur une période plus longue, mais cela permet de s'interroger dans sa relation avec l'alcool.
Et bien avoir en tête que l'espérance de vie diminue dès le premier verre.
1:01 Il ne faudrait pas oublier que l'oenologie est un art et qu'il y a des vins dégueulasses et des super bons!
Sur Meetic, on me propose toujours daller boire un verre après quelques échanges.
Perso je proposais toujours café ou boire un vers. Au moins ça donnait le choix !
Les effets de Meetic sont pires que l alcool
peut t'on soigner l'addiction a Meetic ?
Tout à fait summer , en la desinstallant.. tout simplement.
" plus on boit plus on a envie de boire, mais c'est pas moi".....
Oui oui le principe de récompense et dopamine vaut pour tout, chocolat, sexe, Mac do etc...
Je veut bien qu'on explique les phénomène, mais faut pas se cacher derriere
Podcast très intéressant avec de très bonnes pistes de réflexion, même si ça ne m'aurait pas dérangé qu'il soit plus long et pousse un peu plus la thématique.
Par contre, je trouve que la série How to get away with murder est un très mauvais exemple de l'image de la femme forte et indépendante pour qui l'alcool n'a aucune conséquences. Au contraire la série montre la relation difficile qu'a Annalise avec l'alcool et les conséquences que finissent par avoir son alcoolisme sur ses relations et sur son travail. Le tout reste relativement dramatisé, mais je pense que l'autrice n'a clairement pas vu la série en entier.
Et pourquoi ne serions nous pas alcoolique ? Nous avons toujours et tous un défaut..... Peut-être que nous ne voulons pas forcément vivre 99 ans comme ma maman qui fait tout ses besoin s dans une couche est ce que c'est un avenir ?❤😊
Vous pouvez l'être mais on ne s'occupera pas de vos frais de santé à vous de payer
Quand on "tombe" vraiment dans l'alcoolisme, on fait régulièrement ses besoins sur soi bien avant 99 ans...
Réponse stupide @@maureensoenen3558
comme pour le vaccin covid qui rend malade , et pour le sucre on te soigne pas aussi si diabète ?@@maureensoenen3558
Superbe
Passionnant