Merci infiniment pour le temps que vous prenez à réaliser vos vidéos afin de partager des connaissances vivifiantes et régénérantes. Quand on applique, ou plutôt quand on vit jour après jour et profondément tout ce dont vous parlez, méditation, alimentation nuancée, jeûnes intermittents et jeûnes longs, exercice physique et respiration, joie de vivre et de partager, immersion dans la nature, etc, on met à l'évidence toutes les chances de rester en santé sur le plan physiologique certes, mais aussi de garder un psychisme et un mental sains, toujours prêts à l'évolution, l'adaptation, l'ouverture d'esprit et la passion de découvrir, de lire, d'apprendre, de moissonner et d'engranger des connaissances vitales afin de les distribuer à chacun. C'est ce que je fais, c'est ce que vous faites, et l'expérimentation sur soi permet l'exemplarité sans tomber dans la facilité du " faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais"... sauf bien sûr, au cas où nos maladies, nos erreurs et nos errances passées nous rendent, en les racontant honnêtement, plus humains, plus accessibles et plus authentiques pour les autres. Bref, je vous écris pour vous encourager de tout mon coeur à continuer ce qui vous épanouit, ce qui vous rend plus fort, ce qui fait du bien à vos proches et au reste du monde. Je vous encourage parce que je sais bien que même les surdoués ont besoin d'encouragements... J'aime cette métaphore bouddhiste ( concernant la différence entre empathie et sympathie ) qui évoque le fait que lorsque notre ami est tombé au fond du puits il est plus efficace, au lieu d'y descendre avec lui, de rester au bord, ( j'ai envie de dire accoudé à la margelle du puits pour faire un peu d'humour champêtre), et de lui tendre la corde grâce à laquelle il peut remonter. Bien évidemment, quand il s'agit de malades en plein désespoir, parfois sans soutien familial, ce n'est pas vraiment ça. En fait, on en prend plein la gueule, ne serait-ce que par l'effet miroir qui nous rappelle avec hyper lucidité que cet autre là maintenant, c'est moi un jour... Cela fait écho à nos anxiétés de toujours, et entre cette peine pour nous, et la peine qu'on éprouve pour la douleur de cet autre et bien, il arrive que notre coeur éclate en mille morceaux et que la seule chose qui puissent nous aider là tout de suite, c'est un bon vieux produit "anesthésiant"... Et puis un jour, on se rend compte que ce qui peut contre-balancer ce désarroi, pour retrouver l'équilibre, pour rester équilibré, par le principe de l'homéostasie, c'est de rester, quoiqu'il arrive, contre vents et marées, et même dans la tempête, absolument et résolument émerveillé par la beauté du monde. Longue vie et prospérité à vous. Et à bientôt ? (J'aimerais vous présenter un jour, un agriculteur-meunier-boulanger-humaniste cultivant des variétés de blés ancestraux tout près de chez vous.)
Cher ami jaune à moustache, merci infiniment pour votre message dont je partage toute l'essence. J'en noterai particulièrement ceci, et que je répète à de très nombreux de mes patients qui peuvent être à la dérive et qui ne savent pas comment en sortir: j'ai moi-même visité le fond du puit, je sais comment en sortir. Live Long & Prosper.
Hier, après 20 h de jeûne, en mode tranquille parce que je suis habituée à si peu d'heures , j'ai senti une légère céphalée s'installer, bien que je sois bien hydratée, alors je suis allée faire une marche d'environ 2 h ( tout en m'obsédant un peu sur l'idée du jus de pamplemousse rose fraîchement pressé que je pourrai boire plus tard ), et puis j'ai piqué quelques sprints en côte et arrivée au sommet, j'étais mieux, ensuite, sur le plateau au dessus de chez moi, d'où on a une superbe vision à 360 degrés de la campagne du 47, j'ai reçu une "récompense" très cool de mon effort : au sud, sud-ouest à l'horizon s'est matérialisée toute la chaîne des Pyrénées comme découpée aux ciseaux dans le lointain... C'est peu fréquent, ça dépend de la météo, et bien que je marche presque tous les jours sur ce plateau ça m'interpelle toujours les rares fois où ça arrive... Cette "nourriture" terrestre m'a remplie de joie. (J'ai bien pensé que vous étiez un jour tombé au fond du puits). Un jour, j'aimerais, si jamais on se croisait, parler avec vous de personnes entr'aperçues comme Isaac Asimov et Charles Bukowski par exemple. Vous avez tout mon respect. Prenez soin de vous.
avec grand plaisir pour un café en compagnie de messieurs Asimov et Buk. Je suis installé du côté de Casteljaloux. Et bravo pour être capable de profiter de ces récompenses-ci. Je ne suis pas sûr qu'il y ait mieux dans une existence que d'être capable de se remplir de la beauté du monde.
@@drvincent4244 Super l'idée du café :) J'ai toujours à la maison un café bio d'Ethiopie, le moins acide, le plus parfumé, le plus réconfortant et cool de tous les arabicas que j'ai testé et je vous invite vous (et votre famille) si vous voulez, à venir ici. J'habite une "cabane" dans la cime des arbres, la canopée de chênes et de frênes centenaires du côté de Prayssas. En fait de cabane c'est l'impression qu'on en a vu de l'intérieur de la cuisine aux murs boisés avec sa baie vitrée... En réalité, ma maison date du 14ème siècle, elle est en pierres, et juchée sur le bord extrême d'une petite falaise de calcaire dur, au dessus d'une forêt. La façade sud-est de la maison suit la même verticalité que la paroi rocheuse, le même axe vertical... Seule la terrasse de la cuisine fait une saillie dans le vide, au dessus su sol comme le tiroir ouvert, du haut d'une commode. Debout sur la terrasse on est vraiment dans la tête des arbres qui culminent environ à 30 mètres d'après un ami forestier. Il y a toujours des oiseaux de toutes sortes et pas mal d'écureuils et contre la maison un pigeonnier ou se succèdent des générations de chouettes effraies qu'on appelle les dames blanches...plumes d'or dessus, d'argent dessous. Je continue mon petit mot tout à l'heure. Je vous dit à bientôt.
Merci infiniment pour le temps que vous prenez à réaliser vos vidéos afin de partager des connaissances vivifiantes et régénérantes. Quand on applique, ou plutôt quand on vit jour après jour et profondément tout ce dont vous parlez, méditation, alimentation nuancée, jeûnes intermittents et jeûnes longs, exercice physique et respiration, joie de vivre et de partager, immersion dans la nature, etc, on met à l'évidence toutes les chances de rester en santé sur le plan physiologique certes, mais aussi de garder un psychisme et un mental sains, toujours prêts à l'évolution, l'adaptation, l'ouverture d'esprit et la passion de découvrir, de lire, d'apprendre, de moissonner et d'engranger des connaissances vitales afin de les distribuer à chacun. C'est ce que je fais, c'est ce que vous faites, et l'expérimentation sur soi permet l'exemplarité sans tomber dans la facilité du " faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais"... sauf bien sûr, au cas où nos maladies, nos erreurs et nos errances passées nous rendent, en les racontant honnêtement, plus humains, plus accessibles et plus authentiques pour les autres. Bref, je vous écris pour vous encourager de tout mon coeur à continuer ce qui vous épanouit, ce qui vous rend plus fort, ce qui fait du bien à vos proches et au reste du monde. Je vous encourage parce que je sais bien que même les surdoués ont besoin d'encouragements... J'aime cette métaphore bouddhiste ( concernant la différence entre empathie et sympathie ) qui évoque le fait que lorsque notre ami est tombé au fond du puits il est plus efficace, au lieu d'y descendre avec lui, de rester au bord, ( j'ai envie de dire accoudé à la margelle du puits pour faire un peu d'humour champêtre), et de lui tendre la corde grâce à laquelle il peut remonter. Bien évidemment, quand il s'agit de malades en plein désespoir, parfois sans soutien familial, ce n'est pas vraiment ça. En fait, on en prend plein la gueule, ne serait-ce que par l'effet miroir qui nous rappelle avec hyper lucidité que cet autre là maintenant, c'est moi un jour... Cela fait écho à nos anxiétés de toujours, et entre cette peine pour nous, et la peine qu'on éprouve pour la douleur de cet autre et bien, il arrive que notre coeur éclate en mille morceaux et que la seule chose qui puissent nous aider là tout de suite, c'est un bon vieux produit "anesthésiant"... Et puis un jour, on se rend compte que ce qui peut contre-balancer ce désarroi, pour retrouver l'équilibre, pour rester équilibré, par le principe de l'homéostasie, c'est de rester, quoiqu'il arrive, contre vents et marées, et même dans la tempête, absolument et résolument émerveillé par la beauté du monde. Longue vie et prospérité à vous. Et à bientôt ? (J'aimerais vous présenter un jour, un agriculteur-meunier-boulanger-humaniste cultivant des variétés de blés ancestraux tout près de chez vous.)
Cher ami jaune à moustache, merci infiniment pour votre message dont je partage toute l'essence. J'en noterai particulièrement ceci, et que je répète à de très nombreux de mes patients qui peuvent être à la dérive et qui ne savent pas comment en sortir: j'ai moi-même visité le fond du puit, je sais comment en sortir. Live Long & Prosper.
Hier, après 20 h de jeûne, en mode tranquille parce que je suis habituée à si peu d'heures , j'ai senti une légère céphalée s'installer, bien que
je sois bien hydratée, alors je suis allée faire une marche d'environ 2 h ( tout en m'obsédant un peu sur l'idée du jus de pamplemousse rose
fraîchement pressé que je pourrai boire plus tard ), et puis j'ai piqué quelques sprints en côte et arrivée au sommet, j'étais mieux, ensuite, sur
le plateau au dessus de chez moi, d'où on a une superbe vision à 360 degrés de la campagne du 47, j'ai reçu une "récompense" très cool de
mon effort : au sud, sud-ouest à l'horizon s'est matérialisée toute la chaîne des Pyrénées comme découpée aux ciseaux dans le lointain...
C'est peu fréquent, ça dépend de la météo, et bien que je marche presque tous les jours sur ce plateau ça m'interpelle toujours les rares
fois où ça arrive... Cette "nourriture" terrestre m'a remplie de joie. (J'ai bien pensé que vous étiez un jour tombé au fond du puits). Un jour,
j'aimerais, si jamais on se croisait, parler avec vous de personnes entr'aperçues comme Isaac Asimov et Charles Bukowski par exemple.
Vous avez tout mon respect. Prenez soin de vous.
avec grand plaisir pour un café en compagnie de messieurs Asimov et Buk. Je suis installé du côté de Casteljaloux. Et bravo pour être capable de profiter de ces récompenses-ci. Je ne suis pas sûr qu'il y ait mieux dans une existence que d'être capable de se remplir de la beauté du monde.
@@drvincent4244 Super l'idée du café :) J'ai toujours à la maison un café bio d'Ethiopie, le moins acide, le plus parfumé, le plus
réconfortant et cool de tous les arabicas que j'ai testé et je vous invite vous (et votre famille) si vous voulez, à venir ici.
J'habite une "cabane" dans la cime des arbres, la canopée de chênes et de frênes centenaires du côté de Prayssas.
En fait de cabane c'est l'impression qu'on en a vu de l'intérieur de la cuisine aux murs boisés avec sa baie vitrée... En réalité,
ma maison date du 14ème siècle, elle est en pierres, et juchée sur le bord extrême d'une petite falaise de calcaire dur,
au dessus d'une forêt. La façade sud-est de la maison suit la même verticalité que la paroi rocheuse, le même axe vertical...
Seule la terrasse de la cuisine fait une saillie dans le vide, au dessus su sol comme le tiroir ouvert, du haut d'une commode.
Debout sur la terrasse on est vraiment dans la tête des arbres qui culminent environ à 30 mètres d'après un ami forestier.
Il y a toujours des oiseaux de toutes sortes et pas mal d'écureuils et contre la maison un pigeonnier ou se succèdent des
générations de chouettes effraies qu'on appelle les dames blanches...plumes d'or dessus, d'argent dessous.
Je continue mon petit mot tout à l'heure. Je vous dit à bientôt.
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