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Merci du fond du coeur pour vos encouragements, Emmanuelle. Ces Carnets sont tellement, tellement d'actualité, et si poignants qu'effectivement j'avoue ne pas pouvoir en faire une lecture neutre (et assumer ce choix, qui peut déranger mais... il existe à n'en pas douter d'autres propositions disponibles). L'essentiel est d'être sincère, et ainsi chacun apporte sa contribution à la diffusion de ce sujet brûlant (c'est le cas de le dire) qu'est la Transformation inéluctable et urgentissime de notre pauvre espèce dégénérée. Heureuse que vous soyez là en tout cas, Emmanuelle.

@@bbav6338 oui, j ignorais l existence de ces carnets.... ils sont précieux...gratitude à vous de les faire connaitre... merci d être.....🌈❤️👍

MERCI Marianne pour la chaleur de votre message, qui parle de coeur à cœur. Ha oui, le monde a plus que jamais BESOIN d'entendre le... "dessous des cartes" du chaos actuel, sous peine de... se réveiller avec une sacrée gueule de bois, en plein cauchemar. Et oui, « Hauts les cœurs » (ma "signature" favorite, car ce ne sont pas des mots, mais bien un mantra..) 🙏

Gratitude réciproque, pour votre présence et votre Écoute. 🙏

Tiens, Pascal, j'ai pensé à toi en (re)lisant ces mots de Mère, dans l'Agenda IV, 23 novembre 1963. Des mots qui peuvent aider, quand on a mal : « Il faut s'élargir et durer, c'est tout. C'est la seule leçon à apprendre: élargissement et endurance - durer-durer-durer. » S'élargir, s'élargir, s'élargir.... et le résultat ne nous appartient pas... Hauts les coeurs, Pascal ! (Et TRÈS heureuse que tu sois touché, dès le début, par la lecture de Gringo - dont la merveille est peut-être + accessible à la lecture qu'à l'écoute. Donc : mission accomplie !)

​@@bbav6338oui ça me plaît, je suis touché par cette poésie, que c'est beau et empli mon cœur qui déborde et amène à mes yeux de petites larmes. Merci pour ton attention vis à vis de moi, Merci pour tes lectures. Merci d'envoyer ces lectures tel une bouteille à la mer que certains gringos attraperont et mediteront. Je t'embrasse très fort. ❤

À n'en pas douter, Claudine, c'est un message d'Amour... Et justement...l'Amour... ça brûle d'une façon que nous redoutons, en fait, terriblement. Cet Amour-là... nous le refusons. C'est bien tout le travail... Connaissez-vous ces bouleversantes lignes de Mère (à propos des " great stars " dont parle Sri Aurobindo dans Savitri - X. III . 638) : « [ Mère :] D'après ce qu'il [ Sri Aurobindo] dit là, c'est le principe d'Amour qui se transforme en flamme et finalement en lumière. Ce n'est pas le principe de Lumière qui se transforme en flamme en se matérialisant : c'est la flamme qui se transforme en lumière. Les grandes étoiles donnent de la lumière parce qu'elles brûlent ; elles brûlent parce qu'elles sont l’effet de l’Amour. [ Satprem :] L’Amour serait le Principe originel ? [ Mère :] C'est ce qu'il tendrait à dire. » « C'est le principe d'amour qui se transforme en flamme...» En flamme. Et à partir du tome 4 des Carnets, Satprem commence à dire qu'il est mis à BOUILLIR.... Et depuis quelques années la terrer est... en feu - et en ébullition. Et ça ne va pas s'arrêter. De là à y voir la signature de Mère... Toutes nos conceptions sont mises à bas. Merci, encore une fois, d'être là, Claudine. 🙏

@@bbav6338merci bcp que la lumière soit 🕊️🩵

Ha mais... c'est ce que j'essaie de te dire, Pascal : les Carnets, si on n'est pas VRAIMENT préparé, ça ressemble à... une catastrophe ! Et effectivement, C'EST (ou plutôt ça semble être) une Catastrophe pour le Mensonge (dont nous sommes essentiellement constitués - et voilà où le bât blesse). Mère-Sri Aurobindo, ça BRÛLE. OUI il faut du courage - ou plutôt, comme le dit Mère : de l'héroïsme. C'est pour cela que, en même temps qu'on creuse, il faut impérativement s'ÉLARGIR, faire couler la Lumière, encore et encore, et accepter de se laisser coloniser par Elle. En fait, c'est tout ce qu'on peut bien demander : "Fais que j'accepte d'être Ton instrument." "Je veux être sous Ton influence exclusive, à l'exclusion de toute autre." Voilà... ce genre de mantra, à répéter et répéter, rabâcher, ressasser, s'endormir avec, copier sur un carton et lire, lire, lire, quand on oublie de répéter... Avec ce bâton-guide... on est bien armé. Va lire Gringo, tu verras, on y respire dans la forêt de Mère, c'est plein d'Oxygène ! Hauts les coeurs, Pascal !

​@@bbav6338oui plus exactement de l héroïsme ! Oui tu m'as prévenu, tu as bien fait, je t'en remercie. Je mettais préparé à cela mais je trouve qd même ces passages très durs. Encore beaucoup de choses à découvrir et demain je finis le tome 2 grâce à toi ❤. Milles merci pour ta lecture qui est parfaite. J aime aussi ton intonation de voix qui change. Comme pour sujata (excuse si erreur d orthographe). Hâte de découvrir la fin. Milles merci 🤗❤️🙏

@@pascalh.387 Et pour Gringo (que je suis en train d'écouter !) : au début, il est possible que tu n'accroches pas, parce que c'est... "hors références" : ça commence par un.. début de période géologique, disons. Mâ (Mère) apparaît au chapitre 5. Et si on accepte de se laisser faire, eh bien vraiment... Satprem nous prend par la main et nous emmène, vraiment, dans la Forêt.. physique (!) de Mère. Si tu te laisses faire, tu verras, on... on s'élargit à mesure. (J'en suis au chapitre 16 et...vraiment, je suis comme un poisson dans l'eau, en pleine Mère...et mer...) Tu me diras ! Tiens, un petit extrait (le fin du chapitre XII : « - Quel est le secret du changement, murmura-t-il ? Où est le Passage ? - Un jour, quand la terre étouffera de sa science d’hommes et de ses myriades barbares… Alors Elle leva Ses grands yeux de diamant sur Gringo. - Tu seras là, je t’appellerai. Maintenant, va, on nous attend. Gringo posa son front sur ces genoux. Il lui sembla fondre dans un brasier blanc. » Ou bien, le début du chapitre XIV ( " ET LE PETIT IGUANE TROTTAIT ”) : « Il souriait à la lumière. Le chant de la forêt entourait Gringo avec amour. Les hautes fougères s’étaient juste posées sur la pointe et attendaient, un peu penchées, de reprendre le ballet. Gringo passa ses doigts dans la cascade, il tenait encore un fil d’argent, et puis… Et puis les grillons emportaient les songes dans une haute vague stridulante, comme une autre mémoire de toutes les mémoires, douce et profonde dans les plis moirés des âges. Un petit échassier vert posa une patte délicate sur le rocher, hésita, plongea son bec dans la cascade et s’envola d’un coup avec un cri flûté - vers quel pays ? Car le monde est un pays de mille pays, roses et bleus, chantants et graves comme le cœur de la nuit ou soudains et légers comme un sourire furtif. » La fin du chapitre XV : « Puis il dit lentement, comme on chante la mélopée, le soir, pour apprivoiser les songes : - Ensemble nous passerons la porte blanche et nous irons dans le pays d’après. Et la pluie se mit à crouler, énorme, tiède, consentante, enveloppant la cascade et la forêt, et deux petites formes serrées comme une prière de la terre dans l’immense crépitement vert. » Alors...? 🤔

Ha oui j'ai abusé, là... (Souvent je me censure, je me retiens de commenter, parce que... on ne vient pas écouter Satprem pour entendre les commentaires de la lectrice !) Mais bon, cette fois j'ai craqué. C'est que Gringo n'intéresse quasiment personne semble-t-il (sur cette chaîne, en tout cas, il est de loin ce qui est le moins écouté). Et pourtant...oui, OUI, nous sommes à l'Heure de Gringo. La Terre est à l'Heure de Gringo. Alors, effectivement, je ne sais pas s'il est très "agréable" à écouter, étant donné qu'il y a plusieurs personnages, et que du coup ma voix change en fonction (sinon on ne comprendrait pas à temps que celui qui parle n'est pas toujours le même - sauf à annoncer les noms à chaque fois, mais bon, ça coupe le flux). Je te le conseille vivement. (sachant, pour info, que Gringo = Satprem ; Batcha = Sujata ; Mâ = Mère ; Quiño = le frère de Sujata ; Vrittru = Pranab ; etc. Autrement dit : que tous les personnages sont des personnages existants). De façon "romancée" (bien moins qu'il n'y paraît en fait), Satprem nous décrit précisément l'Action de Mère-Sri Aurobindo sur le Monde (avec cette promesse de Mâ-Mère à Gringo : "Un jour, je les déficellerai tous."), et partage avec nous tant et tant de ses vies (et des vies de Sujata) auprès de Mère. Une merveille. Car oui, Mère est en train de nous déficeler. Et ça fait MAL à tout ce qui résiste (et en chacun de nous, quasiment TOUT résiste. Alors...). À propos, d'ailleurs : je ne sais pas si tu as lu, quelque part, un "avertissement" que j'avais partagé, de Satprem, concernant les CARNETS. (En gros, "à ne pas mettre entre des mains non "suffisamment" averties.) De mon point de vue, si on n'a pas baigné et re-baigné dans les Agenda, dans Savitri, et puis tous les écrits de Satprem (à commencer par la Trilogie, qui introduit extraordinairement les Agenda), on ne peut que se retrouver, à un moment où à un autre (ou tout le temps) TERRORISÉ par ce que révèle Satprem dans ces Carnets (sauf à passer complètement à côté - ce qui est, aussi, possible : régulièrement, il mentionne "On me prendra pour un fou "). Parce que vraiment, il repasse par toutes les blessures de Mère - sauf que, Elle, évitait de dire ("Mais mon petit, si je leur disais, ils seraient épouvantés.") ; alors que Satprem, lui, décrit aussi minutieusement qu'il lui est possible l'Indicible. Alors, Pascal, si parfois tu suffoques.. n'hésite pas à faire un tour dans.. la Trilogie, par exemple (tu as lu la Trilogie ? ) Ça prépare le terrain - parce que + on avance dans les Carnets, + c'est... du Feu. Merci d'être là, en tout cas, Pascal ! 🙏

​@@bbav6338merci pour ta réponse ton aide ta patience et ta lecture ! A la fin de ce tome, je vais m'y essayer à ce gringo. Merci d être la ! Merci de nous transmettre toutes ces informations si précieuses aux petits têtards que nous sommes 😂. ❤❤

Oui c'est d actualité...les forces obscures dont la finance est le bras armée nous entraînent dans le précipice. Ça urge , sinon ça va recommencer comme en 40.