Bonjour... Monsieur Gustave a fasciné mon Général Hux... Perso, hors Forges (à quand un fan-club ?), je me fie également à mon intuition sur les livres peu connus ou exposés. Je hume, je feuillette, je "sens" l'auteur etc. Je lis évidemment les chroniques des livres attendus etc., mais cela n'influence pas mon achat. Pour les auteurs, je suis fan de certains et, là, je ne regarde même pas le résumé... je fonce... Belle journée. X
Passionnant, comme les précédentes ! Alors, David, pour te rassurer, enfin j'espère... question posée à un passionné d'échecs à qui j'ai offert le livre des forges auquel tu as fait allusion à plusieurs reprises : "Pour toi quel est le plus grand joueur de tous les temps ?" La réponse a été immédiate : Fischer...
Merci beaucoup de cette vidéo, qui me laisse rêveur quant à ce que sera ta promesse pour le seuil des 400 abonné·es... 5:13 je ne sais bien que ce n'est pas ce que tu voulais dire, mais je rappelle qu'il y a des "vrais lecteurs" qui ne mettent absolument jamais les pieds dans les “salons” 6:35 entièrement d'accord avec toi, la pub permet de "suivre" un artiste (pas seulement pour les livres d'ailleurs) 14:25 tournée permanente en librairie, passage passionnant 24:05 la diffusion et les relations éditeur/diffuseur, sujet de la prochaine vidéo ?
Je pense que je ferai une transcription de ce que j'ai dit, l'occasion de corriger erreurs et lapsus. Sur les salons : en fait, quand on est éditeur, contrairement aux libraires, on voit peu de lecteurs et lectrices... sauf dans les salons. Mais pour aller dans ton sens : je crois qu'avant d'être éditeur je n'étais jamais allé dans un salon du livre... - Sur la tournée permanente, il y aurait davantage à dire, ce sera pour une prochaine fois. - Sur le diffuseur : je pense que c'est un excellent sujet. Je pense d'ailleurs que les diffuseurs devraient davantage communiquer. Mais il y a une grande différence, ce ne sont pas des "petits entrepreneurs", alors leur parole est moins libre. Ce que je trouve dommage, c'est que, bien souvent, libraires et éditeurs, quand les choses vont mal, se plaignent du diffuseur, mais ils s'en plaignent car ils ne le connaissent pas, et donc, ne comprennent pas sa logique. Or, sans diffuseur, pas d'industrialisation, et sans industrialisation, on ne vit plus du livre. Il y a des maisons auto-diffusées de qualité, et qui sont autonomes. Mais la plupart du temps, elles ne le sont pas. - La prochaine vidéo, je pense qu'elle sera plutôt sur l'étape 2 du travail, le travail avec les autrices et les auteurs. Comme cela j'aurai fait les trois étapes. Dans le désordre.
Dans une maison qui aurait une petite taille, avec seulement deux personnes à plein temps, on peut imaginer placer une personne sur l'edito, et une personne sur ces deux missions : presse et librairie. En un sens, elles sont analogues. Mais, dans les faits, la valeur d'un attaché de presse, d'une relation libraires c'est un mélange de carnet d'adresses, de méthode, de connaissance de son milieu (presse ou librairie) et d'énergie. Il est difficile de cumuler les deux métiers. Aussi, les maisons vont avoir tendance à externaliser ces missions, même si ce n'est pas une obligation - et cela nécessite un investissement financier.
La promesse du pyjama me poussera dons à faire suivre cette vidéo... très intéressante, du reste.
J'aime beaucoup vos vidéos. C'est passionnant.
Bonjour... Monsieur Gustave a fasciné mon Général Hux...
Perso, hors Forges (à quand un fan-club ?), je me fie également à mon intuition sur les livres peu connus ou exposés. Je hume, je feuillette, je "sens" l'auteur etc.
Je lis évidemment les chroniques des livres attendus etc., mais cela n'influence pas mon achat.
Pour les auteurs, je suis fan de certains et, là, je ne regarde même pas le résumé... je fonce...
Belle journée.
X
J'adore vos vidéos 👌👌
COMMENT ÇA LE MEILLEUR JOUEUR DE TOUS LES TEMPS ?!
(ça c'est fait. Et puis j'y connais rien.)
Vivement le pyjama !
Passionnant, comme les précédentes ! Alors, David, pour te rassurer, enfin j'espère... question posée à un passionné d'échecs à qui j'ai offert le livre des forges auquel tu as fait allusion à plusieurs reprises : "Pour toi quel est le plus grand joueur de tous les temps ?" La réponse a été immédiate : Fischer...
Merci beaucoup de cette vidéo, qui me laisse rêveur quant à ce que sera ta promesse pour le seuil des 400 abonné·es...
5:13 je ne sais bien que ce n'est pas ce que tu voulais dire, mais je rappelle qu'il y a des "vrais lecteurs" qui ne mettent absolument jamais les pieds dans les “salons”
6:35 entièrement d'accord avec toi, la pub permet de "suivre" un artiste (pas seulement pour les livres d'ailleurs)
14:25 tournée permanente en librairie, passage passionnant
24:05 la diffusion et les relations éditeur/diffuseur, sujet de la prochaine vidéo ?
Je pense que je ferai une transcription de ce que j'ai dit, l'occasion de corriger erreurs et lapsus. Sur les salons : en fait, quand on est éditeur, contrairement aux libraires, on voit peu de lecteurs et lectrices... sauf dans les salons. Mais pour aller dans ton sens : je crois qu'avant d'être éditeur je n'étais jamais allé dans un salon du livre... - Sur la tournée permanente, il y aurait davantage à dire, ce sera pour une prochaine fois. - Sur le diffuseur : je pense que c'est un excellent sujet. Je pense d'ailleurs que les diffuseurs devraient davantage communiquer. Mais il y a une grande différence, ce ne sont pas des "petits entrepreneurs", alors leur parole est moins libre. Ce que je trouve dommage, c'est que, bien souvent, libraires et éditeurs, quand les choses vont mal, se plaignent du diffuseur, mais ils s'en plaignent car ils ne le connaissent pas, et donc, ne comprennent pas sa logique. Or, sans diffuseur, pas d'industrialisation, et sans industrialisation, on ne vit plus du livre. Il y a des maisons auto-diffusées de qualité, et qui sont autonomes. Mais la plupart du temps, elles ne le sont pas. - La prochaine vidéo, je pense qu'elle sera plutôt sur l'étape 2 du travail, le travail avec les autrices et les auteurs. Comme cela j'aurai fait les trois étapes. Dans le désordre.
Un attaché de presse ne peut pas être aussi attaché de librairie ?
Dans une maison qui aurait une petite taille, avec seulement deux personnes à plein temps, on peut imaginer placer une personne sur l'edito, et une personne sur ces deux missions : presse et librairie. En un sens, elles sont analogues. Mais, dans les faits, la valeur d'un attaché de presse, d'une relation libraires c'est un mélange de carnet d'adresses, de méthode, de connaissance de son milieu (presse ou librairie) et d'énergie. Il est difficile de cumuler les deux métiers. Aussi, les maisons vont avoir tendance à externaliser ces missions, même si ce n'est pas une obligation - et cela nécessite un investissement financier.
@@DaveFeng Merci de ta réponse très claire. Ces vidéos sont vraiment très intéressantes, vivement la prochaine !
Un chat ne fait pas ouah ouah, je le signale humblement. 0:50
Je me désabonne. Je n'ai ni envie de te voir en pyjama, ni de vidéos plus courtes...