ou les deux je m'explique: ça dépend comment réagit aux privations progressives de par les prix est-ce que ça ira vers la droite radicale espérant retrouver du toujours plus ou va-t-on vers une simplicité volontaire et gérer les frustrations (exemple bete: lacher sa voiture)
@@FF2433 je pense malheureusement connaître la réponse.... Mais mois elle sera choisie, plus elle sera subi. L'état final étant malheureusement imposé par notre monde.
éteindre l'eau de la douche quand on se savonne. Ces conneries me feront toujours rigoler ! Que vont penser les générations futures quand elles entendront ca ?? De telles absurdités de la part d'une personne qui va prendre l'avion je sait pas combien de fois par an... Qui ne va boire que dans des bouteilles en plastoc... On est complètement fous, en train de détruire des choses totalement irremplaçables tout en sifflotant.
Malheureusement il faudrait que les pays déjà développés acceptent de grever leurs revenus et donc leurs puissances pour permettre aux pays les plus fables puissent se développer. Des voeux pieux . Mais n'oubliez pas ce se sont les pays du sud, les plus pauvres et les moins préparés qui vont subir les impacts les plus forts en premier.
@@babaousman3204 cela ne durera qu'un temps, les terres de boisées deviennent arrides bien plus rapidement. Et cela s'accentue mais aussi accélère le changement climatique. On constate déjà de que les cultures de mais perdent en rendement. C'est un cercle vicieu. Moins d'arbres c'est moins d'évaporation donc moins de pluie et plus de lessivage des sols qui en perdent leurs nutriments. Donc plus de déforestation pour compenser. Cela favorise aussi les grands feux de forêt et donc l'émission de co2 dans l'atmosphère. Enfin l'agriculture sud américaine ne tiens que grâce à l'apport massif d'intrans. Du phosphates issus des mines marocaines, des engrais azotés issu du gaz naturel et des pesticides issus de la pétrochimie. Rien de tout cela n'est inépuisable. Si l'Afrique se repose là dessus, ce sont les crises alimentaires qui l'attendent.
La on parle de la viabilité de nos écosystèmes pour les 8 milliards d'êtres humains qui y habitent déjà. ... alors hormis la radicalité je ne vois plus de solution.
Il faut faire une différence entre le radicalisme, qui vise à s'attaquer à la racine d'un problème, et l'extrémisme, qui vise à s'attaquer à un problème à l'exclusion de tous les autres. Les solutions contre le réchauffement climatique doivent être radicales aujourd'hui parce que nous n'avons strictement rien fait ces 30 dernières années. Elles auraient été plus progressives si nous nous y étions pris plus tôt.
La décroissance sera choisie et partagée ou subie et inégalitaire.
bien dit
exactement, pas d'écologie sans justice sociale, one human one footprint
ou les deux
je m'explique: ça dépend comment réagit aux privations progressives de par les prix
est-ce que ça ira vers la droite radicale espérant retrouver du toujours plus
ou va-t-on vers une simplicité volontaire et gérer les frustrations (exemple bete: lacher sa voiture)
@@FF2433 je pense malheureusement connaître la réponse.... Mais mois elle sera choisie, plus elle sera subi. L'état final étant malheureusement imposé par notre monde.
La journaliste est perturbée par cette entrevue. On voit son angoisse dans son non verbal.
éteindre l'eau de la douche quand on se savonne.
Ces conneries me feront toujours rigoler ! Que vont penser les générations futures quand elles entendront ca ?? De telles absurdités de la part d'une personne qui va prendre l'avion je sait pas combien de fois par an... Qui ne va boire que dans des bouteilles en plastoc... On est complètement fous, en train de détruire des choses totalement irremplaçables tout en sifflotant.
Merci.
On ne peut pas aussi empêcher le développement d'un pays au nom de l'écologie.
Malheureusement il faudrait que les pays déjà développés acceptent de grever leurs revenus et donc leurs puissances pour permettre aux pays les plus fables puissent se développer. Des voeux pieux .
Mais n'oubliez pas ce se sont les pays du sud, les plus pauvres et les moins préparés qui vont subir les impacts les plus forts en premier.
@@babaousman3204 cela ne durera qu'un temps, les terres de boisées deviennent arrides bien plus rapidement. Et cela s'accentue mais aussi accélère le changement climatique. On constate déjà de que les cultures de mais perdent en rendement.
C'est un cercle vicieu.
Moins d'arbres c'est moins d'évaporation donc moins de pluie et plus de lessivage des sols qui en perdent leurs nutriments. Donc plus de déforestation pour compenser.
Cela favorise aussi les grands feux de forêt et donc l'émission de co2 dans l'atmosphère. Enfin l'agriculture sud américaine ne tiens que grâce à l'apport massif d'intrans. Du phosphates issus des mines marocaines, des engrais azotés issu du gaz naturel et des pesticides issus de la pétrochimie. Rien de tout cela n'est inépuisable.
Si l'Afrique se repose là dessus, ce sont les crises alimentaires qui l'attendent.
@@babaousman3204 déboisement massivement vos forêts, c'est vous rendre encore plus sujet aux catastrophes naturelles.
@@erwannlds741 L'Occident a dévasté sa forêt pour se développer. Alors , pourquoi empêcher les autres de se développer aussi ?
@@yoannld1718Le développement d'abord , le reste on verra après.
L'extrémisme est dangereux peu importe le combats ça fini toujours mal.
La on parle de la viabilité de nos écosystèmes pour les 8 milliards d'êtres humains qui y habitent déjà. ... alors hormis la radicalité je ne vois plus de solution.
Il faut faire une différence entre le radicalisme, qui vise à s'attaquer à la racine d'un problème, et l'extrémisme, qui vise à s'attaquer à un problème à l'exclusion de tous les autres. Les solutions contre le réchauffement climatique doivent être radicales aujourd'hui parce que nous n'avons strictement rien fait ces 30 dernières années. Elles auraient été plus progressives si nous nous y étions pris plus tôt.
@@WolfgangSourdeau oui, bon résumé.
bonjour, je pense que le vrai extrémisme c'est celui avec lequel nous détruisons notre planète tout en dénonçant ceux qui tentent de la protéger