Pour la petite histoire, quand (sous Franco) Lluis Llach a voulu chanter l'estaca, il a été menacer de mort... par les militaires, il n'a donc pas chanter cette chanson... mais quand le pianiste à jouer l'intro, Lluis Lach (la main posé sur le coeur) a juste fredonner l'air ... mais tout le public chanté a sa place...
pour nous catalans cela nous donne toujours le frisson,visca catalunya
8 років тому+24
Du temps où je n'étais qu'un gosse Mon grand-père me disait souvent Assis à l'ombre de son porche En regardant passer le vent Petit vois-tu ce pieu de bois Auquel nous sommes tous enchaînés Tant qu'il sera planté comme ça Nous n'aurons pas la liberté Mais si nous tirons tous, il tombera Ca ne peut pas durer comme ça Il faut qu'il tombe, tombe, tombe Vois-tu comme il penche déjà Si je tire fort il doit bouger Et si tu tires à mes côtés C'est sûr qu'il tombe, tombe, tombe Et nous aurons la liberté Petit ça fait déjà longtemps Que je m'y écorche les mains et je me dis de temps en temps Que je me suis battu pour rien Il est toujours si grand si lourd La force vient à me manquer Je me demande si un jour Nous aurons bien la liberté Mais si nous... Puis mon grand-père s'en est allé Un vent mauvais l'a emporté Et je reste seul sous le porche En regardant jouer d'autres gosses Dansant autour du vieux pieu noir Où tant de mains se sont usées Je chante des chansons d'espoir Qui parlent de la liberté
sous Franco pas étonnant merci de nous le dire, un vif succès quand même que le public ait pu la chanter. Vive la liberté los amigos. Superbe interprétation merci au groupe.
La version polonaise, c'etait une des plus importantes chansons pendant le mouvement de SOLIDARNOŚĆ - qui a fait tomber communism en Pologne et puis dans les autres pays de l'Europe Centrale. Mais version polonaise ce n'est pas la traduction mais c'est une raconte de l'histoire de Lluis Llach, ce qu'il a vecu pendant le regime de Generale Franco.
ua-cam.com/video/hwD6i9eOiYE/v-deo.html On natchniony i młody był, ich nie policzyłby nikt On im dodawał pieśnią sil, śpiewał, że blisko już świt Świec tysiące palili mu, znad głów unosił się dym Śpiewał, że czas, by runął mur, oni śpiewali wraz z nim Wyrwij murom zęby krat Zerwij kajdany, połam bat A mury runą, runą, runą I pogrzebią stary świat! Wkrótce na pamięć znali pieśń i sama melodia bez słów Niosła ze sobą starą treść, dreszcze na wskroś serc i dusz Śpiewali wiec, klaskali w rytm, jak wystrzał poklask ich brzmiał I ciążył łańcuch, zwlekał świt, on wciąż śpiewał i grał Wyrwij murom... Aż zobaczyli ilu ich, poczuli siłę i czas I z pieśnią, że już blisko świt, szli ulicami miast Zwalali pomniki i rwali bruk - Ten z nami! Ten…
Dość interesująca wersja ale Kaczmarski nadał temu utworowi wyjątkowy, głęboki, zrozumiały dla Polaków, wymiar. Niedościgniony przez jakąkolwiek nację. Jacku...pozostaniesz zawsze wyjątkowy.
10darh10 Nikt niczego nie dościgał. L'estaca Lluisa Llacha to oryginalny utwór który był wezwaniem do wolności. Utwór Jacka Kaczmarskiego do tej samej melodii opowiada o autorze , przejęciu jego dzieła i osamotnieniu. Paradoksalnie Polacy nie zrozumieli go przejęli to dzieło i nadali mu nowe znaczenie, zapominając, że w pieśni tłum stał się taki sam jak ci z którym walczył.
Bardzo dobra analiza. Ale kazdy sluchacz moze sobie wyobrazic swoja wersje. Piosenka nalezy do autora, lecz gdy dosiega ucha sluchacza, staje sie jego wlasnoscia. To piekne, choc czasami trudne do przyjecia.
Jacek Kaczmarski no va pas traduir la lletra original de L'Estaca, sinó que en va fer una de seva. Probablement al temps que la va trasbalsar al polonès, sols en coneixia la tonada i de què parlava; no pas la lletra textual. Canten totes tres versions íntegrament. Això la fa massa llarga i acaba que és enfadosa. N'haurien hagut de triar una estrofa i sengla tornada per llengua.
Jacek Kaczmarski (1957-2004), bardo polaco y opositor a las autoridades comunistas de Polonia, conoció la canción L'estaca del cantante catalán Lluís Llach a través de su amigo de la época de estudiante, Filip Łobodziński. En 1978, Kaczmarski escribió la canción «Muros», y años más tarde describió su fascinación por la pieza de la siguiente manera: «Una vez escuché un disco del catalán Lluís Llach, que la canta, y 10.000 personas repiten el estribillo. Allí la letra es diferente, habla de arrancar una estaca a la que se ata a la gente, pero el motivo parece ser el mismo». Mis comentarios y reflexiones; «Creo que sí, «Muros» y «L'estaca» tienen la misma melodía, también la misma idea antitotalitaria y la misma necesidad de Libertad, pero sin duda la letra de «Muros» no es una traducción ni una traslación de «L'estaca». «Muros» es una canción de J. Kaczmarski sobre la canción de L. Llach y el concierto que convirtió esta canción en una canción de culto para la gente que anhela la libertad, como se puede comprobar cuando se lee la letra. «Muros» Inspiraba y joven era Nadie podía contarlos Dio fuerza con su canción Cantó que el amanecer estaba cerca Miles de velas ardían El humo salía de sus cabezas Cantó que era hora de derribar el muro Cantaron con él Derribad los dientes del muro Rompe las cadenas Rompe el látigo Y los muros caerán, caerán, caerán Y enterrarán el viejo mundo Rompe los dientes de los barrotes Rompe las cadenas Rompe el látigo Y los muros caerán, caerán, caerán Y enterrarán el viejo mundo Pronto se supieron la canción de memoria Y la melodía sola sin palabras Llevaba consigo el viejo contenido Temblando a través de sus corazones y cabezas Así que cantaron, aplaudiendo al ritmo Como un disparo, sonaron sus aplausos Y la cadena se arrastró, el alba se retrasó Aún cantaba y tocaba Rompe los dientes de los barrotes Rompe las cadenas Rompe el látigo Y los muros se derrumbarán, se derrumbarán, se derrumbarán Y enterrarán el viejo mundo Rompe los dientes de los barrotes Rompe las cadenas Rompe el látigo Y los muros caerán, caerán, caerán Y enterrarán el viejo mundo Hasta que vean cuántos Sintieron la fuerza y el tiempo Y con una canción que el amanecer está cerca Recorrieron las calles de las ciudades Derribaron monumentos y arrancaron adoquines «¡Él con nosotros, él contra nosotros!» «¡Que solo es nuestro peor enemigo!» Y el cantante también estaba solo Miraba a la multitud marchar uniformemente Silencioso mientras escuchaba los pasos Y los muros crecían, crecían, crecían La cadena se balanceaba a sus pies Observó a la multitud marchar uniformemente En silencio al escuchar los pasos Y los muros crecen, crecen, crecen La cadena se balancea a sus pies
OUI DAMIEN CONNARD BIEN AU CHAUD PLANQUE DERRIERE TON PC OUI FAIS TA REVOLTE PAUVRE NAZE MDRRR TU IGNORES LA FAIM LA PEUR IGNORANT TU SERAI SDF BRAVO MAIS LOL MDRRR
Pour la petite histoire, quand (sous Franco) Lluis Llach a voulu chanter l'estaca, il a été menacer de mort... par les militaires, il n'a donc pas chanter cette chanson... mais quand le pianiste à jouer l'intro, Lluis Lach (la main posé sur le coeur) a juste fredonner l'air ... mais tout le public chanté a sa place...
Les chansons qui parlent de liberté sont toujours très belles, est-ce vraiment un hasard ?
LIBERTÉ ! Merci. Une très belle chanson, hélas toujours d'actualité dans bien des pays (suivez mon regard !).🗽🕊☮
pour nous catalans cela nous donne toujours le frisson,visca catalunya
Du temps où je n'étais qu'un gosse
Mon grand-père me disait souvent
Assis à l'ombre de son porche
En regardant passer le vent
Petit vois-tu ce pieu de bois
Auquel nous sommes tous enchaînés
Tant qu'il sera planté comme ça
Nous n'aurons pas la liberté
Mais si nous tirons tous, il tombera
Ca ne peut pas durer comme ça
Il faut qu'il tombe, tombe, tombe
Vois-tu comme il penche déjà
Si je tire fort il doit bouger
Et si tu tires à mes côtés
C'est sûr qu'il tombe, tombe, tombe
Et nous aurons la liberté
Petit ça fait déjà longtemps
Que je m'y écorche les mains
et je me dis de temps en temps
Que je me suis battu pour rien
Il est toujours si grand si lourd
La force vient à me manquer
Je me demande si un jour
Nous aurons bien la liberté
Mais si nous...
Puis mon grand-père s'en est allé
Un vent mauvais l'a emporté
Et je reste seul sous le porche
En regardant jouer d'autres gosses
Dansant autour du vieux pieu noir
Où tant de mains se sont usées
Je chante des chansons d'espoir
Qui parlent de la liberté
Gracias, merci, dziękuję !
Trop beaux
sous Franco pas étonnant merci de nous le dire, un vif succès quand même que le public ait pu la chanter. Vive la liberté los amigos. Superbe interprétation merci au groupe.
L’universalité de la lutte et de la chanson .L'homme se relèvera toujours pour reprendre sa liberté: cela s'appelle l'humanité.
La version polonaise, c'etait une des plus importantes chansons pendant le mouvement de SOLIDARNOŚĆ - qui a fait tomber communism en Pologne et puis dans les autres pays de l'Europe Centrale. Mais version polonaise ce n'est pas la traduction mais c'est une raconte de l'histoire de Lluis Llach, ce qu'il a vecu pendant le regime de Generale Franco.
Kaczmarski !!!
Super!
Per la libertat de los pobles !!!
quelle magnifique " distribution " ! bravo et grand merci !
union des etres debout conscient de leur liberté
chanson émouvante
C'EST NOTRE MARSEILLAISE A NOUS LES CATALANS!!!!!!
Cette chanson a désormais une version tunisienne : Dima Dima
ua-cam.com/video/hwD6i9eOiYE/v-deo.html
On natchniony i młody był, ich nie policzyłby nikt
On im dodawał pieśnią sil, śpiewał, że blisko już świt
Świec tysiące palili mu, znad głów unosił się dym
Śpiewał, że czas, by runął mur, oni śpiewali wraz z nim
Wyrwij murom zęby krat
Zerwij kajdany, połam bat
A mury runą, runą, runą
I pogrzebią stary świat!
Wkrótce na pamięć znali pieśń i sama melodia bez słów
Niosła ze sobą starą treść, dreszcze na wskroś serc i dusz
Śpiewali wiec, klaskali w rytm, jak wystrzał poklask ich brzmiał
I ciążył łańcuch, zwlekał świt, on wciąż śpiewał i grał
Wyrwij murom...
Aż zobaczyli ilu ich, poczuli siłę i czas
I z pieśnią, że już blisko świt, szli ulicami miast
Zwalali pomniki i rwali bruk - Ten z nami! Ten…
belles paroles ca fait rever,,,,,,,,,,,,,,,,,,UTOPIE
Christiane Stefanski chante une version en wallon liégeois.
Si je ne me trompe pas.
Justement, je me demandais. Signé : une Ch'ti
prawie ja Kaczmarski lubię to
Kaczmarski to tylko imitator
Dość interesująca wersja ale Kaczmarski nadał temu utworowi wyjątkowy, głęboki, zrozumiały dla Polaków, wymiar. Niedościgniony przez jakąkolwiek nację. Jacku...pozostaniesz zawsze wyjątkowy.
10darh10 Nikt niczego nie dościgał. L'estaca Lluisa Llacha to oryginalny utwór który był wezwaniem do wolności. Utwór Jacka Kaczmarskiego do tej samej melodii opowiada o autorze , przejęciu jego dzieła i osamotnieniu. Paradoksalnie Polacy nie zrozumieli go przejęli to dzieło i nadali mu nowe znaczenie, zapominając, że w pieśni tłum stał się taki sam jak ci z którym walczył.
Bardzo dobra analiza. Ale kazdy sluchacz moze sobie wyobrazic swoja wersje. Piosenka nalezy do autora, lecz gdy dosiega ucha sluchacza, staje sie jego wlasnoscia. To piekne, choc czasami trudne do przyjecia.
teraz to Katalończycy utwór ten śpiewają :D
Obawiam się że tekst mury zupełnie nie zrozumiały właśnie przez Polaków
to po Katalońsku..... tak dla sprostowania...
C'est Marc ROBINE, pas Robin..
Oui, bien sûr, merci
Est-ce qqn pourrait faire une transcription en wallon?
Jean-Claude Watrin l'a chanté en gaumais dans les années 80 .
Cela s'appellait "el piquet"
Quelles sont les langues chantées ici ?
Catalan, Français, le Wallon de Liège et l'Italien je pense ... ♥
Catalan, français, wallon et polonais
Eh non, ils ont pas mis 10 ans pour comprendre. composée en 1968 en 1970 elle était déjà interdite, malheureusement.
El silencio de las milicianas
Aujourd`hui on est tous avec Calalonia
Catalunya :D
Jacek Kaczmarski no va pas traduir la lletra original de L'Estaca, sinó que en va fer una de seva. Probablement al temps que la va trasbalsar al polonès, sols en coneixia la tonada i de què parlava; no pas la lletra textual.
Canten totes tres versions íntegrament. Això la fa massa llarga i acaba que és enfadosa. N'haurien hagut de triar una estrofa i sengla tornada per llengua.
Jacek Kaczmarski (1957-2004), bardo polaco y opositor a las autoridades comunistas de Polonia, conoció la canción L'estaca del cantante catalán Lluís Llach a través de su amigo de la época de estudiante, Filip Łobodziński.
En 1978, Kaczmarski escribió la canción «Muros», y años más tarde describió su fascinación por la pieza de la siguiente manera:
«Una vez escuché un disco del catalán Lluís Llach, que la canta, y 10.000 personas repiten el estribillo. Allí la letra es diferente, habla de arrancar una estaca a la que se ata a la gente, pero el motivo parece ser el mismo».
Mis comentarios y reflexiones;
«Creo que sí, «Muros» y «L'estaca» tienen la misma melodía, también la misma idea antitotalitaria y la misma necesidad de Libertad, pero sin duda la letra de «Muros» no es una traducción ni una traslación de «L'estaca».
«Muros» es una canción de J. Kaczmarski sobre la canción de L. Llach y el concierto que convirtió esta canción en una canción de culto para la gente que anhela la libertad, como se puede comprobar cuando se lee la letra.
«Muros»
Inspiraba y joven era
Nadie podía contarlos
Dio fuerza con su canción
Cantó que el amanecer estaba cerca
Miles de velas ardían
El humo salía de sus cabezas
Cantó que era hora de derribar el muro
Cantaron con él
Derribad los dientes del muro
Rompe las cadenas Rompe el látigo
Y los muros caerán, caerán, caerán
Y enterrarán el viejo mundo
Rompe los dientes de los barrotes
Rompe las cadenas Rompe el látigo
Y los muros caerán, caerán, caerán
Y enterrarán el viejo mundo
Pronto se supieron la canción de memoria
Y la melodía sola sin palabras
Llevaba consigo el viejo contenido
Temblando a través de sus corazones y cabezas
Así que cantaron, aplaudiendo al ritmo
Como un disparo, sonaron sus aplausos
Y la cadena se arrastró, el alba se retrasó
Aún cantaba y tocaba
Rompe los dientes de los barrotes
Rompe las cadenas Rompe el látigo
Y los muros se derrumbarán, se derrumbarán, se derrumbarán
Y enterrarán el viejo mundo
Rompe los dientes de los barrotes
Rompe las cadenas Rompe el látigo
Y los muros caerán, caerán, caerán
Y enterrarán el viejo mundo
Hasta que vean cuántos
Sintieron la fuerza y el tiempo
Y con una canción que el amanecer está cerca
Recorrieron las calles de las ciudades
Derribaron monumentos y arrancaron adoquines
«¡Él con nosotros, él contra nosotros!»
«¡Que solo es nuestro peor enemigo!»
Y el cantante también estaba solo
Miraba a la multitud marchar uniformemente
Silencioso mientras escuchaba los pasos
Y los muros crecían, crecían, crecían
La cadena se balanceaba a sus pies
Observó a la multitud marchar uniformemente
En silencio al escuchar los pasos
Y los muros crecen, crecen, crecen
La cadena se balancea a sus pies
Et la dane, elle chante dans quel kangur?
En Wallon, proche du Picard
c'est pas un pieu Franco c'est un manche ^^
En catalan c est ce qu'il y a de mieux
Hahahahahaha sacré militaire!!! 10 ans pour comprendre...Hahahahaha
MDR TU DOIS DEJA TREPANNE DU CORONAVIRUS MDR
A bas la republique francaise.
OUI DAMIEN CONNARD BIEN AU CHAUD PLANQUE DERRIERE TON PC OUI FAIS TA REVOLTE PAUVRE NAZE MDRRR TU IGNORES LA FAIM LA PEUR IGNORANT TU SERAI SDF BRAVO MAIS LOL MDRRR
LA REPUBLIQUE ACTUELLE A DES FAILLES MAIS CONNARD VA EN AFRIQUE LA OUI CREVENT LADALLE PAUVRE NAZE