Retrouvez d'autres émissions sur Arthur Schopenhauer ici : bit.ly/2nidN6T. Et d'autres épisodes des "nouveaux" ou "anciens" chemins de la "connaissance" ou de la "philosophie" ici : bit.ly/2Eau0mx.
Concernant l'influence de Nietzsche sur Schopenhauer: que la lecture du second ait profondément impressionné et marqué le premier n'est pas douteux; mais très vite, Nietzsche a pris ses distances avec ce qui est en fait l'essentiel de la métaphysique de Schopenhauer, ce qui en fait l'originalité, du moins dans la pensée occidentale: l'intuition que la Volonté de vie est l'essence, ou la vérité profonde si l'on préfère, de l'Etre: force indéfinissable sinon par le constat de son caractère aveugle et sans but autre que l'affirmation d'elle-même à travers ses objectivations phénoménales par une multiplicité d'objets de la conscience d'êtres individuels, dont l'existence se réduit foncièrement à une lutte féroce entre eux pour s'affirmer chacun aux dépens des autres , s'affirmer par la vie, à l'image de cette Volonté unique qui s'objective en eux. Mais qui chez eux, ayant perdu son caractère d'unicité au profit d'une pluralité du moins apparente, débouche inévitablement sur une lutte inexpiable d'innombrables fragments ou facettes de cette "Volonté", ayant pris la forme trompeuse et illusoire selon Schopenhauer, d'individualités rivales, chacune se heurtant aux autres dans sa tendance égoïste à l'expansion, laquelle ne peut se réaliser qu'au détriment de l'autre, et même très souvent, à travers une orgie de souffrances et de tueries, par son annihilation pour l'absorber et l'assimiler, phénomène de prédation auquel participent aussi les herbivores, et les plantes elles-mêmes. On voit que l'absurde schopenhauerien résulte d'au moins deux facteurs: -l'absence de signification du Monde, aussi bien comme Volonté que comme représentation, alors que les êtres individuels que nous sommes sont en quête irrépressible d'un sens: cette contradiction sera ultérieurement mise en avant surtout par des auteurs comme Camus; -et, d'autre part, le caractère illusoire, fictif en quelque sorte, de ce spectacle phénoménal que Schopenhauer qualifie de "carnaval sanglant", à la fois tragique en son essence, et comique dans les détails de ce qui n'est "au fond" qu'une mascarade et un jeu de dupes éternels. Nietzsche, par contre, reprochera à Schopenhauer d'affiner que la vie n'a pas de sens "au lieu de lui en donner un", confondant ainsi, consciemment ou non, deux notions distinctes: la signification ontologique, et l'objectif que quelqu'un peut se fixer; première imposture. La seconde, que j'avais annoncée déjà au début de ce com, est liée à cette expression de "quelqu'un", justement: car Nietzsche ne reconnaît pas le caractère d'universalité et d'unicité métaphysique que la "Volonté" a dans la pensée de Schopenhauer; bien au contraire, il la ramène à un niveau banalement individuel (cf. sa fameuse "volonté de puissance"), d'affirmation de soi comme valeur positive, évacuant donc la distinction entre phénomène et noumène, entre l'apparence des choses dans la sphère empirique de l'objectivation, et leur réalité cachée de "chose en soi" que Schopenhauer pense avoir décelée et identifiée par une prise de conscience de ce qu'implique la sensation corporelle comme expérience vécue, par définition subjective: celle de son propre corps, sensation qui nous procure l'intuition de la "chose en soi" kantienne, mais reconnue chez lui comme Vouloir Vivre; or, cette Volonté (de vie) est radicalement, essentiellement, différente de la "volonté de puissance" telle que la conçoit Nietzsche, qui, de la sorte, non seulement falsifie la pensée fondamentale de Schopenhauer, mais vide sa métaphysique de toute sa portée, de tout son sens, en fait de toute substance: quand on passe de Schopenhauer à Nietzsche, ce n'est pas seulement le "pessimisme" qui est escamoté, au profit d'un nébuleux concept de "tragique joyeux" et d'"amor fati": en réalité, à part la vénération de l'art, pour des raisons différentes d'ailleurs, et la notion d'inconscient et de la soumission de la raison aux affects (ce dernier point situant il est vrai leurs deux systèmes de pensée aux antipodes exacts de la philosophie hégélienne), c'est TOUT, en tout cas l'essentiel, et ce qui fait l'originalité de la conception du monde qu'a Schopenhauer, et cela au nom d'une exaltation trouble de l'"intensité" de l'expérience vitale, et d'une condamnation de ce que Nietzsche appelle, avec sa propension habituelle à jongler avec les mots en subvertissant leur sens véritable et originel, le "nihilisme": celui du christianisme vu par Nietzsche, comme celui, réel ou non, du bouddhisme, alors que ce dernier présente des points communs indéniables avec la vision de l'existence qu'avait Schopenhauer. Pourquoi donc, dans un tel contexte de supercheries multiples (voir aussi la condamnation de la pitié par Nietzsche, au nom de "la vie"), cette mode et cette popularité persistante du pontife emphatique et aussi trop souvent amphigourique d'"Ainsi parlait Zarathoustra"? (car Nietzsche, en génie suprême qui s'autocongratule dans "Ecce homo", annexe évidemment, pour valoriser ses considérations nébuleuses, qui bon lui semble, y compris Zoroastre, dont, pas plus que quiconque depuis l'effondrement du mazdéisme iranien, et malgré ce qui nous est parvenu de "l'Avesta", il ne savait bien entendu rien de ce qu'il avait dit et pas dit)... Eh bien, à cause, j'en ai peur, de l'"optimisme" que veut défendre Nietzsche envers et contre toutes évidences, à l'inverse de Schopenhauer, dont la vision du monde est bien trop sombre pour emporter une adhésion durable et solide: on sait que les humains sont bien plus désireux d'entendre ce qui les flatte, que la vérité, surtout si celle-ci est douloureuse et pénible. Et à notre époque où, sous les coups de boutoir de la connaissance scientifique, les croyances religieuses, monothéistes surtout, vacillent en perdant de plus en plus, sauf à verser dans des fureurs fanatiques aveugles, jusqu'à l'ombre même d'une plausibilité, en même temps que recule l'espoir d'une société plus solidaire et moins matérialiste au sens non plus philosophique mais au contraire le plus vulgaire du mot, des "sagesses" profanes, du genre "carpe diem" ou à un niveau d'exigence spirituelle un peu plus élevé, mais en apparence seulement, le "tragique joyeux", l'"hédonisme héroïque" et autres billevesées, ont tout naturellement le vent en poupe... J'ai pu exagérer, être trop tranchant, ou imprécis, sur tel ou tel point: ce commentaire, comme tout commentaire portant sur autre chose que des faits empiriques avérés, est subjectif, bien sûr, voire partial; et je ne peux qu'assumer cette subjectivité...
Pardon pour l'inattention dans l'intro de mon com., Zidane Dior!! Même si les mots suivants ("Que la lecture du second ait profondément impressionné et marqué le premier n'est pas douteux"... etc.) montrent bien qu'il s'agit d'un lapsus par inversion des termes et non d'une erreur d'identification de l'influence, qui aurait impliqué d'ailleurs une méconnaissance lourde de la chronologie, mdr! Je m'abstiens de modifier mon texte initial, mais juste pour que ce bref échange entre nous continue à faire sens, et aussi pour me rappeler toujours de bien me relire, et pas seulement pour vérifier l'orthographe et la grammaire, avant de poster, même si c'est chose un peu ennuyeuse s'agissant de coms aussi longs, lol! Mais la paresse et la négligence sont en effet de vilains défauts! Encore merci de m'avoir corrigé!
C'est le principe de l'université à la française. Rester confus pour éloigner le peuple et faire un combat de coq. Aucun effort pour illustrer les idées avec des exemples éclairants, toute la contextualisation et les CV des auteurs exploités pour rester abscon et élitiste. Bref rendre la philosophie inexploitable pour la société, ne jamais la dépoussiérer à la lumière des progrès de la science, de la technique ou des expériences qu'elle a inspirées. In finé, une religion sans fidèles. Bon, désolé, mon avis n'intéresse certainement personne, mais c'est sorti.
Insupportable à écouter votre interlocuteur. Plus de silences et d’hésitations que de phrases construites. Il a certainement une grande valeur à l’écrit.. mais là, franchement non!
Langue invertébrée, message vide de substance, vocabulaire approximatif, confusion de la pensée… (ivre peut-être??) impossible de parcourir les 20 dernières minutes. .. affligeant et décevant par rapport aux 3 premières émissions. Dommage.
en définitif, l'un était irascionnaliste, l'autre nihiliste et rien est réel ect... mais que nous apportent, dans un sens constructif, ces deux personnages ?
Retrouvez d'autres émissions sur Arthur Schopenhauer ici : bit.ly/2nidN6T.
Et d'autres épisodes des "nouveaux" ou "anciens" chemins de la "connaissance" ou de la "philosophie" ici : bit.ly/2Eau0mx.
Merci Clément Rosset...!
Comment rendre un sujet intéressant tout simplement inaudible....
On est loin des sophistes pour le coup...!!
Mieux vaut lire directement Schopenhauer et Nietzsche. Ils sont plus clairs et moins confus.
Concernant l'influence de Nietzsche sur Schopenhauer:
que la lecture du second ait profondément impressionné et marqué le premier n'est pas douteux; mais très vite, Nietzsche a pris ses distances avec ce qui est en fait l'essentiel de la métaphysique de Schopenhauer, ce qui en fait l'originalité, du moins dans la pensée occidentale: l'intuition que la Volonté de vie est l'essence, ou la vérité profonde si l'on préfère, de l'Etre: force indéfinissable sinon par le constat de son caractère aveugle et sans but autre que l'affirmation d'elle-même à travers ses objectivations phénoménales par une multiplicité d'objets de la conscience d'êtres individuels, dont l'existence se réduit foncièrement à une lutte féroce entre eux pour s'affirmer chacun aux dépens des autres , s'affirmer par la vie, à l'image de cette Volonté unique qui s'objective en eux.
Mais qui chez eux, ayant perdu son caractère d'unicité au profit d'une pluralité du moins apparente, débouche inévitablement sur une lutte inexpiable d'innombrables fragments ou facettes de cette "Volonté", ayant pris la forme trompeuse et illusoire selon Schopenhauer, d'individualités rivales, chacune se heurtant aux autres dans sa tendance égoïste à l'expansion, laquelle ne peut se réaliser qu'au détriment de l'autre, et même très souvent, à travers une orgie de souffrances et de tueries, par son annihilation pour l'absorber et l'assimiler, phénomène de prédation auquel participent aussi les herbivores, et les plantes elles-mêmes.
On voit que l'absurde schopenhauerien résulte d'au moins deux facteurs:
-l'absence de signification du Monde, aussi bien comme Volonté que comme représentation, alors que les êtres individuels que nous sommes sont en quête irrépressible d'un sens: cette contradiction sera ultérieurement mise en avant surtout par des auteurs comme Camus;
-et, d'autre part, le caractère illusoire, fictif en quelque sorte, de ce spectacle phénoménal que Schopenhauer qualifie de "carnaval sanglant", à la fois tragique en son essence, et comique dans les détails de ce qui n'est "au fond" qu'une mascarade et un jeu de dupes éternels.
Nietzsche, par contre, reprochera à Schopenhauer d'affiner que la vie n'a pas de sens "au lieu de lui en donner un", confondant ainsi, consciemment ou non, deux notions distinctes: la signification ontologique, et l'objectif que quelqu'un peut se fixer; première imposture.
La seconde, que j'avais annoncée déjà au début de ce com, est liée à cette expression de "quelqu'un", justement:
car Nietzsche ne reconnaît pas le caractère d'universalité et d'unicité métaphysique que la "Volonté" a dans la pensée de Schopenhauer;
bien au contraire, il la ramène à un niveau banalement individuel (cf. sa fameuse "volonté de puissance"), d'affirmation de soi comme valeur positive, évacuant donc la distinction entre phénomène et noumène, entre l'apparence des choses dans la sphère empirique de l'objectivation, et leur réalité cachée de "chose en soi" que Schopenhauer pense avoir décelée et identifiée par une prise de conscience de ce qu'implique la sensation corporelle comme expérience vécue, par définition subjective: celle de son propre corps, sensation qui nous procure l'intuition de la "chose en soi" kantienne, mais reconnue chez lui comme Vouloir Vivre; or, cette Volonté (de vie) est radicalement, essentiellement, différente de la "volonté de puissance" telle que la conçoit Nietzsche, qui, de la sorte, non seulement falsifie la pensée fondamentale de Schopenhauer, mais vide sa métaphysique de toute sa portée, de tout son sens, en fait de toute substance:
quand on passe de Schopenhauer à Nietzsche, ce n'est pas seulement le "pessimisme" qui est escamoté, au profit d'un nébuleux concept de "tragique joyeux" et d'"amor fati": en réalité, à part la vénération de l'art, pour des raisons différentes d'ailleurs, et la notion d'inconscient et de la soumission de la raison aux affects (ce dernier point situant il est vrai leurs deux systèmes de pensée aux antipodes exacts de la philosophie hégélienne), c'est TOUT, en tout cas l'essentiel, et ce qui fait l'originalité de la conception du monde qu'a Schopenhauer, et cela au nom d'une exaltation trouble de l'"intensité" de l'expérience vitale, et d'une condamnation de ce que Nietzsche appelle, avec sa propension habituelle à jongler avec les mots en subvertissant leur sens véritable et originel, le "nihilisme": celui du christianisme vu par Nietzsche, comme celui, réel ou non, du bouddhisme, alors que ce dernier présente des points communs indéniables avec la vision de l'existence qu'avait Schopenhauer.
Pourquoi donc, dans un tel contexte de supercheries multiples (voir aussi la condamnation de la pitié par Nietzsche, au nom de "la vie"), cette mode et cette popularité persistante du pontife emphatique et aussi trop souvent amphigourique d'"Ainsi parlait Zarathoustra"? (car Nietzsche, en génie suprême qui s'autocongratule dans "Ecce homo", annexe évidemment, pour valoriser ses considérations nébuleuses, qui bon lui semble, y compris Zoroastre, dont, pas plus que quiconque depuis l'effondrement du mazdéisme iranien, et malgré ce qui nous est parvenu de "l'Avesta", il ne savait bien entendu rien de ce qu'il avait dit et pas dit)...
Eh bien, à cause, j'en ai peur, de l'"optimisme" que veut défendre Nietzsche envers et contre toutes évidences, à l'inverse de Schopenhauer, dont la vision du monde est bien trop sombre pour emporter une adhésion durable et solide:
on sait que les humains sont bien plus désireux d'entendre ce qui les flatte, que la vérité, surtout si celle-ci est douloureuse et pénible.
Et à notre époque où, sous les coups de boutoir de la connaissance scientifique, les croyances religieuses, monothéistes surtout, vacillent en perdant de plus en plus, sauf à verser dans des fureurs fanatiques aveugles, jusqu'à l'ombre même d'une plausibilité, en même temps que recule l'espoir d'une société plus solidaire et moins matérialiste au sens non plus philosophique mais au contraire le plus vulgaire du mot, des "sagesses" profanes, du genre "carpe diem" ou à un niveau d'exigence spirituelle un peu plus élevé, mais en apparence seulement, le "tragique joyeux", l'"hédonisme héroïque" et autres billevesées, ont tout naturellement le vent en poupe...
J'ai pu exagérer, être trop tranchant, ou imprécis, sur tel ou tel point: ce commentaire, comme tout commentaire portant sur autre chose que des faits empiriques avérés, est subjectif, bien sûr, voire partial; et je ne peux qu'assumer cette subjectivité...
Oscar7468 c est le contraire!! C est schopeneauer qui a influencé Nietzsche et non l inverse
Pardon pour l'inattention dans l'intro de mon com., Zidane Dior!!
Même si les mots suivants ("Que la lecture du second ait profondément impressionné et marqué le premier n'est pas douteux"... etc.) montrent bien qu'il s'agit d'un lapsus par inversion des termes et non d'une erreur d'identification de l'influence, qui aurait impliqué d'ailleurs une méconnaissance lourde de la chronologie, mdr!
Je m'abstiens de modifier mon texte initial, mais juste pour que ce bref échange entre nous continue à faire sens, et aussi pour me rappeler toujours de bien me relire, et pas seulement pour vérifier l'orthographe et la grammaire, avant de poster, même si c'est chose un peu ennuyeuse s'agissant de coms aussi longs, lol!
Mais la paresse et la négligence sont en effet de vilains défauts!
Encore merci de m'avoir corrigé!
Oscar7468 pas de quoi!! schopenhauer et Nietzsche sont mes philosophes préfère s et je ne pouvais pas tolérer une telle confusion
OUI AMOINS QUE NIETZSCHE ES FAIT UNE LECONS DE MORAL A 16 ANS A LA MORT DE SCHOPENHAUER LOL
@@Oscar7468 commentaire intéressant !
Peut on y lire entre les lignes la critique de notre Michel onfray le nietzschéen national ? Lol
Suis-je le seul à percevoir une guerre des ego entre Clément Rosset et Raphaël Enthoven ?
le second veut se faire valoir
C'est le principe de l'université à la française. Rester confus pour éloigner le peuple et faire un combat de coq. Aucun effort pour illustrer les idées avec des exemples éclairants, toute la contextualisation et les CV des auteurs exploités pour rester abscon et élitiste. Bref rendre la philosophie inexploitable pour la société, ne jamais la dépoussiérer à la lumière des progrès de la science, de la technique ou des expériences qu'elle a inspirées. In finé, une religion sans fidèles. Bon, désolé, mon avis n'intéresse certainement personne, mais c'est sorti.
L'égo de einthoven emphatique celui de Rosset dominateur
Seulement des volontés
il articule mal, par moment on ne comprend rien
Clément Rosset , finalement il parle de Chabanhower ! Et Wagner dont je n'ai jamais vu un seul tableau !
Merci 😊
Émissions très intéressantes mais franchement, les interludes musicaux font saigner les oreilles.
Le générique me donne des envies de meurtre !
@@colossusofdestiny Et tu as bien raison !
Insupportable à écouter votre interlocuteur. Plus de silences et d’hésitations que de phrases construites. Il a certainement une grande valeur à l’écrit.. mais là, franchement non!
Acquiescé sur tout les textes contradictoires pour un philosophe
15:00
Très intéressant, mais tellement laborieux...
L'homme est pas une machine
C’est quasiment inécoutable.
5mn pour dire un phrase
Langue invertébrée, message vide de substance, vocabulaire approximatif, confusion de la pensée… (ivre peut-être??) impossible de parcourir les 20 dernières minutes. .. affligeant et décevant par rapport aux 3 premières émissions. Dommage.
Insupportable... confus... le summum de l'incompréhensible... quelle déception
pas très éloquent clément rosset
en définitif, l'un était irascionnaliste, l'autre nihiliste et rien est réel ect... mais que nous apportent, dans un sens constructif, ces deux personnages ?
qu'il ne faut pas s'encombrer de pitié pour certains...
Lisez-les
ludovic Bilger qu'il faut se réconcilier avec ce réel
Imbécile..
un peu facile, celle la.
Eeeee.... eeeee.... eeee....