J’avais lu quelques part que les difficultés liées à l’alimentation chez les personnes autistes (mais pas que) une fois adulte étaient très souvent en lien avec le fait d’avoir été forcé dans l’enfance. Que sans être forcés dans l’enfance, il y a plus de chance d’arriver à diversifier sa nourriture en grandissant (même si certaines spécificités vont rester aussi). Je n’ai pas de diagnostic posé mais il est très probable que je sois autiste (avec plusieurs médecins penchants dans ce sens) et j’avais énormément de problèmes avec la nourriture dans l’enfance mais j’ai eu la chance de ne jamais avoir été forcée et ce que j’avais lu part rapport à ça me parle dans mon cas, car aujourd’hui je mange assez variés et j’ai progressé de moi même, petit à petit vers plus de choix dans mes aliments (même si tout ne passe pas bien sûr). Et à 32 ans, je continue à ajouter des aliments, comme si ce qui me rebutait énormément par le passé s’estompait et même parfois, je suis assez surprise d’aimer énormément des choses qui auraient pu me faire vomir avant ! Par contre j’ai déjà constaté le chemin inverse mais c’est moins fréquent 🤔 (d’avoir du mal avec quelque chose que j’aimais avant). Je ne sais pas si d’autres personnes vivent cette expérience mais j’avais envie de partager la mienne.
J’avais lu quelques part que les difficultés liées à l’alimentation chez les personnes autistes (mais pas que) une fois adulte étaient très souvent en lien avec le fait d’avoir été forcé dans l’enfance. Que sans être forcés dans l’enfance, il y a plus de chance d’arriver à diversifier sa nourriture en grandissant (même si certaines spécificités vont rester aussi).
Je n’ai pas de diagnostic posé mais il est très probable que je sois autiste (avec plusieurs médecins penchants dans ce sens) et j’avais énormément de problèmes avec la nourriture dans l’enfance mais j’ai eu la chance de ne jamais avoir été forcée et ce que j’avais lu part rapport à ça me parle dans mon cas, car aujourd’hui je mange assez variés et j’ai progressé de moi même, petit à petit vers plus de choix dans mes aliments (même si tout ne passe pas bien sûr). Et à 32 ans, je continue à ajouter des aliments, comme si ce qui me rebutait énormément par le passé s’estompait et même parfois, je suis assez surprise d’aimer énormément des choses qui auraient pu me faire vomir avant ! Par contre j’ai déjà constaté le chemin inverse mais c’est moins fréquent 🤔 (d’avoir du mal avec quelque chose que j’aimais avant).
Je ne sais pas si d’autres personnes vivent cette expérience mais j’avais envie de partager la mienne.