Le premier discours intégralement conservé d'Hitler (sur l'antisémitisme), et traduit par Anne Quinchon, évoque les conceptions présumées contraires du travail qu'auraient les Aryens et les Juifs. Pour étayer sa thèse (les Juifs n'aimeraient pas le travail, contrairement aux Aryens), Hitler cite la Genèse : le travail est présenté comme un châtiment et un tourment. En revanche, les Allemands y verrait une voie de salut. Plusieurs remarques : 1) La Bible n'est pas le seul texte sacré à présenter le travail comme une épreuve souvent négative : on a Hésiode (Les Travaux et les Jours) où l'Âge d'or, une sorte de paradis, est exempt de travail, Virgile et sa prophétie du retour de l'Âge d'or (dans la IVe Eglogue), Horace, dans ses odes... etc. Ces auteurs sont pourtant aryens ! 2) Le mot "travail" vient de tripalium, instrument de torture, et a remplacé le mot "labeur" (laborem, labour) à la fin du moyen-âge. La perception du travail comme calamité, dans ce sens, advient au moment où l'âge moderne émerge. Ce qui montre bien, au demeurant, qu'Hitler et le nazisme s'inscrivent dans ce mouvement historique, et qu'ils ont plus à voir avec l'Amérique protestante, dure au travail et darwiniste, ségrégationniste, qu'avec les mythes, fussent-ils grecs et romains. 3) En allemand, "travail" se dit Arbeit, dont la racine évoque la situation d'orphelin laissé à un sort libre et dangereux, et qui fait appel aux forces intrinsèques de l'individu devant se forger un destin propre. Les parallèles avec la modernité individualiste et matérialiste apparaissent clairement. A cela, il faut ajouter le leitmotiv nietzschéen de la Volonté de puissance, qui est le socle du nazisme (et, du reste, d'une modernité de Titans prophétisée par Nietzsche).
Entretien hyper intéressant mais desservie par le mépris de l'historienne pour Hitler. Le nul finit qu'elle decrit n'aurait pas pu avoir la trajectoire qu'il a eu en étant seulement un beau parleur... On passe du coup à côté d'une explication plus complète de la montée du mal.
J'aime bien Storia Voce mais là c'est vraiment du n'importe quoi et ça ne permet pas de comprendre le personnage. "Il est SDF", puis après "mais pas dans la grande pauvreté, pas à la rue quoi". Euh oui.. Et le fait d'ajouter des commentaires comme "purées idéologiques" et "si on peut appeler ça des idées". Déjà à ce titre tout le monde peut être qualifié de pensée parcellaire ou de purée idéologique. Quiconque a lu Mein Kampf et est à peu près sérieux sait qu'Hitler avait des idées et une vision des précises des choses (sans doute trop d'ailleurs). Je ne vois pas ce que ce genre de commentaires à dénigrer ou de mesquinerie viennent faire là dedans. La personne d'Hitler est déjà assez discréditer par le fiasco dans lequel il a entrainé son pays, il vaut mieux essayer de faire comprendre sa pensée et ses lacunes que de faire du petit commentaire pas très pertinent de la sorte.
Franchement pas convaincant, avec en plus l'habituelle sous-estimation des très grands talents politiques de Hitler (qui était évidemment par ailleurs un assassin)
Exact, Hitler était un très grand observateur de la société et un grand manoeuvrier politique/idéologogique. Bien sûr, il était jusqu'au boutiste et un peu illuminé par son idéologie, d'où le résultat final.
Merci Storiavoce de nous donner l'occasion d'écouter Anne Quinchon, germaniste, maîtresse de conférences à l’Université Paris Dauphine, et chercheuse associée au LICT de l’Université Paris Cité. Un peu de travail historique sérieux fait du bien comparé à la lecture des bouffonneries rédigés par la clique habituelle des pseudos-spécialistes auto-proclamés :)
L'argument de la carte postale est ridicule. Quand les gens envoient une carte postale ils ne mentionnent pas nécessairement leurs observations d'ordre politique
@@hectorpierre6219 Je ne dirais pas ''de 2e zone.'' C'est un travers des historiens un peu idéologues ou de ceux qui veulent à tout prix démontrer une thèse. Je trouve qu'il y en a de plus en plus, surtout dans le monde anglo-saxon.
@@hectorpierre6219 eh oui l'habit et les titres paraissent immérités, on sent que les fins d'étude seront éternelles, une jeune thésarde approximative qui ne pousse pas très loin la réflexion et la pensée, 7/20 et je note pas vache
Autre exemple : Max Amann, qui était sergent dans l'armée, directement en contact avec Hitler. Il deviendra un pilier du 3e Reich. Ainsi donc il aurait connu Hitler avec des idées différentes ? Cela ne tient pas debout
Hitler n’avait pas d’idées différentes Il n’avait pas d’idées à l’époque Ce n’est pas pareil Et puis si vous savez vous taire et oublier Vous faites votre chemin dans l’appareil nazi…
@@eirtars : Sauf que les militaires les plus compétents comme Louis Franchet d'Espèrey, avaient des idées monarchistes. De plus, il faut arrêter de placer le régime au dessus du pays. Dites plutôt que c'est la France qui a gagné. Son régime d'alors n'a aucune importance. De plus, la Troisième République, malgré de bonnes idées, a apporté plus de problèmes à la France que de prospérité.
Tout a fait ..Hitler était parfaitement au courant aussi bien de l anti semitisme américain notemment de henry Ford dont il avait la photo sur son bureau pour annecdote..Aussi il suivait avec attention la stérilisation des handicapée mentaux dans l Idaho en 1908 puis dans le Dakota du nord 'en tout 6 états dans ces années 1908/10. Puis 25 états jusqu en 1920 environ. Hitler était tout a fait au courant de la politique de stérilisation des handicapés faite aux Etats Unis..et la sélection ''par le plus fort '' qui est une politique très américaine ' préfigurant le nazisme et ses liens avec celui ci per les henry Ford ' Lindbergh ' joseph Kennedy ' le père de Trump banquier etc N'oublions pas..les usines Ford de Cologne et Bell a Stuttgart dont le rôle reste à étudier après le 10 décembre 1941 quand Hitler par solidarité illusoire avec le Japon a déclaré la guerre aux Etats Unis ' fatale erreur avec deux fronts a l est et a l'ouest et un troisième en Afrique du nord grace aux colonies françaises ..il ne pouvait pas gagner cette guerre..Et Mussolini n avait pas l'armee pour seconder Hitler ..d'autant plus que le fascisme 'Autre idéologie n'avait rien a voir avec le nazisme en tant que doctrine pour terminer le Risorgimento avec au départ l'idée irredentiste ' mute en impérialisme ds l AOI..D Éthiopie lybie ...tout en faisant des réformes modernes et sociales dont création par ex de la sécurité sociale des 1929 par Giuseppe Bottai....Aussi les fasciste contrairement à ce qui est cru étaient opposés a l'alliance ragoûtante avec Hitler en large majorité..depuis l'affaire Ethiopienne en 35 comme le ''grand conseil fasciste '' qui siégeant en conseil des ministres sur initiative du Roi a destitué Mussolini le 24/25 juillet 1943.. Mais là il s agit d un autre sujet mais Hitler ne pouvait pas compter sur l'appuit fasciste italien car cette alliance était le fait.de Mussolini et de son clan.
Les États-Unis ont bien financièrement et politiquement soutenus l'Allemagne nazie jusqu'en Décembre 1941. D’une certaine manière, l’Allemagne ne fut en capacité de lancer la Seconde Guerre Mondiale en Europe et de la faire comme elle la fit, *qu'à cause des supports technologiques et financiers apportés par les grands conglomérats étasuniens au IIIème Reich.* Tout commença par les banquiers supportés par le Plan Dawes, suivi par le Plan Young et qui minèrent le programme de paiement des réparations de guerre (Première Guerre Mondiale) par l’Allemagne. Une énorme partie des réparations allemandes étant d’ailleurs financées et payées par le cartel bancaire du syndicat de Wall Street. Et ce en échange de participations significatives dans les cartels industriels et financiers allemands. Ces mêmes cartels qui mettront Adolf Hitler au pouvoir en Janvier 1933. L’histoire de la machine de guerre allemande est indissociable de l’aide déterminante des cartels américains, tous (à l’exception de Henry Ford) contrôlés par John Pierpont Morgan, Chase et Paul Warburg entre autres. Citons en vrac : - Standard Oil of New Jersey sans laquelle les allemands et IG Farben n’auraient pas été en mesure de produire le carburant synthétique et ses composants majeurs pour approvisionner son matériel. - General Electric qui contrôlait une grande partie de l’industrie électrique allemande au travers, d’AEG, Osram, Accumulatoren Fabrik, etc etc et dont les usines allemandes ne seront pratiquement jamais bombardées. General Electrics dont les filiales financeront directement les groupes de support à Adolf Hitler, - Opel, intégralement détenu par General Motors et qui livrera tanks et camions à l’armée allemande pendant toute la guerre, - Ford, dont le patron (Henry Ford) sera décoré dans son bureau par les nazis pour services rendus et qui fabriquera une grande partie du matériel roulant de l’armée allemande, - International Telephone and Telegraph qui contrôlait, entre autre, une grande partie de Focke-Wulf dont les avions bombardaient l’Europe et dont les filiales allemandes intégralement contrôlées par International Telephone and Telegraph faisaient régulièrement des chèques au « cercle des amis de Himmler » Et tous les autres financiers étasuniens dont la liste est longue comme un jour sans fin et qui finançaient directement ou indirectement les activités politiques du Parti Nazi. Il existe plusieurs livres très détaillés sur cette activité que l’on se garde, bien entendu, de rappeler. Tout ce contexte qui explique parfaitement bien les longues hésitations des États-Unis à rentrer en guerre en Europe, chose qu’ils feront lorsqu’ils auront compris qu’Hitler allait perdre cette guerre en échouant à faire une fois de trop, triompher sa stratégie de « blitzkrieg » dans les plaines ukrainiennes. Honneurs soient d’ailleurs rendus aux auteurs américains de ces livres et d’avoir eu le courage de mettre tous ces cartels américains face à leurs énormes responsabilités dans l’échafaudage et le support apporté à Adolf Hitler pour ses plans et leur exécution. Hélas, tout ceci est expurgé des livres d’histoire de nos écoles (si on peut encore parler d’histoire) et remplacé par des contes de fée qui, au final, produisent des ignares et incultes par millions.
Le Royaume-Uni a également soutenu le régime pendant toute la durée des années 1930, pour qu'il ne s'en prenne pas à leur empire colonial, ce qui leur permettait de garder leur hégémonie économique sur le monde occidental. De plus, Adolf Hitler souhaitait un partage du monde avec l'Angleterre, chose qui a faillit se passer. En effet, nombre d'aristocrates britanniques furent séduits par Adolf Hitler et Benito Mussolini avant la Seconde Guerre Mondiale. La famille royale britannique était liée par le sang aux Hohenzollern, les nurses étaient allemandes. *Hitler était anglophile alors qu'il méprisait les français.* Il fit de la séduction de l'aristocratie britannique un pilier de sa diplomatie, espérant que les clans pacifistes et fascistes britanniques emmenés par le roi Édouard VIII et Lord Halifax l'emporteraient sur celui pragmatique animé par Winston Churchill. Les États-Unis, pendant le procès de Nuremberg, ont d'ailleurs extradés des officiers nazis comme ceux de la Sicherheitsdienst ayant été en Europe de l'Est comme agents de renseignement, parce qu'ils combattaient les communistes, les résistants et les espions soviétiques
Le côté christique du personnage vous a semble-t-il échappé. Lisez plutôt ceci et savourez ce pur moment de poésie octogonale : «Tu es injuste envers le National Socialisme, cette doctrine de paix et d'amour qui conseillait d'être bon envers les animaux : en réalité, Adolf Hitler n'est autre que le Christ blanc Apollyon que mentionne l'apocalypse de Saint Jean. Le monde actuel, c'est l'abomination des abominations (je pense qu'en tant que chrétien, tu seras d'accord). Or la bête noire du système, le mal absolu selon ce système de chose satanique, c'est le Christ blanc, Adolf Hitler. Suivi de près par Joseph Staline, le grand sparing partner. Ce simple fait devrait t'amener à réfléchir. De plus, Adolf Hitler était végétarien. Or les démons ne sont jamais végétariens, tu devrais le savoir... Cogite un peu là-dessus, mais prends ton temps surtout, car ça pourrait faire bugger ton cerveau si tu voulais assimiler trop rapidement ce nouveau paradigme. Donc tu peux phosphorer tranquillement sur le sujet, à ton rythme. Sans chercher à brûler les étapes car il s'agit pour toi d'opérer une transmutation de toutes les valeurs.»
Demandes aux tchèques, polonais, serbes, monténégrins, ukrainiens, biélorusses, russes et tsiganes ce qu'ils en pensent. *Les nazis ont tué 36 millions d'européens, dont 31 millions de slaves, le tout au nom de la « germanité de l'Europe ».* Sans parler de la vassalisation de notre pays pendant 4 ans, et des soutiens politico-financiers anglos-saxons sur notre dos. Mais j'imagine que tu vas me dire que c'est encore un coup « di ispisses di grousses kounasses di jouifs, wallah frère », hein 😏 ?
@@gweltas1372 De la discussion, jaillit la lumière. Je ne prétends pas avoir raison... Pourriez-vous être plus précis : ça m'intéresse, parce que voyez-vous, je ne suis ni Ukrainien, ni Russe et que je n'ai jamais mis les pieds en Ukraine. Ma connaissance au sujet de cette sinistre histoire ne provient que de mes pérégrinations sur la toile.
@@adolfostalini5957 : Je vous conseil l'ouvrage « Guerre et exterminations à l'Est : Hitler et la conquête de l'espace vital 1939-1945 » de Christian Baechler. Vous verrez que la slavophobie des allemands durant les deux guerres mondiales était très net, *alors qu'ils étaient européens comme eux.* Ce qui rend l'adhésion de nombreux ukrainiens occidentaux aux groupes néo-nazis sponsorisés par l'OTAN incompréhensible.
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Le premier discours intégralement conservé d'Hitler (sur l'antisémitisme), et traduit par Anne Quinchon, évoque les conceptions présumées contraires du travail qu'auraient les Aryens et les Juifs. Pour étayer sa thèse (les Juifs n'aimeraient pas le travail, contrairement aux Aryens), Hitler cite la Genèse : le travail est présenté comme un châtiment et un tourment. En revanche, les Allemands y verrait une voie de salut. Plusieurs remarques :
1) La Bible n'est pas le seul texte sacré à présenter le travail comme une épreuve souvent négative : on a Hésiode (Les Travaux et les Jours) où l'Âge d'or, une sorte de paradis, est exempt de travail, Virgile et sa prophétie du retour de l'Âge d'or (dans la IVe Eglogue), Horace, dans ses odes... etc. Ces auteurs sont pourtant aryens !
2) Le mot "travail" vient de tripalium, instrument de torture, et a remplacé le mot "labeur" (laborem, labour) à la fin du moyen-âge. La perception du travail comme calamité, dans ce sens, advient au moment où l'âge moderne émerge. Ce qui montre bien, au demeurant, qu'Hitler et le nazisme s'inscrivent dans ce mouvement historique, et qu'ils ont plus à voir avec l'Amérique protestante, dure au travail et darwiniste, ségrégationniste, qu'avec les mythes, fussent-ils grecs et romains.
3) En allemand, "travail" se dit Arbeit, dont la racine évoque la situation d'orphelin laissé à un sort libre et dangereux, et qui fait appel aux forces intrinsèques de l'individu devant se forger un destin propre. Les parallèles avec la modernité individualiste et matérialiste apparaissent clairement. A cela, il faut ajouter le leitmotiv nietzschéen de la Volonté de puissance, qui est le socle du nazisme (et, du reste, d'une modernité de Titans prophétisée par Nietzsche).
Bonjour, petite correction, il n'y a pas eu de CAPITULATION ALLEMANDE en 1918-1919, un armistice oui.
"C'est sûr qu'il y a eu une fascination. En tout cas pour certains" Oui juste un peuple...
Autre remarque : le témoignage de Kubizek semble complètement négligé
Entretien hyper intéressant mais desservie par le mépris de l'historienne pour Hitler. Le nul finit qu'elle decrit n'aurait pas pu avoir la trajectoire qu'il a eu en étant seulement un beau parleur... On passe du coup à côté d'une explication plus complète de la montée du mal.
Erreur répandue
J'aime bien Storia Voce mais là c'est vraiment du n'importe quoi et ça ne permet pas de comprendre le personnage. "Il est SDF", puis après "mais pas dans la grande pauvreté, pas à la rue quoi". Euh oui..
Et le fait d'ajouter des commentaires comme "purées idéologiques" et "si on peut appeler ça des idées". Déjà à ce titre tout le monde peut être qualifié de pensée parcellaire ou de purée idéologique. Quiconque a lu Mein Kampf et est à peu près sérieux sait qu'Hitler avait des idées et une vision des précises des choses (sans doute trop d'ailleurs). Je ne vois pas ce que ce genre de commentaires à dénigrer ou de mesquinerie viennent faire là dedans. La personne d'Hitler est déjà assez discréditer par le fiasco dans lequel il a entrainé son pays, il vaut mieux essayer de faire comprendre sa pensée et ses lacunes que de faire du petit commentaire pas très pertinent de la sorte.
Franchement pas convaincant, avec en plus l'habituelle sous-estimation des très grands talents politiques de Hitler (qui était évidemment par ailleurs un assassin)
Exact, Hitler était un très grand observateur de la société et un grand manoeuvrier politique/idéologogique. Bien sûr, il était jusqu'au boutiste et un peu illuminé par son idéologie, d'où le résultat final.
Commentaire référencement . 😘
Merci Storiavoce de nous donner l'occasion d'écouter Anne Quinchon, germaniste, maîtresse de conférences à l’Université Paris Dauphine, et chercheuse associée au LICT de l’Université Paris Cité. Un peu de travail historique sérieux fait du bien comparé à la lecture des bouffonneries rédigés par la clique habituelle des pseudos-spécialistes auto-proclamés :)
Lisez PENSEZ L'HOMME NOUVEAU : POURQUOI LA DROITE PERD LA BATAILLE DES IDEES
L'argument de la carte postale est ridicule. Quand les gens envoient une carte postale ils ne mentionnent pas nécessairement leurs observations d'ordre politique
Tout à fait. Grotesque.
On sent l'historienne de deuxième zone : compilatrice.
@@hectorpierre6219 Je ne dirais pas ''de 2e zone.'' C'est un travers des historiens un peu idéologues ou de ceux qui veulent à tout prix démontrer une thèse. Je trouve qu'il y en a de plus en plus, surtout dans le monde anglo-saxon.
Pour ceux qui aiment l'histoire
ua-cam.com/video/OhqvBfpmLG8/v-deo.html
La vie d'hitler et l'ascension du nazisme dans les détails
@@tm2bow653 Ce n'est pas la seule aberration qu'elle dit..
@@hectorpierre6219 eh oui l'habit et les titres paraissent immérités, on sent que les fins d'étude seront éternelles, une jeune thésarde approximative qui ne pousse pas très loin la réflexion et la pensée, 7/20 et je note pas vache
Très bonne intervention
Autre exemple : Max Amann, qui était sergent dans l'armée, directement en contact avec Hitler. Il deviendra un pilier du 3e Reich. Ainsi donc il aurait connu Hitler avec des idées différentes ? Cela ne tient pas debout
Hitler n’avait pas d’idées différentes
Il n’avait pas d’idées à l’époque
Ce n’est pas pareil
Et puis si vous savez vous taire et oublier
Vous faites votre chemin dans l’appareil nazi…
Pas convaincu du tout
Il ne me semble pas non plus avoir entendu dans le podcast que Hitler était communiste non plus 🙄
Hélas, ça voulait bas aussi en France avec la troisième république.
La 3ème République a remporté la Grande Guerre quand même. Peu de régimes pourraient se targuer de sortir vainqueur d'un tel conflit.
@@eirtars : Sauf que les militaires les plus compétents comme Louis Franchet d'Espèrey, avaient des idées monarchistes. De plus, il faut arrêter de placer le régime au dessus du pays. Dites plutôt que c'est la France qui a gagné. Son régime d'alors n'a aucune importance.
De plus, la Troisième République, malgré de bonnes idées, a apporté plus de problèmes à la France que de prospérité.
Hitler consensuel ?!
Très intéressant
Mon combat ; ne pas me laisser mourir 😂
Il faut regarder ses liens avec les USA... Lantibolchevisme américain a-t-il eu une influence sur la politique allemande ?
Tout a fait ..Hitler était parfaitement au courant aussi bien de l anti semitisme américain notemment de henry Ford dont il avait la photo sur son bureau pour annecdote..Aussi il suivait avec attention la stérilisation des handicapée mentaux dans l Idaho en 1908 puis dans le Dakota du nord 'en tout 6 états dans ces années 1908/10. Puis 25 états jusqu en 1920 environ. Hitler était tout a fait au courant de la politique de stérilisation des handicapés faite aux Etats Unis..et la sélection ''par le plus fort '' qui est une politique très américaine ' préfigurant le nazisme et ses liens avec celui ci per les henry Ford ' Lindbergh ' joseph Kennedy ' le père de Trump banquier etc N'oublions pas..les usines Ford de Cologne et Bell a Stuttgart dont le rôle reste à étudier après le 10 décembre 1941 quand Hitler par solidarité illusoire avec le Japon a déclaré la guerre aux Etats Unis ' fatale erreur avec deux fronts a l est et a l'ouest et un troisième en Afrique du nord grace aux colonies françaises ..il ne pouvait pas gagner cette guerre..Et Mussolini n avait pas l'armee pour seconder Hitler ..d'autant plus que le fascisme 'Autre idéologie n'avait rien a voir avec le nazisme en tant que doctrine pour terminer le Risorgimento avec au départ l'idée irredentiste ' mute en impérialisme ds l AOI..D Éthiopie lybie ...tout en faisant des réformes modernes et sociales dont création par ex de la sécurité sociale des 1929 par Giuseppe Bottai....Aussi les fasciste contrairement à ce qui est cru étaient opposés a l'alliance ragoûtante avec Hitler en large majorité..depuis l'affaire Ethiopienne en 35 comme le ''grand conseil fasciste '' qui siégeant en conseil des ministres sur initiative du Roi a destitué Mussolini le 24/25 juillet 1943..
Mais là il s agit d un autre sujet mais Hitler ne pouvait pas compter sur l'appuit fasciste italien car cette alliance était le fait.de Mussolini et de son clan.
Les États-Unis ont bien financièrement et politiquement soutenus l'Allemagne nazie jusqu'en Décembre 1941.
D’une certaine manière, l’Allemagne ne fut en capacité de lancer la Seconde Guerre Mondiale en Europe et de la faire comme elle la fit, *qu'à cause des supports technologiques et financiers apportés par les grands conglomérats étasuniens au IIIème Reich.*
Tout commença par les banquiers supportés par le Plan Dawes, suivi par le Plan Young et qui minèrent le programme de paiement des réparations de guerre (Première Guerre Mondiale) par l’Allemagne. Une énorme partie des réparations allemandes étant d’ailleurs financées et payées par le cartel bancaire du syndicat de Wall Street. Et ce en échange de participations significatives dans les cartels industriels et financiers allemands.
Ces mêmes cartels qui mettront Adolf Hitler au pouvoir en Janvier 1933.
L’histoire de la machine de guerre allemande est indissociable de l’aide déterminante des cartels américains, tous (à l’exception de Henry Ford) contrôlés par John Pierpont Morgan, Chase et Paul Warburg entre autres.
Citons en vrac :
- Standard Oil of New Jersey sans laquelle les allemands et IG Farben n’auraient pas été en mesure de produire le carburant synthétique et ses composants majeurs pour approvisionner son matériel.
- General Electric qui contrôlait une grande partie de l’industrie électrique allemande au travers, d’AEG, Osram, Accumulatoren Fabrik, etc etc et dont les usines allemandes ne seront pratiquement jamais bombardées. General Electrics dont les filiales financeront directement les groupes de support à Adolf Hitler,
- Opel, intégralement détenu par General Motors et qui livrera tanks et camions à l’armée allemande pendant toute la guerre,
- Ford, dont le patron (Henry Ford) sera décoré dans son bureau par les nazis pour services rendus et qui fabriquera une grande partie du matériel roulant de l’armée allemande,
- International Telephone and Telegraph qui contrôlait, entre autre, une grande partie de Focke-Wulf dont les avions bombardaient l’Europe et dont les filiales allemandes intégralement contrôlées par International Telephone and Telegraph faisaient régulièrement des chèques au « cercle des amis de Himmler »
Et tous les autres financiers étasuniens dont la liste est longue comme un jour sans fin et qui finançaient directement ou indirectement les activités politiques du Parti Nazi.
Il existe plusieurs livres très détaillés sur cette activité que l’on se garde, bien entendu, de rappeler.
Tout ce contexte qui explique parfaitement bien les longues hésitations des États-Unis à rentrer en guerre en Europe, chose qu’ils feront lorsqu’ils auront compris qu’Hitler allait perdre cette guerre en échouant à faire une fois de trop, triompher sa stratégie de « blitzkrieg » dans les plaines ukrainiennes.
Honneurs soient d’ailleurs rendus aux auteurs américains de ces livres et d’avoir eu le courage de mettre tous ces cartels américains face à leurs énormes responsabilités dans l’échafaudage et le support apporté à Adolf Hitler pour ses plans et leur exécution.
Hélas, tout ceci est expurgé des livres d’histoire de nos écoles (si on peut encore parler d’histoire) et remplacé par des contes de fée qui, au final, produisent des ignares et incultes par millions.
Le Royaume-Uni a également soutenu le régime pendant toute la durée des années 1930, pour qu'il ne s'en prenne pas à leur empire colonial, ce qui leur permettait de garder leur hégémonie économique sur le monde occidental. De plus, Adolf Hitler souhaitait un partage du monde avec l'Angleterre, chose qui a faillit se passer. En effet, nombre d'aristocrates britanniques furent séduits par Adolf Hitler et Benito Mussolini avant la Seconde Guerre Mondiale. La famille royale britannique était liée par le sang aux Hohenzollern, les nurses étaient allemandes. *Hitler était anglophile alors qu'il méprisait les français.* Il fit de la séduction de l'aristocratie britannique un pilier de sa diplomatie, espérant que les clans pacifistes et fascistes britanniques emmenés par le roi Édouard VIII et Lord Halifax l'emporteraient sur celui pragmatique animé par Winston Churchill.
Les États-Unis, pendant le procès de Nuremberg, ont d'ailleurs extradés des officiers nazis comme ceux de la Sicherheitsdienst ayant été en Europe de l'Est comme agents de renseignement, parce qu'ils combattaient les communistes, les résistants et les espions soviétiques
Beaucoup de gros financiers du monde ont soutenu le NSDAP.
Le côté christique du personnage vous a semble-t-il échappé. Lisez plutôt ceci et savourez ce pur moment de poésie octogonale :
«Tu es injuste envers le National Socialisme, cette doctrine de paix et d'amour qui conseillait d'être bon envers les animaux : en réalité, Adolf Hitler n'est autre que le Christ blanc Apollyon que mentionne l'apocalypse de Saint Jean. Le monde actuel, c'est l'abomination des abominations (je pense qu'en tant que chrétien, tu seras d'accord). Or la bête noire du système, le mal absolu selon ce système de chose satanique, c'est le Christ blanc, Adolf Hitler. Suivi de près par Joseph Staline, le grand sparing partner. Ce simple fait devrait t'amener à réfléchir. De plus, Adolf Hitler était végétarien. Or les démons ne sont jamais végétariens, tu devrais le savoir... Cogite un peu là-dessus, mais prends ton temps surtout, car ça pourrait faire bugger ton cerveau si tu voulais assimiler trop rapidement ce nouveau paradigme. Donc tu peux phosphorer tranquillement sur le sujet, à ton rythme. Sans chercher à brûler les étapes car il s'agit pour toi d'opérer une transmutation de toutes les valeurs.»
Demandes aux tchèques, polonais, serbes, monténégrins, ukrainiens, biélorusses, russes et tsiganes ce qu'ils en pensent. *Les nazis ont tué 36 millions d'européens, dont 31 millions de slaves, le tout au nom de la « germanité de l'Europe ».* Sans parler de la vassalisation de notre pays pendant 4 ans, et des soutiens politico-financiers anglos-saxons sur notre dos.
Mais j'imagine que tu vas me dire que c'est encore un coup « di ispisses di grousses kounasses di jouifs, wallah frère », hein 😏 ?
@@gweltas1372 Je m'étonne qu'un homme tel que vous n'ait pas perçu l'immensité de mon génie, par exemple en matière de poésie octogonale.
@@adolfostalini5957 : Votre commentaire est certes poétique, mais donne des informations ignoblement mensongères.
@@gweltas1372 De la discussion, jaillit la lumière. Je ne prétends pas avoir raison... Pourriez-vous être plus précis : ça m'intéresse, parce que voyez-vous, je ne suis ni Ukrainien, ni Russe et que je n'ai jamais mis les pieds en Ukraine. Ma connaissance au sujet de cette sinistre histoire ne provient que de mes pérégrinations sur la toile.
@@adolfostalini5957 : Je vous conseil l'ouvrage « Guerre et exterminations à l'Est : Hitler et la conquête de l'espace vital 1939-1945 » de Christian Baechler.
Vous verrez que la slavophobie des allemands durant les deux guerres mondiales était très net, *alors qu'ils étaient européens comme eux.* Ce qui rend l'adhésion de nombreux ukrainiens occidentaux aux groupes néo-nazis sponsorisés par l'OTAN incompréhensible.
Quel ennui
😂