En Shito on a des bunkaïs historiques officiels clairs. Premièrement, pour le kaishu (main ouverte), il est fondamental de bien serrer les mains pour restreindre le point adverse. L'idée est à la fois de ralentir l'hikité adverse et de suivre le retour du point pour pouvoir réaliser le kakaté et le tetsui (heian godan, Chinto). Effectivement, très important de sortir de la ligne. Pour les mains fermés, c'est gedan baraï et coup de point simultanément sur le tibia.... ça fait mal donc on pratique pas ça.
En effet Juji-Uke dans sa forme droite et statique n'est utile qu'en démo et kata. En application j'enseigne toujours juji-uke comme un renfort sur une technique existante (age-uke, gedan-barai). En application on utilise le bras fort pour bloquer et faire glisser la frappe et le bras faible rajoute un contrôle et attrape ce qui passe. Par exemple sur une attaque du haut (couteau, matraque, testui-oroshi), sortir de l'axe et faire "son petit toit" et récupérer avec l'autre main en juji-uke. Travailler dans l'axe est bloquer ses deux mains et se placer automatiquement en 2ème place pour la suite
Bonjour, très instructif mais par contre, il y a la base pour la compréhension du geste pour les débutants pour leur faire comprendre ce qu'est la technique en elle-même et son application logique seulement quand il maîtrise la base, au même titre que le zenkutsu au fudodachi
Bonjour, c'est un point de vue. Mais si je peux me permettre, ne doit-on pas d'abord apprendre l'utilité avant la technicité ? Tout comme on apprend à envoyer une balle avec un service de tennis et ensuite on raffine la technicité du joueur. Je penche plus de ce côté mais je sais pertinemment qu'enseigner d'abord la technicité est une pédagogie classique sur le tatami.
Excellent application, excellent adaptation
Te Voilà avec ta nouvelle et Belle ceinture !!oos Lionel😉👍
Et oui 😁 merci
Excellente explication, comme toujours. Merci sensei
Avec plaisir et merci 🙏🏼
En Shito on a des bunkaïs historiques officiels clairs. Premièrement, pour le kaishu (main ouverte), il est fondamental de bien serrer les mains pour restreindre le point adverse. L'idée est à la fois de ralentir l'hikité adverse et de suivre le retour du point pour pouvoir réaliser le kakaté et le tetsui (heian godan, Chinto). Effectivement, très important de sortir de la ligne. Pour les mains fermés, c'est gedan baraï et coup de point simultanément sur le tibia.... ça fait mal donc on pratique pas ça.
Très bonne explication, très clair, et très pratique comme toujours! Merci!
Avec grand plaisir et merci pour ta fidélité sur la chaîne. Belle continuation
Je t en pries! Et à très bientôt cette fois en live sur le tatami! 😊
De mieux en mieux t'es vidéos encore merci pour ces tutos de grandes qualités.
Un grand merci !
En effet Juji-Uke dans sa forme droite et statique n'est utile qu'en démo et kata. En application j'enseigne toujours juji-uke comme un renfort sur une technique existante (age-uke, gedan-barai). En application on utilise le bras fort pour bloquer et faire glisser la frappe et le bras faible rajoute un contrôle et attrape ce qui passe. Par exemple sur une attaque du haut (couteau, matraque, testui-oroshi), sortir de l'axe et faire "son petit toit" et récupérer avec l'autre main en juji-uke. Travailler dans l'axe est bloquer ses deux mains et se placer automatiquement en 2ème place pour la suite
Bonjour, très instructif mais par contre, il y a la base pour la compréhension du geste pour les débutants pour leur faire comprendre ce qu'est la technique en elle-même et son application logique seulement quand il maîtrise la base, au même titre que le zenkutsu au fudodachi
Bonjour, c'est un point de vue. Mais si je peux me permettre, ne doit-on pas d'abord apprendre l'utilité avant la technicité ? Tout comme on apprend à envoyer une balle avec un service de tennis et ensuite on raffine la technicité du joueur. Je penche plus de ce côté mais je sais pertinemment qu'enseigner d'abord la technicité est une pédagogie classique sur le tatami.