Vous prétendez nous dire comment on peut simuler le climat, or il n’y a rien dans cette vidéo qui permette de le savoir. La première chose importante qui montre la supercherie de la simulation du climat est le fait que vous prétendez mesurer par des simulations une augmentation de la température de la planète de environ 1 degC à 6 degC or vous ne définissez nullement ce qu’est la température de la planète. Cela peut paraître stupide de le dire mais en science véritable la température, variable thermodynamique, est une variable absolument locale qui doit pouvoir satisfaire l’équation de Mariotte par rapport à la pression et le volume, ou le flux volumétrique: PV=nZRT. Z est la compressibilité du fluide qui peut être décrite par des équations d’état aujourd’hui parfaitement accessibles et qui permettent de faire des simulations précises dans l’industrie. Or vous êtes scientifiquement dans l’impossibilité de faire entrer la température de la planète dans l’équation de Mariotte pour la bonne et simple raison que la température du globe est quelque chose de subjectif qui n’a aucune réalité physique et qui n’en aura jamais. Ce que vous faites c’est du bricolage informatique qui peut sans doute aider à prévoir le temps par extrapolation sur une courte période de la même façon que l’on peut prévoir les cours de la bourse en extrapolant avec les cours des dix années précédentes. Si vous avez un augmentation régulière des cours de vos actions les trois dernières années, il y a de fortes chances que vos actions subissent une augmentation cette année, cela marche à presque tous les coups, mais ce n’est pas de la science et vous savez très bien que tout peut dégringoler d’un coup, surtout en ce moment d’incertitudes. Autre remarque, j’ai l’habitude de faire des simulations de fluides à travers des équipements. Cela se fait en simulant des situations stables pour chaque simulation. En général je simule un faible débit au démarrage pour l’ensemble de la simulation, un débit normal ou optimum et d’autres cas exceptionnels. Ceci permet de dimensionner les équipements au début du projet. Lorsque l’usine est bien définie avec la connaissance des équipements qui vont être installés tels que les vannes de contrôle et les vannes de sécurité, il est possible que je soit obligé de contracter des sociétés d’informatiques spécialisées dans les simulations dynamiques que je suis dans l’incapacité de faire moi-même, vu la complexité, pour le démarrage des installations et l’arrêt normal ou pour différents scénarios extrêmes pour des raisons de sécurité. A ce moment là il y a un problème de communication entre les informaticiens qui sont dans l’incapacité de comprendre le fonctionnement pratique des équipements. La conséquence est que les résultats obtenus sont souvent difficiles à interpréter. Un système stable donne des résultats faciles à interpréter mais n’a rien à voir avec un système dynamique dont l’interprétation peut être sujet à caution. En conclusion, compte tenu que les simulations du climat ne concernent pas des fluides en débit stable mais en régimes dynamiques extrêmement turbulents, compte tenu du nombre de paramètres infinis à tenir compte, je doute très fortement que l’on soit en mesure de faire des prévisions claires avant bien longtemps. D’autre part convertir les résultats en température globale ne peut être que douteux scientifiquement.
Bonne vidéo!
Super
Vous prétendez nous dire comment on peut simuler le climat, or il n’y a rien dans cette vidéo qui permette de le savoir. La première chose importante qui montre la supercherie de la simulation du climat est le fait que vous prétendez mesurer par des simulations une augmentation de la température de la planète de environ 1 degC à 6 degC or vous ne définissez nullement ce qu’est la température de la planète. Cela peut paraître stupide de le dire mais en science véritable la température, variable thermodynamique, est une variable absolument locale qui doit pouvoir satisfaire l’équation de Mariotte par rapport à la pression et le volume, ou le flux volumétrique: PV=nZRT. Z est la compressibilité du fluide qui peut être décrite par des équations d’état aujourd’hui parfaitement accessibles et qui permettent de faire des simulations précises dans l’industrie. Or vous êtes scientifiquement dans l’impossibilité de faire entrer la température de la planète dans l’équation de Mariotte pour la bonne et simple raison que la température du globe est quelque chose de subjectif qui n’a aucune réalité physique et qui n’en aura jamais. Ce que vous faites c’est du bricolage informatique qui peut sans doute aider à prévoir le temps par extrapolation sur une courte période de la même façon que l’on peut prévoir les cours de la bourse en extrapolant avec les cours des dix années précédentes. Si vous avez un augmentation régulière des cours de vos actions les trois dernières années, il y a de fortes chances que vos actions subissent une augmentation cette année, cela marche à presque tous les coups, mais ce n’est pas de la science et vous savez très bien que tout peut dégringoler d’un coup, surtout en ce moment d’incertitudes.
Autre remarque, j’ai l’habitude de faire des simulations de fluides à travers des équipements. Cela se fait en simulant des situations stables pour chaque simulation. En général je simule un faible débit au démarrage pour l’ensemble de la simulation, un débit normal ou optimum et d’autres cas exceptionnels. Ceci permet de dimensionner les équipements au début du projet. Lorsque l’usine est bien définie avec la connaissance des équipements qui vont être installés tels que les vannes de contrôle et les vannes de sécurité, il est possible que je soit obligé de contracter des sociétés d’informatiques spécialisées dans les simulations dynamiques que je suis dans l’incapacité de faire moi-même, vu la complexité, pour le démarrage des installations et l’arrêt normal ou pour différents scénarios extrêmes pour des raisons de sécurité. A ce moment là il y a un problème de communication entre les informaticiens qui sont dans l’incapacité de comprendre le fonctionnement pratique des équipements. La conséquence est que les résultats obtenus sont souvent difficiles à interpréter. Un système stable donne des résultats faciles à interpréter mais n’a rien à voir avec un système dynamique dont l’interprétation peut être sujet à caution.
En conclusion, compte tenu que les simulations du climat ne concernent pas des fluides en débit stable mais en régimes dynamiques extrêmement turbulents, compte tenu du nombre de paramètres infinis à tenir compte, je doute très fortement que l’on soit en mesure de faire des prévisions claires avant bien longtemps. D’autre part convertir les résultats en température globale ne peut être que douteux scientifiquement.
c est l Example parafait de la déconnexion entre le réel et les équations pendues par des Matheux .
Jav
Société
J’avoue