La méditation a-t-elle encore à voir avec le bouddhisme ?
Вставка
- Опубліковано 19 лют 2015
- www.bouddhismes.net/
--------------------------------------
Conférence-débat sur le thème de la Méditation, proposée dans le cadre de la journée de rentrée (27 Septembre 2014) de l'Institut d'Etudes Bouddhiques avec Dominique Trotignon.
Enseignement de qualité , honnête , profond et spirituel . Merci beaucoup !
Quel bonheur que cette conférence, merci !
Une remarquable honnêteté intellectuelle!
Sujet pertinent et très bien mené. Merci pour ce partage. C'est tout à fait percutant. Le niveau de certains commentaires, a contrario, me stupéfait un peu, notamment quant ils portent non pas sur ce qui a été dit mais plutôt sur la personne qui parle, et la promptitude à juger, à juger de la réalisation ou non de l'enseignant, sur quels critères, sur quelle base... Il ne s'agit pas de juger de la personne ici, mais du sens des mots, et ce qui est dit est tout à fait à propos !
je crois qu'il serait surtout temps que les gens commence à mouiller la chemise. Le bouddhisme est avant tout une pratique. Tant de gens en parle et ne pratiquent pas. Là est le vrai malhentendu
Paradoxalement c'est souvent par la méditation que des gens viennent au Bouddhisme. Ca aurait été intéressant qu'il explique ce qu'il entend par vipassana. Néanmoins malgré son coté "rentre dedans" Dominique Trotignon est pédagogue et son point de vue très intéressant.
Magnifique !
Merci, c'est tout à fait juste.
Très bon enseignant ; approche de vulgarisation efficace, qui ne perd pas en précision.
A lire certains commentaires, les biais conduisant à nourrir l'ignorance semblent tenaces ... la connaissance du sens précis des mots et des enseignements fait parti du chemin s'affranchir de cet effort nourrit l'ignorance !
je suis un peu lent donc la video est une excellente idée pour les gens comme moi. je conseil à certain de faire comme moi, la revoir :) merci pour cette video !
Je ne sais pas si "l'intériorité en position assise" que je pratique quotidiennement depuis 5 ans a à voir véritablement avec le bouddhisme. Toujours est-il que c'est très nettement grâce à cette pratique que je vais infiniment mieux et que je suis bien mieux reçu par ceux qui m'entourent, parents, amis, proches et autres pèlerins... Peu m'importe donc si je n'ai pas un parcours orthodoxe en étant passé par les vidéos de l'association de la mindfulness, celles du peut-être un peu trop charismatique Ajahn Brahm, en ayant participé à des retraites théravada, en trouvant dernièrement un cercle de "méditant" sous l'égide lointaine d'un lama, et en prenant finalement un peu de recul en lisant Stephen Batchelor qui rappelle, vous le savez, la mauvaise traduction que pourrait également être le "bouddhisme", concept forgé en Europe au 19ème siècle.
Sur la base des progrès tangibles que je perçois en moi, je continuerai donc de m'astreindre quotidiennement à pratiquer les formes de méditation que j'ai reçues.
Patrick Leclercq g
le problème est que vous etes centré sur vous meme( relisez vous) et vous influencez les gens comme vous qui veulent aller mieux mais qui en aucun cas vous pourrez comprendre l'enseignement du gautama.je vais infiniment mieux est une reponse de gens si souvent suffisant qu'ils croient etre spirituels alors qu'en realite ils on peur et leur moi les enferment
je finirai en disant qu'il est exeptionel et tres difficile pour la plupart de reconnaitre qu'ils sont mediocres ,petits mais si part chance l'orgeuilleux prend conscience ca y est il avance sur le chemin de l'illumination
Je viens de découvrir cette vidéo et votre commentaire. Je me permets de vous conseiller de lire "Les Huit marches vers le bonheur" de Bhante Henepola Gunaratana puis éventuellement "Les plus belles paroles du Bouddha" de Jeanne Schut. Bien à vous.
Je suis vraiment frustré en fait après avoir vu cette vidéo je voulais vraiment m'inscrire ce que j'ai fait aveuglément sans regarder les tarifs des cours. J'ai payé 40 euros, rien pour certain, beaucoup pour un étudiant et après j'ai découvert que les cours complets valaient à l'unité 180 euros en tarif réduit étudiant... Donc on va taper dans les 500 euros pour avoir les bases avec les cours niveau 1. Je comprends bien, vous avez une asso à faire tourner etc.
Je me permets quand même de dire que dans le temple que je fréquente, on me permet de prendre des livres sans rien me demander en retour. Je comprends que votre travail rigoureux mérite une rémunération, je l'entends totalement et donc je ne demande pas de changer, je ne vous accuse pas de faire un business ou je ne sais quoi.
Je suis juste déçu et frustré d'avoir payé 40 euros pour l'adhésion pour rien au final puisque je n'ai pas les moyens de m'acheter les cours mais surtout je suis encore plus déçu et frustré de ne pas pouvoir profiter de votre enseignement de qualité pour des raisons financières. Les étudiants, même en tarif réduit, ne peuvent pas mettre 180 euros dans un cours, mes manuels de droit coûtent moins à l'unité et pourtant c'est déjà un sacrifice financier de se les payer...
Concernant la conférence, merci pour le partage, elle était passionnante.
59:18 : la pratique est construite sur une dualité
Pourquoi toujours l'emploi du " vous " , particulièrement vers les dix dernières minutes, vous même, êtes au delà ... de notre niveau mondain ? de même, parfois s'attacher à ce point au pied de la lettre, fais oublier l'esprit. ...mais mes voiles sont epais bien sûr!
C'est pourquoi j'adore des gens comme Dominique et pourquoi ils me saoulent à crever : c'est la personne qui vous apprend à bien décrypter en détails des éléments précis, mais souvent ces gens n'ont aucune ouverture à au-delà et n'arrivent pas à lire entre les lignes, etc.
Et le pire du pire je crois c'est quand ils prennent la grosse tête "moi je sais, toi tu ne sais pas" (avec des méchants yeux, etc.)
On comprend bien que ce monsieur tente de rétablir et de clarifier ce qu'est la méditation dans une vision Bouddhique. Cependant il y a des confusions à prendre en considération comme par exemple lorsqu'il dit que les sensations sont le samsara.. il est dit dans les textes qu'à terme le samsara est le nirvana.. ce qui sous-entend que les sensations ne sont ni positives ni négatives ni neutres etc.. C'est la saisie du soi qui est problématique en engendrant moi/autre que moi/ attachement/aversion .. mais merci de clarifier tout ça...
M'en
,
une pratique de méditation est pour donner une possibilité à la transcendance de se manifester ...toujours à son gré. Le rêveur sort pour alors un moment de son rêve (qu'on nomme l'existence qui passe dans le champ de conscience),là toutes les questions et les réponses bien sûr n'ont plus aucune raison d'être . Tout le reste que des bavardages qui seront toujours discutables car nous revenons à la dualité , 2 et non réaliser le 1 indiscutable à jamais. La spiritualité est compliquée pour les gens compliqués et simple pour les gens simples.
Vous oubliez qu'il y a deux vérités: mondaine et supramondaine.
Salut, c'est vrai qu'au fond il n'y a rien à dire ... Et on vient et on peut retourner quand le besoin s'en fait sentir dans ce rien à dire tout à être"... MAIS!!
Mais, il me semble que si "on est là" c'est pour éprouver autre chose que l'Amour inconditionnel d'où on vient.
C'est à dire retrouver l'Unité consciemment dans chaque situation de Vie, sans pour autant en faire une règle et balayer tout ce qu'on peut ressentir perso ou "les autres"... S'il n'y a pas d'échange verbal et non verbal, alors à quoi bon la dualité?
Pourquoi D'ieu (et un peu nous mêmes) on est descendu dans cette matière duelle !!?
Car oui la dualité existe à un certain "niveau", il ne s'agit pas je crois de la nier ou de la détruire dans un "ego" de plus , un "ego spirituel" , mais de la faire remonter avec patience et Amour dans le 1...
C'est un exercice sans fin, et passionnant.
Et on comprend qu'on ne sait rien et qu'en effet il y a des choix personnels et collectifs à faire .
J'ai réalisé que le "il n'y a rien à dire" était vrai mais aussi faut.
La paix du Christ sur l'unité que nous sommes
@@Idorise si la souffrance n'était pas.. rien de tout cela ne serait...
*******
bon,je vais regarder Armelle c'est plus simple !
Non.....
Qu'est ce que la méditation? Après avoir lu la définition générale de Wikipédia tout comme Dominique Trotignon, je ne comprends pas pourquoi il n'est pas d'accord?
On médite sur ce que l'on souhaite, par exemple un sentiment, une idée, un principe philosophique ... le but n'est autre que de se poser des questions pour approfondir notre connaissance sur le sujet.
Après il y a la "méditation" appliqué aux religions => s'ouvrir a dieu par exemple mais dans ce cas on parle de méditation propre à la religion donc différent de la méditation au sens large.
Wikipédia, encore une fois, nous propose une page sur la méditation bouddhiste pour nous donner un aperçu des différences entre la méditation "hors religion" comme on le perçoit en occident et de la méditation bouddhiste.
primelBreizh Le "problème" n'est pas ce que l'on fait pendant la méditation... mais de savoir si ce terme peut s'appliquer réellement et de façon compréhensible, à la pratique bouddhique !
Etant donné que chacun met ce qu'il veut derrière le terme "méditation" alors que la pratique bouddhique correspond à des définitions très strictes, on peut penser qu'il y a incompatibilité entre les deux usages ou, au moins, risque de confusion !
Si je ne me trompe pas, ce qu'on a traduit par méditation est le mot "bhavana" qui veut dire "s'habituer à". Alors ça me va, en méditant je m'habitue à être éveillé, présent aux choses, ,à l'éveil du Bouddha éventuellement.
@@jackhalle859Vous avez vu juste.
tres interressant mais en realité il n'y a pas de meditant pour celui qui medite et pas de preparation
Dominique Trottignon est très érudit et intéressant à écouter mais, comme tout le monde, il projette à crever. (On projette notre façon de voir le monde et de fonctionner sur le monde... et c'est... d'ailleurs ça qui mène au samsara, entre autre xD)
Les définitions qu'il a donné à la méditation, enfin qu'il a trouvé à l'époque, la plupart ne m'ont pas choqué.
Il dit que dans les textes on parle d'EFFORT, d'une sorte de pratique assidue, oui. Mais justement cette pratique est une sorte de laisser faire, mais c'est parce qu'il n'arrive pas à intégrer, incorporer, comprendre cela.
C'est trop drole car je suis sportif depuis ma naissance, j'ai gagné quelques championnats en athlétisme, podium en judo, je suis diplomé universitaire en l'équivalent belge de STAPS, etc.
Quand j'entraine (!) les gens, ou quand JE m'entraine, je ne pratique aucun effort. Je suis dans un total lacher-prise, laisser faire. Je suis complètement DETENDU, à l'aise, posé. C'est pour ça que les pratiques, pratiquants ou écoles bouddhistes acides sur la posture à donner des coups de baton, ou encore à dire qu'il faut "faire un effort", ou "forcer" en fait, ça n'a aucun sens pour moi.
La bonne pratique de quelque chose se fait dans la détente, dans la décontraction. Je peux y aller sur des analyses scientifiques : on reconnait une sportif élite dans sa détente dans le mouvement, dans un total lacher prise, dans une sorte de laisser aller, laisser faire. Et perso n'importe quel entrainement, n'importe quel exercice, j'y arrive posé, totalement relaché, détendu. En fait c'est comme si la pratique se révélait et s'incarner. Je suis vraiment "tout mou" d'une certaine manière. Je ne pratique aucun effort et on peut me dire que c'est parce que j'ai un certain niveau de pratique sportive mais je ne suis pas d'accord. Quand je commence quelque chose en débutant je suis cool, cool, tout relaché, j'y vais à mon aise, dans la détente, la délicatesse, la SUBTILITE (c'est très corrélé). Par exemple j'entraine en natation depuis 10 ans en club... comment quelqu'un ne peut il pas nager ? Car il a peur de l'eau, lutte contre l'eau, force contre l'eau. Comment on flotte et ne se noie pas ? En ne faisant rien. On est avec l'eau. Comment on arrive à nager ? En étant dans une grande détente. Comment on améliore sa technique de nage ? Comment glisse-t-on ? En augmentant sa détente, son relachement. Toute amélioration, dans je pense n'importe quoi dans la vie, vient d'une augmentation de la détente, de la relaxation. Je dirais qu'elle est première ou devient première petit à petit pour celui qui ne l'a pas.
Et ici on parle de méditation : par exemple la posture importe très peu, j'ai essayé plusieurs postures, j'ai essayé ceci, cela, telle, telle posture, etc. toutes étaient fonctionnelles. Ou encore à la limite ce sont les pratiques et écoles qui demandaient le plus de fermeté que j'ai trouvé les moins efficaces car elles mettent une TENSION interne préalable qui bloque assez bien. La "méditation" en elle même, dans ce qu'on voit, va voir, de nous, en nous, sur l'extérieur aussi, sur le monde, ça va déjà faire remonter des choses dures. Et comment se confronter à cela ? Dans la détente. En fait on est "plus fort" que cela, cela nous traverse. Comment ? De par la détente.
Tout comme si on a une pratique méditative un peu pour aller "au-delà" (la Bouddha dit en fin d'un sutra mahayaniste : gate, gate, paragate, parasamgate, bodhi svaha") car c'est un peu l'objectif pour atteindre le nirvana, c'est bien plus efficace (je trouve) de justement aller, laisser aller, laisser faire, totalement devenir indifférent et donc de ne même plus à la limite serrer le corps et l'esprit, etc. Justement on bazarde tout ça, ça n'a plus d'importance. Du coup pourquoi s'infliger tant de peine ? Alors qu'on veut sortir... des peines ? On pourrait dire que c'est "que des peines du corps", qu'il faut le lacher, ok mais alors autant aussi lacher toute idée de le controler ou je ne sais quoi.
En plus les techniques de concentration, par exemple sur le souffle, ça amène le calme... qui amène... de la clarté. Du coup on arrive aussi dans la détente et le laisser aller, laisser faire ou qu'on peut dire lacher prise. Je lache prise, je n'y touche plus, du coup de toute façon beh ce truc là (le corps par exemple), bah il est totalement détendu, ça ne sert même plus à rien d'ajouter des choses.
En fait dans l'image de l'animal (singe souvent repris), je ne suis pas d'accord avec cette acte sacrificielle de mettre en cage le singe. En fait on peut le mettre en cage, ou juste le laisser faire, le singe, notre esprit, va s'épuiser au bout d'un moment.
(Bordel je pourrais encore extrapoler, allez, si vous êtes chaud : on va plutot parler dans la modernité et je trouve cela plus juste : ce n'est pas un singe, c'est notre esprit, notre enfant intérieur et notre enfant intérieur a des choses à nous dire. Il est bien de l'écouter et de le chérir. Ah ! Ca doit piquer d'être trop maternel pour certains ! En fait on regarde l'enfant avec amour : tout va bien, ça va aller et l'enfant se calme. L'esprit est tranquille, tranquillisé. Bon je vais pas entrer dans la psychologie, je crois que le bouddhisme a une portée métaphysique, une fois qu'on a un peu apaisé justement la connaissance de surface...)
Ce qui est drole, là, où j'ai mis sur pause, Dominique traduit des termes utilisés dans des sutras couramment pour parler de la pratique, il zappe un peu et passe au dessus de certaines traductions possibles (comme la poule qui couve ses oeufs :-p).
Ce qu'il faut savoir aussi c'est que le monde était beaucoup plus sacrificielle à l'époque du Bouddha. C'est donc normal que des gens traduisaient ou pensaient, le Bouddha lui même surement, qu'il fallait être dur, même violent (!) avec son esprit et qu'il fallait "le mettre en cage". C'est du pur nazisme, après si des gens sont ok de s'infliger cela à eux-mêmes. C'est assez courant dans les religions. Une pratique très dure, très ascétique. Alors que la pratique peut être douce.
Bien sur aussi : des gens manquent de maman et des gens manquent de papa. C'est à dire que des gens ont besoin de plus de douceur, car ils ne connaissent que la dureté. Des gens ont besoin de plus de fermeté, car ils nagent dans une flaque douce et heureuse. Des gens ont besoin des deux. Des gens sont bien équilibrés : ils s'entrainent durement, dans la détente et la douceur.
Pour avoir une bonne concentration, le samadhi il est vrai qu'il faut détendre l'esprit et le corps, mais il faut savoir que si le corps et l'esprit ne fournit aucun effort on peut tomber sur les factures d'empêchement (le sommeil), pour le samma sati la pratique de l'attention juste, cela demande beaucoup d'efforts, et surtout de l'effort juste ce qu'on appelle sama vayama, fournir de l'effort au corps la résistance face au posture, et à l'effort de résister aux apparitions des douleurs, des pensées sur son apparition, son apogée et sa disparition, sans l'effort juste on ne peut chasser les mauvais pensées, car pour comprendre l'apparition il faut comprendre son origine.
Sinon on reste au lit et on regarde ticktok et on pourra tous s'éveiller
@@Artderespirer En fait l'effort, bien sur qu'il peut être poli (pour un "effort juste", plus fin, plus précis, plus subtil), mais je dirais que c'est l'effort premier qui importe, un peu comme le gong du bol. Dès qu'on a enclenché le premier effort pour plus de clarté, un peu comme quand on sait marcher, on continue de marcher, on continue l'attention, on continue l'effort. Perso je dirais que pas besoin de s'infliger des peines, c'est aussi possible de perdre l'effort par moment. Bien des maitres disent cela : t'es fatigué, va dormir un peu, quand tu iras mieux, réactive l'attention, mais subtil.
J'aime bien des fables taoïstes pour cela d'ailleurs. Un effort sans effort. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'action ou d'effort. Bref ^^ bonne journée à vous !
les commentaires 😂😂😂
et vous dites moi qui peut dire qu'il n'est pas centrer sur lui meme!
Merci.
Effectivement : nous sommes des cons, le bouddha a raison.
................ c'est ça ce qu'on enseigne a l'université ? .......cela me fait plus peur que la dérive elle même du mot méditation !!! ça ressemble a du fondamentalisme...... !! ......le phénomène d’évolution de changement de définition d'un mot est un processus normale puisque conditioné....je sais pas mais j'ai un peu l'impression que ca jette plus la confusion qu’autre chose. J'ai un peu l'impression qu'il oppose les theravada mahayana .....
pour être rigoureux intellectuellement, il n'est pas normal qu'un mot veuille dire tout et son contraire et ce malgré son histoire. Les philosophes sont sans doute fondamentalistes mais sans un effort de définition, on dit tout et n'importe quoi mais surtout on ne se comprend plus, et là, on laisse la place au sectarisme.
De plus, je rappelle que le but de Trotignon est de montrer les spécificités du bouddhisme et de mieux comprendre le dharma. Concernant théravada et mahayana, oui il y a des oppositions au moins historique.
Le jour ou ce Monsieur aura réalisé la vacuité ,il n'aura plus à parler de quoique ce soit ,même si ce qu'il dit n'est pas faux.
Il n'y a pas de monsieur.
@@Kodex26 😂😂😂
@@francisfranchement6903 Il n'y a pas de madame non plus.
Monsieur vous dites "dans le Bouddhisme le but c'est l'éveil ou la libération etc.. " il n'y a pas de but dans le Bouddhisme il n'y a que des conséquences...
l'illusion du but n'est pas interdite et peut aider...
@@bernardinbiree8412 tout à fait mais elle demeure une illusion..
la méditation est la méditation ,le bouddhisme est bouddhisme ,aucun rapport mais pas forcément contraire(...). Ce Monsieur est bien compliqué de mon point de vue en tout cas.
C'est la réalité qui est plus compliquée