Exposé brillant et très riche en idées, mais beaucoup trop compact, voire incompréhensible en majorité. Cet Alain Connes n'est pas dépourvu d'humour et rit volontiers, ce qui le rend sympathique.
« La variabilité » n’est pas nécessairement “l’instabilité” ... ce qui implique et/ou signifie que la variabilité peut parfaitement coexister avec la stabilité... et ça, c’est top ! ... comme dans le couple, finalement ...
Alain Conne est vraiment un genie et j aime bien qu'il donne du temps pour parler aux jeunes merci beaucoup! Je prefere Alain Conne a Pereleman qui se cache chez sa mere hhhh
Merci de votre conférence que je trouve intéressante et inspirante . A mon point de vue a ce stade de subtilité énergétique discrète . Les unités de Planck est une révélation divine qui expriment le phénomène du champ de gravité électromagnétique virtuel de spins de bosons et de fermions positif et négatif de l'énergie du vide qui n'est pas vide mystérieuse et créative ...Et si on se pose la question suivante : peut t il exister une autre vérité phénoménale au delà du phénomène de ce champ de gravité électromagnétique virtuel de l'échelle de Planck ? ,
Le nombre d'or est dans la pratique le lien entre les nombres premiers et les nombres naturels. The golden ratio is in practice the link between the prime numbers and the natural numbers
@36:00 pas dit que le GPS fonctionne dans le tunnel, m'est avis qu'on l'a utilisé aux entrées, voire en surface au dessus d'un signal émis dans le tunnel
Oui pour positionner deux points d'où l'on peut capter le signal des satellites, après un rayon laser pour guider le creusement des tunnels, est suffisant.
Il s'agit aussi de l'énumération de toutes les matieres mathemathiques qu'il faut connaître pour accceder à une lisibilité des théories de la physique quantique.
A priori, from what I have listened to (up to 18:26/1:28:07) classical numbers when describing grand magnitudes do commute while the laws modelling the behaviour of their microscopic selves or states don't. Atleast they don't when commutation is expected to be observed directly from their physical combinations as shown in the AB sum Formular. However, their specs do commute. Will it seem right to suppose that both numbers (if seen different as the speaker reports) are not but rather are the same with the only difference that the commutation property observed naturally (when dealing with the instrument of measurements of large enough magnitudes) are simply relocalised on some other components or form of these same microscopic magnitudes which is their spectrum. Reason why their spectrum do commute. This may be a little like some microscopic particle lossing weight or mass or energy through radiation with some properties measurable on this particle entire self (with classical instruments in the case of what I said above) becoming now only measurable on their lost massed alone through the form of radiation (or spectrum from what I said above). If the above idea is some how true, partially or wholly or mixed or with some parameters or conditions attached, then it is plausible to think of both the old measure tool (classical numbers) and the new tools (Dirac's Quantic numbers) been and representing one and the same thing with the difference that a property of the actual object been measured reflected in the classical math tools properties ( in the form of commutation) either physically as could be observed through introspection ; oscillator donc les oscillations ne pouvait être que des nombre entier par example 16:01/1:28:07)has been délocalised to a new part of the same particle been studied but however on it spectrum (which now holds the commutative effects). In addition, I would like to ask this question; Is it possible that the lost in magnitude of the object measured by well known old classical numbers had to mean a displacement or relocalisation of the commutativity factor (as reported by the Mr Conne on the spectral element) inherent to the axioms that define the manipulation of our old classical tools?
1:22:53 Avant le Big-Bang, il fallait qu'un certain nombre de conditions soient réunies pour qu'il advienne. D'abord un lieu qui serve de contenant à son existence à venir, l'espace-temps. Comment cet objet est-il structuré géométriquement ? Ensuite en remontant la chaîne des causalités arriver à poser un moteur unique d'où tout dérive. Exclure toute notion de hasard, car de rien ne peut surgir un quelconque hasard. Et si au cours de l'histoire et de sa description, on pose le néant comme brique fondamentale, il faut immédiatement poser son inverse. Question de symétrie qui le précède. Certes, c'est un peu farfelu... ;-)
Si le temps est un produit du big bang, comme l'espace, il n'y a pas "d'avant". C'est une aporie. Pour généraliser, comment prouver ou réfuter une théorie "d'avant le big bang" ? Or la réfutabilité est une condition essentielle au raisonnement scientifique (Popper). D'où le qualificatif de farfelu qu'utilise Connes quand il évoque ces théories.
"Exclure toute notion de hasard, car de rien ne peut surgir un quelconque hasard." La mécanique quantique dit *exactement* le contraire. Le hasard est fondamental/intrinsèque au niveau atomique, c'est ce que Connes explique quand il dit que l'expérience des fentes d'Young n'est pas "reproductible" (mot mal choisi, le terme qu'il aurait dû utiliser c'est déterministe). L'expérience est parfaitement reproductible, càd qu'on peut la reproduire en laboratoire, et en fait on la reproduit tout le temps, mais elle n'est pas déterministe: si on lance un photon (ou un électron), il est impossible de prédire sa trajectoire. Autre exemple: la désintégration atomique est imprédictible. Quand on écoute un compteur Geiger, on s'aperçoit que les bips sont aléatoires et décorrélés les uns des autres. Car ces deux événements (ou processus) sont parfaitement aléatoires et le résultat d'aucune cause. C'est une propriété inhérente, fondamentale, à l'infiniment petit. On ne peut que calculer leur probabilité d'occurence dans une situation particulière. Ce n'est pas le fruit de notre ignorance, ou la conséquence d'une difficulté technique à mesurer suffisamment précisément, le hasard est intrinsèque aux phénomènes quantiques, comme l'a montré l'expérience d'Alain Aspect, notre prix Nobel de cette année (pour ses travaux menés dans les années 1990) suite aux inégalités de John Bell.
Il faut à priori démontrer l'existence du temps. Pour l'espace, c'est assez simple nous sommes à l'évidence dans un espace à trois dimensions, nous l'acceptons comme un fait dès que nous ouvrons les yeux. Dans cet espace, nous constatons une vitesse limite, celle des ondes électromagnétique. De la vitesse, nous dérivons le paramètre temps, ce qui nous permet de dire, si un objet va à la moitié de la vitesse d'un autre objet, il met deux fois plus de temps pour parvenir à parcourir la même distance. Le déplacement est donc le fait réel. Sans avoir recours à ce paramètre, nous pouvons déterminer l'ordre de succession des évènements, et leur accorder un paramètre temporel, sans que celui ci n'ait en réalité la moindre existence.. Nous pouvons décrire un scénario temporel, et lui accorder une véracité la plus grande par rapport à toutes les théories possibles, tout en sachant qu'il ne s'agit pas d'une expérience car non reproductible.
Il est vrai que la désintégration atomique est imprédictible et que l'on ne peut pas prédire à quel moment exact un élément radioactif va se scinder [1]. Toutefois, cela ne signifie pas nécessairement que ce processus est purement aléatoire et dépourvu de causes sous-jacentes. La nature exacte de ces causes reste encore inconnue, et il est possible que la gravitation joue un rôle dans la désintégration atomique, comme suggéré par certains scientifiques [3]. Il est important de noter que la désintégration atomique est un phénomène aléatoire et que les résultats de chaque désintégration sont indépendants les uns des autres. C'est pourquoi, lorsqu'on écoute un compteur Geiger, on s'aperçoit que les bips sont aléatoires et décorrélés les uns des autres [1]. Il est également vrai que l'on ne peut que calculer leur probabilité d'occurrence dans une situation particulière, et non prédire leur occurrence exacte [1]. Que l'on ne puisse pas prédire à quel moment exact un élément radioactif va se scinder n'implique pas que ce processus soit purement aléatoire. Nous ne connaissons pas les raisons sous jacentes qui le dirigent, et faire appel au hasard ne fait que masquer notre ignorance. Si seul un hasard y participait, il pourrait bien en une seule fois, mais avec une faible probabilité, déclencher une réaction instantanée sur tous les atomes radioactifs, et boum... nous ne serrions plus là pour en discuter. En fait, j'ai également démontré que la gravitation y jouait un rôle, et si vous désirez en savoir plus sur ce sujet, je vous invite à consulter ma page chez jeanpierre.becker.free.fr/
Quelle est la différence fondamentale entre la variabilité quantique et le hasard pur de la roulette par exemple ? La roulette a 37 numéros et le nombre de séries de 37 tirages est de 37 puissance 37 (tirage avec remise), soit 10 puissance 58, donc la même série qui revient est très improbable mais pas impossible, si la série est de 1000, 10000, 1000 000... de tirages, la même série ne reviendra jamais même à raison d'une série par nanoseconde. Merci pour la réponse.
Le hasard pur, comme dans le jeu de la roulette, est un exemple de processus aléatoire dans un contexte classique. La roulette est un système déterministe mais imprédictible en raison de la complexité des variables en jeu (force, friction, etc.). Cependant, si toutes les conditions initiales étaient parfaitement connues et mesurées, le résultat pourrait théoriquement être prédit avec exactitude. Le hasard dans ce contexte est donc dû à une ignorance pratique des conditions initiales exactes ou des petites fluctuations. La variabilité quantique est une indétermination fondamentale dans la nature des systèmes quantiques, où l'indétermination n'est pas une question de manque d'information mais une caractéristique intrinsèque. En revanche, le hasard pur, comme dans la roulette, est le résultat d'une complexité et d'une imprédictibilité pratiques, mais sous-jacentes à un déterminisme potentiel.
@@N924-b7f Merci pour la réponse. Pour Philippe Guillemant (voir ses vidéos) qui a fait des études sur le billard, les infos initiales et postérieures sont totalement perdues, l'indétermination est une caractéristique intrinsèque de la boule de billard ou de la roulette.
@17:00 les 'q numbers' font référence à de l'informatique tandis que les 'nombres quantiques' font référence aux états quantiques de la matière. Quel est le rapport avec les complexes comme il le dit? d'ailleurs z.zbarre = zbarre.z et non 1+zbarre.z...
On ne sait pas ce qu'est l'espace-temps. Quelle est sa forme, quelle est sa fonction, quel est son fonctionnement, comment il interagit avec la matière, comment les ondes électromagnétiques s'y déplacent; ainsi que les ondes gravitationnelles. On a un joli paquet d'équations, qui donnent quelques grandes règles, mais sans représentation du réel de l'espace-temps. La métrique, qui fait de l'espace quelque chose de relativement stable, permet de nous rassurer, l'univers ne va pas se ratatiner d'un coup, car il repose dans cet espace. Quelle est la taille de la maille minimale de la structure de l'espace-temps en longueurs de Planck ? Drôle de question...
Médaille fields et crawford en math. Un mathematicien professionnel internationalement reconnu. L'élite de l'élite dans le domaine. Classification des algèbres de Von Neumann, idee de transposition des théories classiques (integration, géométrie, probabilites) en leurs versions non commutatives, travaille sur une manière de rendre compte de ce que peut être le temps et bien d'autres choses. A ce que j'ai cru comprendre.
Trop drôle! Il a jamais dû l'entendre celle là. Tiens, (tant pis je la fais quand même celle-là, elle est de votre niveau): je suis sûr que Connes rie !!!
Bjr. Qu'est ce que cela vous fait de savoir que la conjecture de Syracuse a été résolue par un génie Français ? Qu'elle fierté pour la France d'avoir des grands mathematiciens.
Syracuse n'a pas été résolu et quand bien même elle le serai il s'agit plus d'un jeu tres compliqué qu'un réel problème qui ferait avancé les mathématiques, en somme qui la resolverai fera un peu de bruit mais ne sera pas nn plus in grand mathématicien
g pas tout compris mais c tres serieux et nous amerindiens en sommes conscients. notre algebre avons peu developpe et notre geometrie a atteint des sommets historiques justement du fait de la propriete de non-commutativite. quoi, les lecons du maitre ne profitent qu'a ceux qui les mettent a l'epreuve ! en verite, la spiritualite aboutit a la non'-commutativite et aux nombres entiers, aux archetypes, et a la non-infinite de l'esprit, fut il l'un ou l'autre dieu. spinoza s'est donc mis le doigt dans l'oeil (Ethics, I def 6 ). il est significatif selon nous que vos grands esprits arrivent a des resultats que nous defendons depuis au moins 2000 ans, a savoir la courbe et loi quantique de planck a une forme pyramidale... enfin, car il manque les marches humaines et non-humaines a votre courbe, il faut savoir qu'un esprit peut porter un masque, un concept que vous etes en voie de decouvrir. bon courage! ayala & yami, shamanes associate
Cet exposé est à la fois passionnant et totalement réjouissant. Merci !!!!
pas mieux
Le critère de simplicité de Connes :
"À un homme de Néandertal, je lui montre que mon élément de longueur a des raies spectrales"
quel boss
Exposé brillant et très riche en idées, mais beaucoup trop compact, voire incompréhensible en majorité. Cet Alain Connes n'est pas dépourvu d'humour et rit volontiers, ce qui le rend sympathique.
« La variabilité » n’est pas nécessairement “l’instabilité” ... ce qui implique et/ou signifie que la variabilité peut parfaitement coexister avec la stabilité... et ça, c’est top ! ... comme dans le couple, finalement ...
mille milliards de mercis
Alain Conne est vraiment un genie et j aime bien qu'il donne du temps pour parler aux jeunes merci beaucoup! Je prefere Alain Conne a Pereleman qui se cache chez sa mere hhhh
M. Connes
Merci de votre conférence que je trouve intéressante et inspirante . A mon point de vue a ce stade de subtilité énergétique discrète . Les unités de Planck est une révélation divine qui expriment le phénomène du champ de gravité électromagnétique virtuel de spins de bosons et de fermions positif et négatif de l'énergie du vide qui n'est pas vide mystérieuse et créative ...Et si on se pose la question suivante : peut t il exister une autre vérité phénoménale au delà du phénomène de ce champ de gravité électromagnétique virtuel de l'échelle de Planck ? ,
Le nombre d'or est dans la pratique le lien entre les nombres premiers et les nombres naturels.
The golden ratio is in practice the link between the prime numbers and the natural numbers
@36:00 pas dit que le GPS fonctionne dans le tunnel, m'est avis qu'on l'a utilisé aux entrées, voire en surface au dessus d'un signal émis dans le tunnel
Oui pour positionner deux points d'où l'on peut capter le signal des satellites, après un rayon laser pour guider le creusement des tunnels, est suffisant.
26:05 Ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas tout.
5:07 : En tous cas, Lord Kelvin d'après ce que rapporte Alain Aspect s'inquiéta de la difficulté posée par le rayonnement du corps noir.
Il s'agit aussi de l'énumération de toutes les matieres mathemathiques qu'il faut connaître pour accceder à une lisibilité des théories de la physique quantique.
Le problème de la tablette de chocolat est la première question qui m'a été posée à mapremière colle en hypothaupe à Nice en 1
968.
A priori, from what I have listened to (up to 18:26/1:28:07) classical numbers when describing grand magnitudes do commute while the laws modelling the behaviour of their microscopic selves or states don't. Atleast they don't when commutation is expected to be observed directly from their physical combinations as shown in the AB sum Formular. However, their specs do commute. Will it seem right to suppose that both numbers (if seen different as the speaker reports) are not but rather are the same with the only difference that the commutation property observed naturally (when dealing with the instrument of measurements of large enough magnitudes) are simply relocalised on some other components or form of these same microscopic magnitudes which is their spectrum. Reason why their spectrum do commute. This may be a little like some microscopic particle lossing weight or mass or energy through radiation with some properties measurable on this particle entire self (with classical instruments in the case of what I said above) becoming now only measurable on their lost massed alone through the form of radiation (or spectrum from what I said above).
If the above idea is some how true, partially or wholly or mixed or with some parameters or conditions attached, then it is plausible to think of both the old measure tool (classical numbers) and the new tools (Dirac's Quantic numbers) been and representing one and the same thing with the difference that a property of the actual object been measured reflected in the classical math tools properties ( in the form of commutation) either physically as could be observed through introspection ; oscillator donc les oscillations ne pouvait être que des nombre entier par example 16:01/1:28:07)has been délocalised to a new part of the same particle been studied but however on it spectrum (which now holds the commutative effects). In addition, I would like to ask this question; Is it possible that the lost in magnitude of the object measured by well known old classical numbers had to mean a displacement or relocalisation of the commutativity factor (as reported by the Mr Conne on the spectral element) inherent to the axioms that define the manipulation of our old classical tools?
1:22:53 Avant le Big-Bang, il fallait qu'un certain nombre de conditions soient réunies pour qu'il advienne. D'abord un lieu qui serve de contenant à son existence à venir, l'espace-temps. Comment cet objet est-il structuré géométriquement ?
Ensuite en remontant la chaîne des causalités arriver à poser un moteur unique d'où tout dérive.
Exclure toute notion de hasard, car de rien ne peut surgir un quelconque hasard.
Et si au cours de l'histoire et de sa description, on pose le néant comme brique fondamentale, il faut immédiatement poser son inverse. Question de symétrie qui le précède. Certes, c'est un peu farfelu... ;-)
Si le temps est un produit du big bang, comme l'espace, il n'y a pas "d'avant". C'est une aporie. Pour généraliser, comment prouver ou réfuter une théorie "d'avant le big bang" ? Or la réfutabilité est une condition essentielle au raisonnement scientifique (Popper). D'où le qualificatif de farfelu qu'utilise Connes quand il évoque ces théories.
"Exclure toute notion de hasard, car de rien ne peut surgir un quelconque hasard."
La mécanique quantique dit *exactement* le contraire. Le hasard est fondamental/intrinsèque au niveau atomique, c'est ce que Connes explique quand il dit que l'expérience des fentes d'Young n'est pas "reproductible" (mot mal choisi, le terme qu'il aurait dû utiliser c'est déterministe). L'expérience est parfaitement reproductible, càd qu'on peut la reproduire en laboratoire, et en fait on la reproduit tout le temps, mais elle n'est pas déterministe: si on lance un photon (ou un électron), il est impossible de prédire sa trajectoire. Autre exemple: la désintégration atomique est imprédictible. Quand on écoute un compteur Geiger, on s'aperçoit que les bips sont aléatoires et décorrélés les uns des autres. Car ces deux événements (ou processus) sont parfaitement aléatoires et le résultat d'aucune cause. C'est une propriété inhérente, fondamentale, à l'infiniment petit. On ne peut que calculer leur probabilité d'occurence dans une situation particulière. Ce n'est pas le fruit de notre ignorance, ou la conséquence d'une difficulté technique à mesurer suffisamment précisément, le hasard est intrinsèque aux phénomènes quantiques, comme l'a montré l'expérience d'Alain Aspect, notre prix Nobel de cette année (pour ses travaux menés dans les années 1990) suite aux inégalités de John Bell.
Il faut à priori démontrer l'existence du temps. Pour l'espace, c'est assez simple nous sommes à l'évidence dans un espace à trois dimensions, nous l'acceptons comme un fait dès que nous ouvrons les yeux. Dans cet espace, nous constatons une vitesse limite, celle des ondes électromagnétique. De la vitesse, nous dérivons le paramètre temps, ce qui nous permet de dire, si un objet va à la moitié de la vitesse d'un autre objet, il met deux fois plus de temps pour parvenir à parcourir la même distance. Le déplacement est donc le fait réel. Sans avoir recours à ce paramètre, nous pouvons déterminer l'ordre de succession des évènements, et leur accorder un paramètre temporel, sans que celui ci n'ait en réalité la moindre existence..
Nous pouvons décrire un scénario temporel, et lui accorder une véracité la plus grande par rapport à toutes les théories possibles, tout en sachant qu'il ne s'agit pas d'une expérience car non reproductible.
Il est vrai que la désintégration atomique est imprédictible et que l'on ne peut pas prédire à quel moment exact un élément radioactif va se scinder [1]. Toutefois, cela ne signifie pas nécessairement que ce processus est purement aléatoire et dépourvu de causes sous-jacentes. La nature exacte de ces causes reste encore inconnue, et il est possible que la gravitation joue un rôle dans la désintégration atomique, comme suggéré par certains scientifiques [3].
Il est important de noter que la désintégration atomique est un phénomène aléatoire et que les résultats de chaque désintégration sont indépendants les uns des autres. C'est pourquoi, lorsqu'on écoute un compteur Geiger, on s'aperçoit que les bips sont aléatoires et décorrélés les uns des autres [1]. Il est également vrai que l'on ne peut que calculer leur probabilité d'occurrence dans une situation particulière, et non prédire leur occurrence exacte [1].
Que l'on ne puisse pas prédire à quel moment exact un élément radioactif va se scinder n'implique pas que ce processus soit purement aléatoire. Nous ne connaissons pas les raisons sous jacentes qui le dirigent, et faire appel au hasard ne fait que masquer notre ignorance. Si seul un hasard y participait, il pourrait bien en une seule fois, mais avec une faible probabilité, déclencher une réaction instantanée sur tous les atomes radioactifs, et boum... nous ne serrions plus là pour en discuter. En fait, j'ai également démontré que la gravitation y jouait un rôle, et si vous désirez en savoir plus sur ce sujet, je vous invite à consulter ma page chez jeanpierre.becker.free.fr/
Quelle est la différence fondamentale entre la variabilité quantique et le hasard pur de la roulette par exemple ? La roulette a 37 numéros et le nombre de séries de 37 tirages est de 37 puissance 37 (tirage avec remise), soit 10 puissance 58, donc la même série qui revient est très improbable mais pas impossible, si la série est de 1000, 10000, 1000 000... de tirages, la même série ne reviendra jamais même à raison d'une série par nanoseconde. Merci pour la réponse.
Le hasard pur, comme dans le jeu de la roulette, est un exemple de processus aléatoire dans un contexte classique. La roulette est un système déterministe mais imprédictible en raison de la complexité des variables en jeu (force, friction, etc.). Cependant, si toutes les conditions initiales étaient parfaitement connues et mesurées, le résultat pourrait théoriquement être prédit avec exactitude. Le hasard dans ce contexte est donc dû à une ignorance pratique des conditions initiales exactes ou des petites fluctuations. La variabilité quantique est une indétermination fondamentale dans la nature des systèmes quantiques, où l'indétermination n'est pas une question de manque d'information mais une caractéristique intrinsèque. En revanche, le hasard pur, comme dans la roulette, est le résultat d'une complexité et d'une imprédictibilité pratiques, mais sous-jacentes à un déterminisme potentiel.
@@N924-b7f Merci pour la réponse. Pour Philippe Guillemant (voir ses vidéos) qui a fait des études sur le billard, les infos initiales et postérieures sont totalement perdues, l'indétermination est une caractéristique intrinsèque de la boule de billard ou de la roulette.
@@N924-b7f Merci pour cette importante mise au point car beaucoup font la confusion.
j'ai rien compris, et pourtant c'était passionnant
Je ne dirais plus jamais à une personne stupide qu'elle peut-être "conne"...Ce serait insulter cet Homme!
tu m AS FAIT RIRE
Trop drôle!!! Mais où allez-vous chercher tout cela!!! Quelle imagination débordante et riche! Que vous êtes spirituel et imaginatif!
M. Connes
@17:00 les 'q numbers' font référence à de l'informatique tandis que les 'nombres quantiques' font référence aux états quantiques de la matière. Quel est le rapport avec les complexes comme il le dit? d'ailleurs z.zbarre = zbarre.z et non 1+zbarre.z...
A LA FIN DU COUR ,ON EN SERA TOUJOURS A LA MEME CASE ,DESOLE DE DIRE ÇA ,MAIS ÇA BLOQUE DEPUIS UN SIECLE........
On ne sait pas ce qu'est l'espace-temps.
Quelle est sa forme, quelle est sa fonction, quel est son fonctionnement, comment il interagit avec la matière, comment les ondes électromagnétiques s'y déplacent; ainsi que les ondes gravitationnelles. On a un joli paquet d'équations, qui donnent quelques grandes règles, mais sans représentation du réel de l'espace-temps.
La métrique, qui fait de l'espace quelque chose de relativement stable, permet de nous rassurer, l'univers ne va pas se ratatiner d'un coup, car il repose dans cet espace.
Quelle est la taille de la maille minimale de la structure de l'espace-temps en longueurs de Planck ?
Drôle de question...
sympa !
Est-ce que Mr Connes est un historien des mathématiques ou de la physique... ou plus?
M. Connes
@Yvon Non Mister et boule de gomme
Médaille fields et crawford en math. Un mathematicien professionnel internationalement reconnu. L'élite de l'élite dans le domaine.
Classification des algèbres de Von Neumann, idee de transposition des théories classiques (integration, géométrie, probabilites) en leurs versions non commutatives, travaille sur une manière de rendre compte de ce que peut être le temps et bien d'autres choses. A ce que j'ai cru comprendre.
Il ne dit pas des Conneries. 🤔
Trop drôle! Il a jamais dû l'entendre celle là. Tiens, (tant pis je la fais quand même celle-là, elle est de votre niveau): je suis sûr que Connes rie !!!
@@loubecarut2192 M. Connes
Vibration
"on insistait sur la formation mathématique" :(
Bjr. Qu'est ce que cela vous fait de savoir que la conjecture de Syracuse a été résolue par un génie Français ? Qu'elle fierté pour la France d'avoir des grands mathematiciens.
Syracuse n'a pas été résolue.
Syracuse n'a pas été résolu et quand bien même elle le serai il s'agit plus d'un jeu tres compliqué qu'un réel problème qui ferait avancé les mathématiques, en somme qui la resolverai fera un peu de bruit mais ne sera pas nn plus in grand mathématicien
Et holographique
g pas tout compris mais c tres serieux et nous amerindiens en sommes conscients. notre algebre avons peu developpe et notre geometrie a atteint des sommets historiques justement du fait de la propriete de non-commutativite. quoi, les lecons du maitre ne profitent qu'a ceux qui les mettent a l'epreuve ! en verite, la spiritualite aboutit a la non'-commutativite et aux nombres entiers, aux archetypes, et a la non-infinite de l'esprit, fut il l'un ou l'autre dieu. spinoza s'est donc mis le doigt dans l'oeil (Ethics, I def 6 ). il est significatif selon nous que vos grands esprits arrivent a des resultats que nous defendons depuis au moins 2000 ans, a savoir la courbe et loi quantique de planck a une forme pyramidale... enfin, car il manque les marches humaines et non-humaines a votre courbe, il faut savoir qu'un esprit peut porter un masque, un concept que vous etes en voie de decouvrir. bon courage! ayala & yami, shamanes associate
Poincaré : père de la relativité restreinte (33.23). Enfin ...