Dès le début cet animateur veut mettre dos à dos les algériens et les marocains,comme on dit diviser pour mieux régner, merci mr alaoui de l avoir remis à sa place
Islam et démocratie : débat inutile puisque les régimes occidentaux sont soit laïques soit chrétiens. Évoquez plutôt le massacre des musulmans sans défense en Palestine
يتحدثون عن الإسلام و عن دول إسلامية و عن مواضيع ثانوية حتى لا يتحدثون عن مجرمين الحرب الصهاينة في اسراءيل و أمريكا و أوروبا. إبادة غزة عمل صهيوني يهودي اسراءيلي و أمريكي و اوروبي و لو طبقت مباديء حقوق الإنسان و محكمة العدل الدولية و الأمم المتحدة لكان نتنياهو و حكومته و بايدن و حكومته و ماكرون و حكومة المانيا و انجلترا وراء القضبان.
Si je ne me trompe pas, le roi devrait être amazigh et non arabe alaouite. C'est vraiment contradictoire, et c'est aux peuples autochtones du riff de corriger cette imposture.
@@sath5o-i3 الملك أمه أمازيغية وأباه عربي لأنه ينتمي إلى سلالة النبي،لما دخل إدريس الأول للمغرب لم يأتي بقوم معه بل جاء هاربا يعني دخلو العرب إلا القلة القليلة، ولهذا أغلبية سكان المغرب هم أمازيغ.
Il n'y a pas de démocratie dans le monde entier😢, il suffit de voir Gaza et le nombre de mort a dépassé 40000, dont 70% des enfants et des femmes. Ce génocide n'a pas été dénoncé par soit disant les démocraties, UE et les États-Unis c'est honteux
À travers les siècles, le peuple marocain a toujours su défendre avec fierté et dévouement sa monarchie, symbole de notre identité, de notre histoire et de notre unité. À ceux qui s’opposent à notre souveraineté et à notre Roi bien-aimé Mohammed VI, sachez que votre haine ne fait que renforcer notre amour et notre loyauté envers notre Monarchie. Notre Roi est le pilier de notre stabilité et de notre prospérité, et jamais nous ne laisserons place à la division ou à la trahison. Vive Sa Majesté le Roi, vive le Maroc uni et fort face à ses ennemis ! 🇲🇦 ☝️🇲🇦Allah Alwatan Almalik🇲🇦☝️ 👑🫶👑🇲🇦👑🇲🇦👑🇲🇦👑🇲🇦👑🫶👑
Vous parlez encore de la démocratie ??!!! Soit vous êtes ignorants ou vous faites semblant Abordez plutôt le sujet "arnaque et démocratie , compatibilité"
Le prince de Machiavel disait: Faites que le reve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre reve. Le prince de Saint Exupery repliquait: L'habituel défaut de l'homme est de ne pas prévoir l'orage par beau temp.
Parole Parole Parole. Nous aimons notre roi Mohammed VI , l'islam de Mohammed VI et la politique de Mohammed VI. Le prince qui ne voulait plus être prince ne pourra rien y changer.
Mr Hicham ne te fatigue point . La france restera la france au lieu de discuter avec les agriculteurs. Ils vont parler du voile et la laïcité sur les plateaux.
La France, au fil de son histoire, a souvent été victime de l'illusion que l'auto-flagellation permettrait de réconcilier son passé tumultueux avec son présent. Cette folie d'introspection excessive, alimentée par la culpabilité collective, a pris racine dans des moments de honte ou de crise, mais elle s'est étendue, devenant une sorte de tyrannie morale. La nation française, en s'immergeant dans les blessures du passé, notamment celles liées à la colonisation, à l'esclavage ou aux guerres mondiales, a tendu à se définir plus par ses fautes que par ses réussites. Ce processus d'auto-accusation a progressivement érodé la capacité de la société à se projeter dans l’avenir avec une force constructive, entraînant un sentiment de dévalorisation collective. Il est essentiel de comprendre que l'auto-flagellation historique, loin d’apporter une rédemption, enferme les peuples dans une perpétuelle spirale de honte et d'immobilisme. La France a souvent cultivé une forme de repentance pour des erreurs passées, mais cette démarche, quand elle devient excessive, n'est pas un gage de progrès. Elle empêche la construction d'un projet commun, fondé sur la reconnaissance des torts sans s’y enchaîner. En se concentrant uniquement sur la culpabilité et en exagérant les fautes, on oublie d’honorer les aspects positifs de l’histoire : les avancées sociales, les révolutions politiques, les moments de grandeur intellectuelle et humaine. Il est crucial que le peuple français cesse de porter seul le fardeau de cette culpabilité historique. La vraie réconciliation ne réside pas dans l’auto-accusation incessante, mais dans la capacité à reconnaître les erreurs passées tout en s’en libérant. La France doit redonner à ses citoyens le droit de ne pas être définis par leur passé, mais par leurs actions présentes et futures. Le peuple français mérite de se sentir digne et créatif, sans être constamment écrasé par un poids de culpabilité qui ne lui appartient plus. L’histoire, bien que lourde et complexe, ne peut ni nous emprisonner, ni nous dicter notre identité. Il est temps de sortir de cette spirale victimaire et d’accepter que la véritable liberté réside dans la capacité à avancer, à construire et à réparer, sans se perdre dans la recherche constante de rédemption.
Et toi pourquoi tu cherches la semer la zizanie ? "Le Marocain" et "L'algérien " ça n'existe pas : il y a des Marocains et des Algériens aussi différents les uns des autres ...
En effet ,nous avons un deuxième HICHAM ,avec HICHAM le GRAND (la LEGENDE OLYMPIQUE El GUERROUJ) magnifié et agrandi par le célèbre journaliste acquis pour la cause de son ami et athlète préféré lorsqu il a célébré la deuxième médaille d or aux 5000 mètres en s epoumo nant a en perdre la voix sa célèbre phrase consacrée et vouée à la postérité "Hicham,Hicham, HICHAM "est GRAND ! Même le prince Hicham Alaoui a trouvé un journaliste respectueux qui l a accompagné respectueusement pour nous éclairer! Bravo!
Je me demande si l'ouvrage en question n'est pas aussi "égaré" que cet entretien. La moindre des choses est de dire avant tout de quel Islam il s'agit. C'est là toute la problématique déjà au sein du monde musulman. Or l'entretien saute par-dessus.
Désolé, l'animateur n'est guère à la hauteur de son invité. La retenue et l'humilité du Prince sont fort instructives. Proud of you ever scholar Prince 🙏
Le discours le discours, rien que le discours. Ce prince possède des fermes dans le sud du Maroc. Les employés agricoles qui travaillent dans ses fermes ne sont pas titulaires. Ils travaillent par contrat et leurs droits sont bafoués. C’est facile de venir tenir des propos de justice et de démocratie mais ces principes ne les appliquent pas à lui-même. Beaucoup d’employés ont demandé leurs droits et se sont trouvés exclus, jetés dehors. Honte à toi prince.
On n'a jamais entendu ça, tu peux me donner un nom de syndicat ou d'un simple groupe revendicatif de tes accusations je serai un de plus pour se rallier ......si tu es un de ces victime tu devrais réclamer et protester sur place au lieu de le faire dernière un clavier, et là tu dois avoir honte !!! Le Maroc a changé complètement Mr,cherche toi un sac de sable pour le boxer
Les mêmes pratiques habituelles, l'assassinat moral de toute personne qui sort du rang...ça ne passe plus maintenant, essaye autre chose, on ne sait jamais....
@@bakamba6579 je ne comprends pas tu deviens agressif à mon égard? Pourquoi Je dois avoir honte. Le Maroc n’a pas malheureusement changé. Bla-bla-bla pareil comme ce prince. Il est inutile d’échanger avec toi.
@@humenbon2421 ton commentaire là explique bien la honte à toi, car tu n'a pas pu donner un simple argument de ta thèse malgré mes questions logiques et encore tu terminé avec un jugement de valeur.!!!!!
J’allais dire la même chose. Apparemment oui, lorsqu’on voit nos élus républicains🇫🇷en pleine priere avec des rabbin à l’Élysée le temple des talibans de la laïcité … ☝️☀️🤫🤡
Arrêtez avec cette crispation autour de l’identité ! C’est une appellation issue de la répartition des UN,on nous appelle la région MENA! Dans le futur avec les Canaries on pourrait devenir un bloc économique Amazigh ou autre !c’est politique et économique pas culturel
@tanzel3akri116 oui bien sûr et l'arabe imposé à l'école aussi c'est une appellation? Les tournois de foot "arabe" aussi? ..c'est une colonisation qui doit terminer on est pas des arabes et on veut pas l'être
La question ne se pose pas plus pour l'islam que pour les autres croyances...sauf que d'autres ont procédé à certaines mises à jour que nos chers oulémas quelque peu dépassés ne peuvent concevoir sans se remettre eux-mêmes en question Un aggiornamento en quelque sorte, un changement de paradigme.... Mais ils disent "nada" ! Comme ils sont en position de force...en terre d'islam
@@jafrim21 Moi je ne revendique rien , je constate cependant qu'il fait plus bon vivre à Bali qu'à Kaboul....et pourtant les deux endroits sont terres d'islam
@@bozroro Je vois votre point de vu mais il semblerait que vous n'ayez pas connaissance des points suivants: 1. Sur la souveraineté populaire dans une démocratie : Votre argument repose sur l’idée que la souveraineté appartient exclusivement au peuple dans une démocratie, excluant toute influence religieuse. Cependant, cette vision découle d'un contexte historique propre à l’Europe. La séparation entre l’Église et l’État, au cœur de la démocratie moderne, a été une réponse aux abus commis par les institutions religieuses chrétiennes au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime. L’Église catholique imposait des dogmes inflexibles et intervenait dans la gouvernance pour restreindre les libertés individuelles et la pensée critique. En revanche, l’islam n’a jamais connu un clergé organisé comme l’Église catholique ni une institution religieuse centralisée. Les abus religieux de ce type n’ont jamais été une réalité systémique dans les sociétés musulmanes. Ainsi, la nécessité de séparer strictement religion et politique, comme cela s’est imposé en Europe, ne s'applique pas de la même manière à l’islam. 2. L’islam et la consultation démocratique (Shura) : Vous affirmez que la religion ne peut exister dans une démocratie que comme une croyance privée. Pourtant, l’islam intègre dès ses fondements des principes démocratiques. Le concept de shura (consultation mutuelle) est central dans la gouvernance islamique : > "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires." (Coran 42:38) Historiquement, des exemples comme le califat de Omar Ibn Al-Khattab montrent que les décisions étaient prises en consultation avec la communauté. Bien que cela ne corresponde pas exactement aux systèmes modernes, ces pratiques témoignent d’une participation collective à la gouvernance. 3. L’exemple des démocraties modernes dans le monde musulman : Contrairement à l’idée que l’islam et la démocratie sont incompatibles, de nombreux pays musulmans montrent qu’ils peuvent coexister. Prenons l’exemple de l’Indonésie, la plus grande démocratie musulmane au monde, qui garantit la liberté de culte et la participation politique. Cet exemple démontre que les valeurs islamiques, comme la justice, l’égalité et la liberté, peuvent être intégrées à des principes démocratiques modernes. 4. La liberté et la dignité humaine en islam : Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’islam prône la liberté individuelle et rejette toute contrainte en matière de croyance : > "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256) Ce verset établit clairement que la foi est une question personnelle, un principe fondamental des démocraties modernes. De plus, il reflète une ouverture qui, historiquement, a permis aux sociétés musulmanes d’accueillir des minorités religieuses et culturelles. 5. Les abus historiques en Europe et leur absence dans le monde musulman : En Europe, l’alliance entre le pouvoir religieux et politique a conduit à des siècles d’oppression : Inquisition, guerres de religion, et contrôle des souverains par le clergé. La Révolution française, par exemple, a marqué une rupture violente avec cette emprise. Dans le monde musulman, l’histoire est différente. Si des abus politiques ont existé, ils n’étaient pas liés à une institution religieuse centralisée comme l’Église catholique. Les savants religieux (ulémas) n’ont jamais eu un pouvoir équivalent à celui du clergé chrétien et étaient souvent indépendants des souverains. 6. L’islam et la modernité : De nombreux penseurs musulmans modernes, comme Rachid Ghannouchi ou Muhammad Iqbal, ont démontré que l’islam, lorsqu’il est compris dans son essence, encourage la démocratie. Ghannouchi, par exemple, affirme que la shura et la démocratie partagent des principes fondamentaux, notamment la participation collective, la justice, et la protection des droits individuels. En somme, votre argument selon lequel la religion, y compris l’islam, ne peut exister que comme une croyance privée dans une démocratie repose sur une généralisation historique propre à l’Europe. L’islam, dans son essence, est compatible avec les valeurs démocratiques, car il prône la consultation, la justice, l’égalité, et la liberté. Les abus que vous attribuez aux religions sont un produit de contextes spécifiques, principalement européens, et non une caractéristique universelle des systèmes religieux.
Il finit toujours par friser l'intellectualisme hautain ! Il regarde toujours les quarante millions de Marocains d'en haut ! Enfin, il est et resté hostile aux Droits linguistiques et Culturels des Amazighs (les Berbères) qui sont, je rappelle, les autochtones du Maroc et par extension de tous les pays Nord Africains. L'islam est une religion qui, une fois pénètre le champ politique, redevient une idéologie coercitive ...la preuve en est le tollé qu'ont déclenché les dernières déclarations du ministère des affaires islamiques qui disait que les Marocains sont laïques !
@wawalgrimlins9779 c'est une radio facho on ne pactise pas avec ces énergumènes quelques soient le motif (commercial) leurs vie et chiffre d'affaires n'est réalisé que sur la haine des musulmans.
L’islam et la démocratie sont souvent perçus comme incompatibles, mais cette idée repose sur des malentendus historiques, politiques, et culturels. En réalité, l’islam, dans son essence, porte des principes qui soutiennent et encouragent des valeurs démocratiques, notamment la consultation, la justice sociale, et l’égalité. Voici un argumentaire détaillé basé sur des références réelles pour démontrer la compatibilité de l’islam et de la démocratie, et même l’idée que la démocratie est au cœur de l’islam authentique. --- 1. La consultation (Shura) : un principe coranique proche de la démocratie Le Coran appelle explicitement à la consultation mutuelle dans la gouvernance : > "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires, et dépensent de ce que Nous leur attribuons." (Coran, 42:38) Shura, ou la consultation, est un mécanisme de prise de décision collective. Bien que son application ait varié à travers l’histoire, ce concept coranique correspond à l’idée démocratique selon laquelle les dirigeants doivent consulter et tenir compte des opinions de ceux qu’ils gouvernent. Dans le califat de Omar Ibn Al-Khattab, la shura a été institutionnalisée à travers un conseil consultatif pour discuter des affaires publiques, un exemple historique de gouvernance collective. --- 2. La justice sociale et l’égalité comme piliers de la gouvernance islamique L’islam prône une gouvernance basée sur la justice et l’égalité devant la loi : > "Certes, Allah vous commande de rendre les dépôts à leurs ayants droit, et lorsque vous jugez entre des gens, de juger avec équité." (Coran, 4:58) La justice sociale est un objectif central de l’islam, et une gouvernance démocratique repose sur cette même base en garantissant les droits des citoyens, en protégeant les minorités et en s’assurant que les décisions politiques soient équitables. L’idée d’égalité en islam (en particulier dans le cadre des droits individuels, de la propriété, et de la dignité humaine) correspond au fondement de la démocratie moderne. --- 3. La liberté et la dignité humaine Le Coran insiste sur la liberté de choix et de croyance : > "Nulle contrainte en religion, car le bon chemin s’est distingué de l’égarement." (Coran, 2:256) Ce verset établit la liberté individuelle comme un droit fondamental, un concept clé dans les démocraties modernes. Les théologiens modernes, comme Tariq Ramadan et Muhammad Asad, soulignent que la liberté de croyance et d’expression en islam doit s’étendre à tous les aspects de la vie, y compris le droit de critiquer et de participer aux processus politiques. --- 4. L'élection des dirigeants dans l’histoire islamique L’islam n’impose pas un modèle rigide de gouvernance, mais le califat des premiers successeurs du Prophète (Abou Bakr, Omar, Othman et Ali) montre des principes qui ressemblent à des pratiques démocratiques. Abou Bakr a été choisi après un processus consultatif parmi les compagnons du Prophète. Omar Ibn Al-Khattab a mis en place un conseil pour nommer son successeur, une forme de délibération collective. Bien que ces pratiques ne soient pas identiques aux élections modernes, elles témoignent d’un engagement à impliquer la communauté dans la prise de décision. --- 5. Les théologiens modernes et l’interprétation progressiste Des penseurs contemporains ont travaillé à démontrer la compatibilité entre islam et démocratie : Rachid Ghannouchi, leader tunisien du parti Ennahda, affirme que la démocratie n’est pas seulement compatible avec l’islam, mais qu’elle en découle. Selon lui, la shura et les institutions démocratiques modernes partagent des principes fondamentaux. Abdou Filali-Ansary, philosophe marocain, soutient que les concepts islamiques de consultation et de justice appellent à une gouvernance participative et démocratique. Muhammad Iqbal, poète et philosophe pakistanais, a également plaidé pour un "ijtihad collectif" (interprétation indépendante) en utilisant des institutions démocratiques pour mettre en œuvre les principes islamiques dans des contextes modernes. --- 6. L’exemple des démocraties musulmanes Plusieurs pays musulmans démontrent que l’islam peut coexister avec des systèmes démocratiques : Indonésie : Le pays avec la plus grande population musulmane au monde est une démocratie où la liberté de culte et la participation politique sont garanties. Tunisie : Depuis la révolution de 2011, la Tunisie a établi un système démocratique où l’islam et les principes de pluralisme coexistent. Malaisie et Sénégal : Ces pays combinent gouvernance démocratique et valeurs islamiques, tout en respectant la diversité religieuse et culturelle. --- 7. Les obstacles ne sont pas religieux mais politiques Les critiques de la compatibilité entre islam et démocratie sont souvent liées à des régimes autoritaires et non à la religion elle-même. Dans de nombreux pays musulmans, les régimes utilisent l’islam pour justifier des pratiques antidémocratiques, alors qu’en réalité, c’est l’interprétation politique et non les principes religieux qui est en cause. --- Conclusion : La démocratie au cœur de l’islam authentique L’islam, dans ses textes fondateurs et son histoire, valorise la justice, l’égalité, la consultation et la liberté, qui sont des piliers fondamentaux de la démocratie. La divergence perçue entre islam et démocratie est principalement due à des interprétations culturelles ou politiques, et non aux principes religieux eux-mêmes. Une lecture authentique et contextuelle de l’islam révèle qu’il ne s’oppose pas à la démocratie, mais qu’il en partage et en encourage les valeurs essentielles.
@@BeforeLeavingLife 1- La democratie: forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple ; État ainsi gouverné.( Définition du dictionnaire le Robert). La souveraineté appartient au peuple veut dire que c'est le peuple qui gouverne ( fait et applique les lois). 2 - État : " est une forme d'association qui défende et protège ,de toute la force commune, la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun s'associant à tous , n'obeisse pourtant qu'à lui même et reste aussi libre qu'auparavant." J. J Rousseau. l'État est donc une forme d'association sur la base de conventions ( lois , règles , normes...) que J. J .Rousseau appel le contrat social et conclu que le citoyen est auto législateur c'est à dire que c'est lui qui fait les lois ( Donc des lois des Humains pour réglementer les relations d'indépendance entre humains). Si la souveraineté appartient au peuple pour appliquer des lois que lui même a conçus selon l'évolution des relations d'interdépendance ( antagoniques , circonstancielles ...) entre les individus qui le composent alors où est la place de la religion. L'islam ou toute autre religion ne peut exister dans une démocratie ou toute autre forme de république qu'en tant que croyance ( foi) et culte et non pas comme système politique.
@@BeforeLeavingLife Est ce que vous pouvez conclure un contrat de location d'un logement en écrivant dans ce contrat seulement " selon les sourates du coran". Est ce que vous pouvez conclure un mode de payement avec quelqu'un en écrivant selon l'islam. Etc. l'État est un contrat entre les citoyens fait de clauses ( conventions , lois , règles , règlements , codes , normes...).
@@mahchachastan3401 Je vois votre point de vu mais il semblerait que vous n'ayez pas connaissance des points suivants: 1. Sur la souveraineté populaire dans une démocratie : Votre argument repose sur l’idée que la souveraineté appartient exclusivement au peuple dans une démocratie, excluant toute influence religieuse. Cependant, cette vision découle d'un contexte historique propre à l’Europe. La séparation entre l’Église et l’État, au cœur de la démocratie moderne, a été une réponse aux abus commis par les institutions religieuses chrétiennes au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime. L’Église catholique imposait des dogmes inflexibles et intervenait dans la gouvernance pour restreindre les libertés individuelles et la pensée critique. En revanche, l’islam n’a jamais connu un clergé organisé comme l’Église catholique ni une institution religieuse centralisée. Les abus religieux de ce type n’ont jamais été une réalité systémique dans les sociétés musulmanes. Ainsi, la nécessité de séparer strictement religion et politique, comme cela s’est imposé en Europe, ne s'applique pas de la même manière à l’islam. 2. L’islam et la consultation démocratique (Shura) : Vous affirmez que la religion ne peut exister dans une démocratie que comme une croyance privée. Pourtant, l’islam intègre dès ses fondements des principes démocratiques. Le concept de shura (consultation mutuelle) est central dans la gouvernance islamique : > "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires." (Coran 42:38) Historiquement, des exemples comme le califat de Omar Ibn Al-Khattab montrent que les décisions étaient prises en consultation avec la communauté. Bien que cela ne corresponde pas exactement aux systèmes modernes, ces pratiques témoignent d’une participation collective à la gouvernance. 3. L’exemple des démocraties modernes dans le monde musulman : Contrairement à l’idée que l’islam et la démocratie sont incompatibles, de nombreux pays musulmans montrent qu’ils peuvent coexister. Prenons l’exemple de l’Indonésie, la plus grande démocratie musulmane au monde, qui garantit la liberté de culte et la participation politique. Cet exemple démontre que les valeurs islamiques, comme la justice, l’égalité et la liberté, peuvent être intégrées à des principes démocratiques modernes. 4. La liberté et la dignité humaine en islam : Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’islam prône la liberté individuelle et rejette toute contrainte en matière de croyance : > "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256) Ce verset établit clairement que la foi est une question personnelle, un principe fondamental des démocraties modernes. De plus, il reflète une ouverture qui, historiquement, a permis aux sociétés musulmanes d’accueillir des minorités religieuses et culturelles. 5. Les abus historiques en Europe et leur absence dans le monde musulman : En Europe, l’alliance entre le pouvoir religieux et politique a conduit à des siècles d’oppression : Inquisition, guerres de religion, et contrôle des souverains par le clergé. La Révolution française, par exemple, a marqué une rupture violente avec cette emprise. Dans le monde musulman, l’histoire est différente. Si des abus politiques ont existé, ils n’étaient pas liés à une institution religieuse centralisée comme l’Église catholique. Les savants religieux (ulémas) n’ont jamais eu un pouvoir équivalent à celui du clergé chrétien et étaient souvent indépendants des souverains. 6. L’islam et la modernité : De nombreux penseurs musulmans modernes, comme Rachid Ghannouchi ou Muhammad Iqbal, ont démontré que l’islam, lorsqu’il est compris dans son essence, encourage la démocratie. Ghannouchi, par exemple, affirme que la shura et la démocratie partagent des principes fondamentaux, notamment la participation collective, la justice, et la protection des droits individuels. En somme, votre argument selon lequel la religion, y compris l’islam, ne peut exister que comme une croyance privée dans une démocratie repose sur une généralisation historique propre à l’Europe. L’islam, dans son essence, est compatible avec les valeurs démocratiques, car il prône la consultation, la justice, l’égalité, et la liberté. Les abus que vous attribuez aux religions sont un produit de contextes spécifiques, principalement européens, et non une caractéristique universelle des systèmes religieux.
La question c'est la l'islam est compatible avec le sionisme et avec l'imperialisme americain. La chine comuniste est compatible avec tour le monde, sauf avec les ambitions des etats unis de l'amerique et de l'union europeenne.
l'Indonésie est le pays avec le plus de musulmans au monde. Et les Indonésiens respectent la démocratie et l'état de droits. Cela n'a rien à voir l'Islam mais plus avec les cultures locales.
Ce sont nos enfants, jamais nous ne serons sans pitié contre les kouloughlis. Les Forces armées Royale a elle seule peut donner une bonne correction aux karakiros.
Je vois votre point de vu mais il semblerait que vous n'ayez pas connaissance des points suivants: 1. Sur la souveraineté populaire dans une démocratie : Votre argument repose sur l’idée que la souveraineté appartient exclusivement au peuple dans une démocratie, excluant toute influence religieuse. Cependant, cette vision découle d'un contexte historique propre à l’Europe. La séparation entre l’Église et l’État, au cœur de la démocratie moderne, a été une réponse aux abus commis par les institutions religieuses chrétiennes au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime. L’Église catholique imposait des dogmes inflexibles et intervenait dans la gouvernance pour restreindre les libertés individuelles et la pensée critique. En revanche, l’islam n’a jamais connu un clergé organisé comme l’Église catholique ni une institution religieuse centralisée. Les abus religieux de ce type n’ont jamais été une réalité systémique dans les sociétés musulmanes. Ainsi, la nécessité de séparer strictement religion et politique, comme cela s’est imposé en Europe, ne s'applique pas de la même manière à l’islam. 2. L’islam et la consultation démocratique (Shura) : Vous affirmez que la religion ne peut exister dans une démocratie que comme une croyance privée. Pourtant, l’islam intègre dès ses fondements des principes démocratiques. Le concept de shura (consultation mutuelle) est central dans la gouvernance islamique : > "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires." (Coran 42:38) Historiquement, des exemples comme le califat de Omar Ibn Al-Khattab montrent que les décisions étaient prises en consultation avec la communauté. Bien que cela ne corresponde pas exactement aux systèmes modernes, ces pratiques témoignent d’une participation collective à la gouvernance. 3. L’exemple des démocraties modernes dans le monde musulman : Contrairement à l’idée que l’islam et la démocratie sont incompatibles, de nombreux pays musulmans montrent qu’ils peuvent coexister. Prenons l’exemple de l’Indonésie, la plus grande démocratie musulmane au monde, qui garantit la liberté de culte et la participation politique. Cet exemple démontre que les valeurs islamiques, comme la justice, l’égalité et la liberté, peuvent être intégrées à des principes démocratiques modernes. 4. La liberté et la dignité humaine en islam : Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’islam prône la liberté individuelle et rejette toute contrainte en matière de croyance : > "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256) Ce verset établit clairement que la foi est une question personnelle, un principe fondamental des démocraties modernes. De plus, il reflète une ouverture qui, historiquement, a permis aux sociétés musulmanes d’accueillir des minorités religieuses et culturelles. 5. Les abus historiques en Europe et leur absence dans le monde musulman : En Europe, l’alliance entre le pouvoir religieux et politique a conduit à des siècles d’oppression : Inquisition, guerres de religion, et contrôle des souverains par le clergé. La Révolution française, par exemple, a marqué une rupture violente avec cette emprise. Dans le monde musulman, l’histoire est différente. Si des abus politiques ont existé, ils n’étaient pas liés à une institution religieuse centralisée comme l’Église catholique. Les savants religieux (ulémas) n’ont jamais eu un pouvoir équivalent à celui du clergé chrétien et étaient souvent indépendants des souverains. 6. L’islam et la modernité : De nombreux penseurs musulmans modernes, comme Rachid Ghannouchi ou Muhammad Iqbal, ont démontré que l’islam, lorsqu’il est compris dans son essence, encourage la démocratie. Ghannouchi, par exemple, affirme que la shura et la démocratie partagent des principes fondamentaux, notamment la participation collective, la justice, et la protection des droits individuels. En somme, votre argument selon lequel la religion, y compris l’islam, ne peut exister que comme une croyance privée dans une démocratie repose sur une généralisation historique propre à l’Europe. L’islam, dans son essence, est compatible avec les valeurs démocratiques, car il prône la consultation, la justice, l’égalité, et la liberté. Les abus que vous attribuez aux religions sont un produit de contextes spécifiques, principalement européens, et non une caractéristique universelle des systèmes religieux.
avec les démocraties chrétiennes totale incompatibilité ! Le visionnaire pape Jean-Paul 2 avait vu juste quand en 2003 il exhortait les chrétiens européens à se confronter à l’islam de manière objective. Par cette confrontation, il avait compris que l’islam était poussé à révéler son idéologie, ses fragilités, ses manques et ses abus de toutes sortes. Les textes islamiques ont été traduits et rendus accessibles sur internet, impossible de tricher, et tenter de les réinterpréter comme le font certains imams c’est s’enfoncer encore plus dans le déni. L’islam ne tiendra pas longtemps.
😂😂 l'islam ne fera pas que tenir, mais sa montée en force ne peut être niée que par les imbéciles, et c'est cette montée en force qui fait peur aux décideurs en Europe, car ils savent que c'est basé sur du solide, cest la raison pouf laquelle les gens se convertissent, et que les sottises de l'église et la falsification de la parole de dieu dans le christianisme ne tiendrons jamais face à la clarté de l'islam, c'est la raison pour laquelle on le combat avec tous les moyens possibles, dans toute la planète, comme l'ont fait leurs prédécesseurs, qui sont sous la terre, l'islam restera pour révéler l'hypocrisie de la démocratie des deux poids deux mesurés
Tout dépend de quelle démocratie parle-t-on! de la démocratie totalitaire,de la démocratie libérale ,ou de la démocratie capitaliste,ou bien de la démocratie du peuple par le peuple pour le peuple!!! Autrement ,c'est de la démagogie.
Les circonstances ont changé, dire mnt qu il ne faut pas naturaliser ni donner le droit au vote aux étrangers, relève de la folie. Lah y Rehmek SM Hassan II ❤
@@ilikuol9551 le Roi n était pas contre la naturalisation, pour le vote des étrangers c est très complexe, , exemple aux Émirats il y 5 fois plus d étrangers que les émiratis, en Guadeloupe il y a eu des émeutes ils ne voulaient pas que les français venant de l exagogne voter avec les autochtones parce que si il y a un référendum pour ou contre l indépendance il ne l auront jamais
Ce monsieur devrait se demander pourquoi il y a si peu de démocratie, de liberté individuelle, d'égalité entre les hommes et les femmes et de tolérance envers les juifs, les apostats, les mécréants, les gays, etc, etc. La religion serait-elle, par hasard un facteur important sinon primordial pour cet état de choses.?
@@Pivoine43 1. Démocratie et contexte culturel : L’affirmation selon laquelle il y aurait "si peu de démocratie" dans les pays à majorité musulmane repose sur une généralisation qui néglige les contextes historiques, politiques, et économiques. La démocratie n’est pas seulement influencée par la religion, mais aussi par des facteurs comme le colonialisme, les divisions ethniques, et les interventions étrangères. Par exemple, de nombreux pays à majorité musulmane ont été colonisés, ce qui a laissé des systèmes politiques instables, souvent propices à l’autoritarisme. 2. Liberté individuelle et égalité en islam : L’islam prône des valeurs fondamentales comme la justice et l’égalité. Le Coran affirme : > "Ô vous qui avez cru ! Soyez stricts dans vos devoirs envers Dieu et soyez des témoins équitables." (Coran 4:135) Historiquement, l’islam a joué un rôle dans la promotion de l’égalité, notamment en abolissant des systèmes de castes, en instituant des droits pour les femmes (héritage, divorce, propriété), et en rejetant le racisme. Si des inégalités persistent aujourd’hui, elles sont souvent le résultat d’interprétations culturelles et non des enseignements islamiques. 3. Tolérance envers les autres croyances : L’islam a une longue tradition de coexistence avec d’autres religions. Dans plusieurs sociétés musulmanes médiévales, comme l’Espagne islamique (Al-Andalus) et l’Empire ottoman, les juifs, les chrétiens, et les musulmans ont cohabité pacifiquement. Le Prophète Muhammad (paix et salut sur lui) a établi un modèle de coexistence dans la Constitution de Médine, qui garantissait la liberté de culte aux non-musulmans. Le verset suivant est un rappel fondamental : > "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256) Les intolérances modernes, qu’elles soient religieuses ou sociales, ne sont donc pas des normes islamiques, mais souvent des déviations dues à des dynamiques politiques ou culturelles. 4. Sur les droits des femmes et des minorités : L’islam a introduit des droits avancés pour les femmes à une époque où ils étaient inexistants ailleurs : droit à l’héritage, droit au divorce, et droit à l’éducation. Si des discriminations persistent, elles sont liées à des traditions patriarcales ou à des lectures restrictives de la religion, et non aux enseignements fondamentaux de l’islam. Concernant les minorités (comme les LGBTQ+), il est vrai que les sociétés musulmanes sont souvent conservatrices sur ces sujets. Cependant, il convient de noter que ce conservatisme n’est pas unique aux pays musulmans, mais se retrouve aussi dans d’autres sociétés religieuses ou traditionnelles. 5. La religion comme facteur : Vous mentionnez que la religion pourrait être un facteur primordial des problèmes cités. Il serait plus précis de dire que ce sont souvent des interprétations humaines de la religion, influencées par des contextes sociaux et politiques, qui posent problème. En islam, le Coran et la Sunna (tradition prophétique) offrent des bases pour des sociétés justes et inclusives. Cependant, comme pour toute idéologie ou système de valeurs, l’application dépend des individus et des contextes. 6. Comparaison avec d’autres contextes : Les abus commis au nom de la religion ne sont pas spécifiques à l’islam. En Europe, l’Inquisition et les guerres de religion ont également démontré les dangers d’une interprétation extrême des dogmes religieux. Cependant, ces épisodes ne définissent pas le christianisme dans son ensemble. De la même manière, il serait injuste de réduire l’islam aux pratiques ou abus de certains groupes ou gouvernements. Plutôt que de blâmer la religion comme facteur unique, il est essentiel d’analyser les contextes politiques, économiques, et historiques qui influencent les sociétés. L’islam, dans son essence, est compatible avec des valeurs universelles comme la démocratie, l’égalité, et la tolérance. Les défis modernes dans certaines sociétés musulmanes ne sont pas le produit de la religion en elle-même, mais de son instrumentalisation ou de malentendus sur ces enseignements.
Voilà la réponse. La démocratie est par définition laïque et donc l'islam ne peut exister en démocratie que comme croyance ( foi ) et culte religieux comme c'est le cas du christianisme dans les démocraties européennes. Amen.
La démocratie pratique et concrete qui interesse les musulmans est fondamentalement anglaise, pas française. La version française de la démocratie ne sert à rien.
🤣🤣🤣🤣 La démocratie et l'islam n'ont rien en commun. Ton roi se balade en Europe pendant que les Marocains souffrent et meurent en Méditerranée pour venir en France
ⵉⵙⴽ ⵜⵛⴰ , Cousin du roi qui parles des arabes ( Arabie Saudites et Yemens..ect) mais pas les Marocains , simplement car nous sommes pas des arabes . Utulisent le mot Marocains au lieu de Arabes.
Avoir était islamiser c'étaient une chose mais ethniquement les maghrébins non rien d'arabe voyager vous allez voir si les arabes de la péninsule arabique considère l'Afrique du Nord comme les leurs c'est une blague j'espère hein.
Je comprends pas pourquoi c'est toujours la question de l'islam n'est pas compatible avec la république et le judaisme il est compatible ? Sachant que la charia en islam est vraiment basé sur la torah on part pas du vide . La charia juif. Mais vous prennez les gens pour des cons. En plus qui veut faire la charia en france vous pouvez nous les montrer . Est ce qu'il y a une partie politique qui veut faire ça. Mais franchement n'importe quoi. Même dans les pays musulmans personne n'en parle. A la place de chercher les coupables qui ont laissé la france en retard économiquement et dans la recherche scientifique dans les technologies Future et les batteries des voitures électriques par exemple on nous casse les couilles avec islam charia compatible palestine israel . What the fuck
Petite précision : la France a dans sa devise "fraternité", c'est ce point qui pose un problème avec l'islam, car pour vivre ensemble avec le minimum de conflit, il faut qu'il y ait plus de 80% de code moral identique et que les 20% restant soit sûr des point mineurs (traiter les femmes comme des objets[Coran 4:34] = c'est mal/être violant envers les personnes des autres religions[Coran 9:5] = c'est mal / punir ceux qui quittent la religion[Coran 4:89] = c'est mal /...) plus, il y a de différence forte sur les codes morale, plus il y aura des conflits ou, plus on vivra séparé. Ce qui permet qu'on vive ensemble en France est que 70% des musulmans français ne respecte que 60% du Coran( les parties qui prônent la paix entre les musulmans) soit par méconnaissance, soit par principes moraux. Cela fait d'eux des mauvais musulmans(*) vis-à-vis de l'islam, mais des personnes avec qui on peut cohabiter en France (pour vivre en "fraternité" il faut aussi enlever le côté communautariste de l'islam [Al-Ma'idah : Sourate 5, verset 51] ). Le but du gouvernement quand il voulait faire un islam de France était d'interdire d'enseigner les parties problématiques de l'islam, mais cela revient à dire que ce que leur dieu a dit est problématiques ce qui fait que 30%(**) des imams de France ont refusé. (*) Car ils ne suivent pas toutes les indications de leurs dieux or l'islam marche sur un principe d'obéissance aveugle (**) chiffre approximatif, 3 confédérations ont refusé de signer la charte de l'islam de France en 2021
@@bennett9117 ce ne serait pas un problème si les seules obligations étaient : plante trois arbres par jour et mange de la nourriture saine (par exemple). Le fait que tu DOIS obéir + que certain ordre sont problématiques pour la société française est le problème. Le manque de liberté n'est donc pas la cause du problème, mais un facteur aggravant.
@@kokojungo1669 « Eh bien, va les attaquer maintenant, détruis complètement tout ce qui leur appartient, sans pitié. Mets à mort tous les êtres vivants, hommes et femmes, enfants et nourrissons, bœufs et moutons, chameaux et ânes. » (1S 15.3).Psaumes : « Que ses descendants soient exterminés et que leur nom disparaisse dans la génération suivante ! » (Ps 109.13).
@@excalibur4807 Ézéchiel 9:6"tuez les tous vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque; et commencez par mon sanctuaire! " Et puis ..... Ézéchiel 9.5. Ézéchiel 9:7 Etc......
@@ibnadjal😂, nous chauffe pas, ton coran est un concentré de violence. Sans parler des adith. Et puis de toutes façons votre religion a pompé sur la religion hébraïque, ne soyez pas jaloux, c'est la même m****. La différence est que les autres religions ont compris qu'il ne fallait pas appliquer tout ce que le bouquin leur disait de faire, contrairement à vous.
Mais attendez, monsieur, quel défi il faut plus te dire de que les croisées sont compatibles avec l’islam , parce que dans le livre sacré des musulmans, le Coran les trois sont cité Mouhamed, Jésus et Moïse , est-ce que c’est le cas dans les livres sacrés comme le Torah et la Bible ??
La démocratie, l’état nation est est étranger à l’islam et aux pays arabes. On est davantage dans un état de type clanique, dans laquelle, la famille ou le clan est prépondérant. Ce n’est pas ce Monsieur qui pourrait dire le contraire, il est lui-même issu de la famille royale marocaine qui s’attribue les secteurs clés du royaume
Hicham El Alaoui est une personne extremement brillant et simple. Vive le Maroc pays ouvert sur le monde, tolérant moderne tout en restant attaché à ses tradition millénaires...
Ce sujet est devenu une obsession et un délire pour ceux qui veulent hacker les conscience et distraire. Plutôt faut discuter démocratie vs occident, globalisation, Otan, soutien au génocide.....là on va découvrir des choses horribles
@@Fcpipo Platon parlait de république et donc de démocratie depuis 350 années avant Jésus Christ soit environ 900 ans avant l'islam. L'islam n'est pas l'outil, le microscope ou le télescope avec quoi on cherche pour trouver la vérité, il y a autres choses pour cela telles que la raison , la logique , l'expérience...
L islam n est pas et ne sera jamais compatible avec la démocratie, jamais. malgré les efforts fournis pour le rendre un peu modéré mais Les textes restent un grand obstacle devant la réalisation de cette compatibilité.les textes sont tellement fermes
Heureusement car face à la folie des Hommes, une démocratie peut conduire à des grands dérapages et abominations. Face à cela l'Islam restera pour l'éternité un rempart. La démocratie n'est qu'une désignation philosophique de la volonté du peuple par des mécanismes majoritaires.
Position aussi extrême que celle des obscurantistes. Il n'y a pas un islam, mais sur le terrain c'est plus diversifié que ça. Les cons des deux bords ne sont pas dans l'esprit d'évolution de la pratique de l'islam. Il suffit de retourner à l'histoire pour réaliser que le christianisme d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celui du passé.
Pour mpi il n'est pas crédible. Défenseur des droits de l'homme ??? Cet homme possede une fortune énorme lui et son frère Pour lui j'aimerai qu'il reponde pourquoi des ouvriers agricoles employés dans ses fermes .ils sont payés une misère... Il profite du système
@ Vietnam, Thailande, Malaisie …. j’y ai vu des boudhistes, musulmans, chrétiens … des filles en voile, des personnes transgendre …. tout le spectre culturel et identitaire, tout le monde est tranquille, tout le monde vit sa vie, il n’y a même pas de sujet, pas de polémique, rien, tous sont respectés … j’ai sentis que ces pays sont vraiment laïques
@@Jadido7 C'est vrai qu'on s'y sent bien dans ses pays, (surtout la Thaïlande). Par contre je ne vois pas de femmes voilées au Vietnam, il y a 0,08% de musulmans dans ce pays, donc bon, ils peuvent bien les tolérer. En effet on vit sa vie tranquille puisque si vous faites le malin ils vous coulent dans du béton. Bien entendu que c'est un état athée, en bon pays communiste qu'il est. Quant au transgenre, je n'en vois pas non plus. La Malaisie : " Les lois laïques et islamiques interdisent le blasphème, et la conversion de l'islam à une autre religion peut être difficile." " Il existe également des restrictions sur le prosélytisme des musulmans par des non-musulmans. Le gouvernement utilise des cartes d'identité nationales pour déterminer la juridiction de la charia." " Les personnes LGBT de Malaisie ont souvent été vues comme immorales et traitées comme des déviants et des criminels". Super! La Thaïlande, il y fait bon vivre c'est vrai. Mais quand même , les musulmans ne peuvent pas s'en empêcher : "Au cours des 18 dernières années, plus de 7 300 personnes sont mortes et 13 000 ont été blessées dans un conflit qui touche les trois provinces les plus méridionales de la Thaïlande : Pattani, Yala et Narathiwat, et qui s’étend aux régions voisines de la province de Songkhla." Bon bref, je pense qu contraire qu'il y a de gros sujets à traiter.
Pourquoi veut-on ériger la démocratie comme horizon indépassable ?! Déjà moi cette idée me pose problème! Vous faites quoi de la démocratie à l'américaine...Le système des grands électeurs, c'est l'arnaque ultime. T'as un vote populaire, mais au final, ce sont 538 types qui décident pour tout le pays. Un État comme le Wyoming, avec trois péquins et une chèvre, a proportionnellement plus de poids qu'un mastodonte comme la Californie. Résultat : tu peux avoir un président élu avec moins de voix que son adversaire, comme en 2000 ou 2016. En gros, ton vote compte pas pareil selon où tu vis. Ajoute à ça les manipulations des circonscriptions et les lois pour décourager certains électeurs... en plus des lobby qui dictent leur loi... la plus grande démocratie occidentale😂😂. Laisser les peuples choisir leur propre destinée...
Il y a le libre arbitre ....personne ne peut aller fouiller dans le cœur des gens ....après du point de vue sociétal chaque Etat est libre de ses choix ......en France le droit s'impose automatiquement dans les mécanismes d'organisation des Institutions et dans l'organisation juridique des Citoyens sachant que le droit est l'expression politique du moment.....
@ibnadjal non, nous ne serons jamais une République islamique. Et le libre arbitre est un concept philosophique occidental. En aucun cas, il n'apparait en Islam.
@ibnadjal deuxième réponse : il n'y a pas de libre arbitre en ce qui vous concerne. Et jamais, nous ne serons le genre de République que vous souhaitez.
Comment expliquer alors que les juifs ont vécu au Maroc pendant des siècles et continuent encore, sans qu'ils soient constraints de changer de religion? Par exemple, dans la constitution marocaine, la religion et la culture juive est une partie importante de l'identité marocaine alors comment penser qu'il n'y a pas de liberté de conscience dans l'Islam. Dans le Coran, il est dit: "il n'y a pas de contrainte dans la religion". Le problème est que certains courants extrémistes, ayant définit une juresse prudence qui date de plusieurs siècles, refusent de revenir sur cette jurisprudence car le monde a évolué depuis... résultat ils font beaucoup de tord à cette religion. C'est mon humble avis. Salutations.
Je suis heureux d'apprendre que les questions soulevées par l'animateur ne relève pas du livre 13:10, le sujet est Islam et Démocratie, et non pas laïcité à la française la plus sécularisée au monde et Islam, il a eu une jolie formule sur les musulmans victimes collatérales de la déchristianisation forcenée de la France mais, le problème n'est pas là, le problème c'est le nombre, tu ne peut pas avoir dans l'école publique 3 communautés avec des habitudes alimentaires différentes, c'est un caffouillage incroyable, après le fait d'exiger que les mères qui cherchent leurs enfants à l'école ne porte pas le voile, ou qu'on enlève les allocations à des parents dont le fils est inculpé pour un délit, cela est de la pure folie.
Économie, nationalisme et démocratie : compatibles ? Les religions, sont peut-être basées sur de l'irrationalité mais ça a la qualité de générosité ce que les autres folies d'économie et de nationalisme ne sont pas. ;) PS: Quand on est tout aussi ignare de la réalité, on ne fait pas la leçon aux autres.
ne nous sommes pas que voisins nous sommes frères un vrais peuple frère un seul peuple Almaghariba ou les berbères divisés déchiqueté par vous les colons occidentaux et "les arabes? " ou arabo-musulman et ce monsieur est le symbole type qui représente ces deux colonisateurs les deux a la fois
أستاذ جامعي في أمريكا . . يتقن العربية و الفرنسية والإنجليزية . . نحن نحتاج إلى مثلك في هذا البلد الأمين المغرب . .
Dès le début cet animateur veut mettre dos à dos les algériens et les marocains,comme on dit diviser pour mieux régner, merci mr alaoui de l avoir remis à sa place
Islam et démocratie : débat inutile puisque les régimes occidentaux sont soit laïques soit chrétiens. Évoquez plutôt le massacre des musulmans sans défense en Palestine
Pour un tweet appelant à un cessez-le-feu, tu te trouve face à un juge. La démocratie et les valeurs quoi.
Vive le Roi Mohammed 6
@@elmantiamina975
T'as raison,
Quant le viol t'es imposé détends toi et prends en plaisir.
Toz 3lik
Ahadik le petit Aabid tocard qu'est ce qu'il vient faire ici vive hadak??
يتحدثون عن الإسلام و عن دول إسلامية و عن مواضيع ثانوية حتى لا يتحدثون عن مجرمين الحرب الصهاينة في اسراءيل و أمريكا و أوروبا.
إبادة غزة عمل صهيوني يهودي اسراءيلي و أمريكي و اوروبي و لو طبقت مباديء حقوق الإنسان و محكمة العدل الدولية و الأمم المتحدة لكان نتنياهو و حكومته و بايدن و حكومته و ماكرون و حكومة المانيا و انجلترا وراء القضبان.
Nous ne sommes par arabes nous sommes amazigh. Même Sa majesté le Roi du Maroc l’a dit .
Bien dit 👍🏻👍🏻👍🏻
Non monsieur les marocains sont arabe et amazigh
@@lesdelicesdenawal في المغرب هناك أمازيغ وأمازيغ إستعربوا أو مستعربين.
Si je ne me trompe pas, le roi devrait être amazigh et non arabe alaouite. C'est vraiment contradictoire, et c'est aux peuples autochtones du riff de corriger cette imposture.
@@sath5o-i3 الملك أمه أمازيغية وأباه عربي لأنه ينتمي إلى سلالة النبي،لما دخل إدريس الأول للمغرب لم يأتي بقوم معه بل جاء هاربا يعني دخلو العرب إلا القلة القليلة، ولهذا أغلبية سكان المغرب هم أمازيغ.
Il n'y a pas de démocratie dans le monde entier😢, il suffit de voir Gaza et le nombre de mort a dépassé 40000, dont 70% des enfants et des femmes. Ce génocide n'a pas été dénoncé par soit disant les démocraties, UE et les États-Unis c'est honteux
C'est pas le monde Arabe, l'afrique du nord incluant l'Egypte n'est pas arabe!!!
Si c'est le monde arabe d'une manière générale
L Egypte fait parti du nord africain
On se comprend, la langue parlée et 'pensee" est bien l'arabe.... faut pas exagérer....
@@LotfiKhalifa-sd1sh Tout à fait en plus son commentaire est hors sujet
Ferme la
À travers les siècles, le peuple marocain a toujours su défendre avec fierté et dévouement sa monarchie, symbole de notre identité, de notre histoire et de notre unité. À ceux qui s’opposent à notre souveraineté et à notre Roi bien-aimé Mohammed VI, sachez que votre haine ne fait que renforcer notre amour et notre loyauté envers notre Monarchie. Notre Roi est le pilier de notre stabilité et de notre prospérité, et jamais nous ne laisserons place à la division ou à la trahison. Vive Sa Majesté le Roi, vive le Maroc uni et fort face à ses ennemis ! 🇲🇦
☝️🇲🇦Allah Alwatan Almalik🇲🇦☝️
👑🫶👑🇲🇦👑🇲🇦👑🇲🇦👑🇲🇦👑🫶👑
Vous parlez encore de la démocratie ??!!!
Soit vous êtes ignorants ou vous faites semblant
Abordez plutôt le sujet "arnaque et démocratie , compatibilité"
Merci Mr Alaoui Hichem. Le Maghreb, le Monde Arabe a besoin de Vous.
,😂😂
Le prince de Machiavel disait: Faites que le reve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre reve. Le prince de Saint Exupery repliquait: L'habituel défaut de l'homme est de ne pas prévoir l'orage par beau temp.
Parole Parole Parole. Nous aimons notre roi Mohammed VI , l'islam de Mohammed VI et la politique de Mohammed VI. Le prince qui ne voulait plus être prince ne pourra rien y changer.
Mr Hicham ne te fatigue point . La france restera la france au lieu de discuter avec les agriculteurs. Ils vont parler du voile et la laïcité sur les plateaux.
La France, au fil de son histoire, a souvent été victime de l'illusion que l'auto-flagellation permettrait de réconcilier son passé tumultueux avec son présent. Cette folie d'introspection excessive, alimentée par la culpabilité collective, a pris racine dans des moments de honte ou de crise, mais elle s'est étendue, devenant une sorte de tyrannie morale. La nation française, en s'immergeant dans les blessures du passé, notamment celles liées à la colonisation, à l'esclavage ou aux guerres mondiales, a tendu à se définir plus par ses fautes que par ses réussites. Ce processus d'auto-accusation a progressivement érodé la capacité de la société à se projeter dans l’avenir avec une force constructive, entraînant un sentiment de dévalorisation collective.
Il est essentiel de comprendre que l'auto-flagellation historique, loin d’apporter une rédemption, enferme les peuples dans une perpétuelle spirale de honte et d'immobilisme. La France a souvent cultivé une forme de repentance pour des erreurs passées, mais cette démarche, quand elle devient excessive, n'est pas un gage de progrès. Elle empêche la construction d'un projet commun, fondé sur la reconnaissance des torts sans s’y enchaîner. En se concentrant uniquement sur la culpabilité et en exagérant les fautes, on oublie d’honorer les aspects positifs de l’histoire : les avancées sociales, les révolutions politiques, les moments de grandeur intellectuelle et humaine.
Il est crucial que le peuple français cesse de porter seul le fardeau de cette culpabilité historique. La vraie réconciliation ne réside pas dans l’auto-accusation incessante, mais dans la capacité à reconnaître les erreurs passées tout en s’en libérant. La France doit redonner à ses citoyens le droit de ne pas être définis par leur passé, mais par leurs actions présentes et futures. Le peuple français mérite de se sentir digne et créatif, sans être constamment écrasé par un poids de culpabilité qui ne lui appartient plus. L’histoire, bien que lourde et complexe, ne peut ni nous emprisonner, ni nous dicter notre identité. Il est temps de sortir de cette spirale victimaire et d’accepter que la véritable liberté réside dans la capacité à avancer, à construire et à réparer, sans se perdre dans la recherche constante de rédemption.
Pourquoi le Marocain lorsqu'il s'exprime il est toujours dans la retenue et la modernisation et pas l algériens ?
Parce qu’ils ont une bonne éducation
Tu ne vas pas comparer un batard avec un gars de 1200 ans de civilisation derrière lui 😅
Et toi pourquoi tu cherches la semer la zizanie ? "Le Marocain" et "L'algérien " ça n'existe pas : il y a des Marocains et des Algériens aussi différents les uns des autres ...
روح سقسي الثمان ماءة ألف مغربي اللي عايشين في الجزاءر يفهمك في أدب الجزاءريين ومستوى حسن معاملتهم وسلوكياتهم، ثم أرجع قول لي واش قالك.
Et malgré certaines différences qu’on peut avoir avec Moulay Hicham , c’est un homme exceptionnel et qui fait notre fierté autant que marocains .
En effet ,nous avons un deuxième HICHAM ,avec HICHAM le GRAND (la LEGENDE OLYMPIQUE El GUERROUJ) magnifié et agrandi par le célèbre journaliste acquis pour la cause de son ami et athlète préféré lorsqu il a célébré la deuxième médaille d or aux 5000 mètres en s epoumo nant a en perdre la voix sa célèbre phrase consacrée et vouée à la postérité "Hicham,Hicham, HICHAM "est GRAND ! Même le prince Hicham Alaoui a trouvé un journaliste respectueux qui l a accompagné respectueusement pour nous éclairer! Bravo!
🤮🤮🤮 Fierté ? Cet homme vit avec l'argent des Marocains, pendant que ceux-ci meurent de faim et de soif. Quelle fierté !
@@GJRBHUYCEQHKJCGA24AC7-k9skarghouli...
@@GJRBHUYCEQHKJCGA24AC7-k9stu as des preuves ? Non ? Ferme ta gueule.
@@GJRBHUYCEQHKJCGA24AC7-k9s Sir tchra
Je me demande si l'ouvrage en question n'est pas aussi "égaré" que cet entretien. La moindre des choses est de dire avant tout de quel Islam il s'agit. C'est là toute la problématique déjà au sein du monde musulman. Or l'entretien saute par-dessus.
C’est la différence entre un intellectuel et un extrimiste, regarder comment il joue l’apaisement contre sansal qui met de l’huile sur le feu
Désolé, l'animateur n'est guère à la hauteur de son invité. La retenue et l'humilité du Prince sont fort instructives.
Proud of you ever scholar Prince 🙏
Le discours le discours, rien que le discours. Ce prince possède des fermes dans le sud du Maroc. Les employés agricoles qui travaillent dans ses fermes ne sont pas titulaires. Ils travaillent par contrat et leurs droits sont bafoués. C’est facile de venir tenir des propos de justice et de démocratie mais ces principes ne les appliquent pas à lui-même. Beaucoup d’employés ont demandé leurs droits et se sont trouvés exclus, jetés dehors. Honte à toi prince.
On n'a jamais entendu ça, tu peux me donner un nom de syndicat ou d'un simple groupe revendicatif de tes accusations je serai un de plus pour se rallier ......si tu es un de ces victime tu devrais réclamer et protester sur place au lieu de le faire dernière un clavier, et là tu dois avoir honte !!! Le Maroc a changé complètement Mr,cherche toi un sac de sable pour le boxer
Les mêmes pratiques habituelles, l'assassinat moral de toute personne qui sort du rang...ça ne passe plus maintenant, essaye autre chose, on ne sait jamais....
@@bakamba6579 je ne comprends pas tu deviens agressif à mon égard? Pourquoi Je dois avoir honte. Le Maroc n’a pas malheureusement changé. Bla-bla-bla pareil comme ce prince. Il est inutile d’échanger avec toi.
@@humenbon2421 ton commentaire là explique bien la honte à toi, car tu n'a pas pu donner un simple argument de ta thèse malgré mes questions logiques et encore tu terminé avec un jugement de valeur.!!!!!
Le MAROC est un pays AMAZIGH
ELIMINATION de l autre.
arretez de vous BS
@@Darck358 nn cest une realité historique, Nous ne sommes pas arabes ns sommes arabophones
@aben350 amazigh à 100%
Le Maroc de 2024 est un pays multi-culturel
Sionisme et démocratie est ce compatible 😂
Caporaux et démocratie ça sonne mieux
@@tarek7238je suis d'accord ! kaporaux karghoulis de-gauliens s'entend ! la pire combinaison du monde sous développé !
J’allais dire la même chose.
Apparemment oui, lorsqu’on voit nos élus républicains🇫🇷en pleine priere avec des rabbin à l’Élysée le temple des talibans de la laïcité … ☝️☀️🤫🤡
Arrêtez avec le monde arabe on est amazigh comme vous êtes français et pas roumains
Vous êtes une minorité dans le monde arabe malgré vous êtes amazigh.
Arrêtez avec cette crispation autour de l’identité ! C’est une appellation issue de la répartition des UN,on nous appelle la région MENA! Dans le futur avec les Canaries on pourrait devenir un bloc économique Amazigh ou autre !c’est politique et économique pas culturel
@tanzel3akri116 oui bien sûr et l'arabe imposé à l'école aussi c'est une appellation? Les tournois de foot "arabe" aussi? ..c'est une colonisation qui doit terminer on est pas des arabes et on veut pas l'être
Dans le monde, il y a bien plus d'Imazighen que d'Arabes !
Vive israel qui a su reprendre sa terre @@joeaxel4588
La question ne se pose pas plus pour l'islam que pour les autres croyances...sauf que d'autres ont procédé à certaines mises à jour que nos chers oulémas quelque peu dépassés ne peuvent concevoir sans se remettre eux-mêmes en question
Un aggiornamento en quelque sorte, un changement de paradigme....
Mais ils disent "nada" !
Comme ils sont en position de force...en terre d'islam
Mises à jour comme bénir le mariage homosexuel à l’église catholique ??? !!!
C'est ça ce que tu revendique???
@@jafrim21 La seule et intelligente mise à jour serait de considérer que le coran n'est pas incréé.
@@jafrim21
Moi je ne revendique rien , je constate cependant qu'il fait plus bon vivre à Bali qu'à Kaboul....et pourtant les deux endroits sont terres d'islam
@@bozroro Je vois votre point de vu mais il semblerait que vous n'ayez pas connaissance des points suivants:
1. Sur la souveraineté populaire dans une démocratie :
Votre argument repose sur l’idée que la souveraineté appartient exclusivement au peuple dans une démocratie, excluant toute influence religieuse. Cependant, cette vision découle d'un contexte historique propre à l’Europe. La séparation entre l’Église et l’État, au cœur de la démocratie moderne, a été une réponse aux abus commis par les institutions religieuses chrétiennes au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime. L’Église catholique imposait des dogmes inflexibles et intervenait dans la gouvernance pour restreindre les libertés individuelles et la pensée critique.
En revanche, l’islam n’a jamais connu un clergé organisé comme l’Église catholique ni une institution religieuse centralisée. Les abus religieux de ce type n’ont jamais été une réalité systémique dans les sociétés musulmanes. Ainsi, la nécessité de séparer strictement religion et politique, comme cela s’est imposé en Europe, ne s'applique pas de la même manière à l’islam.
2. L’islam et la consultation démocratique (Shura) :
Vous affirmez que la religion ne peut exister dans une démocratie que comme une croyance privée. Pourtant, l’islam intègre dès ses fondements des principes démocratiques. Le concept de shura (consultation mutuelle) est central dans la gouvernance islamique :
> "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires." (Coran 42:38)
Historiquement, des exemples comme le califat de Omar Ibn Al-Khattab montrent que les décisions étaient prises en consultation avec la communauté. Bien que cela ne corresponde pas exactement aux systèmes modernes, ces pratiques témoignent d’une participation collective à la gouvernance.
3. L’exemple des démocraties modernes dans le monde musulman :
Contrairement à l’idée que l’islam et la démocratie sont incompatibles, de nombreux pays musulmans montrent qu’ils peuvent coexister. Prenons l’exemple de l’Indonésie, la plus grande démocratie musulmane au monde, qui garantit la liberté de culte et la participation politique.
Cet exemple démontre que les valeurs islamiques, comme la justice, l’égalité et la liberté, peuvent être intégrées à des principes démocratiques modernes.
4. La liberté et la dignité humaine en islam :
Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’islam prône la liberté individuelle et rejette toute contrainte en matière de croyance :
> "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256)
Ce verset établit clairement que la foi est une question personnelle, un principe fondamental des démocraties modernes. De plus, il reflète une ouverture qui, historiquement, a permis aux sociétés musulmanes d’accueillir des minorités religieuses et culturelles.
5. Les abus historiques en Europe et leur absence dans le monde musulman :
En Europe, l’alliance entre le pouvoir religieux et politique a conduit à des siècles d’oppression : Inquisition, guerres de religion, et contrôle des souverains par le clergé. La Révolution française, par exemple, a marqué une rupture violente avec cette emprise.
Dans le monde musulman, l’histoire est différente. Si des abus politiques ont existé, ils n’étaient pas liés à une institution religieuse centralisée comme l’Église catholique. Les savants religieux (ulémas) n’ont jamais eu un pouvoir équivalent à celui du clergé chrétien et étaient souvent indépendants des souverains.
6. L’islam et la modernité :
De nombreux penseurs musulmans modernes, comme Rachid Ghannouchi ou Muhammad Iqbal, ont démontré que l’islam, lorsqu’il est compris dans son essence, encourage la démocratie. Ghannouchi, par exemple, affirme que la shura et la démocratie partagent des principes fondamentaux, notamment la participation collective, la justice, et la protection des droits individuels.
En somme, votre argument selon lequel la religion, y compris l’islam, ne peut exister que comme une croyance privée dans une démocratie repose sur une généralisation historique propre à l’Europe. L’islam, dans son essence, est compatible avec les valeurs démocratiques, car il prône la consultation, la justice, l’égalité, et la liberté. Les abus que vous attribuez aux religions sont un produit de contextes spécifiques, principalement européens, et non une caractéristique universelle des systèmes religieux.
Il finit toujours par friser l'intellectualisme hautain !
Il regarde toujours les quarante millions de Marocains d'en haut !
Enfin, il est et resté hostile aux Droits linguistiques et Culturels des Amazighs (les Berbères) qui sont, je rappelle, les autochtones du Maroc et par extension de tous les pays Nord Africains.
L'islam est une religion qui, une fois pénètre le champ politique, redevient une idéologie coercitive ...la preuve en est le tollé qu'ont déclenché les dernières déclarations du ministère des affaires islamiques qui disait que les Marocains sont laïques !
Qu'est ce qu'un grand expert international comme Moulay Hicham fait sur cette minable antenne d'extrême droite ?!
C’est pour son bouquin ! et après tout ! pourquoi pas ? Notre Hicham Alaoui lui a remis les pendules à l’heure sur qqs sujets épineux 😂
@wawalgrimlins9779 c'est une radio facho on ne pactise pas avec ces énergumènes quelques soient le motif (commercial) leurs vie et chiffre d'affaires n'est réalisé que sur la haine des musulmans.
On est pas arabe !
L’islam et la démocratie sont souvent perçus comme incompatibles, mais cette idée repose sur des malentendus historiques, politiques, et culturels. En réalité, l’islam, dans son essence, porte des principes qui soutiennent et encouragent des valeurs démocratiques, notamment la consultation, la justice sociale, et l’égalité. Voici un argumentaire détaillé basé sur des références réelles pour démontrer la compatibilité de l’islam et de la démocratie, et même l’idée que la démocratie est au cœur de l’islam authentique.
---
1. La consultation (Shura) : un principe coranique proche de la démocratie
Le Coran appelle explicitement à la consultation mutuelle dans la gouvernance :
> "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires, et dépensent de ce que Nous leur attribuons." (Coran, 42:38)
Shura, ou la consultation, est un mécanisme de prise de décision collective. Bien que son application ait varié à travers l’histoire, ce concept coranique correspond à l’idée démocratique selon laquelle les dirigeants doivent consulter et tenir compte des opinions de ceux qu’ils gouvernent.
Dans le califat de Omar Ibn Al-Khattab, la shura a été institutionnalisée à travers un conseil consultatif pour discuter des affaires publiques, un exemple historique de gouvernance collective.
---
2. La justice sociale et l’égalité comme piliers de la gouvernance islamique
L’islam prône une gouvernance basée sur la justice et l’égalité devant la loi :
> "Certes, Allah vous commande de rendre les dépôts à leurs ayants droit, et lorsque vous jugez entre des gens, de juger avec équité." (Coran, 4:58)
La justice sociale est un objectif central de l’islam, et une gouvernance démocratique repose sur cette même base en garantissant les droits des citoyens, en protégeant les minorités et en s’assurant que les décisions politiques soient équitables.
L’idée d’égalité en islam (en particulier dans le cadre des droits individuels, de la propriété, et de la dignité humaine) correspond au fondement de la démocratie moderne.
---
3. La liberté et la dignité humaine
Le Coran insiste sur la liberté de choix et de croyance :
> "Nulle contrainte en religion, car le bon chemin s’est distingué de l’égarement." (Coran, 2:256)
Ce verset établit la liberté individuelle comme un droit fondamental, un concept clé dans les démocraties modernes.
Les théologiens modernes, comme Tariq Ramadan et Muhammad Asad, soulignent que la liberté de croyance et d’expression en islam doit s’étendre à tous les aspects de la vie, y compris le droit de critiquer et de participer aux processus politiques.
---
4. L'élection des dirigeants dans l’histoire islamique
L’islam n’impose pas un modèle rigide de gouvernance, mais le califat des premiers successeurs du Prophète (Abou Bakr, Omar, Othman et Ali) montre des principes qui ressemblent à des pratiques démocratiques.
Abou Bakr a été choisi après un processus consultatif parmi les compagnons du Prophète.
Omar Ibn Al-Khattab a mis en place un conseil pour nommer son successeur, une forme de délibération collective.
Bien que ces pratiques ne soient pas identiques aux élections modernes, elles témoignent d’un engagement à impliquer la communauté dans la prise de décision.
---
5. Les théologiens modernes et l’interprétation progressiste
Des penseurs contemporains ont travaillé à démontrer la compatibilité entre islam et démocratie :
Rachid Ghannouchi, leader tunisien du parti Ennahda, affirme que la démocratie n’est pas seulement compatible avec l’islam, mais qu’elle en découle. Selon lui, la shura et les institutions démocratiques modernes partagent des principes fondamentaux.
Abdou Filali-Ansary, philosophe marocain, soutient que les concepts islamiques de consultation et de justice appellent à une gouvernance participative et démocratique.
Muhammad Iqbal, poète et philosophe pakistanais, a également plaidé pour un "ijtihad collectif" (interprétation indépendante) en utilisant des institutions démocratiques pour mettre en œuvre les principes islamiques dans des contextes modernes.
---
6. L’exemple des démocraties musulmanes
Plusieurs pays musulmans démontrent que l’islam peut coexister avec des systèmes démocratiques :
Indonésie : Le pays avec la plus grande population musulmane au monde est une démocratie où la liberté de culte et la participation politique sont garanties.
Tunisie : Depuis la révolution de 2011, la Tunisie a établi un système démocratique où l’islam et les principes de pluralisme coexistent.
Malaisie et Sénégal : Ces pays combinent gouvernance démocratique et valeurs islamiques, tout en respectant la diversité religieuse et culturelle.
---
7. Les obstacles ne sont pas religieux mais politiques
Les critiques de la compatibilité entre islam et démocratie sont souvent liées à des régimes autoritaires et non à la religion elle-même. Dans de nombreux pays musulmans, les régimes utilisent l’islam pour justifier des pratiques antidémocratiques, alors qu’en réalité, c’est l’interprétation politique et non les principes religieux qui est en cause.
---
Conclusion : La démocratie au cœur de l’islam authentique
L’islam, dans ses textes fondateurs et son histoire, valorise la justice, l’égalité, la consultation et la liberté, qui sont des piliers fondamentaux de la démocratie. La divergence perçue entre islam et démocratie est principalement due à des interprétations culturelles ou politiques, et non aux principes religieux eux-mêmes. Une lecture authentique et contextuelle de l’islam révèle qu’il ne s’oppose pas à la démocratie, mais qu’il en partage et en encourage les valeurs essentielles.
excellent commentaire qui répond clairement et avec des preuves.
@@BeforeLeavingLife
1- La democratie: forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple ; État ainsi gouverné.( Définition du dictionnaire le Robert).
La souveraineté appartient au peuple veut dire que c'est le peuple qui gouverne ( fait et applique les lois).
2 - État : " est une forme d'association qui défende et protège ,de toute la force commune, la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun s'associant à tous , n'obeisse pourtant qu'à lui même et reste aussi libre qu'auparavant." J. J Rousseau.
l'État est donc une forme d'association sur la base de conventions ( lois , règles , normes...) que J. J .Rousseau appel le contrat social et conclu que le citoyen est auto législateur c'est à dire que c'est lui qui fait les lois ( Donc des lois des Humains pour réglementer les relations d'indépendance entre humains).
Si la souveraineté appartient au peuple pour appliquer des lois que lui même a conçus selon l'évolution des relations d'interdépendance ( antagoniques , circonstancielles ...) entre les individus qui le composent alors où est la place de la religion.
L'islam ou toute autre religion ne peut exister dans une démocratie ou toute autre forme de république qu'en tant que croyance ( foi) et culte et non pas comme système politique.
@@BeforeLeavingLife
Est ce que vous pouvez conclure un contrat de location d'un logement en écrivant dans ce contrat seulement " selon les sourates du coran".
Est ce que vous pouvez conclure un mode de payement avec quelqu'un en écrivant selon l'islam.
Etc.
l'État est un contrat entre les citoyens fait de clauses ( conventions , lois , règles , règlements , codes , normes...).
@@mahchachastan3401 Je vois votre point de vu mais il semblerait que vous n'ayez pas connaissance des points suivants:
1. Sur la souveraineté populaire dans une démocratie :
Votre argument repose sur l’idée que la souveraineté appartient exclusivement au peuple dans une démocratie, excluant toute influence religieuse. Cependant, cette vision découle d'un contexte historique propre à l’Europe. La séparation entre l’Église et l’État, au cœur de la démocratie moderne, a été une réponse aux abus commis par les institutions religieuses chrétiennes au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime. L’Église catholique imposait des dogmes inflexibles et intervenait dans la gouvernance pour restreindre les libertés individuelles et la pensée critique.
En revanche, l’islam n’a jamais connu un clergé organisé comme l’Église catholique ni une institution religieuse centralisée. Les abus religieux de ce type n’ont jamais été une réalité systémique dans les sociétés musulmanes. Ainsi, la nécessité de séparer strictement religion et politique, comme cela s’est imposé en Europe, ne s'applique pas de la même manière à l’islam.
2. L’islam et la consultation démocratique (Shura) :
Vous affirmez que la religion ne peut exister dans une démocratie que comme une croyance privée. Pourtant, l’islam intègre dès ses fondements des principes démocratiques. Le concept de shura (consultation mutuelle) est central dans la gouvernance islamique :
> "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires." (Coran 42:38)
Historiquement, des exemples comme le califat de Omar Ibn Al-Khattab montrent que les décisions étaient prises en consultation avec la communauté. Bien que cela ne corresponde pas exactement aux systèmes modernes, ces pratiques témoignent d’une participation collective à la gouvernance.
3. L’exemple des démocraties modernes dans le monde musulman :
Contrairement à l’idée que l’islam et la démocratie sont incompatibles, de nombreux pays musulmans montrent qu’ils peuvent coexister. Prenons l’exemple de l’Indonésie, la plus grande démocratie musulmane au monde, qui garantit la liberté de culte et la participation politique.
Cet exemple démontre que les valeurs islamiques, comme la justice, l’égalité et la liberté, peuvent être intégrées à des principes démocratiques modernes.
4. La liberté et la dignité humaine en islam :
Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’islam prône la liberté individuelle et rejette toute contrainte en matière de croyance :
> "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256)
Ce verset établit clairement que la foi est une question personnelle, un principe fondamental des démocraties modernes. De plus, il reflète une ouverture qui, historiquement, a permis aux sociétés musulmanes d’accueillir des minorités religieuses et culturelles.
5. Les abus historiques en Europe et leur absence dans le monde musulman :
En Europe, l’alliance entre le pouvoir religieux et politique a conduit à des siècles d’oppression : Inquisition, guerres de religion, et contrôle des souverains par le clergé. La Révolution française, par exemple, a marqué une rupture violente avec cette emprise.
Dans le monde musulman, l’histoire est différente. Si des abus politiques ont existé, ils n’étaient pas liés à une institution religieuse centralisée comme l’Église catholique. Les savants religieux (ulémas) n’ont jamais eu un pouvoir équivalent à celui du clergé chrétien et étaient souvent indépendants des souverains.
6. L’islam et la modernité :
De nombreux penseurs musulmans modernes, comme Rachid Ghannouchi ou Muhammad Iqbal, ont démontré que l’islam, lorsqu’il est compris dans son essence, encourage la démocratie. Ghannouchi, par exemple, affirme que la shura et la démocratie partagent des principes fondamentaux, notamment la participation collective, la justice, et la protection des droits individuels.
En somme, votre argument selon lequel la religion, y compris l’islam, ne peut exister que comme une croyance privée dans une démocratie repose sur une généralisation historique propre à l’Europe. L’islam, dans son essence, est compatible avec les valeurs démocratiques, car il prône la consultation, la justice, l’égalité, et la liberté. Les abus que vous attribuez aux religions sont un produit de contextes spécifiques, principalement européens, et non une caractéristique universelle des systèmes religieux.
Moulay Hicham est un panarabiste, don idéologie est depassee aujourd'hui
La question c'est la l'islam est compatible avec le sionisme et avec l'imperialisme americain.
La chine comuniste est compatible avec tour le monde, sauf avec les ambitions des etats unis de l'amerique et de l'union europeenne.
J'ai bc ris en entendant le journaliste dire que l'europe a trouvé sa democratie 😂😂😂
l'Indonésie est le pays avec le plus de musulmans au monde. Et les Indonésiens respectent la démocratie et l'état de droits. Cela n'a rien à voir l'Islam mais plus avec les cultures locales.
C un pays laic
La démocratie occidentale n’est pas un model. C’est un système instable.
Bravo my Hicham tu nous fais honneur en tant que prince et en tant qu'un intellectuel marocain.
طريقة تحليله للقضايا يذكرني بالمرحوم الحسن الثاني . .
إنه إنسان مثقف بمعنى الكلمة . .
FAUX , si il y a une guerre nous MRE seront sans pitié avec eux ! ARRÊTEZ DE DIRE N’IMPORTE QUOI !!!
Ce sont nos enfants, jamais nous ne serons sans pitié contre les kouloughlis.
Les Forces armées Royale a elle seule peut donner une bonne correction aux karakiros.
لك الله يا وطني دمعي تزف لما ارى فرنسا متغلغلة في دولة عمرها 1200 سن
المغرب كان متغلغلا في الأندلس! التاريخ يعيد نفسه
Le Maroc 🇲🇦 n'est pas Arabe il est Amazigh ♓️
Vive le roi Mohamed 6
Je vois votre point de vu mais il semblerait que vous n'ayez pas connaissance des points suivants:
1. Sur la souveraineté populaire dans une démocratie :
Votre argument repose sur l’idée que la souveraineté appartient exclusivement au peuple dans une démocratie, excluant toute influence religieuse. Cependant, cette vision découle d'un contexte historique propre à l’Europe. La séparation entre l’Église et l’État, au cœur de la démocratie moderne, a été une réponse aux abus commis par les institutions religieuses chrétiennes au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime. L’Église catholique imposait des dogmes inflexibles et intervenait dans la gouvernance pour restreindre les libertés individuelles et la pensée critique.
En revanche, l’islam n’a jamais connu un clergé organisé comme l’Église catholique ni une institution religieuse centralisée. Les abus religieux de ce type n’ont jamais été une réalité systémique dans les sociétés musulmanes. Ainsi, la nécessité de séparer strictement religion et politique, comme cela s’est imposé en Europe, ne s'applique pas de la même manière à l’islam.
2. L’islam et la consultation démocratique (Shura) :
Vous affirmez que la religion ne peut exister dans une démocratie que comme une croyance privée. Pourtant, l’islam intègre dès ses fondements des principes démocratiques. Le concept de shura (consultation mutuelle) est central dans la gouvernance islamique :
> "Et ceux qui répondent à l'appel de leur Seigneur, accomplissent la Salat, se consultent entre eux à propos de leurs affaires." (Coran 42:38)
Historiquement, des exemples comme le califat de Omar Ibn Al-Khattab montrent que les décisions étaient prises en consultation avec la communauté. Bien que cela ne corresponde pas exactement aux systèmes modernes, ces pratiques témoignent d’une participation collective à la gouvernance.
3. L’exemple des démocraties modernes dans le monde musulman :
Contrairement à l’idée que l’islam et la démocratie sont incompatibles, de nombreux pays musulmans montrent qu’ils peuvent coexister. Prenons l’exemple de l’Indonésie, la plus grande démocratie musulmane au monde, qui garantit la liberté de culte et la participation politique.
Cet exemple démontre que les valeurs islamiques, comme la justice, l’égalité et la liberté, peuvent être intégrées à des principes démocratiques modernes.
4. La liberté et la dignité humaine en islam :
Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’islam prône la liberté individuelle et rejette toute contrainte en matière de croyance :
> "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256)
Ce verset établit clairement que la foi est une question personnelle, un principe fondamental des démocraties modernes. De plus, il reflète une ouverture qui, historiquement, a permis aux sociétés musulmanes d’accueillir des minorités religieuses et culturelles.
5. Les abus historiques en Europe et leur absence dans le monde musulman :
En Europe, l’alliance entre le pouvoir religieux et politique a conduit à des siècles d’oppression : Inquisition, guerres de religion, et contrôle des souverains par le clergé. La Révolution française, par exemple, a marqué une rupture violente avec cette emprise.
Dans le monde musulman, l’histoire est différente. Si des abus politiques ont existé, ils n’étaient pas liés à une institution religieuse centralisée comme l’Église catholique. Les savants religieux (ulémas) n’ont jamais eu un pouvoir équivalent à celui du clergé chrétien et étaient souvent indépendants des souverains.
6. L’islam et la modernité :
De nombreux penseurs musulmans modernes, comme Rachid Ghannouchi ou Muhammad Iqbal, ont démontré que l’islam, lorsqu’il est compris dans son essence, encourage la démocratie. Ghannouchi, par exemple, affirme que la shura et la démocratie partagent des principes fondamentaux, notamment la participation collective, la justice, et la protection des droits individuels.
En somme, votre argument selon lequel la religion, y compris l’islam, ne peut exister que comme une croyance privée dans une démocratie repose sur une généralisation historique propre à l’Europe. L’islam, dans son essence, est compatible avec les valeurs démocratiques, car il prône la consultation, la justice, l’égalité, et la liberté. Les abus que vous attribuez aux religions sont un produit de contextes spécifiques, principalement européens, et non une caractéristique universelle des systèmes religieux.
avec les démocraties chrétiennes totale incompatibilité ! Le visionnaire pape Jean-Paul 2 avait vu juste quand en 2003 il exhortait les chrétiens européens à se confronter à l’islam de manière objective. Par cette confrontation, il avait compris que l’islam était poussé à révéler son idéologie, ses fragilités, ses manques et ses abus de toutes sortes. Les textes islamiques ont été traduits et rendus accessibles sur internet, impossible de tricher, et tenter de les réinterpréter comme le font certains imams c’est s’enfoncer encore plus dans le déni. L’islam ne tiendra pas longtemps.
😂😂 l'islam ne fera pas que tenir, mais sa montée en force ne peut être niée que par les imbéciles, et c'est cette montée en force qui fait peur aux décideurs en Europe, car ils savent que c'est basé sur du solide, cest la raison pouf laquelle les gens se convertissent, et que les sottises de l'église et la falsification de la parole de dieu dans le christianisme ne tiendrons jamais face à la clarté de l'islam, c'est la raison pour laquelle on le combat avec tous les moyens possibles, dans toute la planète, comme l'ont fait leurs prédécesseurs, qui sont sous la terre, l'islam restera pour révéler l'hypocrisie de la démocratie des deux poids deux mesurés
Tout dépend de quelle démocratie parle-t-on! de la démocratie totalitaire,de la démocratie libérale ,ou de la démocratie capitaliste,ou bien de la démocratie du peuple par le peuple pour le peuple!!! Autrement ,c'est de la démagogie.
Il y a plus de démocratie en occident
Un Prince d une grande modestie , d une grande intelligence et de culture..👏
Pour moi il n a pas été très convaincant, paix a l âme de Hassan deux c était une autre pointure, lui était quelqu'un d exceptionnel
Les circonstances ont changé, dire mnt qu il ne faut pas naturaliser ni donner le droit au vote aux étrangers, relève de la folie.
Lah y Rehmek SM Hassan II ❤
@@ilikuol9551 le Roi
n était pas contre la naturalisation, pour le vote des étrangers c est très complexe, , exemple aux Émirats il y 5 fois plus d étrangers que les émiratis, en Guadeloupe il y a eu des émeutes ils ne voulaient pas que les français venant de l exagogne voter avec les autochtones parce que si il y a un référendum pour ou contre l indépendance il ne l auront jamais
Ce monsieur devrait se demander pourquoi il y a si peu de démocratie, de liberté individuelle, d'égalité entre les hommes et les femmes et de tolérance envers les juifs, les apostats, les mécréants, les gays, etc, etc. La religion serait-elle, par hasard un facteur important sinon primordial pour cet état de choses.?
@@Pivoine43
1. Démocratie et contexte culturel :
L’affirmation selon laquelle il y aurait "si peu de démocratie" dans les pays à majorité musulmane repose sur une généralisation qui néglige les contextes historiques, politiques, et économiques. La démocratie n’est pas seulement influencée par la religion, mais aussi par des facteurs comme le colonialisme, les divisions ethniques, et les interventions étrangères. Par exemple, de nombreux pays à majorité musulmane ont été colonisés, ce qui a laissé des systèmes politiques instables, souvent propices à l’autoritarisme.
2. Liberté individuelle et égalité en islam :
L’islam prône des valeurs fondamentales comme la justice et l’égalité. Le Coran affirme :
> "Ô vous qui avez cru ! Soyez stricts dans vos devoirs envers Dieu et soyez des témoins équitables." (Coran 4:135)
Historiquement, l’islam a joué un rôle dans la promotion de l’égalité, notamment en abolissant des systèmes de castes, en instituant des droits pour les femmes (héritage, divorce, propriété), et en rejetant le racisme. Si des inégalités persistent aujourd’hui, elles sont souvent le résultat d’interprétations culturelles et non des enseignements islamiques.
3. Tolérance envers les autres croyances :
L’islam a une longue tradition de coexistence avec d’autres religions. Dans plusieurs sociétés musulmanes médiévales, comme l’Espagne islamique (Al-Andalus) et l’Empire ottoman, les juifs, les chrétiens, et les musulmans ont cohabité pacifiquement. Le Prophète Muhammad (paix et salut sur lui) a établi un modèle de coexistence dans la Constitution de Médine, qui garantissait la liberté de culte aux non-musulmans.
Le verset suivant est un rappel fondamental :
> "Nulle contrainte en religion." (Coran 2:256)
Les intolérances modernes, qu’elles soient religieuses ou sociales, ne sont donc pas des normes islamiques, mais souvent des déviations dues à des dynamiques politiques ou culturelles.
4. Sur les droits des femmes et des minorités :
L’islam a introduit des droits avancés pour les femmes à une époque où ils étaient inexistants ailleurs : droit à l’héritage, droit au divorce, et droit à l’éducation. Si des discriminations persistent, elles sont liées à des traditions patriarcales ou à des lectures restrictives de la religion, et non aux enseignements fondamentaux de l’islam.
Concernant les minorités (comme les LGBTQ+), il est vrai que les sociétés musulmanes sont souvent conservatrices sur ces sujets. Cependant, il convient de noter que ce conservatisme n’est pas unique aux pays musulmans, mais se retrouve aussi dans d’autres sociétés religieuses ou traditionnelles.
5. La religion comme facteur :
Vous mentionnez que la religion pourrait être un facteur primordial des problèmes cités. Il serait plus précis de dire que ce sont souvent des interprétations humaines de la religion, influencées par des contextes sociaux et politiques, qui posent problème. En islam, le Coran et la Sunna (tradition prophétique) offrent des bases pour des sociétés justes et inclusives. Cependant, comme pour toute idéologie ou système de valeurs, l’application dépend des individus et des contextes.
6. Comparaison avec d’autres contextes :
Les abus commis au nom de la religion ne sont pas spécifiques à l’islam. En Europe, l’Inquisition et les guerres de religion ont également démontré les dangers d’une interprétation extrême des dogmes religieux. Cependant, ces épisodes ne définissent pas le christianisme dans son ensemble. De la même manière, il serait injuste de réduire l’islam aux pratiques ou abus de certains groupes ou gouvernements.
Plutôt que de blâmer la religion comme facteur unique, il est essentiel d’analyser les contextes politiques, économiques, et historiques qui influencent les sociétés. L’islam, dans son essence, est compatible avec des valeurs universelles comme la démocratie, l’égalité, et la tolérance. Les défis modernes dans certaines sociétés musulmanes ne sont pas le produit de la religion en elle-même, mais de son instrumentalisation ou de malentendus sur ces enseignements.
Si on se pose la question toutes les deux semaines, c'est qu'on a déjà la réponse...
Évidemment que non
Qu'en est-il des autres religions ?
C q on est malade pas oui! Que les psychopathes tombent dans cette obsession
Pauvre c
On pose souvent la question "la france est elle raciste ?". Pourtant on pense en général que Non.
Ton raisonnement ne tient donc pas.
Voilà la réponse.
La démocratie est par définition laïque et donc l'islam ne peut exister en démocratie que comme croyance ( foi ) et culte religieux comme c'est le cas du christianisme dans les démocraties européennes.
Amen.
La démocratie pratique et concrete qui interesse les musulmans est fondamentalement anglaise, pas française. La version française de la démocratie ne sert à rien.
🤣🤣🤣🤣 La démocratie et l'islam n'ont rien en commun. Ton roi se balade en Europe pendant que les Marocains souffrent et meurent en Méditerranée pour venir en France
@@GJRBHUYCEQHKJCGA24AC7-k9s
On s'en fout royalement de ce que pensent les ploucs.
@@GJRBHUYCEQHKJCGA24AC7-k9s
On s'en fout royalement de.ce.que disent les bobos et leurs ploucs..
C est du flan.. "la parole d’Allah est valable en tous temps et en tous lieux"...
Pays de l'OCI : Afghanistan, Albanie, Algérie, Arabie saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Bangladesh, Bénin, Brunei Darussalam, Burkina Faso, Cameroun, Comores, Côte d'Ivoire, Djibouti, Égypte, Émirats arabes unis (EAU), Gabon, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Guyana, Indonésie, Irak, Iran, Jordanie, Kazakhstan, Kirghizistan, Koweït, Libye, Liban, Malaisie, Maldives, Mali, Maroc, Mauritanie, Mozambique, Niger, Nigeria, Oman, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palestine, Qatar, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Suriname, Syrie*, Tadjikistan, Tchad, Togo, Tunisie, Türkiye, Turkménistan, Yémen > Combien de démocraties fonctionnelles ?
ⵉⵙⴽ ⵜⵛⴰ ,
Cousin du roi qui parles des arabes ( Arabie Saudites et Yemens..ect) mais pas les Marocains , simplement car nous sommes pas des arabes .
Utulisent le mot Marocains au lieu de Arabes.
nous sommes arabo-amazigh
Avoir était islamiser c'étaient une chose mais ethniquement les maghrébins non rien d'arabe voyager vous allez voir si les arabes de la péninsule arabique considère l'Afrique du Nord comme les leurs c'est une blague j'espère hein.
La fête juive d"Hanouka a ete célébrée à l'Élysée pas la Aïd Laissez les musulmans tranquilles
La France est judéo-chrétienne et pas musulmane
Je comprends pas pourquoi c'est toujours la question de l'islam n'est pas compatible avec la république et le judaisme il est compatible ?
Sachant que la charia en islam est vraiment basé sur la torah on part pas du vide . La charia juif.
Mais vous prennez les gens pour des cons.
En plus qui veut faire la charia en france vous pouvez nous les montrer . Est ce qu'il y a une partie politique qui veut faire ça. Mais franchement n'importe quoi.
Même dans les pays musulmans personne n'en parle.
A la place de chercher les coupables qui ont laissé la france en retard économiquement et dans la recherche scientifique dans les technologies Future et les batteries des voitures électriques par exemple on nous casse les couilles avec islam charia compatible palestine israel . What the fuck
Petite précision : la France a dans sa devise "fraternité", c'est ce point qui pose un problème avec l'islam, car pour vivre ensemble avec le minimum de conflit, il faut qu'il y ait plus de 80% de code moral identique et que les 20% restant soit sûr des point mineurs (traiter les femmes comme des objets[Coran 4:34] = c'est mal/être violant envers les personnes des autres religions[Coran 9:5] = c'est mal / punir ceux qui quittent la religion[Coran 4:89] = c'est mal /...) plus, il y a de différence forte sur les codes morale, plus il y aura des conflits ou, plus on vivra séparé.
Ce qui permet qu'on vive ensemble en France est que 70% des musulmans français ne respecte que 60% du Coran( les parties qui prônent la paix entre les musulmans) soit par méconnaissance, soit par principes moraux.
Cela fait d'eux des mauvais musulmans(*) vis-à-vis de l'islam, mais des personnes avec qui on peut cohabiter en France (pour vivre en "fraternité" il faut aussi enlever le côté communautariste de l'islam [Al-Ma'idah : Sourate 5, verset 51] ).
Le but du gouvernement quand il voulait faire un islam de France était d'interdire d'enseigner les parties problématiques de l'islam, mais cela revient à dire que ce que leur dieu a dit est problématiques ce qui fait que 30%(**) des imams de France ont refusé.
(*) Car ils ne suivent pas toutes les indications de leurs dieux or l'islam marche sur un principe d'obéissance aveugle
(**) chiffre approximatif, 3 confédérations ont refusé de signer la charte de l'islam de France en 2021
@@kokojungo1669 c'est surtout que dans leur religion, la liberté de conscience n'existe pas.
@@bennett9117 ce ne serait pas un problème si les seules obligations étaient : plante trois arbres par jour et mange de la nourriture saine (par exemple).
Le fait que tu DOIS obéir + que certain ordre sont problématiques pour la société française est le problème.
Le manque de liberté n'est donc pas la cause du problème, mais un facteur aggravant.
@kokojungo1669 certes.
@@kokojungo1669 « Eh bien, va les attaquer maintenant, détruis complètement tout ce qui leur appartient, sans pitié. Mets à mort tous les êtres vivants, hommes et femmes, enfants et nourrissons, bœufs et moutons, chameaux et ânes. » (1S 15.3).Psaumes : « Que ses descendants soient exterminés et que leur nom disparaisse dans la génération suivante ! » (Ps 109.13).
@@bennett9117ah bon ???!!! Tu peux nous montrer les preuves !!!???
Quand il s' agit de l integrité territoriale du Maroc il n y a pas place a la diplomatie des paroles
L'islam modéré est un oxymore.
@@excalibur4807 Ézéchiel 9:6"tuez les tous vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque; et commencez par mon sanctuaire! "
Et puis .....
Ézéchiel 9.5.
Ézéchiel 9:7
Etc......
@@excalibur4807 Citez une telle violence dans le Coran .....
F 2 p
@@ibnadjal😂, nous chauffe pas, ton coran est un concentré de violence. Sans parler des adith. Et puis de toutes façons votre religion a pompé sur la religion hébraïque, ne soyez pas jaloux, c'est la même m****. La différence est que les autres religions ont compris qu'il ne fallait pas appliquer tout ce que le bouquin leur disait de faire, contrairement à vous.
@@Yo-ue2ny Ta mère la chèvre
👍👍👍👍👏👏👏👏
Très intéressant merci merci
💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚💚
L'exemple de la france n'est nullement le meilleur pour l'intégration ou l'adhésion et les systèmes anglo-saxons le prouve bien
Mais attendez, monsieur, quel défi il faut plus te dire de que les croisées sont compatibles avec l’islam , parce que dans le livre sacré des musulmans, le Coran les trois sont cité Mouhamed, Jésus et Moïse , est-ce que c’est le cas dans les livres sacrés comme le Torah et la Bible ??
Il suffit de regarder les pays arabo-musulmans pour obtenir une réponse.
Arabo -musulmans ????!!! Leban il est gouverné par des chrétiens monsieur !!!
oui les geurres que le l'ouest a engendré et a fait pour avoir le petrole. tu te souvient pas de l' Iraq Syrie ...
ILS SUFFIT DE REGADRED ISRAEL POUR OBTENIR UNE Réponse israel la barbare criminelle
il y a des pays arabes qui vivent 100000000000 fois mieux que ton bled et que le karghoulistan !
je ne pourrai jamais devenir roi, alors je vais pooper dans la party.
Vous osez parler de démocratie ? Quelle indignité !
Khouya hichem qu'est-ce-que vous pensez de monarchie et démocratie:compatibles ?
Si on regarde bien le cerveau des Karakiros, on y retrouve un petit boukharouba Sidatique. 😅
La démocratie, l’état nation est est étranger à l’islam et aux pays arabes. On est davantage dans un état de type clanique, dans laquelle, la famille ou le clan est prépondérant. Ce n’est pas ce Monsieur qui pourrait dire le contraire, il est lui-même issu de la famille royale marocaine qui s’attribue les secteurs clés du royaume
Il est avant tout un penseur libre démocrate et ce n´est pas sa faute s´il est né dans une famille royale
Hicham El Alaoui est une personne extremement brillant et simple.
Vive le Maroc pays ouvert sur le monde, tolérant moderne tout en restant attaché à ses tradition millénaires...
Il est confu dans ses réponses. Il manque de clairvoyance
Bien Hicham ❤
Ce sujet est devenu une obsession et un délire pour ceux qui veulent hacker les conscience et distraire. Plutôt faut discuter démocratie vs occident, globalisation, Otan, soutien au génocide.....là on va découvrir des choses horribles
L'islam est l'origine de la démocratie
? Expliquez nous en quoi la tyrannie imposée par votre prophète dès la naissance de l'islam, a pu voir aboutir une démocratie ?
@@Fcpipo 🤣🤣🤣🤣🤣🤣 LOL
Comment?
@@Fcpipo
Platon parlait de république et donc de démocratie depuis 350 années avant Jésus Christ soit environ 900 ans avant l'islam.
L'islam n'est pas l'outil, le microscope ou le télescope avec quoi on cherche pour trouver la vérité, il y a autres choses pour cela telles que la raison , la logique , l'expérience...
😂😂😂😂 really
L islam n est pas et ne sera jamais compatible avec la démocratie, jamais.
malgré les efforts fournis pour le rendre un peu modéré mais Les textes restent un grand obstacle devant la réalisation de cette compatibilité.les textes sont tellement fermes
ها قول و الله.
Heureusement car face à la folie des Hommes, une démocratie peut conduire à des grands dérapages et abominations. Face à cela l'Islam restera pour l'éternité un rempart. La démocratie n'est qu'une désignation philosophique de la volonté du peuple par des mécanismes majoritaires.
@@Darck358 Encore faut-il croire que le coran est incréé. Vous avez des preuves ?
@@jonlouq2673 Ton existence est la meilleure preuve.
@@jonlouq2673et toi as-tu des preuves du contraire?
L'Islam et la démocratie cest deux mondes parallèles (de la part d'un ex musulman marocain)
خالتك.
UN MENTEUR.
Position aussi extrême que celle des obscurantistes. Il n'y a pas un islam, mais sur le terrain c'est plus diversifié que ça. Les cons des deux bords ne sont pas dans l'esprit d'évolution de la pratique de l'islam. Il suffit de retourner à l'histoire pour réaliser que le christianisme d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celui du passé.
L islam est plus noble et plus juste que la démocratie
amateur de sucette a la viande comme son roi je suppose
18 minutes pour parlé de son livre se transforme en plateau Cnews.
Aucune citation du livre ??
Heureusement que tu n'es pas roi. Allah al wata al malik.
Pour mpi il n'est pas crédible. Défenseur des droits de l'homme ???
Cet homme possede une fortune énorme lui et son frère
Pour lui j'aimerai qu'il reponde pourquoi des ouvriers agricoles employés dans ses fermes .ils sont payés une misère...
Il profite du système
la question n'est pas si islam est compatible avec demo, question c'est est ce que la demo est compatible avec l'islam. On s'en fou. Vive l'islam.
Hicham chez sud radio je reve 😂
Toujours des sujets xénophobes sur cette radio d’extrême droite
Passe ton chemin. Mieux, prends un aller sans retour direction ton bled.
j'ai vu la liberté et le respect d'autrui dans l'asie de sud est, je ne l'ai pas vu en europe
Quel pays exactement? Et de quel respect parlez vous?
@ Vietnam, Thailande, Malaisie …. j’y ai vu des boudhistes, musulmans, chrétiens … des filles en voile, des personnes transgendre …. tout le spectre culturel et identitaire, tout le monde est tranquille, tout le monde vit sa vie, il n’y a même pas de sujet, pas de polémique, rien, tous sont respectés … j’ai sentis que ces pays sont vraiment laïques
@@Jadido7 C'est vrai qu'on s'y sent bien dans ses pays, (surtout la Thaïlande). Par contre je ne vois pas de femmes voilées au Vietnam, il y a 0,08% de musulmans dans ce pays, donc bon, ils peuvent bien les tolérer. En effet on vit sa vie tranquille puisque si vous faites le malin ils vous coulent dans du béton. Bien entendu que c'est un état athée, en bon pays communiste qu'il est. Quant au transgenre, je n'en vois pas non plus.
La Malaisie : " Les lois laïques et islamiques interdisent le blasphème, et la conversion de l'islam à une autre religion peut être difficile." " Il existe également des restrictions sur le prosélytisme des musulmans par des non-musulmans. Le gouvernement utilise des cartes d'identité nationales pour déterminer la juridiction de la charia." " Les personnes LGBT de Malaisie ont souvent été vues comme immorales et traitées comme des déviants et des criminels". Super!
La Thaïlande, il y fait bon vivre c'est vrai. Mais quand même , les musulmans ne peuvent pas s'en empêcher : "Au cours des 18 dernières années, plus de 7 300 personnes sont mortes et 13 000 ont été blessées dans un conflit qui touche les trois provinces les plus méridionales de la Thaïlande : Pattani, Yala et Narathiwat, et qui s’étend aux régions voisines de la province de Songkhla."
Bon bref, je pense qu contraire qu'il y a de gros sujets à traiter.
pas en asie car les faiseurs de zizanie ne sont pas en force labas, je veux parler des assassins de prophètes
Monsieur Hicham Allaoui connaît beaucoup choses sur la monarchie marocaine et sur son cousin le roi du maroc 6, mais , on dirait qu'il a peur.
Le problème du Sahara occidental arrangé le Maroc et l Algérie pour les deux systèmes politique s y cache derrière.
Allez l'islamophobie c'est partie vive benyamine netanyahou !
Pourquoi il n'y pas dans le gouvernement il a bien parlé comme marocain je suis fier
Bien parlé.
سياسا بعيد عليك اشريف
trop lourd
Hicham, tu as décidé de tout laisser derrière toi. Alors laisse tout derrière toi. Laisse le Maroc et nous, les marocains tranquilles.
Régime mediatique laïque ou plutôt religieusement intégrisme laïque
He is such a hypocrit as usual.
Ce prince raconte de la MEr...
Pourquoi veut-on ériger la démocratie comme horizon indépassable ?! Déjà moi cette idée me pose problème! Vous faites quoi de la démocratie à l'américaine...Le système des grands électeurs, c'est l'arnaque ultime. T'as un vote populaire, mais au final, ce sont 538 types qui décident pour tout le pays. Un État comme le Wyoming, avec trois péquins et une chèvre, a proportionnellement plus de poids qu'un mastodonte comme la Californie. Résultat : tu peux avoir un président élu avec moins de voix que son adversaire, comme en 2000 ou 2016. En gros, ton vote compte pas pareil selon où tu vis. Ajoute à ça les manipulations des circonscriptions et les lois pour décourager certains électeurs... en plus des lobby qui dictent leur loi... la plus grande démocratie occidentale😂😂. Laisser les peuples choisir leur propre destinée...
L'Afrique du nord n'est pas arabe, mais ifriqy pour le Maroc, amazigh, Maures.
Je suis algérien, et je vous tire mon chapeau pour votre position
tres belle intervension de moulay hicham
L'afrique du nord ne fait pas partie du monde arabe
L'Afrique du nord est Amazigh.
toi tu ne fais pas parti du monde arabe le Maghreb si !
Non. C'est incompatible. Il n'y a pas de liberté de conscience en Islam et la hiérarchie des normes donne préséance au Coran.
Il y a le libre arbitre ....personne ne peut aller fouiller dans le cœur des gens ....après du point de vue sociétal chaque Etat est libre de ses choix ......en France le droit s'impose automatiquement dans les mécanismes d'organisation des Institutions et dans l'organisation juridique des Citoyens sachant que le droit est l'expression politique du moment.....
@ibnadjal non, nous ne serons jamais une République islamique. Et le libre arbitre est un concept philosophique occidental. En aucun cas, il n'apparait en Islam.
@ibnadjal deuxième réponse : il n'y a pas de libre arbitre en ce qui vous concerne. Et jamais, nous ne serons le genre de République que vous souhaitez.
Comment expliquer alors que les juifs ont vécu au Maroc pendant des siècles et continuent encore, sans qu'ils soient constraints de changer de religion? Par exemple, dans la constitution marocaine, la religion et la culture juive est une partie importante de l'identité marocaine alors comment penser qu'il n'y a pas de liberté de conscience dans l'Islam. Dans le Coran, il est dit: "il n'y a pas de contrainte dans la religion". Le problème est que certains courants extrémistes, ayant définit une juresse prudence qui date de plusieurs siècles, refusent de revenir sur cette jurisprudence car le monde a évolué depuis... résultat ils font beaucoup de tord à cette religion. C'est mon humble avis. Salutations.
Dis moi c'est quoi le destin des apostats dans l'islam, avec source bien sûre..
Je suis heureux d'apprendre que les questions soulevées par l'animateur ne relève pas du livre 13:10, le sujet est Islam et Démocratie, et non pas laïcité à la française la plus sécularisée au monde et Islam, il a eu une jolie formule sur les musulmans victimes collatérales de la déchristianisation forcenée de la France mais, le problème n'est pas là, le problème c'est le nombre, tu ne peut pas avoir dans l'école publique 3 communautés avec des habitudes alimentaires différentes, c'est un caffouillage incroyable, après le fait d'exiger que les mères qui cherchent leurs enfants à l'école ne porte pas le voile, ou qu'on enlève les allocations à des parents dont le fils est inculpé pour un délit, cela est de la pure folie.
Économie, nationalisme et démocratie : compatibles ? Les religions, sont peut-être basées sur de l'irrationalité mais ça a la qualité de générosité ce que les autres folies d'économie et de nationalisme ne sont pas. ;)
PS: Quand on est tout aussi ignare de la réalité, on ne fait pas la leçon aux autres.
La sourate 23 autorise le muz marié d'avoir des esclaves et de les v. Tu condamnes ?
Pour un tweet appelant à un cessez-le-feu, tu te trouve face à un juge. La démocratie et les valeurs quoi.
ne nous sommes pas que voisins nous sommes frères un vrais peuple frère un seul peuple Almaghariba ou les berbères divisés déchiqueté par vous les colons occidentaux et "les arabes? " ou arabo-musulman et ce monsieur est le symbole type qui représente ces deux colonisateurs les deux a la fois