[PPL] Conseils pour préparer sa navigation VFR
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- Опубліковано 23 сер 2024
- Salut à tous !
Aujourd'hui on va essayer de te donner quelques astuces pour simplifier tes navs, sans pour autant compromettre leur qualité, bien au contraire !
Tu verras qu'il n'est pas si difficile de préparer une nav. Il suffit d'être méthodique et prévoyant.
Même si tu es sur Flight Simulator, tu peux tout à fait découvrir les joies de la nav VFR.
Les cartes de navigation à vue sont disponibles ici : www.geoportail...
Pour comprendre les bases de la préparation d'une navigation VFR, voici les super vidéos de Good Pilot : • NAV 1 : Préparer et tr...
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![[PPL] NAVIGATION pour les nuls - Partie 1/5](http://i.ytimg.com/vi/-WPiYd9BBEE/mqdefault.jpg)
Merci pour vos bons conseils !!!!!
Christophe !!!!!
Explication claire et super la fiche infos nav ,je vais y penser et la réaliser
Merci pour vos précieux conseils
Super, hâte de mettre en œuvre vos conseils !
Merci 🙏🏼
Merci pour tous ces conseils ;)
Très très bonne explication , merci
Merci à toi :)
Merci
Salut,
N'étant pas pilote et ayant découvert MSFS il y a quelques jours seulement je me demandais si il n'étais pas hérétique de poser la question de la préparation d'une nav avec un simulateur et je découvre avec surprise que tu en parles. Je m'amuse bien à faire du VFR pur et dur en simulateur, compas, chrono, repères visuel, etc. c'est sympa de le faire à l'ancienne. J'utilise le site Mach 7 pour préparer les navs.
Hello,
Bien sûr que c’est une bonne idée ! Les simulateurs permettent de reproduire très fidèlement n’importe quel vol !
Enjoy :)
super ,merci
Je t’aime ❤️
Très clair et précis. Merci.
Toujours très clair...par contre qu'elle est l'intitulé la vidéo numéro 5?
Toujours au top. Je suis résolument fan ;) C'est normal, mais on sent bien que la question du facteur humain est CENTRALE. Peut-être une vidéo dédiée à ce point là ;) GG. Une remarque (si je peux me permettre) musique un peu trop forte à mon goût ;) Mon astuce ? Du scotch repositionnable sur ma carte VFR permettant de pas la fusiller et avoir toutes mes infos en vol ;)
Fly Safe !
Héhéhé merci Aymerix ! C'est vrai que j'axe souvent mes approches avec le facteur humain ! Mais t'inquiète, les vidéos sur le sujet arriveront vite ;)
Merci beaucoup pour ton conseil sur la musique ; je me posais d'ailleurs la question !
Et super idée le scotch, en plus j'imagine que tu vois un peu à travers ?
@@moninstructeur-aviationfor2087 Oui oui, on voit au travers et il n’abîme pas les cartes, même non plastifiées. ;)
Donc économies ...! Parfait, quoi !
Bravo et merci pour toutes tes vidéos, elles sont très instructives et inspirantes ! Peux-tu donner quelques références de ces fameux simulateurs de vol que tu utilises pour aider à préparer tes navigations ? Merci encore !!!
Merci à toi pour ton adorable retour :)
Perso j'ai toujours utilisé Flight Simulator (2004, X). J'en ai toujours été extrêmement satisfait, et surtout sur la partie "charge de travail". Le dernier, MFS2020, utilise de la photométrie (images satellites) et te donnera donc exactement la même impression visuelle que depuis les airs. Bien que certains add-ons offraient cette possibilité sur les anciens aussi.
Mais j'ai aussi toujours entendu beaucoup de bien d'X-plane. Moins concernant P3D ...
A plus ! :)
Encore merci pour cette vidéo ! Juste suite à mon précédent message, je voulais ajouter que la musique de fond c'est vraiment pas top, ça distrait (surtout moi qui suis musicien j'ai l'oreille naturellement attirée plus vers la musique que la parole !).
Donc même chose sans musique et ce sera parfait ! ;)
Ton, canapé c’est Ikéa ? 😃
J'ai une question est-ce que tu connais une appli pour mettre les plans VFR input comme un gps ?
Super bien expliqué ! À quand la préparation Ifr?
Merci beaucoup !
Bonne idée, on met ça dans la liste des vidéos à faire :)
Ça sera beaucoup moins formel, puisque la préparation IFR est beaucoup beaucoup plus simple. La difficulté n’est pas là, contrairement au VFR où la préparation est la base d’une navigation réussie.
A plus !
@@moninstructeur-aviationfor2087 D'accord ! Je commence très prochainement l'ifr, ir et me, j'appréhende un peu pcq je ne sais pas trop à quoi m'attendre
C’est moins méchant que ça en a l’air (surtout le ME).
Pour l’IFR, ce qui change c’est que la difficulté est surtout dans ta tête. C’est la charge de travail qui devient dure à gérer.
La mise en place de routines personnelles en vol pourra t’aider à surmonter les coups de chaud. Et puis entraînement, entraînement, entraînement :)
@@moninstructeur-aviationfor2087 très bien, merci pour tes réponses et tes conseils ! Bonne continuation dans le lancement de cette chaîne :)
Merci pour tes vidéos, c'est toujours très bien expliqué et intéressant !
Mais je me demande toujours pourquoi en 2022 les pilotes s'accrochent encore à des outils moyenâgeux totalement dépassés tels que la carte papier et le chronomètre, alors que ça fait des années qu'on a d'excellentes applis à disposition ?
Quand je vois ces conseils sur le pliage de carte, je n'arrive pas à croire qu'on en soit toujours aujourd'hui à ces méthodes totalement primitives et qui peuvent même être carrément dangereuses (pendant qu'on se bat en l'air avec la carte, on ne pilote pas l'avion).
C'est l'inverse qu'il faudrait faire : utiliser l'appli pour préparer sa nav et pour voler, et utiliser la carte uniquement en dernier recours.
Tu dis que ľobjectif principal est de réduire la charge de travail, donc pourquoi ne pas plutôt utiliser des outils modernes et performant, qui permettent précisément de réduire considérablement la charge de travail, et donc d'augmenter d'autant la sécurité ?
Quel est l'idiot au ministère des transports qui n'a pas encore compris qu'il était temps de réformer sérieusement la formation des pilotes ?!!
L'appli permet non seulement de préparer la nav beaucoup plus facilement et précisément, mais en plus en vol elle donne en permanence une foule d'informations précieuses : position, route, cap, altitude, vitesse sol, zones, etc...
Et en cas de besoin elle donne instantanément les fréquences, les terrains proches, etc... Ce qui n'empêche pas bien sûr de les préparer à l'avance, mais c'est une sécurité supplémentaire, car on ne peut pas forcément non plus prévoir absolument tout.
Et c'est bien plus sûr que le papier le chrono et le cap, qui sont très imprécis et peuvent amener à de grosses erreurs (on en voit la démonstration ici).
Et ça permet de préparer sa nav plus sereinement aussi, car sans tous les calculs (fastidieux et sources d'erreurs) ni les imprécisions des mesures manuelles.
Et ça n'empêche pas non plus d'avoir son navlog sur papier.
Et au pire du pire, si jamais rien ne fonctionne, en dernier recours tu peux toujours revenir à tout moment sur la carte papier en cas de besoin. Sachant que si tu es perdu en l'air, jamais une carte ne te donnera ta position, et tu risques de perdre un temps très précieux à tenter de trouver des points de repères.
Bref l'appli est une aide inestimable pour le pilotage, donc pourquoi s'en passer et vouloir rester sur les outils de grand-papa ?
C'est comme si un professeur de médecine disait à ses étudiants "je vais vous enseigner comment détecter une crise cardiaque grâce au pendule, parce que vous comprenez c'est la base, il faut maîtriser les outils traditionnels, l'ECG électronique ça peut tomber en panne, c'est juste en dernier recours" !
Oui je sais : l'électronique peut tomber en panne. Mais ce n'est pas un problème car il est facile d'avoir de la redondance (2 smartphones, ou bien smartphone + tablette).
Et puis le moteur aussi peut tomber en panne, pourtant on vole toujours sur des monomoteurs.
Désolé pour le coup de gueule, ce n'est pas du tout une attaque personnelle, c'est juste que je ne comprends pas cette idéalisation irrationnelle du papier et du chronomètre. ;) ;) ;)
Qui faut-il contacter pour qu'enfin le programme du PPL s'adapte à la réalité du terrain et du XXIème siècle ?
Hello, merci pour ton retour et ton partage d’avis :)
Je partage l’idée générale, mais pas forcément les conclusions que tu en tires :
Bien sûr, les applis qui existent aujourd’hui sont fabuleuses, relativement fiables, et donc très pratiques.
Mais tout d’abord d’un point de vue philosophique : Accepterais-tu que ta vie dépende uniquement d’une application sur IPhone ou IPad ? On n’est pas nonplus sur des centrales inertielles laser ultra performantes, couplées à des GPS et des moyens de radionav.
Aussi, bien que je sois un adepte de ces applications, leur utilisation est très simple. Il n’est pas autant nécessaire avec ces outils de se perfectionner avec autant d’ardeur qu’à « l’ancienne ».
De plus, il m’apparaît peu en phase avec la culture aéronautique d’utiliser ces applications sans même comprendre ce qu’elles font, les calculs qu’elles effectuent. Comment alors pourrait-on critiquer ce qu’elle nous indique, et donc savoir si on ne fonce pas droit dans une zone interdite, ou si on va tomber en panne sèche ?
Je ne dis pas qu’il ne faut pas les utiliser, mais qu’il faut les utiliser comme un moyen de contrôle, et non un moyen primaire de pilotage. Un PPL qui vole 3 fois par mois peut tout à fait prendre le temps de préparer sa navigation sur une carte avant de la rentrer dans la tablette. En revanche, pour un pilote pro qui enchaîne les vols dans la journée, ces applis sont encore plus pratiques, mais un CPL est beaucoup plus à même de se rendre compte d’une erreur de la machine, justement car il maîtrise bien plus l’art de la navigation à vue.
Aussi, quid d’une erreur que le pilote lui même aurait fait ? Ces applis fonctionnent grâce aux données que le pilote a entré à l’intérieur, mais une légère faute de frappe pourrait avoir de grosses conséquences.
Bien entendu, la charge de travail en vol est réduite, mais prudence, car d’expérience je sais qu’elle peut être TROP réduite, et vient alors le risque de « sortir de la boucle », d’être « derrière l’avion » comme on dit.
Concernant les pannes, bien sûr qu’une redondance est possible, mais si on perd le signal GPS, comment fait on ? En ces temps de guerre on a malheureusement vu cette situation très récemment en Finlande. Mais même un problème technique sur un satellite peut conduire à la même conséquence. En IFR, par exemple, pendant une approche GPS, on prévoit toujours un moyen de remettre les gaz sans GPS si celui ci devait perdre le signal pendant la descente finale.
Enfin, tu compares cela à un ECG, mais vois le autrement : un étudiant en médecine va certes utiliser un ECG électronique, mais auparavant il aura appris comment ça fonctionne, pourquoi, et quels en sont les principaux enjeux. De même qu’un pianiste apprend d’abord ses gammes, pour maîtriser ensuite l’instrument plus largement. Ou encore qu’un footballeur fera des jongles, ce qui est totalement inutile, mais servira ensuite sa technique dans un sens plus large.
Pour résumer, je suis bien évidemment pour ces applications, elles sont d’une aide redoutable. Mais les utiliser sans savoir faire sans est selon moi un non-sens. Surtout en VFR, ou le principe n’est certainement pas de se fier à un GPS, mais plutôt aux repères naturels ou artificiels extérieurs. Donc l’application oui, mais avec une carte à portée de main (qu’on plie au sol, pas en vol ;) ) et en sachant précisément ce qui se passe, et en étant capable de faire sans cette application.
Le sujet est très intéressant, on va se pencher sur une vidéo à ce sujet.
Merci encore pour ton partage,
Et bons vols ;)
@@moninstructeur-aviationfor2087 bonsoir, j'ai posté une longue réponse hier (en 2 messages), et bizarrement je ne la vois pas publiée, c'est normal ? Bug de UA-cam ou bien tu as supprimé mes messages ?
Non ça doit être un bug :)
@@moninstructeur-aviationfor2087 ok zut ça m'avait pris un temps fou ! Bon je reprends alors, et je voudrais commencer en expliquant que tous mes commentaires ne concernent QUE les pilotes amateurs, ULM ou PPL.
Bien sûr la situation est différente pour des pilotes pros, qui sont censés être des experts dans leur domaine, et qui ont les moyens (pour ne pas dire le devoir !) de maîtriser toutes les connaissances relatives à l'aviation.
C'est comme en médecine : on ne va pas enseigner à un secouriste comment faire une transplantation cardiaque à une victime d'accident cardiaque, alors que tout ce qu'on lui demande c'est d'utiliser le défibrillateur automatique et d'appeler les secours.
On va en toute logique lui enseigner l'utilisation du défibrillateur automatique, quand et comment l'utiliser, de manière à ce que la conduite à tenir soit simple, claire et précise, que ses gestes s'automatisent, et qu'il n'y ait aucun risque de confusion ou d'erreur.
Imagine que sa formation inclue aussi l'écoute au stéthoscope, l'intubation, l'interprétation des tracés cardiaques et le traitement du pneumothorax, ce serait totalement contreproductif, non seulement ce serait inutile, mais en plus ça provoquerait à coup sûr des confusions et des comportements erronés.
Je dois également préciser que contrairement à une fausse idée reçue, l'utilisation d'applis ne dispense pas de préparer sa nav tout aussi bien qu'avec la carte papier.
Même avec l'appli, je définis toujours mes points tournants, je prépare très soigneusement mon navlog avec les étapes, les fréquences, etc..., je prévois les éventuelles difficultés, etc...
Il ne s'agit pas (en tout cas pas pour moi) de se contenter de programmer un direct d'un point à un autre 5 minutes avant le vol, et ensuite de suivre bêtement le GPS.
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Ensuite j'aimerais soumettre un petit test à ta logique et à ta rationalité.
Listons d'abord les avantages et inconvénients de chaque système :
1 - NAVIGATION CARTE + MONTRE
Avantages :
La carte ne tombe pas en panne.
On apprend à faire les calculs manuellement.
Inconvénients :
Calculs trèèèèès approximatifs.
Utilisation longue et fastidieuse.
Risques d'erreurs non négligeables.
Difficulté d'utilisation en vol.
Grand risque de surcharge cognitive.
Ne permet pas de se repérer si on est vraiment perdu.
Obligation de changer régulièrement les cartes pour les garder à jour.
2 - NAVIGATION AVEC L'APPLI
Avantages :
Calculs rapides et précis.
Préparation facilitée.
Trajectoire facile à suivre en vol.
Risque de panne très réduit, et compensé par la redondance.
Indication des différentes zones et des fréquences.
En cas de problème on peut trouver rapidement le terrain le plus proche pour se dérouter.
Permet d'éviter la surcharge cognitive.
Inconvénients :
L'appli peut éventuellement tomber en panne (cet inconvénient étant facilement compensé par la redondance).
Sachant tout ça, quelle est selon toi la solution la plus sûre ?
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Il faut également parler de précision. Car quand on y réfléchit, c'est juste incroyable de lister voir toutes les approximations de la navigation "à l'estime"... qui du coup porte très bien son nom :
- On part sur l'idée d'une vitesse de déplacement qui est censée est invariable du début à la fin du vol, ce qui en réalité est totalement faux.
- On essaye de calculer la dérive à la louche (une grosse louche !), sans tenir compte du fait que le vent n'est jamais totalement régulier, ni en intensité ni en direction.
- On utilise des calculs approximatifs, qui donnent certes une idée de données, mais avec une marge d'erreur relativement grande.
- On mesure les distances à la règle avec une certaine marge d'erreur, et on multiplie ces chiffres un certain nombre de fois, multipliant du même coup l'erreur d'approximation.
- Durant la nav on se base sur le cap suivi, sachant qu'il est parfaitement impossible de maintenir "à la main" en permanence le même cap sans pilote auto.
- On se base également sur la montre, qui encore elle aussi présente une certaine marge d'erreur (sans parler des oublis de démarrer le chrono, ça peut arriver).
- On fait des calculs mentaux en vol, alors que la concentration est à 99% durant ce genre de nav, et qu'il reste peu de capacités cognitives au cerveau pour calculer efficacement, donc le risque d'erreurs est énorme.
Etc...
Bref, je ne sais pas si l'expérience a déjà été tentée, mais je suis certain que si on demande à un pilote de préparer et de faire un vol VRF "à l'ancienne" avec juste carte + montre, mais dans les conditions IFR, c'est à dire sans voir le sol, il aura beau avoir préparé sa nav au mieux, il risque d'arriver relativement loin de son premier point tournant (je ne parle même pas de la suite).
Conclusion : finalement le principal facteur qui lui permettra d'arriver à destination, c'est certainement beaucoup plus la vision du terrain que sa nav "à l'ancienne" et sa carte papier.
Hello,
Je vais essayer de raccourcir.
En commençant par la fin :
- La NAV « à l’ancienne » ne veut certainement pas dire de suivre bêtement un long de nav. Ça inclut un recalage permanent grâce aux repères environnants.
Elle peut donc être extrêmement précise, pour le peu qu’on s’y entraîne et qu’on s’y perfectionne.
- Je pense que tu n’as pas compris mon propos ; je ne dénigre pas les applications. Je dis juste qu’il ne faut pas oublier ses bases. Car oui, c’est la base de savoir naviguer ainsi.
La panne qui guette n’est pas celle de l’appli mais bien celle des satellites qui sont au dessus de nos têtes.
Il y a également l’inconvénient de la sous-charge de travail. Voler uniquement à l’appli, comme si c’était une simple voiture fait prendre le risque d’être derrière l’appareil. Alors à la campagne ça marchera bien, mais en zone très tendue, par exemple en région parisienne, être derrière peut signifier oublier un contact radio.
- Je ne dis pas que l’iPad doit être éteint, ou que la carte est le seul moyen à utiliser : je dis qu’il faut les deux. Qu’on ait toujours une carte à proximité. On ne parle pas de conduire un Kangoo la. Alors peut être qu’en ULM c’est une philosophie différente, mais en avion, CPL ou pas, il faut savoir naviguer à vue. Je ne parle pas d’en être un expert et de faire des déroutements a 500ft sol en évitant des CB. Mais de connaître ses bases.
En voiture, on apprend pendant le permis à suivre les panneaux. Pourtant, en vrai, on a la tête dans Waze pour se guider. Mais un bon conducteur vérifiera à chaque sortie d’autoroute que Waze a indiqué le bon panneau, et qu’il s’agissait bien de la sortie XXXX
Pour finir, tu parles de calculs « précis » avec l’appli. Mais ces calculs, ce n’est pas toi qui les fait. Comment être sûrs que ce sont les bons ? De même, l’appli ne connaît pas nonplus le vent.
Pour résumer, oui une appli c’est génial, c’est impressionnant, mais il ne faut pas croire que c’est la seule chose qui existe. Si un pilote privé n’a pas l’approbation EFB, c’est pas pour rien :)
Dans quelle compagnie volez vous ?
Bjr, j'ai besoin d'une formation sur le plan de vol oaci
Les sociologue peut devenir pilote ?
Bien sûr, tous les métiers peuvent se reconvertir en pilote !
Merci de retirer la music ,elle nous devie de notre consentration merci,instructeur
Stop la musique STP... Merci
On y pensera pour les prochaines, merci :)
Super mais pitié, pas de musique, ça ne sert pas le propos 😐
Merci