On ne peut pas attribuer à l'ensemble de l'écologie l'adhésion à certains courants de pensée ultra minoritaires lorsqu'on fait preuve de rigueur scientifique ou simplement d'honnêteté. Beaucoup trop de propos biaisés et partisans. Les exemples cités sont détournés ou tout simplement faux. C'est affligeant de voir autant d'énergie déployée pour un tel message. Par exemple, il ne faut pas confondre écologie et écologisme. L'écologie est une science qui se base sur les technologies les plus avancées pour étudier l'environnement et qui s'appuient sur bon nombre d'autres disciplines scientifiques qui en font de même (biologie, géologie, climatologie, etc.), en aucun cas l'écologie ne s'oppose à la modernité et encore moins à la technologie. Si vous pensez que l'écologie va vous ramener au chauffage au bois et à l'éclairage à la bougie, libre à vous de le croire, mais vous faites fausse route et vous feriez bien de vous informer auprès de sources fiables et sérieuses. Attention à la désinformation et aux bulles de filtres. Cette chaîne n'infuse aucunement la liberté, mais couve une idéologie malsaine.
On parle ici d'écologie politique...Vous faites exprès de ne pas comprendre ? "Cette chaîne n'infuse aucunement la liberté, mais couve une idéologie malsaine." Cette chaîne est tout à fait dans le thème. Ce n'est pas de leur faute si vous pensez que défendre les libertés individuelles sont une "idéologie malsaine". La liberté n'est peut-être pas la valeur politique que vous recherchez.
On sait de toute façon tous que les chaînes libertaires n'infusent généralement rien de bon.. de là il n'y a donc rien à attendre. Il y a encore moins à attendre de ce Azihari, qui excelle dans les procédés rhétoriques fallacieux. Un sophiste pédant, rien de plus. Un cuistre au service du capitalisme libéral.
Ahah ben oui mais il n'a en effet aucune formation scientifique ce monsieur qui parle de problème climatique qui le dépasse, ce n'est qu'un essayiste qui devrait se cantonner à la science fiction
21:28 Il pousse le bouchon un peu loin. Et il fait une erreur. Il y a un rapport entre la taille d’une population et le niveau de pollution, mais il y a d’autres facteurs qui interviennent pour contrebalancer ce rapport. Mais plus on est nombreux et plus on pollue, parce que, quel que soit le niveau de pollution par personne, celui-ci est toujours une valeur positive.
Avec une vision restreinte de la polution, il est facile de proclamer que la modernité a résolue des problème environmentaux. Avec une définition fausse de la décroissance, il est facile de proclamer qu'elle va appauvrire l'humanité. J'ai l'iimpression que Ferghane Azihari joue avec la rhétorique pour avancer ses idées et ignorent une partie de ce qu'est vraiment l'écologie.
Toutes ces formes d'esclavage partagent des aspects d'exploitation humaine inadmissibles. Il est cependant essentiel de reconnaître leurs différences fondamentales en termes d'origines, d'échelle, d'impact démographique et de contexte historique. La colonisation et le commerce triangulaire (traite négrière), en tant que système globalisé et commercial, eurent des effets profond et durable sur les sociétés africaines et américaines. Les systèmes esclavagistes abjectes dans l'Empire Ottoman ou autre étaient plus localisés et intégrés à des réalités régionales spécifiques. "esclave" en français et "slave" en anglais remontent au latin médiéval "sclava", dérivé de "Sclavini" utilisé par les Byzantins pour désigner les Slaves, originaires de l'Esclavonie (actuelle Slavonie). Ce lien linguistique reflète l'histoire des peuples slaves réduits en esclavage à travers les siècles, souvent capturés lors de conflits et intégrés dans des systèmes d'esclavage variés, tels que ceux observés dans l'Empire ottoman. Le mot Esclavons utilisé en Espagne musulmane pour traduire l'équivalent arabe "Saqâliba", désignant à la fois les esclaves Européens et les Slaves qui étaient également convertis à l'Islam.
Caricature vaseuse de l'écologie politique, incompréhension caractérisée des enjeux en matière d'énergieet de ressources, pour finir avec une négation catégorique des effets négatifs criminels de la colonisation 32:27...🤡🤡🤡 Je vis dans un "pays du sud", une ancienne colonie aujourd'hui indépendante. Difficile sans doute pour lui d'être conscient de cette grande partie du peuple qui montre encore ici les séquelles d'une colonisation Française et Britanique ravageuse et prédatrice... ou de ces écosystèmes endémiques quasi exterminées par les monocultures et la chasse d'une époque de dominantion indéniable, sur les corps, les esprits et les écosystèmes... Du pure délire!!!😂
Il me semble que là ou M. Azihari manque de pertinence dans sa réflexion, c'est qu'aujourd'hui, le constat qui peut difficilement être contesté est : les problèmes aigus que nos sociétés rencontrent aujourd'hui avec leur environnement interroge les choix réalisés hier en arbitrant constamment l'avantage dans le même sens, qu'il soit financier, pratique, productif et surtout concurrentiel (ce qui a interdit l'exemple cité de l'échange des techno utiles), contre celui permettant justement la réalisation de ces possible développements, soit notre biosphère, fine pellicule entourant la planète ! ... C'est ainsi que l'on peut comprendre l'écologie, soit, la remise en question de cet arbitrage, générationellement égoïste, qui met en grand danger l'idée même de progrès humain future au nom d'une croissance de l'ici et du maintenant qui est l'Adn, non pas des antiques grecs, mais bien celui de notre société thermo-industrielle ! Le partage, diffusion (inexistante ou payant à ce jour) et surtout la multiplication des dispositifs technologiques qu'il prône implique un fragilité croissante de la prétendue maîtrise de ces mêmes systèmes ! c'est promettre un jeux des assiettes chinoises permanent, avec les défaillance évidente à envisager. Il est clair que l'effort, pratique et intellectuel est de taille et ne peut se passer d'une critique des modes de production actuels, que M. Azihari, cherche constamment à préserver. C'est un biais remarquable.
C'est affligeant. Il caricature la notion de décroissance. La décroissance ne s'oppose pas à la modernité et au progrès technologique, mais à la surconsommation. Le progrès technologique, c'est la médecine moderne, les télécommunications, etc. La surconsommation, c'est avoir un coffre de voiture motorisé, des gadgets pour tout et n'importe quoi, deux tranches de jambon entre deux tranches de plastique. C'est vendre n'importe quoi à n'importe quel prix...
Je crois que c'est vous qui caricaturez son propos car il dit que les libéraux ne sont pas des adeptes du consumérisme.. Le clivage entre nupéïstes et libéraux se faisant sur la manière plus que sur les buts.. La nupes veut contraindre, régir, contrôler quand le libéralisme veut chercher des voies d' adhésions à un développement plus harmonieux pas à une décroissance forcée source de précarité..
En théorie peut être , dans les faits l'écrasante majorité des décroissants sont des technophobes qui mise tout sur la contrainte. De plus il y a quelque chose d'assez contradictoire à vouloir l'innovation tout en promouvant un système qui serait par nature très conservateur et la freinerait considérablement. C'est justement la volonté de croitre qui pousse à trouver des solutions pour mieux exploiter les ressources. Si demain les gens cessaient de se déplacer en voiture ou qu'ils préféraient conserver indéfiniment celle qu'ils ont , l'innovation dans le domaine en prendrait forcément un coup , on se demanderait à quoi bon créer des voitures nouvelles et performantes pour ce qui serait un marché de niche , il n'y aurait pas cette démocratisation de l'abondance qu'on connait aujourd'hui.
@@jardiecolo Mais?! Allons! Les libéraux SONT des adeptes du consumérisme. Le libéralisme ce n'est que ça: Consommer. Consommer les ressources et les humains. Le libéralisme s'arrêtrea que quand il n'y aura plus rien à vendre.
@@pourlereferencement4356 Mais qu'est-ce que vous racontez? quelles contraintes? Les décroissants essaient juste d'exister dans un système où les injonctions à consommer sont partout: à la télé, à la radio, dans votre boites aux lettres. De quelle innovation parlez-vous? le coffre motorisés? la voiture électrique? La décroissance que vous la vouliez ou non, vous l'aurez, puisque l'état des ressources en minerais nous mène vers une raréfaction des ressources, a moins que vous soyez prêt à avoir des mines à ciel ouvert en face de chez vous.
Pour moi il y a création d’un gros homme de paille avec ce portrait de l’écologiste forcément décroissant, contre le progrès et forcément un idéologue de l’ultra-gauche dont l’écologie ne serait qu’un nouveau moyen pour mettre à bas le monde capitaliste et libéral. L’écologie politique est peut-être comme ça, mais n’est justement plus de l’écologie. Et, à rebours de ça, il peine à nous vanter les bienfaits d’une société industrialo-libéro-techniciste pour lutter contre le réchauffement climatique. La technique y pourvoira… Mais non. On n’en sait rien. Et le progrès ne ressemblera peut-être pas à ce à quoi il pouvait ressembler sans les années 70. Les exemples qu’il donne entre les Pays-Bas et Madagascar montre bien l’imaginaire qu’il a à propos du progrès. Ce sont de grosses infrastructures techniques nécessitant de grosses entreprises ou des états, alors que le progrès viendra peut-être d’une connaissance plus approfondie des vers de terre et des champignons. Mais j’imagine que pour les penseurs et décideurs de son milieu, c’est moins sexy.
Ce Ferghane Azihari ne sait faire que ça. Diffuser une pensée libérale technosolutionniste au service du capital, le tout sous couvert de procédés rhétoriques des plus fallacieux. Un bel enfumeur. Je me demande pourquoi il est devenu la tête de gondole du capitalisme néolibéral sur tous les plateaux de télévision tant il en est un représentant des plus caricatural et malhonnête.
Un inculte en sciences oui! Et s'ils y croient , qu'ils se confrontent aux collapsologues Mais si je me méfie des libéraux qui sont beaucoup à jouer leur anti écolo primaire doublés de sophistes, je reconnais volontier que le monde actuel est keynésien.
N’importe quoi, encore qui n’a jamais mis les pieds dans la réalité. Sort des tes réflexions autocentré et va sur le terrain. La caricature de l’intello déconnecté. Affligeant
23:15 Là aussi, il effectue un glissement entre les problèmes écologiques d’une manière générale, et le problème des émissions de gaz fossiles à effet de serre. Le nucléaire n’est pas une solution, c’est un problème. Un autre.
Ce type raconte n'importe quoi. Ce n'est pas pour avoir le niveau de vie le plus élevé avec des raisons matériels, qu'il est important de stopper le dérèglement climatique mais pour vivre tout court, pour survivre pour l'avenir de l'humanité et la pérennité des espèces de la nature dont nous avons besoin.
Pour comprendre ou on va avec les technologies, il faut ecouter la specialiste du minerais.
Aurore stephan.
On ne peut pas attribuer à l'ensemble de l'écologie l'adhésion à certains courants de pensée ultra minoritaires lorsqu'on fait preuve de rigueur scientifique ou simplement d'honnêteté.
Beaucoup trop de propos biaisés et partisans. Les exemples cités sont détournés ou tout simplement faux. C'est affligeant de voir autant d'énergie déployée pour un tel message.
Par exemple, il ne faut pas confondre écologie et écologisme. L'écologie est une science qui se base sur les technologies les plus avancées pour étudier l'environnement et qui s'appuient sur bon nombre d'autres disciplines scientifiques qui en font de même (biologie, géologie, climatologie, etc.), en aucun cas l'écologie ne s'oppose à la modernité et encore moins à la technologie.
Si vous pensez que l'écologie va vous ramener au chauffage au bois et à l'éclairage à la bougie, libre à vous de le croire, mais vous faites fausse route et vous feriez bien de vous informer auprès de sources fiables et sérieuses. Attention à la désinformation et aux bulles de filtres.
Cette chaîne n'infuse aucunement la liberté, mais couve une idéologie malsaine.
On parle ici d'écologie politique...Vous faites exprès de ne pas comprendre ?
"Cette chaîne n'infuse aucunement la liberté, mais couve une idéologie malsaine."
Cette chaîne est tout à fait dans le thème. Ce n'est pas de leur faute si vous pensez que défendre les libertés individuelles sont une "idéologie malsaine". La liberté n'est peut-être pas la valeur politique que vous recherchez.
On sait de toute façon tous que les chaînes libertaires n'infusent généralement rien de bon.. de là il n'y a donc rien à attendre. Il y a encore moins à attendre de ce Azihari, qui excelle dans les procédés rhétoriques fallacieux. Un sophiste pédant, rien de plus. Un cuistre au service du capitalisme libéral.
Ahah ben oui mais il n'a en effet aucune formation scientifique ce monsieur qui parle de problème climatique qui le dépasse, ce n'est qu'un essayiste qui devrait se cantonner à la science fiction
Merci pour cet entretien ! Ferghane Azihari est toujours aussi bon !
Non….Il est toujours aussi à l’ouest.
- un biologiste
21:28 Il pousse le bouchon un peu loin. Et il fait une erreur. Il y a un rapport entre la taille d’une population et le niveau de pollution, mais il y a d’autres facteurs qui interviennent pour contrebalancer ce rapport. Mais plus on est nombreux et plus on pollue, parce que, quel que soit le niveau de pollution par personne, celui-ci est toujours une valeur positive.
Les deux extrêmes !!!
Toujours la même sauce entre impossibilité, rentabilité, surpopulation !!!
Commençons, le reste viendra .....
Solution donc : l age de pierre ne s'est pas terminé faute de pierre... on est bien avec ca
Avec une vision restreinte de la polution, il est facile de proclamer que la modernité a résolue des problème environmentaux.
Avec une définition fausse de la décroissance, il est facile de proclamer qu'elle va appauvrire l'humanité.
J'ai l'iimpression que Ferghane Azihari joue avec la rhétorique pour avancer ses idées et ignorent une partie de ce qu'est vraiment l'écologie.
Toutes ces formes d'esclavage partagent des aspects d'exploitation humaine inadmissibles. Il est cependant essentiel de reconnaître leurs différences fondamentales en termes d'origines, d'échelle, d'impact démographique et de contexte historique.
La colonisation et le commerce triangulaire (traite négrière), en tant que système globalisé et commercial, eurent des effets profond et durable sur les sociétés africaines et américaines. Les systèmes esclavagistes abjectes dans l'Empire Ottoman ou autre étaient plus localisés et intégrés à des réalités régionales spécifiques.
"esclave" en français et "slave" en anglais remontent au latin médiéval "sclava", dérivé de "Sclavini" utilisé par les Byzantins pour désigner les Slaves, originaires de l'Esclavonie (actuelle Slavonie). Ce lien linguistique reflète l'histoire des peuples slaves réduits en esclavage à travers les siècles, souvent capturés lors de conflits et intégrés dans des systèmes d'esclavage variés, tels que ceux observés dans l'Empire ottoman.
Le mot Esclavons utilisé en Espagne musulmane pour traduire l'équivalent arabe "Saqâliba", désignant à la fois les esclaves Européens et les Slaves qui étaient également convertis à l'Islam.
Je découvre votre chaîne ! J adore le nom de la chaîne et le slogan ! Je m abonne !!!
Bienvenue ! Merci :)
@@liber-the palm ni
Caricature vaseuse de l'écologie politique, incompréhension caractérisée des enjeux en matière d'énergieet de ressources, pour finir avec une négation catégorique des effets négatifs criminels de la colonisation 32:27...🤡🤡🤡
Je vis dans un "pays du sud", une ancienne colonie aujourd'hui indépendante.
Difficile sans doute pour lui d'être conscient de cette grande partie du peuple qui montre encore ici les séquelles d'une colonisation Française et Britanique ravageuse et prédatrice... ou de ces écosystèmes endémiques quasi exterminées par les monocultures et la chasse d'une époque de dominantion indéniable, sur les corps, les esprits et les écosystèmes...
Du pure délire!!!😂
Il me semble que là ou M. Azihari manque de pertinence dans sa réflexion, c'est qu'aujourd'hui, le constat qui peut difficilement être contesté est : les problèmes aigus que nos sociétés rencontrent aujourd'hui avec leur environnement interroge les choix réalisés hier en arbitrant constamment l'avantage dans le même sens, qu'il soit financier, pratique, productif et surtout concurrentiel (ce qui a interdit l'exemple cité de l'échange des techno utiles), contre celui permettant justement la réalisation de ces possible développements, soit notre biosphère, fine pellicule entourant la planète ! ... C'est ainsi que l'on peut comprendre l'écologie, soit, la remise en question de cet arbitrage, générationellement égoïste, qui met en grand danger l'idée même de progrès humain future au nom d'une croissance de l'ici et du maintenant qui est l'Adn, non pas des antiques grecs, mais bien celui de notre société thermo-industrielle ! Le partage, diffusion (inexistante ou payant à ce jour) et surtout la multiplication des dispositifs technologiques qu'il prône implique un fragilité croissante de la prétendue maîtrise de ces mêmes systèmes ! c'est promettre un jeux des assiettes chinoises permanent, avec les défaillance évidente à envisager. Il est clair que l'effort, pratique et intellectuel est de taille et ne peut se passer d'une critique des modes de production actuels, que M. Azihari, cherche constamment à préserver. C'est un biais remarquable.
C'est affligeant. Il caricature la notion de décroissance. La décroissance ne s'oppose pas à la modernité et au progrès technologique, mais à la surconsommation. Le progrès technologique, c'est la médecine moderne, les télécommunications, etc. La surconsommation, c'est avoir un coffre de voiture motorisé, des gadgets pour tout et n'importe quoi, deux tranches de jambon entre deux tranches de plastique. C'est vendre n'importe quoi à n'importe quel prix...
Je crois que c'est vous qui caricaturez son propos car il dit que les libéraux ne sont pas des adeptes du consumérisme.. Le clivage entre nupéïstes et libéraux se faisant sur la manière plus que sur les buts.. La nupes veut contraindre, régir, contrôler quand le libéralisme veut chercher des voies d' adhésions à un développement plus harmonieux pas à une décroissance forcée source de précarité..
En théorie peut être , dans les faits l'écrasante majorité des décroissants sont des technophobes qui mise tout sur la contrainte.
De plus il y a quelque chose d'assez contradictoire à vouloir l'innovation tout en promouvant un système qui serait par nature très conservateur et la freinerait considérablement.
C'est justement la volonté de croitre qui pousse à trouver des solutions pour mieux exploiter les ressources.
Si demain les gens cessaient de se déplacer en voiture ou qu'ils préféraient conserver indéfiniment celle qu'ils ont , l'innovation dans le domaine en prendrait forcément un coup , on se demanderait à quoi bon créer des voitures nouvelles et performantes pour ce qui serait un marché de niche , il n'y aurait pas cette démocratisation de l'abondance qu'on connait aujourd'hui.
@@jardiecolo Mais?! Allons! Les libéraux SONT des adeptes du consumérisme. Le libéralisme ce n'est que ça: Consommer. Consommer les ressources et les humains. Le libéralisme s'arrêtrea que quand il n'y aura plus rien à vendre.
@@pourlereferencement4356 Mais qu'est-ce que vous racontez? quelles contraintes? Les décroissants essaient juste d'exister dans un système où les injonctions à consommer sont partout: à la télé, à la radio, dans votre boites aux lettres. De quelle innovation parlez-vous? le coffre motorisés? la voiture électrique? La décroissance que vous la vouliez ou non, vous l'aurez, puisque l'état des ressources en minerais nous mène vers une raréfaction des ressources, a moins que vous soyez prêt à avoir des mines à ciel ouvert en face de chez vous.
Pour moi il y a création d’un gros homme de paille avec ce portrait de l’écologiste forcément décroissant, contre le progrès et forcément un idéologue de l’ultra-gauche dont l’écologie ne serait qu’un nouveau moyen pour mettre à bas le monde capitaliste et libéral. L’écologie politique est peut-être comme ça, mais n’est justement plus de l’écologie.
Et, à rebours de ça, il peine à nous vanter les bienfaits d’une société industrialo-libéro-techniciste pour lutter contre le réchauffement climatique. La technique y pourvoira… Mais non. On n’en sait rien. Et le progrès ne ressemblera peut-être pas à ce à quoi il pouvait ressembler sans les années 70. Les exemples qu’il donne entre les Pays-Bas et Madagascar montre bien l’imaginaire qu’il a à propos du progrès. Ce sont de grosses infrastructures techniques nécessitant de grosses entreprises ou des états, alors que le progrès viendra peut-être d’une connaissance plus approfondie des vers de terre et des champignons. Mais j’imagine que pour les penseurs et décideurs de son milieu, c’est moins sexy.
Ce Ferghane Azihari ne sait faire que ça. Diffuser une pensée libérale technosolutionniste au service du capital, le tout sous couvert de procédés rhétoriques des plus fallacieux. Un bel enfumeur. Je me demande pourquoi il est devenu la tête de gondole du capitalisme néolibéral sur tous les plateaux de télévision tant il en est un représentant des plus caricatural et malhonnête.
Excellente chaîne, excellents intervenants et excellentes questions, merci
Un inculte en sciences oui! Et s'ils y croient , qu'ils se confrontent aux collapsologues
Mais si je me méfie des libéraux qui sont beaucoup à jouer leur anti écolo primaire doublés de sophistes, je reconnais volontier que le monde actuel est keynésien.
N’importe quoi, encore qui n’a jamais mis les pieds dans la réalité. Sort des tes réflexions autocentré et va sur le terrain. La caricature de l’intello déconnecté. Affligeant
23:15 Là aussi, il effectue un glissement entre les problèmes écologiques d’une manière générale, et le problème des émissions de gaz fossiles à effet de serre. Le nucléaire n’est pas une solution, c’est un problème. Un autre.
La pollution ses mallll
Ce type raconte n'importe quoi. Ce n'est pas pour avoir le niveau de vie le plus élevé avec des raisons matériels, qu'il est important de stopper le dérèglement climatique mais pour vivre tout court, pour survivre pour l'avenir de l'humanité et la pérennité des espèces de la nature dont nous avons besoin.
Mais alors lui... 🤦♂️
Idéologue