Final scene Once upon time of America

Avec Il Etait une Fois en Amérique, Leone signe son dernier et plus grand film. Le projet abouti de quinze ans de passion.
Il Etait une Fois en Amérique est un film d’une beauté immense, sur l’amitié, l’amour, la trahison mais également une fresque incroyable d’une époque flamboyante et mythique des Etats Unis.
Ce film, c’est donc le rêve américain de Leone, son chef d’œuvre absolu qui mérité de figurer au panthéon des plus grands films de tous les temps .
La musique de Morricone vient une fois de plus magnifier les images somptueuses de Leone. Un régal pour l’ouïe !
La scène finale est également somptueuse, on voit en flash back, Noodles en 1933 après avoir « trahi » ses amis, aller se droguer dans une fumerie d’opium. A ce moment là, Leone fait un plan qui est clairement un clin d’œil à une image de Claudia Cardinale dans Il Etait une Fois dans L’Ouest. On voit De Niro étendue, ivre d’opium afficher soudainement un large sourire...
Et si tout cela n’avait été qu’un rêve ?

[@pierrebosser1265]

. . . Final . . . du film : . . . éh oui ! . . . Toute la vie est un grand film . . . dont il vaut mieux en sourire . . . que d'en pleurer . . . ou encore moins s'en énerver . . . ! . . .subtil résumé souligné par Morricone . ! . . . Merci .

[@manololinaresgarcia6991]

Qué bonito.....
Qué preciosa película....
Qué maravilloso.....
Final.....
En esa sonrisa.....
Ida......
Cuando se te rompe....
La vida...
Cuando te deja.....
Sin ninguna.....
Salida.....
Y muchísimas....
Preguntas.....
En el aire......
Cuando....
Se te va la vida....
Entre la niebla......
Del recuerdo.....
Desde.....
Aquellos años....
Inolvidables.....
De aquella infancia.....
Entre la vida.....
Y los sueños.....
Aquella niña......
Que lo envolvía....
En el hechizo.....
De su baile....
Como un sueño.....
Imposible.....
Aquella niña.
Que le traicionaba.
Continuamente.....
Entre la inocencia....
Rota.....
De su primera...
Adolescencia.....
Aquella niña....
Que le iba robando..
El corazón.....
Aquella infancia....
Jugando.
A policías y ladrones.....
Me resbale.....
Cuando ese juego....
Le partía.....
El alma.....
Su amigo......
Y el terrible.....
Terror.....
De la locura.....
Y toda una historia. .
Entre la niebla.
Del recuerdo.....
Y toda una historia.
Con el paso.
De los años.
Y de nuevo....
Sin salida......
Sin ninguna.....
Salida....
En la traición.....
Más absoluta.....
Entre la niebla.
Del recuerdo.
Entre la niebla.....
Que calma.
Sus heridas.
Entre la verdad.
Y la mentira.....
Con esa maravillosa....
Sonrisa final.....
Se puede decir.....
Que sonríe.....
Con los ojos.
Que sonríe.....
Con el alma.
Totalmente......
Empañada.
Entre la lluvia.
Del recuerdo.....
Quizás......
Entre el delirio......
Suave y tranquilo......
De esa niebla.
Que entre sueños.....
Le calma.
Las heridas......
Incurables.
De ese callejón.....
Sin salida......
Entre sueños.
.......

[@nguyenchanh224]

super

[@rawnukles]

Nice opium den. Shame the adds come up on the screen right at the end when the opium hits and he smiles

[@djho7627]

JAIME

[@dikajivotnya9004]

Je n'ai pas compris pourquoi le réalisateur a choisis de mettre la scène finale dans le passé, juste avant celle la on voit les retrouvailles quand ils sont vieux et d'un coup, la fin ou il est plus jeune de 30 ans et se défonce à l'opium ...

[@dax9295]

le réalisateur voulait mettre en avant l'idée que noodles est perdu dans sa vie, le présent n'a plus rien de bon à lui offrir (et quand on parle de présent ici, il est important de rappeler que le temps s'est arrêté pour lui quand il a du fuir, donc c'est aussi valable jusqu'à ses retrouvailles vers la fin de sa vie)
nostalgique de son enfance, ses amis et deborah, pour retrouver cet état d'innocence, le seul moyen est de fuir la réalité, d'où l'opium

[@TheMrWuuu]

flor scouu Si tu penses que Noodles se "défonce" à l'opium.... Tu n'auras pas que pas compris les temporalités de ce film, clairement, 😉