Traduction mélodique de : wara sdelmegh (Qui accuser) - à 4.16 Si, mon cœur, je l'écoutais... Ma vie est gâchée Blessé, il veut éclater Nul ne connaît mon dépit Ma jeunesse, ainsi Jetée à la mer, noyée Dans sa trace, je l'ai suivie Ma chance a failli La vague refuse de lâcher Qui accuser Pour que mon coeur soit apaisé Qui dois-je charger C'est elle, ou alors, c'est moi Comme elle, il n'y en a pas deux C'est mon cœur, lui, qui la veut Mon amour, il ne mourra Toute ma vie, là Même l'aimant, je ne la prendrai Elle, sachant, moi, je le sais Tout comprenons Patientant, tant attendant Ce jour, me laissant brûlé Pour moi, bien fait La voir, je ne le voulais Elle ne m'a dit, ne lui ai dit La questionner, je ne pouvais En cas d'oubli On se regarde, tous les deux Elle attend, de moi, de parler De son alliance Je n'ai pu sortir un mot Elle voit que je souffre trop Elle baisse les yeux L'endroit où je l'ai connue Je n'ai pu m'y arrêter On est tristes et abattus Par son absence Moi brûlant, et toi, non Je te voulais, tu ne voulais Tu me l'as caché Ce que tu m'as dit, oublié Dans ton coeur, te rappelant Assez, va-t'en Je te souhaite d'être en paix A l'objectif arriver Est-ce que tu vas m'évoquer Tu peux m'oublier. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanso
Traduction mélodique de : Bwighd medden a d iyi wansen (J'amène de la compagnie) J'amène de la compagnie Éprouvé par son absence J'amène toutes ses connaissances Pour me parler d'elle, aussi Un feu s'allume dans mon cœur Comment l'éteindre sans elle De tourments et de douleur Je ressens les os qui pèlent Tout ce que la langue dit Dans mes propos, l'a compris Et le cœur, désespéré De ses soucis, rassasié Mon angoisse a augmenté Le jour où les gens m'ont dit Notre amour est terminé Malade, insu des amis Mon cœur jurant, parjurant Sur celle qui est éloignée Désespoir du cœur, frappé Une deuxième fois, le tuant Sur mon esprit, la brume vient Et personne ne sait pourquoi Le sommeil ne me vient pas De ta blessure qui ne montre rien Ô tête éprouvée retient La patience toujours debout J'ai l'empathie d'un caillou Mes pleurs et leur cause, c'est toi. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Rugh almi sendfgh azrou sebbaw dh'kemini
❤❤❤❤❤❤❤
Traduction mélodique de : wara sdelmegh (Qui accuser) - à 4.16
Si, mon cœur, je l'écoutais...
Ma vie est gâchée
Blessé, il veut éclater
Nul ne connaît mon dépit
Ma jeunesse, ainsi
Jetée à la mer, noyée
Dans sa trace, je l'ai suivie
Ma chance a failli
La vague refuse de lâcher
Qui accuser
Pour que mon coeur soit apaisé
Qui dois-je charger
C'est elle, ou alors, c'est moi
Comme elle, il n'y en a pas deux
C'est mon cœur, lui, qui la veut
Mon amour, il ne mourra
Toute ma vie, là
Même l'aimant, je ne la prendrai
Elle, sachant, moi, je le sais
Tout comprenons
Patientant, tant attendant
Ce jour, me laissant brûlé
Pour moi, bien fait
La voir, je ne le voulais
Elle ne m'a dit, ne lui ai dit
La questionner, je ne pouvais
En cas d'oubli
On se regarde, tous les deux
Elle attend, de moi, de parler
De son alliance
Je n'ai pu sortir un mot
Elle voit que je souffre trop
Elle baisse les yeux
L'endroit où je l'ai connue
Je n'ai pu m'y arrêter
On est tristes et abattus
Par son absence
Moi brûlant, et toi, non
Je te voulais, tu ne voulais
Tu me l'as caché
Ce que tu m'as dit, oublié
Dans ton coeur, te rappelant
Assez, va-t'en
Je te souhaite d'être en paix
A l'objectif arriver
Est-ce que tu vas m'évoquer
Tu peux m'oublier.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanso
merci bcp mon ami pour la traduction
Traduction mélodique de : Bwighd medden a d iyi wansen (J'amène de la compagnie)
J'amène de la compagnie
Éprouvé par son absence
J'amène toutes ses connaissances
Pour me parler d'elle, aussi
Un feu s'allume dans mon cœur
Comment l'éteindre sans elle
De tourments et de douleur
Je ressens les os qui pèlent
Tout ce que la langue dit
Dans mes propos, l'a compris
Et le cœur, désespéré
De ses soucis, rassasié
Mon angoisse a augmenté
Le jour où les gens m'ont dit
Notre amour est terminé
Malade, insu des amis
Mon cœur jurant, parjurant
Sur celle qui est éloignée
Désespoir du cœur, frappé
Une deuxième fois, le tuant
Sur mon esprit, la brume vient
Et personne ne sait pourquoi
Le sommeil ne me vient pas
De ta blessure qui ne montre rien
Ô tête éprouvée retient
La patience toujours debout
J'ai l'empathie d'un caillou
Mes pleurs et leur cause, c'est toi.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
merci bcp mon ami pour la traduction