Traduction mélodique de : tajra ilili ( La plante de laurier) - à 14.51 Je sortis du mauvais pied Quand je te rencontrai Ma chance, de moi, s'est jouée Je crus planter un rosier Quand j'allai regarder Je trouvai une plante de laurier Ô plante de laurier* Jolie est ta fleur Belle à regarder Amer est ton cœur Tu ressembles au laurier Sa fleur est très belle Chère à regarder Ton cœur est cruel Qu'est-ce que tu m’as dit Avant qu'on se quitte Tu avais dit oui Et tout accepté Mais tu ne mérites Ce qu'on t'a choisi Va donc rencontrer Celui qui va me venger Va ô malicieuse Mieux, se séparer Ta voie est mangeuse Visible, pas cachée Tu as posé un collet Tapissé de soie Il m’a pris, c’est vrai Derrière, c’était toi Tu m’avais quitté La maison égaie Laisse-moi, s’il te plaît Le cœur, soulagé Va t’en, pardonne-moi De ma part, c’est fait J’accepte, quitte-moi Que réconciliés. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Lehlak (La maladie) - à 9.19 Le mal que tu m'as laissé Ne peut se soigner Par ta faute, j'en suis atteint C'est comme s'il avait juré Qu'il va me rester Et ainsi, jusqu'à la fin Il ne sert pas de pleurer Et l'âme s'éteignant Comme une lumière faiblissant De la vie, tu m'as ôté A Dieu, je m'en remets Par ta mort, il va me venger Mon esprit tel un pigeon Ira à ta maison Il se posera sur le mur Par sa voix, te saluera Et ce, avant la nuit Il ira vers l'après-midi Regarde-le bien, tu verras Il porte ta blessure Une cicatrice de trahison Il sera oiseau de nuit Il ira par surprise Vois-le, par les interstices Il te citera le délaissé jusqu'à le tuer Sous les pierres tombales, il pourrit Son esprit où que tu sois Chaque nuit, tu le verras Il te causera des insomnies Le mal qui ira à toi Ce sera mon âme, là La maladie qui m’a pris Ton cœur sera flagellé Pour ce qu’il a fait Sans viatique, tu partiras Ton âme, il l’arrachera Avec lui, la prendra A Dieu, ils iront, ainsi Des pierres que l’ont m’a placées Beaucoup sont restées On les placera pour toi Parmi les tombes, tu habiteras Des maisons nivelées Ton voisin, ce sera moi Ceux qui espèrent te saisir Le temps va les trahir A moi, il te fera revenir. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Louiza - à 0.00 Par l'imposte regardant Il faisait encore nuit Mon cœur plein de tourments Comment l'apaiser maintenant Le dur exil est ainsi Ma misère commence aujourd'hui Oh... patiente, Louisa Je pleure beaucoup moi aussi. Dehors, je vois L’automobile qui m’attend Peiné, elle, sachant Mon départ, elle le verra La pluie tombant Comme de la tristesse sur moi Oh, patiente, Louiza Je pleure beaucoup, moi aussi Je suis parti Eau et larmes mélangées J’ai tant pleuré Avec moi, le temps de pluie Je m’en souviendrai Triste fut le ciel aussi Oh, patiente, Louiza Je pleure beaucoup, moi aussi J'ai salué La montagne qui regardait La maison est Comme une ombre paraissant Ta photo dans Ma poche, m'accompagnant Oh, patiente Louiza Je pleure beaucoup, moi aussi Le matin, au lever Le noir sur moi, commençant Vraiment, attristé Le rire, de ma figure, tombant Mon coeur est blessé Tes paroles se rappelant Tu m'avais dit Mes jours sont très durs, mais va Mais pense à moi Même si me laissant, ainsi Et réjouis-moi Quand est-ce que tu reviendras. Oh, ô Louiza Je pleure beaucoup, moi aussi L’épreuve passera Passera ce qui est écrit J'ai tant pleuré A quoi ça sert de pleurer J'ai tant conté Toujours sur toi questionnant Me voilà, attendant Lumière, ce sera pour quand Quand je suis parti De larmes mes yeux affectés Comme si étourdi Marchant, les routes égarées Mais espérant Les jours, sur nous, s'amendant Je compte les jours Une minute dure une année Souffrant toujours Même si le cœur patientant Te voir, rêvant Même pour une seule journée Tu m'avais dit Mes jours sont très durs, mais va Mais pense à moi Même si me laissant, ainsi Et réjouis-moi Quand est-ce que tu reviendras. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
J'ai 15 ans aujourd'hui 70 ans
Traduction mélodique de : tajra ilili ( La plante de laurier) - à 14.51
Je sortis du mauvais pied
Quand je te rencontrai
Ma chance, de moi, s'est jouée
Je crus planter un rosier
Quand j'allai regarder
Je trouvai une plante de laurier
Ô plante de laurier*
Jolie est ta fleur
Belle à regarder
Amer est ton cœur
Tu ressembles au laurier
Sa fleur est très belle
Chère à regarder
Ton cœur est cruel
Qu'est-ce que tu m’as dit
Avant qu'on se quitte
Tu avais dit oui
Et tout accepté
Mais tu ne mérites
Ce qu'on t'a choisi
Va donc rencontrer
Celui qui va me venger
Va ô malicieuse
Mieux, se séparer
Ta voie est mangeuse
Visible, pas cachée
Tu as posé un collet
Tapissé de soie
Il m’a pris, c’est vrai
Derrière, c’était toi
Tu m’avais quitté
La maison égaie
Laisse-moi, s’il te plaît
Le cœur, soulagé
Va t’en, pardonne-moi
De ma part, c’est fait
J’accepte, quitte-moi
Que réconciliés.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Lehlak (La maladie) - à 9.19
Le mal que tu m'as laissé
Ne peut se soigner
Par ta faute, j'en suis atteint
C'est comme s'il avait juré
Qu'il va me rester
Et ainsi, jusqu'à la fin
Il ne sert pas de pleurer
Et l'âme s'éteignant
Comme une lumière faiblissant
De la vie, tu m'as ôté
A Dieu, je m'en remets
Par ta mort, il va me venger
Mon esprit tel un pigeon
Ira à ta maison
Il se posera sur le mur
Par sa voix, te saluera
Et ce, avant la nuit
Il ira vers l'après-midi
Regarde-le bien, tu verras
Il porte ta blessure
Une cicatrice de trahison
Il sera oiseau de nuit
Il ira par surprise
Vois-le, par les interstices
Il te citera le délaissé
jusqu'à le tuer
Sous les pierres tombales, il pourrit
Son esprit où que tu sois
Chaque nuit, tu le verras
Il te causera des insomnies
Le mal qui ira à toi
Ce sera mon âme, là
La maladie qui m’a pris
Ton cœur sera flagellé
Pour ce qu’il a fait
Sans viatique, tu partiras
Ton âme, il l’arrachera
Avec lui, la prendra
A Dieu, ils iront, ainsi
Des pierres que l’ont m’a placées
Beaucoup sont restées
On les placera pour toi
Parmi les tombes, tu habiteras
Des maisons nivelées
Ton voisin, ce sera moi
Ceux qui espèrent te saisir
Le temps va les trahir
A moi, il te fera revenir.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Louiza - à 0.00
Par l'imposte regardant
Il faisait encore nuit
Mon cœur plein de tourments
Comment l'apaiser maintenant
Le dur exil est ainsi
Ma misère commence aujourd'hui
Oh... patiente, Louisa
Je pleure beaucoup moi aussi.
Dehors, je vois
L’automobile qui m’attend
Peiné, elle, sachant
Mon départ, elle le verra
La pluie tombant
Comme de la tristesse sur moi
Oh, patiente, Louiza
Je pleure beaucoup, moi aussi
Je suis parti
Eau et larmes mélangées
J’ai tant pleuré
Avec moi, le temps de pluie
Je m’en souviendrai
Triste fut le ciel aussi
Oh, patiente, Louiza
Je pleure beaucoup, moi aussi
J'ai salué
La montagne qui regardait
La maison est
Comme une ombre paraissant
Ta photo dans
Ma poche, m'accompagnant
Oh, patiente Louiza
Je pleure beaucoup, moi aussi
Le matin, au lever
Le noir sur moi, commençant
Vraiment, attristé
Le rire, de ma figure, tombant
Mon coeur est blessé
Tes paroles se rappelant
Tu m'avais dit
Mes jours sont très durs, mais va
Mais pense à moi
Même si me laissant, ainsi
Et réjouis-moi
Quand est-ce que tu reviendras.
Oh, ô Louiza
Je pleure beaucoup, moi aussi
L’épreuve passera
Passera ce qui est écrit
J'ai tant pleuré
A quoi ça sert de pleurer
J'ai tant conté
Toujours sur toi questionnant
Me voilà, attendant
Lumière, ce sera pour quand
Quand je suis parti
De larmes mes yeux affectés
Comme si étourdi
Marchant, les routes égarées
Mais espérant
Les jours, sur nous, s'amendant
Je compte les jours
Une minute dure une année
Souffrant toujours
Même si le cœur patientant
Te voir, rêvant
Même pour une seule journée
Tu m'avais dit
Mes jours sont très durs, mais va
Mais pense à moi
Même si me laissant, ainsi
Et réjouis-moi
Quand est-ce que tu reviendras.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
فن أصيل شباحة أورنلي
صحيح
Matoub lounes et unique au monde ayamachtoh adhirham rabbi da lounes matoub izem guizmawan