Traduction mélodique de : Ay avrid ittun medden (ô chemin abandonné) Ô chemin abandonné De l'herbe, sur toi, a poussé Si tu te souviens, ils régnaient En suivant, tous, ton tracé Oh ! Oh ! Si tu te souviens, ils régnaient Oh ! Oh ! En suivant tous ton tracé Si tu te rappelles, dis-moi On se souvient, moi et toi Sur tes traces, ce qui s'est passé Moi,une cicatrice m'est restée Mais, pour chaque moment, un temps Le temps est prédominant Oh ! Oh ! On pleure le temps écoulé Oh ! Oh ! Il ne reviendra jamais Le frênier qui est tombé Un rameau, j'y ai coupé Il se souvient de nous deux, passant A partir du tronc, coupé Coupé par des ignorants Sans respect pour ce qu'il sait Oh oh, tais-toi, ô cœur se rappelant Oh oh, le passé, c'est terminé Tes pierres, nous les préservons Doucement, nous y allons Peut-être, on nous entendrait Le dur arbitraire, craignons Il y a une imprécation On nous avait vu passant Allez, inch'Allah : séparés Maudits, Dieu a approuvé Peut-être, savoir, tu voudrais Ô chemin qui se rappelait Peut-être, savoir, tu voudrais Où les jours nous ont jetés Changé, pas celui que tu connais Elle, trahie par la sureté Oh ôh, se croyait heureux, se trompant Oh oh, on moissonna des tourments. N. B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
اغنية جميلة جدا
Traduction mélodique de : Ay avrid ittun medden (ô chemin abandonné)
Ô chemin abandonné
De l'herbe, sur toi, a poussé
Si tu te souviens, ils régnaient
En suivant, tous, ton tracé
Oh ! Oh ! Si tu te souviens, ils régnaient
Oh ! Oh ! En suivant tous ton tracé
Si tu te rappelles, dis-moi
On se souvient, moi et toi
Sur tes traces, ce qui s'est passé
Moi,une cicatrice m'est restée
Mais, pour chaque moment, un temps
Le temps est prédominant
Oh ! Oh ! On pleure le temps écoulé
Oh ! Oh ! Il ne reviendra jamais
Le frênier qui est tombé
Un rameau, j'y ai coupé
Il se souvient de nous deux, passant
A partir du tronc, coupé
Coupé par des ignorants
Sans respect pour ce qu'il sait
Oh oh, tais-toi, ô cœur se rappelant
Oh oh, le passé, c'est terminé
Tes pierres, nous les préservons
Doucement, nous y allons
Peut-être, on nous entendrait
Le dur arbitraire, craignons
Il y a une imprécation
On nous avait vu passant
Allez, inch'Allah : séparés
Maudits, Dieu a approuvé
Peut-être, savoir, tu voudrais
Ô chemin qui se rappelait
Peut-être, savoir, tu voudrais
Où les jours nous ont jetés
Changé, pas celui que tu connais
Elle, trahie par la sureté
Oh ôh, se croyait heureux, se trompant
Oh oh, on moissonna des tourments.
N. B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.