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Daniel Tanguay : En quel sens Michel Freitag tient-il l’homme pour un « animal symbolique »?

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  • Опубліковано 29 вер 2021
  • Si, à notre connaissance, on ne trouve pas dans
    l’anthropologie philosophique de Michel Freitag la
    définition de l’homme comme animal symbolique, elle
    pourrait fort bien y être tellement la catégorie du
    symbolique joue un rôle capital dans sa définition de
    l’essence de l’homme. Contre tout réductionnisme
    biologisant, Freitag a en effet insisté sur la liberté qui
    est donnée à l’homme par sa capacité symbolisante.
    L’être humain est ainsi créateur de son monde, parce
    qu’il l’édifie à partir de formes symboliques dont il est
    ultimement l’auteur. Cette détermination de l’homme
    comme animal symbolique va normalement de pair avec
    la reconnaissance d’une différence essentielle entre
    l’homme et l’animal. Or, il est remarquable de constater
    que ce n’est pas le cas dans la pensée de Freitag : la
    définition de l’homme comme animal symbolique ne se
    fait pas au détriment de la condition animale de l’homme
    et des animaux en général. Il ne semble pas y avoir une
    différence ontologique entre l’homme et l’animal, mais
    seulement une différence de degré. Nous aimerions
    explorer quelques hypothèses pouvant expliquer cette
    prise de position de prime abord surprenante.
    Cette conférence a eu lieu durant le colloque intitulé « L'abîme de la liberté de Michel Freitag » organisé par le collectif Société en 2015 à l'Université du Québec à Montréal.
    Pour plus d'informations sur le collectif société et la revue société : www.er.uqam.ca/...

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