Merci à Didier Rykner d'apporter un peu d'air frais, je n'ose écrire bon sens qui, loin de mépriser le ou les publics, tend vers la volonté de lui, leur offrir toujours et encore des artefacts acquis, restaurés parfois, afin que soit partagé la "délectation" ou le questionnement que ceux-ci motivent. On est pas simpliste à prétendre que la définition du musée peut-être relativement simple, c'est-à-dire cernée et sans "délectation" idéologique !
L'analogie avec le concert est très bonne mais il faut rappeler que l'époque où le public comptait plus que l'oeuvre a déjà existé et qu'il fut un temps où on allait à l'opéra plus pour se faire voir que pour assister à un spectacle Tout ça nous ramène en fait à ce que l'art a produit de moins populaire et démocratique. Il y a quelque chose de très pernicieux derrière ces tentatives de redéfinitions qui sur fond de bon sentiment, se voulant plus inclusives et tournées vers le public, cachent peut-être des conceptions dignes de l'ancien régime.
les 13 premières minutes pour ne rien dire...Ca n'est peut etre pas le sujet de cette émission,mais la vraie définition,c'est la gratuité des musées....
Depuis plus de 20 ans le Street Art est un art de la rue donc un art démocratique par excellence. Cet art ne figure toujours pas dans les musées français, ce qui a mon sens est complètement aberrant
Faux. Des expos de "street art" ont déjà eu lieu et rien n'oblige a penser que son exposition dans des musées va de soi. C'est même assez paradoxal de penser ça puisque par définition, le street art s'expose dans la rue. Et une fois enfermé dans un musée, le street art serait il encore "démocratique" ?!
Merci à Didier Rykner d'apporter un peu d'air frais, je n'ose écrire bon sens qui, loin de mépriser le ou les publics, tend vers la volonté de lui, leur offrir toujours et encore des artefacts acquis, restaurés parfois, afin que soit partagé la "délectation" ou le questionnement que ceux-ci motivent. On est pas simpliste à prétendre que la définition du musée peut-être relativement simple, c'est-à-dire cernée et sans "délectation" idéologique !
Cette discussion était très intéressante pour beaucoup, merci à France C.
L'analogie avec le concert est très bonne mais il faut rappeler que l'époque où le public comptait plus que l'oeuvre a déjà existé et qu'il fut un temps où on allait à l'opéra plus pour se faire voir que pour assister à un spectacle
Tout ça nous ramène en fait à ce que l'art a produit de moins populaire et démocratique. Il y a quelque chose de très pernicieux derrière ces tentatives de redéfinitions qui sur fond de bon sentiment, se voulant plus inclusives et tournées vers le public, cachent peut-être des conceptions dignes de l'ancien régime.
les 13 premières minutes pour ne rien dire...Ca n'est peut etre pas le sujet de cette émission,mais la vraie définition,c'est la gratuité des musées....
Mais c'est quoi cette "définition" à rallonge 🙈🙉🙊
Au moins la dame le dit elle-même : cette définition n'est pas une définition
On pourrait privatiser les plus rentables et fermer les autres. On est en marche quand même, vous avez oublié.
Donc, on passe d’une magnifique définition humaniste à une définition ultra libérale...en marche vers la décadence .
Depuis plus de 20 ans le Street Art est un art de la rue donc un art démocratique par excellence.
Cet art ne figure toujours pas dans les musées français, ce qui a mon sens est complètement aberrant
Faux. Des expos de "street art" ont déjà eu lieu et rien n'oblige a penser que son exposition dans des musées va de soi. C'est même assez paradoxal de penser ça puisque par définition, le street art s'expose dans la rue. Et une fois enfermé dans un musée, le street art serait il encore "démocratique" ?!
Cette discussion n’a aucun intérêt mis à part pour le petit microcosme parisien
Insupportable la vendeuse ICOM. Un logiciel LREM parfait.👎👎👎