Cela ne serait pas le choc de l'annonce, qui aurait déclenché les symptômes aussi tôt après? Je me dis qu'à force d'avancer avec l'âge, être en parfaite santé et très à l'écoute de mon corps, y a bien un truc qui va me tomber sur la tête. Surtout que je ne suis jamais malade. Vu que je donne des probiotiques à mon cheval, je m'y suis mis aussi récemment. Pas facile de faire son choix (j'ai opté pour Lactobacillus ou Ligilactobacillus Salivarius), mais effet bénéfique immédiat. Je la mentionne car elle serait très efficace contre les effets de la radiation, etc.
Beaucoup de gens pensent qu'une vie saine et équilibrée préserve de toute forme de maladie, surtout quand on est jeune. Bien sûr c'est faux, pas de tabac, pas d'alcool, une bonne alimentation, du sport.....Statistiquement vous êtes dans les clous, certes, mais le risque zéro n'existe pas. Perso, j'ai à ce jour, survécu à deux cancers, le premier en 88-89 à l'âge de 20 ans, cancer germinal du médiastin et le deuxième il y a 3 ans, adénocarcinome bronchique. Si je suis là aujourd'hui c'est grace à un diagnostique précoce, tant que la maladie est localisée et opérable les meilleures chances sont de votre côté. Même si votre diagnostique a été un peu tardif (c'est malheureusement souvent le cas puisque le cancer est longtemps asymptomatique) vous avez toutes les armes pour vaincre, un bon mental, une bonne hygiène de vie et, sans oublier les progrès en oncologie qui ont été considérables ces 10 dernières années. Force à vous. LL
Je suis tout-à-fait d'accord : et d'ailleurs, plus le temps passe, plus je me documente sur cette maladie (et d'autres) et plus l'aspect psychologique semble prendre de la place dans le déclenchement de nombreuses pathologies dont le cancer (au delà des considérations génétiques ou des mutations spontanées qui peuvent être vectrices du cancer, par exemple chez les enfants). L'alimentation, le tabac, l'alcool, l'absence d'activité physique sont des facteurs aggravants mais pas des déclencheurs en tant que tels. La preuve en est que des gros fumeurs et buveurs peuvent survivre jusqu'à +90 ans sans jamais tomber malades, alors que des personnes ayant une hygiène de vie "parfaite" déclenchent parfois la maladie. Je suis aujourd'hui persuadé (et j'essaie d'en être une n-ième preuve vivante) que l'hygiène de vie, cumulée aux traitements modernes ET SURTOUT à un mental d'acier et une approche plus "spirituelle" (au sens très large du terme, sans parler de croyances), permettent de vaincre le cancer même dans des circonstances difficiles (ce qui fut mon cas il y a quelques mois) ; je ne suis pas un "miraculé", mais mon cas interpelle néanmoins les médecins et les soignants.
Cela ne serait pas le choc de l'annonce, qui aurait déclenché les symptômes aussi tôt après?
Je me dis qu'à force d'avancer avec l'âge, être en parfaite santé et très à l'écoute de mon corps, y a bien un truc qui va me tomber sur la tête. Surtout que je ne suis jamais malade.
Vu que je donne des probiotiques à mon cheval, je m'y suis mis aussi récemment. Pas facile de faire son choix (j'ai opté pour Lactobacillus ou Ligilactobacillus Salivarius), mais effet bénéfique immédiat. Je la mentionne car elle serait très efficace contre les effets de la radiation, etc.
Beaucoup de gens pensent qu'une vie saine et équilibrée préserve de toute forme de maladie, surtout quand on est jeune. Bien sûr c'est faux, pas de tabac, pas d'alcool, une bonne alimentation, du sport.....Statistiquement vous êtes dans les clous, certes, mais le risque zéro n'existe pas. Perso, j'ai à ce jour, survécu à deux cancers, le premier en 88-89 à l'âge de 20 ans, cancer germinal du médiastin et le deuxième il y a 3 ans, adénocarcinome bronchique. Si je suis là aujourd'hui c'est grace à un diagnostique précoce, tant que la maladie est localisée et opérable les meilleures chances sont de votre côté. Même si votre diagnostique a été un peu tardif (c'est malheureusement souvent le cas puisque le cancer est longtemps asymptomatique) vous avez toutes les armes pour vaincre, un bon mental, une bonne hygiène de vie et, sans oublier les progrès en oncologie qui ont été considérables ces 10 dernières années. Force à vous. LL
Je suis tout-à-fait d'accord : et d'ailleurs, plus le temps passe, plus je me documente sur cette maladie (et d'autres) et plus l'aspect psychologique semble prendre de la place dans le déclenchement de nombreuses pathologies dont le cancer (au delà des considérations génétiques ou des mutations spontanées qui peuvent être vectrices du cancer, par exemple chez les enfants).
L'alimentation, le tabac, l'alcool, l'absence d'activité physique sont des facteurs aggravants mais pas des déclencheurs en tant que tels. La preuve en est que des gros fumeurs et buveurs peuvent survivre jusqu'à +90 ans sans jamais tomber malades, alors que des personnes ayant une hygiène de vie "parfaite" déclenchent parfois la maladie.
Je suis aujourd'hui persuadé (et j'essaie d'en être une n-ième preuve vivante) que l'hygiène de vie, cumulée aux traitements modernes ET SURTOUT à un mental d'acier et une approche plus "spirituelle" (au sens très large du terme, sans parler de croyances), permettent de vaincre le cancer même dans des circonstances difficiles (ce qui fut mon cas il y a quelques mois) ; je ne suis pas un "miraculé", mais mon cas interpelle néanmoins les médecins et les soignants.