Teaser du film MAUVAIS GENRE n°1- UNE EPIDEMIE MONDIALE :
Вставка
- Опубліковано 8 вер 2022
- Teaser du film MAUVAIS GENRE n°1 - UNE EPIDEMIE MONDIALE
Pour soutenir le film : www.dragonbleutv.com/shop/
Ce long métrage de 2 x 90 minutes réalisé par Sophie ROBERT pourra être diffusé à l'automne pourvu que la campagne de financement participatif permette d'en boucler le budget.
Pour cela nous avons besoin de vous!
En savoir plus : www.dragonbleutv.com/financem...
Réalisé par Sophie ROBERT
Produit par OCEAN INVISIBLE PRODUCTIONS - Фільми й анімація
Sujet complexe. J'ai entendu de nombreux arguments de gens au point de vue diamétralement opposé sans être vraiment convaincu d'un côté comme de l'autre.
J'espère en apprendre plus avec votre travail.
Je suis femme autiste sans DI et enfant je me sentais ni femme ni homme même si je comprenais que biologiquement je suis femme. J'ai trouvé des réponses dans des lectures philosophiques spirites loin des clichés New age pour trouver mon équilibre et j'apprends à laisser la vie passée à travers moi non sans difficulté sensorielle et émotive. J'espère que vous aurez les fonds nécessaires pour la réalisation de ce film pour mettre en lumière un autre angle de vue.
@CHOU JEANNE j'ai été diagnostiquée tardivement, et dans les années 70/80, l'autisme et la dysphorie de genre, c'était très peu connu voire pas du tout. Le fait d'avoir un diagnostic même tarif permet de trouver l'équilibre en étant accompagné. C'est mon histoire et notre histoire donc pas une vérité absolue. Je m'inquiète du virage sociétal actuel. Agréable journée.
Merci à vous ;-) et pour ce témoigange!
@CHOU JEANNE est-ce que maintenant vous vous sentez "femme" ou juste "vous". Est-ce qu'il est important pour vous de vous sentir appartenir à un genre ? Est-ce qu'il s'agit juste d'une acceptation de votre corps sans pour autant l'associer à un genre ?
@CHOU JEANNE je comprends mieux votre point de vue, mais j'ai le sentiment que si vous aviez un problème avec votre corps et les injonctions que vous aviez vis à vis de lui, et non directement dans une dysphorie de genre comme d'autres personnes qui explique vraiment ressentir avoir le corps du "sexe opposé".
Mais comme vous je suis pour la suppression du genre, notamment sur l'état civil. Et j'ai le sentiment que le féminisme majoritaire actuel et les lgbt qui vont avec sont contre parce qu'ils ont intrinsèquement besoin de leur stéréotype de genre pour perdurer leur revendication. Et je suis effaré de voir que des intersexués les suivent en pensant naïvement que cela fera avancer leur cause...
@CHOU JEANNE effectivement nous ne serons pas en accord. Pour vous il est important de normer et de genrer les individus afin de pouvoir revendiquer votre gynocentrisme. Qu'on commence à prendre en compte dans les statistique le nouvel definition du viol afin que ceux commis envers les personnes à pénis soit pris en compte et on verra après s'il y a une si grande différence...
Souhaiter que la mention de sexe ne soit plus inscrit sur l'état civile, est entre autre nécessaire afin de stopper la genréfication des corps et notamment stopper les mutilations envers les intersexués.
Bravo pour votre travail. Hâte de voir le documentaire!
bravo Sophie pour votre travail. Après avoir fait tomber la psychanalyse de son piédestal et ouvert les yeux a tant de monde sur la réalité de cette secte délirante, ce film a venir est une oeuvre de salut public pour sauver cette jeunesse perdue. Je n'ose imaginer la difficulté a traiter un tel sujet, a recevoir des financements voire même juste utiliser des plateformes de crowdfunding grand public type ulule. Je vous souhaite beaucoup de courage et sachez que nous sommes nombreux à vous soutenir et admirer votre courage. Merci pour tout
Merci à vous ;-)
Tout ce que je préssentais confusement vous l'expliquez clairement et vous le démontrez magistralement. On se sent démuni face à ça et privé de sa liberté : eux ont le droit d'être ce qu'ils ressentent à l'intérieur, moi pas.
J ai hâte de le voir! Merci... j'en ai la chair de poule!
Bonjour Sophie.
Super !
Juste les deux textes français pour des locuteur anglais, au début, l'image est beaucoup trop courte pour que j'arrive à lire. J'ai dû mettre en pause pour lire.
A bientôt.
Oui tout à fait mais un teaser c'est juste fait pour mettre en appétit avec quelques images. Dans les films les sous titres seront lisibles.
Klepki mają połamane.
Quel est le propos de ce documentaire ? La bande annonce est loin d'être claire.
Le sujet est les opérations et prises d'hormones d'ados autistes mal dans leurs peaux et qui sont influencés par une propagande sur les réseaux sociaux dans cette décision.Et puis finissent par regretter
@@mja8759 uniquement les autistes transgenre ou les transgenre en général ?
@@SimonQuatrevingtneuf tout le monde, vous trouverez plus d'informations ici : www.dragonbleutv.com/financement-participatif-mauvais-genre-scandale-sanitaire/
@@DragonBleuTV Votre argument de plus de 5000% me laisse perplexe étant donné que c'est également un argument utilisé contre les tsa et tdah en forte augmentation de diagnostic.
Votre description me donne l'impression que pour vous il n'existe pas de personnes vraiment transgenre qui le reste à long terme. J'ai rencontré des personnes transgenre qui le "savait" dès tout petit et pour qui cela dure sincèrement...
Est-ce que l'intersexation sera abordé ? Il y a encore en France des enfants stérilisé et mutilé afin de rentrer ces enfants dans une des deux cases homme ou femme.
Au temps j'ai toujours trouvé que le concept de transidentité était une sorte de perpétuation de stéréotype de genre, autant je trouve que l'affirmation qu'il y a des vrais femmes et des vrais hommes me pose problème.
Enfants à l'école et maintenant dans le milieu professionnel BTP, on me traite où l'on me fait comprendre que je suis trop faible, pas assez fort et sportif, efféminé et trop sensible (notamment dû à des hypersthésie). Mais on me fait également comprendre dans les milieux culturels associatif de musique actuelle que je suis un méchant homme blanc cis. Et je ne l'invente pas, on m'a poussé vers la sorti d'une association qui pendant covid à décidé de devenir "inclusif" en favorisant les "femmes". Alors qu'on ne m'avait jamais reproché quoi que ce soit sur mon comportement, et que je n'y étais pas retourné depuis deux dû au covid, on m'a expliqué lors de mon inscription pour du bénévolat que j'avais des comportements problématiques. Évidemment sans me donner aucun exemple et sans avoir ka possibilité de m'expliquer avec les personnes à qui mon comportement avait posé problème. Sauf que pendant ses deux je me suis fait diagnostiqué TDAH et en cours de tsa. Et il est fort probable que ce qui me reprochait n'est aucunement dû à ma sois disant masculité toxique...
Bref j'en ai un peu marre de toutes ces injonctions et jugement selon le genre que l'on a ou que l'on nous prêtre et pour moi la solution serait justement de traiter les individus de manière neutre en s'extraillant du genre...j
@@SimonQuatrevingtneuf Oui tout cela est terriblement normatif, oui le film parlera des personnes intersexe. De même que je fais la distinction entre les personnes "transexuelles" old school qui souffrent réellement de dysphorie de genre (mais sont réalistes par rapport à la démarche) et les personnes autodiagnostiquées trans ou alliées de la nouvelle religion du genre dont la démarche est quasiment opposée en fait (les premiers cherchent à vivre leur vie en discrétion, tandis que les second cherchent à recruter un maximum d'adeptes). Quand au chiffre de 5000% sur 10 ans ils émanent des services spécialisés en Angleterre, sachant qu'ils sont déjà largement dépassés. De nombreux jeunes échappent aux radars.
Je sens que le malaise est en train de monter, j'ai pas hâte du tout.
les chiffres sur les détransitions ne vont pas dans votre sens du tout. c'est avant tout aux principaux intéressés de décider si leur traitement leur convient et s'ilks acceptent les effets secondaires ou non.
si vous avez d'autres chiffres sur les détransitions donnez les, ça m intéresse.
Dans mon film je vais citer (entre autres) une étude pro transactivisme, brandie par les transactivistes pour justifier de la persistance des choix des trans. Or cette étude stipule qu'ils sont déjà 30% à avoir détransitionné post transition. 4 ans après, 30% de détrans, dont les organes sexuels ne repousseront pas, et pour qui la plupart des effets des hormones sexuelles contraires sont irréversibles. Certains le son partiellement, d'autres pas.
@@DragonBleuTV merci pour la réponse, c'est possible d avoir la source de cette étude svp?
moi les chiffres que j avais entendu c'est 1à3% ( sur arte je crois)
en fait il faudrait savoir si ces 30% sont des personnes qui regrettent leur transition, ou des personnes qui arretent les hormones ( au autre) car c'est pas du tout la même chose, je crois que bcp de personnes trans prennent des hormones un temps , s'arretent et sont bien comme ça.
@@felixdessus9416 toutes les sources seront dans le film, et dans la page du film sur Dragon Bleu TV pour retrouver les liens plus facilement.
L'ambiance sonore du teaser fait penser à la manière qu'ont certaines franges religieuses de la population de se représenter le mal. Pas vraiment ce qu'on attend dans un documentaire se voulant scientifique.
Un docu n'est jamais objectif et cette bande-annonce en est une sacré preuve
J'espère que la rigueur scientifique du documentaire sera au poil
Parler de transidentite comme d’une pathologie (dysphorie de genre) .Parler de transactivisme
Ça part tres mal pour l’instant je suis inquiet. J’espere qu’il y aura des pdv de personnes trans qui se sentent epanouis aujourd’hui , et pas un biais d’echantillonage avec seulement des personnes « detrans »
Aussi, J’espere que des avis sociologiques seront prit en compte dans le film afin d’apporter un regard socioculturel sur le pourquoi du comment on retrouve plus d’homosexualite et de transidentite chez les TSA. Et pas seulement des points de vue de psychiatres d’ancienne generation qui viennent pathologiser un sujet qu’ils ne maitrisent a la même maniere que la psychanalyse le fait
Fort bien, si ce n'est pas une pathologie, pourquoi entreprendre à tout prix des traitements de réassignation sexuelle? impliquant injections d'hormones contraires à vie et chirurgies de conformation sexuelle mutilantes? Pourquoi rembourser tout ça par l'ALD31? si tout cela est une identité, pourquoi ne pas simplement vivre son identité sans exiger de conformer son corps à tout prix au moyen traitements médicamentaux lourds à vie? et exiger un remboursement au titre de pathologie de longue durée? Ou est la cohérence?
@@DragonBleuTV Adapter son corps comme il nous convient grace aux progres de la medecine est quelque chose de pathologique ? La chirurgie plastique volontaire est donc pathologique ? Ou cela ne devient-it pathologique seulement quand la modification touche au système neuroendocrinien (hormones) ?
Les criteres de pathologies longue duree,n’ont rien a voir avec les personnes trans, qui s’adaptent comme elles peuvent a des institutions qui perpetuent leur vision poussiéreuse.
Le remboursement est par contre une question interessante oui, mais qui semblent juste a certaines personnes qui peuvent contribuer a l’epanouissement de personnes victimes de multi-discriminations. Ça se discute car c’est purement politique
Ces questions sont interessantes, mais du moment encore une fois je l’espere, que des personnes concernées et epanouis aujourd’hui de leur transition aient egalement la parole dans votre film, au même titre que les personnes « détrans »
Sinon bonjour le biais d’échantillonnage
Un vrai/ digne thérapeute aide son patient à accepter la réalité (son corps), un faux/mauvais thérapeute lui fait croire qu'il suffit de modifier ou maquiller son corps pour être bien avec soi même.
@@eleonorepoppy6904 un bon therapeute accompagne egalement son patient dans son desir de transition si il l’a decidé et murement reflechi. Votre façon d’alieniser les patients est un peu inquietante
@@guigui7076 Si la personne juge que son état psy est non-pathologique, qu'elle a "murement réfléchi', etc., rien ne l'oblige à suivre une thérapie.
Une thérapie n'est pas obligatoire avant de subir des actes de chirurgie esthétique.
Je ne comprends pas pourquoi un tel acharnement envers les personnes trans. Ils et elles ont toujours été et demeure un groupe minoritaire et désavantagé au sein de la société.
Un avis divergent n'est pas un acharnement. C'est un avis divergent qui ne tue personne, bien au contraire. Par ailleurs le propos du film est construit avec les expériences de personnes trans et détrans. Il n'est pas exogène. J'observe que certaines personnes trans sont beaucoup plus raisonnables et réalistes que de nombreux transactivistes grandiloquents sur la toile...
J’ai l’impression que vous semblez voir une épidémie de transgenres comme d’autres on vu une épidémie de d’homosexualité, comme d’autres pense que le neuro atypisme est une chose nouvelle.
J’ai 45 ans, mon meilleur ami de lycée est devenue une femme épanouie bien avant l’internet 2.0. Nous vivions à Saint Tropez et il y avait peu de tabous sur ces questions permettant ainsi un cheminement libre.
Il était aussi dans un milieu pouvant gérer la transition financièrement et sans crainte sociale et j’ose espérer à bénéficier d’amis comme moi pour l’écouter et jamais le juger.
Croire que les réseaux sociaux génèrent cela est ridicule et non démontré scientifiquement. Vous savez comme moi d’où vient cette polémique (qui reprend l’argumentation des faux gays). Pour ceux qui me lise d’une non scientifique, experte en rien sur tout ces sujets et qui n’a pas fait d’enquête scientifique pour étayer son hypothèse.
Votre positionnement ne fait pas honneur à votre travail passé. Il est étrange d’attaquer ainsi la dysphorie qui si je me trompe pas est assez nié pas la psychanalyse qui vous avez contribuer à disqualifier à raison. Vous voici maintenant en croisade, parfaitement aligné sur le positionnement des septiques du Québec largement debunké.
Allez-vous avoir avoir un position à la Léo (UA-camur trans qui évoque pour me déconstruire cette théorie de l’épidémie) ou bien allez-vous faire comme les SDQ et faire la sourde oreille aux nombreux arguments scientifiques ?
Même si cela a toujours existe dans l'histoire humaine, il est evident que les reseaux sociaux et la "société actuelle" valorisent voire encouragent la transition sexuelle comme jamais auparavant. Il faut être honnête.
@@eleonorepoppy6904 "valoriser"... Attention aux mots. Il n'y a rien à gagner à suivre ce parcourt : précarité sociale, financière et parentale. Donc pour essayer d'aller dans votre sens, je dirais qu'il y des libertés sur: divorce, adoption, pma, mariage pour tous et transidentité. Oui nous ne sommes plus dans les années 60 avec 4000 peines de prisons pour délit d'homosexualité. Et ce que après 74 (soit la quasi fin de ce fait pénal), il y avait une valorisation de l'homosexualité ? non.
Est-ce que aujourd'hui, si quelqu'un se pose des questions sur sa sexualité ou identité de genre, est-ce que l'on a accès facilement à des médecins, des conseils, du contenus multimédia, la réponse est assurément oui. Est-ce cela qui fait que les trans existent : non. Il y a eu de nombreuses sociétés par le passé (donc sans internet, ni télévision, ni rien de ce qui est incriminé aujourd'hui) qui ont accepté et intégré cette différence. Notre société va sur ce chemin à sa façon. Mais acceptation valorisation.
Avant il n'y avait pas d'homosexuel en France. Maintenant si. Durant cette évolution, il y a eu de nombreuses voix conservatrices qui ont repris les mêmes thèses (épidémie, média, faillite morale, protéger les enfants) que ce documentaire (qui reprend ce que dit les SDQ).
@@jdriele Cette réalité (douloureuse) de ne pas se sentir à l'aise avec son sexe de naissance a toujours existé... et pour des raisons multiples et diverses qui dépendent de la personne, de son histoire et de son environnement culturel et familial.
Mais il est indéniable qu'à notre époque le changement de sexe soit normalisé voire valorisé (et oui !) comme réponse unique à ce mal-être. C'est un problème, surtout quand un adulte qui a une autorité médicale suggère à des enfants crédules qu'on peut changer de sexe biologique, alors qu'on peut juste le maquiller avec plus ou moins de résultat et de douleurs.
Oui, le vocabulaire est important : De mon côté, je parlerai d' "acceptation" seulement pour ceux qui commencent un chemin de sagesse en acceptant leur corps de naissance (i.e la réalité) et ne considèrent pas leur apparence physique comme l'alpha et l'omega de leur personne, la clé de leur avenir, etc.
Un véritable thérapeute travaille à cette acceptation de la réalité avec son patient, un mauvais thérapeute se déresponsabilise, se débarrasse de ce travail, pour faire croire au patient qu'il suffit de consommer des produits (hormonaux, chirurgicaux, cosmétiques) pour se sentir bien avec soi-même.
Encourager son patient à s'engager dans une transition, c'est donc moins fatigant pour le thérapeute, ça l'assure d'être dans les clous du politiquement correct, et last but not least : cela rapporte aussi beaucoup d'argent à l'industrie de la chimie et de la chirurgie. (sans doute la principale raison de ce markéting agressif (pour favoriser la transition) que certains appellent "valorisation")
Le bon thérapeute sait que refuser le réel ou croire qu'il peut être modifié selon sa fantaisie ou ses douleurs, n'est pas un chemin vers le bien-être mais la route vers la folie. Son travail est d'amener le patient à accepter ce qui ne peut être changé, et à trouver de la paix dans son rapport à la réalité. Aucun thérapeute digne de ce nom n'encouragerait un patient qui serait dans l'angoisse de la mort à croire qu'il lui suffit de consommer un produit pour éviter la fatalité. Au contraire, il l'accompagne dans un chemin de paix face à ce qui ne peut pas être évité.
La bonne thérapie, qu'elle qu'elle soit, amène à ce que la personne se sente validée dans ce qu'elle est, toute la complexité de son être, sans avoir besoin d'en passer par des modifications normatives coûteuses dans tous les sens du terme.
@@eleonorepoppy6904 Attention, il me semble que vous parlez avec une certaine ignorance. Normalisé : non, ce n'est pas accepté (90% des détransitions sont liés aux diverses pressions extérieures), c'est autorisé grosse nuance. Ce n'est pas un adulte (un médecin, pas un thérapeute, et l'opposition adulte/enfant montre une drôle de vision des choses) qui suggère et en France, c'est plusieurs adultes qui reçoivent un enfant (mais surtout des adolescents qui sont assez grand pour pleins de choses mais ironiquement pas ce sujet pour vous) qui souffre et qui sera éventuellement diagnostiqué pour dysphorie avec plusieurs mois/années et qui aura un éventail de solution proposées. Dernier point, le changement sexe biologique n'est pas effectué sur des enfants mais sur des adultes. Autre point important, le changement de sexe biologique est finalement peu fréquent chez les trans.
Les seuls changements de sexe biologique intervient sur les intersexes, enfants voire bébé.
Voilà le réel.
Vous semblez croire que la dysphorie est un état passager qui se soigne. D'autres, en d'autres temps (et encore aujourd'hui) pensaient de même au sujet de l'homosexualité. Vous n'avez absolument rien pour le prouver, pire le réel est contre vous quand on voit le pourcentage de détransition et les raisons. En gros 10% de détransition, 10% pour des raisons strictement personnels, soit 1% d'échec qui sont encore pondérable car il y a des doubles transitions. Avez-vous au moins des chiffres ou des techniques de thérapies qui ont montrée leurs preuves ?
@@jdriele
Je m'y connais moins que vous dans l'aspect législatif, et vous remercie de me faire ces remarques. Malgré tout, il me semble difficile de nier que l'air du temps penche vers une dépénalisation de la transition chez les mineurs comme on le voit déjà dans certains états des USA.
Je ne me résoudrai jamais à réduire les situations multiples et complexes de chacun à des chiffres et à des "solutions" indifférenciées. C'est une vision gestionnaire de l'humain, qui a besoin de mettre chacun dans une case pour faire ses calculs, une vision politique du sujet qui ne me concerne pas. Le métier de psy a une approche de la singularité de l'être. Prendre des positions génériques sur ce sujet, par souci de bien pensance, n'aide personne.
À vomir, je suis extrêmement déçu ...
C'est pas très argumentatif, pouvez-vous développer ? Je me suis également posé des questions en voyant le sujet abordé, mais dans un premier temps j'essaie de comprendre le point de vue avant de porter un jugement gratuit et sans argumentation...
@@SimonQuatrevingtneuf la mise en scène dramatique est à vomir
@@fyx6781 déjà c'est un peu plus argumenté ! Je ne suis effectivement pas convaincu par le teaser, mais j'espère que le documentaire sera plus nuancé...
@@SimonQuatrevingtneuffaire passer la transidentité comme une maladie est extrêmement grave
On a du se battre pendant des années pour que ça ne soit plus le cas
Donc oui ça me donne envie de vomir