L autorégulation, et la censure se font déjà pas mal dans bon nombre de médias, mais sur certains sujets. Pour le ..."bien" du peuple, cette "entité fantasmée ", selon la bourgeoisie bien à l abri.
Puisque Bronner nous explique que le visionnage de masse de vidéos pornographiques ne s'explique pas par le capitalisme, le patriarcat, des phénomènes sociaux complexes, mais "parce que nous sommes des mammifères", on attend avec impatience une étude chiffrée sur le nombre d'heures passées à regarder du porno chez les girafes, les ours et les chevreuils.
Si les girafes avaient internet qui sait ce qu’elles en feraient... L’obsession pour la sexualité me semble bien relever d’un état de nature. En fait je dirais que c’est plutôt tout le reste qui est un construction culturelle et sociale. Remarquez d’ailleurs que l’existence de formes de pornographie précède historiquement l’émergence du capitalisme tel qu’on l’entend. Voyez par exemple les représentations phalliques omniprésentes à Pompei. Quand au patriarcat, je dirais qu’il est plutôt négativement corrélé à des moeurs débridées qu’autre chose: comparez par exemple le monde musulman à l’occident, on y trouve des moeurs certainement plus patriarcales et en même temps le sexe y est plus tabou. Bref, je ne partage pas du tout votre analyse.
@@tarkun7333 L'obsession pour la sexualité =/= le visionnage de masse de vidéos pornographiques Bronner prend un raccourci bancale (pas le temps ? pas son sujet ?) sur la cause de ce visionnage massif, il aurait été plus professionnel de dire qu'il ne sait pas ou que cette explication n'est pas certaine. Quant bien même c'est ce qu'il pense...
@@lenyvacques6610 répondre a pourquoi on est attiré par le sexe : bah parce que notre cerveau de mammifère est programme ainsi ... pour se reproduire me semble pas stupide.
Merci Léa et Nicolas pour cette belle rencontre 🙏👏
L autorégulation, et la censure se font déjà pas mal dans bon nombre de médias, mais sur certains sujets. Pour le ..."bien" du peuple, cette "entité fantasmée ", selon la bourgeoisie bien à l abri.
On ne gaspille pas sa disponibilité mentale en écoutant Gérald Bronner.
Les interventions de Léa sont toujours génantes
Puisque Bronner nous explique que le visionnage de masse de vidéos pornographiques ne s'explique pas par le capitalisme, le patriarcat, des phénomènes sociaux complexes, mais "parce que nous sommes des mammifères", on attend avec impatience une étude chiffrée sur le nombre d'heures passées à regarder du porno chez les girafes, les ours et les chevreuils.
Si les girafes avaient internet qui sait ce qu’elles en feraient...
L’obsession pour la sexualité me semble bien relever d’un état de nature. En fait je dirais que c’est plutôt tout le reste qui est un construction culturelle et sociale.
Remarquez d’ailleurs que l’existence de formes de pornographie précède historiquement l’émergence du capitalisme tel qu’on l’entend.
Voyez par exemple les représentations phalliques omniprésentes à Pompei.
Quand au patriarcat, je dirais qu’il est plutôt négativement corrélé à des moeurs débridées qu’autre chose: comparez par exemple le monde musulman à l’occident, on y trouve des moeurs certainement plus patriarcales et en même temps le sexe y est plus tabou.
Bref, je ne partage pas du tout votre analyse.
@@tarkun7333 L'obsession pour la sexualité =/= le visionnage de masse de vidéos pornographiques
Bronner prend un raccourci bancale (pas le temps ? pas son sujet ?) sur la cause de ce visionnage massif, il aurait été plus professionnel de dire qu'il ne sait pas ou que cette explication n'est pas certaine. Quant bien même c'est ce qu'il pense...
@@lenyvacques6610 répondre a pourquoi on est attiré par le sexe : bah parce que notre cerveau de mammifère est programme ainsi ... pour se reproduire me semble pas stupide.
Léa est vraiment cassé pied...elle coupe la parole impertinement