Bonjour, Bel effort, mais quelques approximations.... "Le point de rosée va nous permettre de déterminer la hauteur du thermique" --> Faux. Va voler en Iran, on monte à 5000 m, et c'est du thermique bleu, donc on n'atteint jamais le point de rosée. Tu aurais pu expliquer aussi comment déterminer la hauteur du nuage (et non seulement la hauteur du plafond sous le nuage), ce qui permet de savoir si il y aura surdéveloppement. C'est capital, non ? Pourquoi il y aurait 4° au printemps, et 2° le reste de l'année ? Pour moi, c'est indifférent, voire ce serait presque l'inverse : Au printemps, du fait de l'instabilité, la différence de t° bulle d'air chauffée / air environnant pourrait être moindre. Tu te contredis souvent, d'une phrase à l'autre. Perso, je souhaite à personne de monter à 10000 m.
@@appski-skicoach4994 A partir de la base des nuages, tu suis la courbe de l'adiabiatique humide (1), jusqu'à ce qu'elle rencontre la courbe de température à l'air libre (courbe rouge, 2). Tu as alors la hauteur max du nuage. Entre la base et cette hauteur se trouve le nuage, et ça te donne une info sur les conditions du jour. Si tu trouves 300-400 mètres, c'est sympa, si c'est 3000-4000 on peut parler de surdéveloppement. Plus l'écart horizontal (en abscisse, donc) entre 1 et 2 est important, plus forte sera l'ascension. Tu peux donc savoir si tu vas avoir du +2 ou du +6, sachant qu'il faudra quand même enlever ton taux de chute (-1 m/s environ). Evidemment avec un schéma, ce serait plus simple à expliquer...
Merci beaucoup pour cette video très bien expliquée! ;)
bonne video explicative
Quand même des petites incompréhensions notamment sur la notion d'instabilité !
Bonjour,
Bel effort, mais quelques approximations....
"Le point de rosée va nous permettre de déterminer la hauteur du thermique" --> Faux.
Va voler en Iran, on monte à 5000 m, et c'est du thermique bleu, donc on n'atteint jamais le point de rosée.
Tu aurais pu expliquer aussi comment déterminer la hauteur du nuage (et non seulement la hauteur du plafond sous le nuage), ce qui permet de savoir si il y aura surdéveloppement. C'est capital, non ?
Pourquoi il y aurait 4° au printemps, et 2° le reste de l'année ? Pour moi, c'est indifférent, voire ce serait presque l'inverse : Au printemps, du fait de l'instabilité, la différence de t° bulle d'air chauffée / air environnant pourrait être moindre.
Tu te contredis souvent, d'une phrase à l'autre.
Perso, je souhaite à personne de monter à 10000 m.
Comment détermines-tu la hauteur du nuage et évalues-tu le surdéveloppement stp?
@@appski-skicoach4994 A partir de la base des nuages, tu suis la courbe de l'adiabiatique humide (1), jusqu'à ce qu'elle rencontre la courbe de température à l'air libre (courbe rouge, 2). Tu as alors la hauteur max du nuage. Entre la base et cette hauteur se trouve le nuage, et ça te donne une info sur les conditions du jour. Si tu trouves 300-400 mètres, c'est sympa, si c'est 3000-4000 on peut parler de surdéveloppement.
Plus l'écart horizontal (en abscisse, donc) entre 1 et 2 est important, plus forte sera l'ascension. Tu peux donc savoir si tu vas avoir du +2 ou du +6, sachant qu'il faudra quand même enlever ton taux de chute (-1 m/s environ).
Evidemment avec un schéma, ce serait plus simple à expliquer...