Un grand merci à tous les 2 pour ces mots, ces partages, cette compréhension, cette poésie, cet Amour, cette joie, cette paix, cette foi, ce questionnement, cet élan qui parlent totalement à mon coeur.
Je trouve que monsieur Ringlet serait mieux dans le bouddhisme!! Il n'a rien d'un Chrétien, il est un relativiste. Son regard et son langage mielleux me fait penser à un homme qui aime s'entendre parler. Il est très loin de l'idée que je me fais d'un prêtre proche de Jésus!!! Pro avortement, mariage des prêtres, contre beaucoup de dogmes de l'Eglise. Je me demande pourquoi il continue à croire en Dieu et à son Eglise instituée par Jésus .
Entre eu-thanasie (quelle présomption ont certain.e.s) et soins palliatifs (si humbles), le Christ (tête immaculée de l'Église - d'après Col 1, 12-20) me dit, à moi crucifié qui suis une part de son corps blessé (par les divisions, les maladies, les péchés), malfaiteur et comme Lui avec moi en croix : "tkt-t'inquiète, amen, je te le dis, aujourd'hui tu seras avec moi au Paradis" (d'après Luc 23, 35-43). Alors, bien sûr, le soignant et/ou le soigné peuvent se la jouer comme l'autre larron lui aussi crucifié. Et cela complique les choses mais importe peu puisque tout est grâce, y compris le Purgatoire, pour le soignant et le soigné, comme nous l'explique à sa façon Michel Fédou (jésuite français de la revue Sources Chrétiennes, prix Ratzinger).
Un grand merci à tous les 2 pour ces mots, ces partages, cette compréhension, cette poésie, cet Amour, cette joie, cette paix, cette foi, ce questionnement, cet élan qui parlent totalement à mon coeur.
Je trouve que monsieur Ringlet serait mieux dans le bouddhisme!! Il n'a rien d'un Chrétien, il est un relativiste. Son regard et son langage mielleux me fait penser à un homme qui aime s'entendre parler. Il est très loin de l'idée que je me fais d'un prêtre proche de Jésus!!! Pro avortement, mariage des prêtres, contre beaucoup de dogmes de l'Eglise. Je me demande pourquoi il continue à croire en Dieu et à son Eglise instituée par Jésus .
Entre eu-thanasie (quelle présomption ont certain.e.s) et soins palliatifs (si humbles), le Christ (tête immaculée de l'Église - d'après Col 1, 12-20) me dit, à moi crucifié qui suis une part de son corps blessé (par les divisions, les maladies, les péchés), malfaiteur et comme Lui avec moi en croix : "tkt-t'inquiète, amen, je te le dis, aujourd'hui tu seras avec moi au Paradis" (d'après Luc 23, 35-43). Alors, bien sûr, le soignant et/ou le soigné peuvent se la jouer comme l'autre larron lui aussi crucifié. Et cela complique les choses mais importe peu puisque tout est grâce, y compris le Purgatoire, pour le soignant et le soigné, comme nous l'explique à sa façon Michel Fédou (jésuite français de la revue Sources Chrétiennes, prix Ratzinger).