Les plate-formes sont aussi responsables de la situation. Certes... Certes... Et le consommateur dans tout ça ? Les gens ont un souci avec la rémunération des activités artistiques. Ne veulent pas payer un chanteur, un photographe, un auteur.... Etc. Les prix sont tirés vers le bas avant tout parce qu'il y a cette banalisation de la musique et l'idée que cet art ne mérite pas une juste rémunération. Qu'en penses tu ? Merci pour la vidéo.
C'est une bonne réflexion ! On ne peut pas mettre de côté la corrélation entre industrie et consommateurs. L'industrie pousse des pratiques, mais se repose aussi sur des pratiques existantes : celles des gens. Après, c'est l'éternel débat entre l'oeuf et la poule. Ca relève donc d'un questionnement à l'échelle de notre société. Ce n'est que le reflet de notre vision de l'art. L'art est-il une marchandise ? Artiste est-il un métier ? La notion de travail est-elle liée à une forme d'utilité, et l'art est-il utile ? Je pense aussi que la légitimité de la rémunération ne se pose pas de la même façon lorsqu'on est sur une production de l'esprit que l'on ne fait que reproduire sur un support, et une incarnation comme un concert ou une représentation. Je suis donc d'accord avec toi pour interroger aussi la place du consommateur dans cette situation. Mais je ne pense pas que ça soit un débat propre à la musique et à notre époque, ou à une banalisation. C'est la notion même d'art qui divise depuis longtemps. Ca se concrétise différemment en fonction du contexte géographique et historique, mais le fond reste le même. Bon, c'est qu'une ébauche de réflexion, mais le débat est large et complexe ! Salman
Pour une partie non négligeable de la population, l'art et la culture sont des postes de dépenses quasi nuls et pour d'excellentes raisons : une fois qu'on a payé le loyer et les factures et si, ô miracle, on a même pu s'acheter à manger et des vêtements, quelle part du budget pour la musique ou les livres ? Je schématise quelque peu (à la Zola sans doute), mais dans les années 90 un CD pouvait atteindre 15 euro (100 francs de l'époque) quand un vinyle des annees 80 plafonnait à 8 euro... Là encore, l'artiste gagnait 1 euro grand maximum sur la vente de son CD ! Et puis sont apparus deux phénomènes concomitants : la gravure de CD et la conversion mp3. Comble de l'ironie : le mp3 est issu de recherches de l'industrie musicale, co-financées par l'Union Européenne... mais pas dans le but de créer un nouveau format de distribution musicale, loin s'en faut : le but avoué c'était la radio numérique (Digital Audio Broadcasting ou DAB, dont on nous rebat les oreilles avec sa nouvelle version, le DAB+, dans les publicités à la radio). Le mp3 a beau être un format destructif, il deviendra LE format numérique privilégié (au détriment de l'Ogg Vorbis ou de l'aac) : pensez donc ! Extraire les wav du CD, les convertir en mp3 et les mettre en ligne par le biais d'une plate-forme P2P : la musique devenait accessible gratuitement au plus grand nombre... Lindustrie musicale a eu pour premier mouvement de vouloir saborder juridiquement lesdites plateformes, et Napster sera la première à en faire les frais, suivi par Audiogalaxy et toute une ribambelle de plate-formes qui proposaient également de la vidéo (remember DivX ?) comme Kazaa ou Limewire. Puis en France vint Hadopi, qui mit fin également à l'utilisation de la fameuse Mule. Tout cela n'a pas empêché l'utilisateur désireux de se procurer de la musique gratuite de pouvoir le faire, qui plus est avec une qualité toujours grandissante, soit avec des encodages plus élevés (320 kbps) soit avec des formats non destructifs ou lossless, dont le fameux flac ou encore l'ape. Fort de ce constat, l'industrie musicale s'est encore transformée en s'adaptant à cette demande qu'elle avait involontairement créée avec le téléchargement légal... puis le streaming, qui est la dernière étape en matière de dématérialisation : on ne "possède" même plus une copie numérique de la musique qu'on écoute : elle est disponible et accessible en ligne, en théorie indéfiniment, en pratique tant que le voudra bien la plate-forme. Ce qui n'empêche pas le téléchargement illégal de perdurer, ni de voir les rémunérations des artistes réduites à une portion congrue ultra minimale, le tout avec un changement perceptible dans le paysage musical (cf. la vidéo précédente de Salman sur ce sujet). Le consommateur moyen quant à lui s'adapte aussi : quand il pouvait télécharger gratuitement sans risque, pourquoi se priver ? Aujourd'hui, avec des abonnements abordables, le catalogue musical qui est à sa portée semble infini (semble seulement, mais c'est un autre sujet) : pourquoi se fatiguer à faire du jeu de piste en ligne pour télécharger un malheureux album ? Reste que l'artiste, quelles que soient les évolutions technologiques et comportementales, gagne toujours une misère : et ça, c'est la structure quasiment inchangée d'une industrie qui impose une foultitude d'intermédiaires entre l'artiste et sa rémunération nette : tant que ce carcan-là ne changera pas, la rémunération des artistes ne changera pas non plus ! Moralité : pour boucler la boucle, l'artiste doit communiquer directement avec son public... et certains artistes aujourd'hui l'ont bien compris.
@@DaPhunkPhenomena ta réponse est extrêmement sensée et ta conclusion encore plus. C'est d'ailleurs cela un véritable artiste selon moi, quelqu'un d'humain avant tout qui cherche le contact avec d'autres humains et c'est par ce contact bien supérieur à juste un stream qu'il va réussir à transmettre quelque chose à travail son art. Merci du rappel. 😍
Je vis du streaming de ma musique. Je suis pas vraiment d'accord avec le ton accordé dans cette vidéo. Ok pour un SMIC il faut faire 400k Plays par mois minimum sur Spotify. Mais les algorithmes de Spotify permettent justement de maximiser les écoutes. Donc certes il faut plus d'écoutes mais le système optimise tout ça. Et après comme dit tout travail mérite salaire. C'est pas en sortant 1 album tous les 4 ans qu'on peut en vivre (sauf si on a déjà un nom comme Daft Punk). Je fais 1 album par an et ça suffit largement. Et ça me permet en plus d'avoir suffisamment de temps pour travailler la qualité. Dans la vie faut travailler dur pour y arriver, faut pas être un flemmard et attendre que les choses arrivent les bras croisés. Après je dis pas que Spotify etc ne devraient pas payer + les artistes (ils vont d'ailleurs tôt ou tard mieux payer, c'est qu'une question de temps).
Ouais enfin d'accord, dans l'absolu je suis Ok avec ce que tu dis. Mais le point qui me dérange c'est que tout le monde ne part pas égalitaire avec ce système, je ne sais pas quel genre de musique tu fais, je n'ai pas pris le temps désolé, mais le problème est que dans un style accès Rock voir progressif ou Jazz, produire autant de musique de manière rapide est beaucoup plus compliqué et demande énormément plus de ressource que de faire la production d'un album rap, electro ou pop. Les moyens humains, technique et matériel sont plus compliqué à mettre en place, demande plus d'argent et de temps. Et un groupe de 5 personnes va forcément demander plus de temps de mise en place qu'un producteur qui fait sa musique tout seul dans sa chambre. Du coup un système comme celui ci favorise clairement la consommation de musique en mode Fast food, qui fait que les styles qui demandent des moyens et du temps se retrouve forcément lésé dans l'histoire, car ce sont qui vont nécessiter le plus d'argent et de temps à produire qui au final en gagneront le moins, à moins de faire la compote composé vite fait et là, c'est la partie artistique qui en prend un coup. Voilà ce qui est décrié et qui est dommageable à ce système.
bravo..bien synthétisé...mais attention nous sommes dans le seul cadre de l'artiste..quid des droits d'auteur..? bon sujet pour une prochaine vidéo...bonne continuation..
Hahaha, alors là, c'est une première ! On ne m'avait jamais dit ça, mais je rêve de faire du doublage. C'est bon, tu m'as convaincu, j'envoie mon CV :D
Le streaming rapport si tu es en autoprod. C'est sûr que l'artiste signé en maison de disque récupére des centimes une fois que tous les acteurs avant se sont servis : producteur, distributeur, etc...
Moi ma situation c'est : Gros gland qui prod une track tous les 100 ans avec 1,6 abonné. Merci aux 1.6 personnes qui me suivent ! Mais mon vrai boulot c'est "Ingénieur informaticien ! je suis ingénieur informaticiennnnnnn" LOL. 😅
Le document est en dollars, mais je fais une conversion en euro lorsque j'énonce les chiffres ! Egalement, j'arrondis souvent. Par contre, j'aurais dû dire "0051centimes" plutôt que "0,0051 centimes". Ou bien "0,0051 euros". M'enfin, je pense qu'on comprend :) Salman
![[ Culture Son ] Mes galères de musicien amateur](http://i.ytimg.com/vi/kQrlGctDJ_s/mqdefault.jpg)
![[ Culture Son ] Blockchain et musique - Part. 2 : Le contrat intelligent](/img/n.gif)
Les plate-formes sont aussi responsables de la situation. Certes... Certes... Et le consommateur dans tout ça ? Les gens ont un souci avec la rémunération des activités artistiques. Ne veulent pas payer un chanteur, un photographe, un auteur.... Etc. Les prix sont tirés vers le bas avant tout parce qu'il y a cette banalisation de la musique et l'idée que cet art ne mérite pas une juste rémunération. Qu'en penses tu ?
Merci pour la vidéo.
C'est une bonne réflexion ! On ne peut pas mettre de côté la corrélation entre industrie et consommateurs. L'industrie pousse des pratiques, mais se repose aussi sur des pratiques existantes : celles des gens. Après, c'est l'éternel débat entre l'oeuf et la poule. Ca relève donc d'un questionnement à l'échelle de notre société. Ce n'est que le reflet de notre vision de l'art. L'art est-il une marchandise ? Artiste est-il un métier ? La notion de travail est-elle liée à une forme d'utilité, et l'art est-il utile ? Je pense aussi que la légitimité de la rémunération ne se pose pas de la même façon lorsqu'on est sur une production de l'esprit que l'on ne fait que reproduire sur un support, et une incarnation comme un concert ou une représentation.
Je suis donc d'accord avec toi pour interroger aussi la place du consommateur dans cette situation. Mais je ne pense pas que ça soit un débat propre à la musique et à notre époque, ou à une banalisation. C'est la notion même d'art qui divise depuis longtemps. Ca se concrétise différemment en fonction du contexte géographique et historique, mais le fond reste le même.
Bon, c'est qu'une ébauche de réflexion, mais le débat est large et complexe !
Salman
Pour une partie non négligeable de la population, l'art et la culture sont des postes de dépenses quasi nuls et pour d'excellentes raisons : une fois qu'on a payé le loyer et les factures et si, ô miracle, on a même pu s'acheter à manger et des vêtements, quelle part du budget pour la musique ou les livres ?
Je schématise quelque peu (à la Zola sans doute), mais dans les années 90 un CD pouvait atteindre 15 euro (100 francs de l'époque) quand un vinyle des annees 80 plafonnait à 8 euro...
Là encore, l'artiste gagnait 1 euro grand maximum sur la vente de son CD !
Et puis sont apparus deux phénomènes concomitants : la gravure de CD et la conversion mp3.
Comble de l'ironie : le mp3 est issu de recherches de l'industrie musicale, co-financées par l'Union Européenne... mais pas dans le but de créer un nouveau format de distribution musicale, loin s'en faut : le but avoué c'était la radio numérique (Digital Audio Broadcasting ou DAB, dont on nous rebat les oreilles avec sa nouvelle version, le DAB+, dans les publicités à la radio).
Le mp3 a beau être un format destructif, il deviendra LE format numérique privilégié (au détriment de l'Ogg Vorbis ou de l'aac) : pensez donc ! Extraire les wav du CD, les convertir en mp3 et les mettre en ligne par le biais d'une plate-forme P2P : la musique devenait accessible gratuitement au plus grand nombre...
Lindustrie musicale a eu pour premier mouvement de vouloir saborder juridiquement lesdites plateformes, et Napster sera la première à en faire les frais, suivi par Audiogalaxy et toute une ribambelle de plate-formes qui proposaient également de la vidéo (remember DivX ?) comme Kazaa ou Limewire. Puis en France vint Hadopi, qui mit fin également à l'utilisation de la fameuse Mule.
Tout cela n'a pas empêché l'utilisateur désireux de se procurer de la musique gratuite de pouvoir le faire, qui plus est avec une qualité toujours grandissante, soit avec des encodages plus élevés (320 kbps) soit avec des formats non destructifs ou lossless, dont le fameux flac ou encore l'ape.
Fort de ce constat, l'industrie musicale s'est encore transformée en s'adaptant à cette demande qu'elle avait involontairement créée avec le téléchargement légal... puis le streaming, qui est la dernière étape en matière de dématérialisation : on ne "possède" même plus une copie numérique de la musique qu'on écoute : elle est disponible et accessible en ligne, en théorie indéfiniment, en pratique tant que le voudra bien la plate-forme.
Ce qui n'empêche pas le téléchargement illégal de perdurer, ni de voir les rémunérations des artistes réduites à une portion congrue ultra minimale, le tout avec un changement perceptible dans le paysage musical (cf. la vidéo précédente de Salman sur ce sujet).
Le consommateur moyen quant à lui s'adapte aussi : quand il pouvait télécharger gratuitement sans risque, pourquoi se priver ? Aujourd'hui, avec des abonnements abordables, le catalogue musical qui est à sa portée semble infini (semble seulement, mais c'est un autre sujet) : pourquoi se fatiguer à faire du jeu de piste en ligne pour télécharger un malheureux album ?
Reste que l'artiste, quelles que soient les évolutions technologiques et comportementales, gagne toujours une misère : et ça, c'est la structure quasiment inchangée d'une industrie qui impose une foultitude d'intermédiaires entre l'artiste et sa rémunération nette : tant que ce carcan-là ne changera pas, la rémunération des artistes ne changera pas non plus !
Moralité : pour boucler la boucle, l'artiste doit communiquer directement avec son public... et certains artistes aujourd'hui l'ont bien compris.
@@DaPhunkPhenomena ta réponse est extrêmement sensée et ta conclusion encore plus. C'est d'ailleurs cela un véritable artiste selon moi, quelqu'un d'humain avant tout qui cherche le contact avec d'autres humains et c'est par ce contact bien supérieur à juste un stream qu'il va réussir à transmettre quelque chose à travail son art. Merci du rappel. 😍
@@DaPhunkPhenomena C'était très plaisant à lire et très instructif, merci :)
Franchement t'abuses, ça paye grave bien ! Je viens de faire mes premiers 0,08€ sur Spotify !
Mdr!
T'as payé tes impôts j'espère
@@passifagressif6928 J'avais le choix entre payer mes impôts et donner à manger à mon fils. J'ai bien sûr choisi les impôts !
Bientôt le million 😂
lol!!
Génial la vidéo, je partage! Très explicite, très clair, au top!
J’ai rarement vu une vidéo aussi instructive 🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥
Je vis du streaming de ma musique. Je suis pas vraiment d'accord avec le ton accordé dans cette vidéo. Ok pour un SMIC il faut faire 400k Plays par mois minimum sur Spotify. Mais les algorithmes de Spotify permettent justement de maximiser les écoutes. Donc certes il faut plus d'écoutes mais le système optimise tout ça. Et après comme dit tout travail mérite salaire. C'est pas en sortant 1 album tous les 4 ans qu'on peut en vivre (sauf si on a déjà un nom comme Daft Punk).
Je fais 1 album par an et ça suffit largement. Et ça me permet en plus d'avoir suffisamment de temps pour travailler la qualité. Dans la vie faut travailler dur pour y arriver, faut pas être un flemmard et attendre que les choses arrivent les bras croisés. Après je dis pas que Spotify etc ne devraient pas payer + les artistes (ils vont d'ailleurs tôt ou tard mieux payer, c'est qu'une question de temps).
Ouais enfin d'accord, dans l'absolu je suis Ok avec ce que tu dis. Mais le point qui me dérange c'est que tout le monde ne part pas égalitaire avec ce système, je ne sais pas quel genre de musique tu fais, je n'ai pas pris le temps désolé, mais le problème est que dans un style accès Rock voir progressif ou Jazz, produire autant de musique de manière rapide est beaucoup plus compliqué et demande énormément plus de ressource que de faire la production d'un album rap, electro ou pop. Les moyens humains, technique et matériel sont plus compliqué à mettre en place, demande plus d'argent et de temps.
Et un groupe de 5 personnes va forcément demander plus de temps de mise en place qu'un producteur qui fait sa musique tout seul dans sa chambre.
Du coup un système comme celui ci favorise clairement la consommation de musique en mode Fast food, qui fait que les styles qui demandent des moyens et du temps se retrouve forcément lésé dans l'histoire, car ce sont qui vont nécessiter le plus d'argent et de temps à produire qui au final en gagneront le moins, à moins de faire la compote composé vite fait et là, c'est la partie artistique qui en prend un coup.
Voilà ce qui est décrié et qui est dommageable à ce système.
bravo..bien synthétisé...mais attention nous sommes dans le seul cadre de l'artiste..quid des droits d'auteur..? bon sujet pour une prochaine vidéo...bonne continuation..
Ta vidéo est une pepite, tout est top, continue c’est genial ce que tu fais 🙏🏼 je vais regarder le reste de suite 👀
Salut si j'écoute ta music en plusieurs fois sa te fait plusieurs vu ou 1 seul sur spotify?
Bonne vidéo j'adore. Et c'est quand la SACEM intervient dans tous ce système
C'était super intéressant
Excellente conclusion et sujet bien abordé dans l'ensemble 👍
Merci 🙏
Merci bcp
Je découvre ta chaîne, elle est excellente. Une comparaison des distributeurs en projet?
Superbe video
Très bonne vidéo ✌🏼
Super :)
Combien de stream pour vivre de boom play?
Est-ce qu’on t’a déjà dit que quand tu parles, on a l’impression d’entendre un personnage issu d’un animé ? C’est troublant
Hahaha, alors là, c'est une première ! On ne m'avait jamais dit ça, mais je rêve de faire du doublage. C'est bon, tu m'as convaincu, j'envoie mon CV :D
Incroyable, génial. C'est cool de médiatiser ses informations, on sait un peu plus ce qu'on fait mdr
Combien on gagne pour 300 streams ?
1€ a tout casser
Le streaming rapport si tu es en autoprod. C'est sûr que l'artiste signé en maison de disque récupére des centimes une fois que tous les acteurs avant se sont servis : producteur, distributeur, etc...
Sauf erreur de ma part, ce n'est pas en centime mais en dollar. 5 dollars les 1 000 vue (pour deezer), ça ne me semble pas si moche....
Les artistes ne reçoivent que des miette s
Moi ma situation c'est : Gros gland qui prod une track tous les 100 ans avec 1,6 abonné. Merci aux 1.6 personnes qui me suivent ! Mais mon vrai boulot c'est "Ingénieur informaticien ! je suis ingénieur informaticiennnnnnn" LOL. 😅
tu dis compte en centimes au lieu de dollar
Le document est en dollars, mais je fais une conversion en euro lorsque j'énonce les chiffres ! Egalement, j'arrondis souvent. Par contre, j'aurais dû dire "0051centimes" plutôt que "0,0051 centimes". Ou bien "0,0051 euros". M'enfin, je pense qu'on comprend :)
Salman
@@Monteleson
On t'inquiète pas
Ça arrive a tout le monde
Sinon ta vidéo est très intéressante
👋
0051 centimes @@Monteleson
@@Montelesontu gagnes combien par mois