Le bon dieu aime les kabyles parce que ait menguellet est 1 kabyle.dieu est la haut ,ait menguellet en bas.aucun chanteur au monde ne peut l'egaler.bravo!
Da Lounis!!, J'avoue que je suis à la fois chanceux et privilégié de partager avec vous la même langue, autrement j'aurais raté la splendeur et la profondeur de vos métaphores qui habillent votre poésie savante. je n'ai pas de mot pour vous remercier, a chaque fois que je suis nostalgique de mon enfance de ma Kabylie où j'ai grandi je me retrouve à écouter vos chansons. Merci à vous, merci à tout ce patrimoine que vous avez su conceptualiser, sauvegarder à travers vos mélodies. Quelle richesse sémantique!!. à travers toute votre poésie et philosophie de la vie vous êtes et vous serez à jamais le trésor de la Kabylie merci d’avoir consacré votre vie pour nous faire rêver et voyager à travers vos poèmes, Thanmirt et longue vie a da Lounis je vous souhaite une vie pleine de bonheur et de santé. Vous êtes et vous resterez un grand Monsieur.
Dommage pour ceux qui ne comprennent pas la langue kabyle merci beaucoup dieu de m'avoir fait kabyle pour ne pas passer à côté de ce grand artiste et pour c'est belle chanson sentimental
Le reproche que l'on peut faire à Lounis Aït Menguellet c'est qu'il a élevé le niveau très très. .......très haut sans le vouloir il a brisé la nouvelle génération de chanteurs qui ne peuvent ni le suivre et encore moins l'égaler.
Traduction mélodique de : A thin ighaven (Ô celle qui a disparu) - à 16.36 Ô celle qui a disparu On ne sait où elle allait La lune, au ciel, attristée Et triste, le laissé pleurant Triste est le laissé pleurant Quand tu avais disparu Égaré où il allait La lune, au ciel, attristée Sur sa tête, un voile est mis Comme les nues sur le croissant La fièvre, ses yeux, les brûlant Sa trace laissée en partant Mes yeux, son pied, ont suivi Je la sais partie, maintenant Fini d'entendre sa voix Y a celui qui l'entendra Je demande à leur fenêtre Je dis : Qui va apparaître Elle dit : Ils vont me fermer Personne ne va regarder Tu verras ma vitre, attristée Et la poussière, entassée Ce qui t’affecte, m’affectant Nous nous la rappellerons Leur porte que j’ai questionnée Ce qu’elle voit, ai-je demandé Elle dit : Ma force est tombée Que vais-je garder, maintenant Celui qui voudrait passer Voie ouverte, pour tous les gens Celui qui veut regarder Il ne reste rien, à présent.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique du dernier couplet de Ithrane (Les étoiles) - à 6. 02 Un jour, d'elle, j'ai rêvé Vers moi, les yeux levés Je me suis dit : ça y est De son visage, je serai repu Le cœur apaisé Il sera comblé Je pleure, ô bonnes gens D'avoir changé de côté Car, tout seul, restant Son image disparut. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Vghigh adinigh (Je veux dire)- à 12.07 Je voudrais parler Mon cœur, l'alléger Je n'ai pas tué De mon ombre, inquiet D'elle, un jour, j'ai rêvé Ses yeux les relevant Je me dis : ça y est De sa vue, me rassasiant Je pleure, ô bonnes gens D'avoir changé de côté Je reste, seul, maintenant Son image disparaît Malade, tu le savais A Dieu, je m’en remets Malade, tu le sais, toi Tu savais pourquoi Tu pourrais dire, moi J’ai tout abandonné C’est ce tu cherchais Arrête de chercher Ce que j’affirmais Comprenez, ô gens Ce n’est pas sur l’aimée Que je peine tellement Même si j’ai parlé C’est tout autrement Dans mon cœur, je sais Ce qui brûle tant.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : zrigh mazal (Je sais, pas encore) - à 0.00 Encore, je sais J'endure, c'est dur Que son visage disparaisse Mais à mesure Même si c'est du passé La nuit, le jour, sa trace me la laisse Ô cigarette, quand je t'ai allumée Ô ma main, quand je t'ai brûlée La trace est là, imprimée, pour toi Le feu éteint, je brûle toujours, moi Ton visage, il l'a pris, à un autre, il échoit Ton visage, il l'a pris,un papier, pour moi C'est une photo que j'ai prise chez moi Elle enlève le noir, même disparue, toi Ô mon désir, pourquoi te cacher Ô mon souhait, pourquoi t'éloigner Las, maintenant, à ma guitare, racontant Ce que je chante, peut-être, tu l'entends N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Le bon dieu aime les kabyles parce que ait menguellet est 1 kabyle.dieu est la haut ,ait menguellet en bas.aucun chanteur au monde ne peut l'egaler.bravo!
Les chansons des années d'or sont inoubliable
exactement
merci pour ce beau partage Long vie à lounis afud igarzen itedwilt agi iynek
Da Lounis!!, J'avoue que je suis à la fois chanceux et privilégié de partager avec vous la même langue, autrement j'aurais raté la splendeur et la profondeur de vos métaphores qui habillent votre poésie savante. je n'ai pas de mot pour vous remercier, a chaque fois que je suis nostalgique de mon enfance de ma Kabylie où j'ai grandi je me retrouve à écouter vos chansons. Merci à vous, merci à tout ce patrimoine que vous avez su conceptualiser, sauvegarder à travers vos mélodies. Quelle richesse sémantique!!. à travers toute votre poésie et philosophie de la vie vous êtes et vous serez à jamais le trésor de la Kabylie merci d’avoir consacré votre vie pour nous faire rêver et voyager à travers vos poèmes, Thanmirt et longue vie a da Lounis je vous souhaite une vie pleine de bonheur et de santé. Vous êtes et vous resterez un grand Monsieur.
Dommage pour ceux qui ne comprennent pas la langue kabyle merci beaucoup dieu de m'avoir fait kabyle pour ne pas passer à côté de ce grand artiste et pour c'est belle chanson sentimental
Le reproche que l'on peut faire à Lounis Aït Menguellet c'est qu'il a élevé le niveau très très. .......très haut sans le vouloir il a brisé la nouvelle génération de chanteurs qui ne peuvent ni le suivre et encore moins l'égaler.
Traduction mélodique de : A thin ighaven (Ô celle qui a disparu) - à 16.36
Ô celle qui a disparu
On ne sait où elle allait
La lune, au ciel, attristée
Et triste, le laissé pleurant
Triste est le laissé pleurant
Quand tu avais disparu
Égaré où il allait
La lune, au ciel, attristée
Sur sa tête, un voile est mis
Comme les nues sur le croissant
La fièvre, ses yeux, les brûlant
Sa trace laissée en partant
Mes yeux, son pied, ont suivi
Je la sais partie, maintenant
Fini d'entendre sa voix
Y a celui qui l'entendra
Je demande à leur fenêtre
Je dis : Qui va apparaître
Elle dit : Ils vont me fermer
Personne ne va regarder
Tu verras ma vitre, attristée
Et la poussière, entassée
Ce qui t’affecte, m’affectant
Nous nous la rappellerons
Leur porte que j’ai questionnée
Ce qu’elle voit, ai-je demandé
Elle dit : Ma force est tombée
Que vais-je garder, maintenant
Celui qui voudrait passer
Voie ouverte, pour tous les gens
Celui qui veut regarder
Il ne reste rien, à présent.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Merci pour ce rapel ....
😢😢
Traduction mélodique du dernier couplet de Ithrane (Les étoiles) - à 6. 02
Un jour, d'elle, j'ai rêvé
Vers moi, les yeux levés
Je me suis dit : ça y est
De son visage, je serai repu
Le cœur apaisé
Il sera comblé
Je pleure, ô bonnes gens
D'avoir changé de côté
Car, tout seul, restant
Son image disparut.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Vghigh adinigh (Je veux dire)- à 12.07
Je voudrais parler
Mon cœur, l'alléger
Je n'ai pas tué
De mon ombre, inquiet
D'elle, un jour, j'ai rêvé
Ses yeux les relevant
Je me dis : ça y est
De sa vue, me rassasiant
Je pleure, ô bonnes gens
D'avoir changé de côté
Je reste, seul, maintenant
Son image disparaît
Malade, tu le savais
A Dieu, je m’en remets
Malade, tu le sais, toi
Tu savais pourquoi
Tu pourrais dire, moi
J’ai tout abandonné
C’est ce tu cherchais
Arrête de chercher
Ce que j’affirmais
Comprenez, ô gens
Ce n’est pas sur l’aimée
Que je peine tellement
Même si j’ai parlé
C’est tout autrement
Dans mon cœur, je sais
Ce qui brûle tant.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : zrigh mazal (Je sais, pas encore) - à 0.00
Encore, je sais
J'endure, c'est dur
Que son visage disparaisse
Mais à mesure
Même si c'est du passé
La nuit, le jour, sa trace me la laisse
Ô cigarette, quand je t'ai allumée
Ô ma main, quand je t'ai brûlée
La trace est là, imprimée, pour toi
Le feu éteint, je brûle toujours, moi
Ton visage, il l'a pris, à un autre, il échoit
Ton visage, il l'a pris,un papier, pour moi
C'est une photo que j'ai prise chez moi
Elle enlève le noir, même disparue, toi
Ô mon désir, pourquoi te cacher
Ô mon souhait, pourquoi t'éloigner
Las, maintenant, à ma guitare, racontant
Ce que je chante, peut-être, tu l'entends
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.