Handicap : la France est-elle validiste ? | État de santé
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- Опубліковано 11 бер 2023
- Invisibilisées, présentées comme des causes caritatives ou, au contraire, des héros inspirants, les personnes en situation de handicap dénoncent de plus en plus le "validisme" de la société française. Ce terme, connu des universitaires et des militants depuis plusieurs décennies, a récemment fait son apparition dans le débat public. Il désigne un rapport de domination qui discrimine tout ce qui contrevient à la norme du sain, de l'absence de maladie ou d'infirmité.
Des associations prennent la parole pour réclamer un changement de paradigme, vers une société plus adaptée à la différence. En effet, moins de 1% des personnes passées à la télévision en 2020 étaient perçues comme handicapées. Pourtant, près de 20% de la population française est en situation de handicap. Et malgré une augmentation de la scolarisation des enfants concernés en milieu ordinaire, en 2021, 20% des saisines de la Défenseure des droits relatives aux droits de l'enfant concernaient des difficultés d'accès à l'éducation d'élèves en situation de handicap.
Alors, le regard sur le handicap a-t-il vraiment changé ? Comment rendre à ces personnes leur droit à l'autonomie ? Nous poserons ces questions à Céline Extenso, cofondatrice du collectif handi-féministe Les Dévalideuses.
La santé figure au premier rang des préoccupations des Français et au coeur de tous les grands débats politiques et sociétaux.
L'organisation des soins, le service public hospitalier, mais aussi le mal de dos, les allergies, la bioéthique ou encore la nutrition... Sur LCP, Elizabeth Martichoux explore chaque mois un thème de santé publique.
Entre reportages, interviews de professionnels de santé, de personnalités politiques mais aussi de patients, ce rendez-vous aborde tous les maux d'une problématique de santé, ses enjeux, les avancées et les nouveaux défis pour mieux vivre demain !
Le handicap ce n est pas que des personnes en fauteuil
Chut, faut pas le dire, sinon tout leur discours tombe à l'eau...
Ils se gardent bien de dire qu'il y a des handicaps psy qu'on balance dans des classes sans structures adaptées à leur école avec l'enseignant qui se retrouve désemparé, mettant parfois en danger les autres étudiants.
Il peut mordre, griffer, taper ses camarades, c'est bien moins grave que de "l'exclure" dans une structure adaptée où il pourra être encadré correctement et s'épanouir... ah c'est beau l'inclusion...
On puni toute une classe au prétexte d'un seul élève...
Justement, ce sont les personnes avec d'autres types de handicap qui sont le + institutionnalisées, qui subissent le validisme le + violent, et qui ont besoin d'être sortis de là avec des aides individualisées, à la mesure de leurs besoins et de leurs choix.
C'est même autre chose en majorité.
Bien sûr en France la société française discrimine les personnes qui ont un problème de santé physique ou psychologique un handicap ils sont victimes de harcelement scolaire dans les écoles et en société ils sont victimes d exclusion sociale les femmes ne couchent pas avec privations sexuelles et la société française les considère a tort comme des bons a rien alors que non moi je dit non à la discrimination envers les personnes qui ont des problèmes de santé et non au harcelement scolaire que subissent les élèves en situation de handicap il faut incarcérer les harceleurs supprimer la prescription pour les faits de harcelement scolaire et de discrimination envers les personnes qui ont des problèmes de santé ah le validisme la société du paraître le diable ne s habille plus en Prada non au harcelement scolaire non a la discrimination envers les personnes qui ont un problème de santé et peu importe le problème de santé ils ont droit au respect et a une vie sexuelle comme tout le monde.
La villa Maya un ghetto.
Bientôt plus de santé nous vaillon nous sommes en gerre nous sommes nous veillerons nous sommes n.r
"isoler plutôt qu'inclure", et c'est avec cette logique ridicule qu'on se retrouve avec des enfants inadaptés à un enseignement classique dans des classes qui n'ont ni les formations, ni les capacités pour les accueillir.
On se retrouve donc avec 20+ enfants punis à se faire mordre, griffer, taper chaque jours, et un enseignant qui ne peut que subir... Pour les cas les moins graves, c'est la scolarité de 20+ enfants qui sont mis en danger du fait des interruptions constantes de la classe.
Les enseignants, on leur demande de toujours faire plus, on se décharge complètement sur eux, et "débrouillez-vous".
Et quel bien cela fait pour les enfants handicapé ? Aucun, ils sont perdus, sans aucune structures adaptée...
Honte à vous .
@@bernadettevarnier7070 Honte à VOUS qui acceptez par pure idéologie hors sol que des enfants se fassent maltraités.
Ah mais c'est bien facile de souscrire à la dernière idéologie à la mode... mais quand il va falloir se retrouver en face d'un gamin violent, sans aucun moyens d'actions ni formations, ça ne sera plus votre problème... les gamins qui se feront taper, mordre, et griffer, ça ne sera pas les vôtres.
Et même le gamin handicapé, vous n'avez rien à faire de lui. Une structure adaptée où il pourra s'épanouir avec l'encadrement nécessaire, non, ça coûte trop cher. Vaut mieux l'envoyer dans une classe où les AESH ne sont présent que la moitié du temps pour les gamins qui ont la chance d'un avoir un... et le reste du temps l'enseignant se démerde... i.e. laisser l'enfant seul dans un coin parce qu'il a une classe à gérer...
HONTE À **VOUS**
Et on continue à sous payer les ASH et leur donner la responsabilité de plus d’enfants avec moins d’heures pour chacun. Il serait bon de le rappeler car ici on dirait que vous faites des reproches à des enfants qui n’ont rien demandé et souffrent déjà de leur handicap et du rejet qui l’accompagne.
@@ninalong1734 Le problème est qu'on manque d'argent de partout, l'EN, la police, les pompiers, les hôpitaux, etc. et il faudrait que les handicapés aient le privilège d'avoir un ASH en permanence et par personne ???
C'est en gros ce que demande l'invitée...
On dépense déjà des sommes folles pour les handicaps, que ce soit via les pensions pour invalidité, les aides pour les entreprises, les investissements pour l'accessibilité, les mutuelles, etc. mais non au lieu d'avoir un peu de gratitude, on en demande plus jusqu'à l'absurde et l'irréaliste.
Avant, on avait des structures d’accueil qui marchaient très bien, mais qu'on a saboté pour faire des économies... et faire plaisir aux parents qui s'inquiètent plus à ce que leur gamin fasse "tout comme tout le monde" en niant son handicap, plutôt de de penser à son épanouissement...
Non, je ne fais pas des reproches à des enfants qui n'ont rien demandés et qui souffrent, je fais des reproches à leurs parents et aux politiques qui les ont placés dans cette situation où ils souffrent.
@@Neckhawker vous êtes bien dans le thème du validisme, félicitations ;)