Cela fait 6 ans que je ne suis plus retourné pêcher le Léger, bien loin de chez moi. Quel bonheur de le revoir à travers ces images, et quel bonheur de voir que, manifestement, il se porte bien, et que des humains y veillent.
Bonjour à toutes et tous , voilà une rivière magnifique donc la gestion est exemplaire, espérons qu'elle reste ainsi, un havre de paix, merci beaucoup aux intervenants ainsi que le partage, bien cordialement Dan 👍🙏
Comme pêcheur, j'ai assisté de manière impuissante à la lente agonie du Léguer. Je suis fier aujourd'hui de constater qu'une action collective impliquant tous les acteurs et impacteurs du milieu a permis de faire revivre cette rivière de toute beauté. Les effets ont été plus rapides que la prise de conscience et les actions diverses. Comme quoi, vouloir c'est pouvoir ! Un bien bel exemple qui prouve que rien n'est irréversible. Ne jamais baisser les bras ! Merci à tous les acteurs !😢
Bonjour, vidéo très instructive. C'est vrai que l'on a tendance à vouloir des rivières propres et dégagées pour y pêcher facilement. La taille de la végétation des berges demande réflexion. Le bois mort est source de vie, de refuge. Je pêche le gardon à la grande canne sur l'Oise sur un secteur canalisé dont les berges sont "propres" et je pense qu'il faudrait fixer quelques arbres morts le long des berges pour essayer de recréer un milieu plus naturel. Cordialement.
Il est peut-être nécessaire d'interdire la propriété de terrain privé agricole (cultures ou élevage) en bord de rivière, sur 2 m par ex., et laisser la gestion à l’État ou aux collectivités locales, afin de limiter les éventuels problèmes comme l'érosion des berges non arborées ou la pollution de l'eau par le bétail.
12:21 très bonne mentalité, mais vocabulaire maladroit. "On perd son poisson" sous entend que ce dernier est déjà la propriété du pêcheur ( oui jz sais que le poisson est relâché et que le pecheur consciencieux fera tout pour blesser le moins possible l'animal)....
Merci, c'est très intéressant...Un point de vue des plus instructif.
Une gestion à long terme, avec la prise en compte des refuges thermiques...
Cela fait 6 ans que je ne suis plus retourné pêcher le Léger, bien loin de chez moi.
Quel bonheur de le revoir à travers ces images, et quel bonheur de voir que, manifestement, il se porte bien, et que des humains y veillent.
Très intéressant
Bonjour à toutes et tous , voilà une rivière magnifique donc la gestion est exemplaire, espérons qu'elle reste ainsi, un havre de paix, merci beaucoup aux intervenants ainsi que le partage, bien cordialement Dan 👍🙏
Comme pêcheur, j'ai assisté de manière impuissante à la lente agonie du Léguer. Je suis fier aujourd'hui de constater qu'une action collective impliquant tous les acteurs et impacteurs du milieu a permis de faire revivre cette rivière de toute beauté. Les effets ont été plus rapides que la prise de conscience et les actions diverses. Comme quoi, vouloir c'est pouvoir ! Un bien bel exemple qui prouve que rien n'est irréversible. Ne jamais baisser les bras ! Merci à tous les acteurs !😢
Bonjour, vidéo très instructive. C'est vrai que l'on a tendance à vouloir des rivières propres et dégagées pour y pêcher facilement. La taille de la végétation des berges demande réflexion. Le bois mort est source de vie, de refuge. Je pêche le gardon à la grande canne sur l'Oise sur un secteur canalisé dont les berges sont "propres" et je pense qu'il faudrait fixer quelques arbres morts le long des berges pour essayer de recréer un milieu plus naturel. Cordialement.
Très intéressants. Et on ne va pas se mentir on aime pêcher ces bois morts qui sont d'excellents postes 😉
Très intéressant, je porterai un regard bien différent sur ces arbres qui bordent notre cher Léguer !
Il est peut-être nécessaire d'interdire la propriété de terrain privé agricole (cultures ou élevage) en bord de rivière, sur 2 m par ex., et laisser la gestion à l’État ou aux collectivités locales, afin de limiter les éventuels problèmes comme l'érosion des berges non arborées ou la pollution de l'eau par le bétail.
12:21 très bonne mentalité, mais vocabulaire maladroit. "On perd son poisson" sous entend que ce dernier est déjà la propriété du pêcheur ( oui jz sais que le poisson est relâché et que le pecheur consciencieux fera tout pour blesser le moins possible l'animal)....
"Son poisson = poisson au bout de la ligne pris par le pêcheur". C'est juste une expression et un abus de langage.
@@qeuchniot oui je conçois cela.
La rivière dégueulasse c’est la mort des saumons