Chant de la révolution de 1848: Mourir pour la Patrie ! Choeur des Girondins.

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  • Опубліковано 6 жов 2024
  • D'abord inséré dans le drame d'Alexandre Dumas père et Auguste Maquet "Le chevalier de Maison-Rouge" qui fut joué au Théâtre-Historique (création le 3 août 1847), le texte devient rapidement un véritable manifeste politique. Mais c'est grâce à une musique de Pierre-Joseph-Alphonse Varney, accompagné d'un nouveau texte des mêmes auteurs et d'un refrain de Claude Joseph Rouget de Lisle extrait de "Roland à Ronceveaux", que la chanson devient populaire et est entonné sur les barricades de février 1848 et pendant le siège de Paris et la Commune en 1870-71 par les gardes nationaux parisiens.
    Elle appartient au registre révolutionnaire républicain, patriotique et guerrier comme le Chant du départ et la Marseillaise. Contrairement à ce qui est dit sur wikipédia ou sur YT en général par des anglo-saxons qui ne savent pas lire et des français qui ne font que suivre ( CHANT NATIONAL ne veut pas dire... hymne national...), elle ne fut jamais un hymne national officiel et joué comme tel, mais seulement une chanson marquante de la période et au mieux une sorte d'hymne officieux pendant la Deuxième République sous le titre "Chant des Girondins".
    Version de Max Bussy en 1934.
    1
    Par la voix du canon d’alarmes
    La France appelle ses enfants,
    - Allons dit le soldat, aux armes !
    C’est ma mère, je la défends.
    Refrain:
    Mourir pour la Patrie
    Mourir pour la Patrie
    C’est le sort le plus beau, le plus digne d’envie
    C’est le sort le plus beau, le plus digne d’envie
    2
    Nous, amis, qui loin des batailles
    Succombons dans l’obscurité,
    Vouons du moins nos funérailles
    À la France, à la liberté.
    Refrain
    3
    Frères, pour une cause sainte,
    Quand chacun de nous est martyr,
    Ne proférons pas une plainte,
    La France, un jour doit nous bénir.
    Refrain
    4
    Du Créateur de la nature,
    Bénissons encore la bonté,
    Nous plaindre serait une injure,
    Nous mourons pour la liberté.
    Refrain

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