Merci Noé et David. Je viens de réécouter. Le finalisme prête des intentions à des entités non-sentientes (la planète, les écosystèmes, les plantes, ou encore les organes du corps), ce qui semble infondé et n'aide pas à éclairer notre compréhension et les choix sociétaux qui en découlent.
Le langage finaliste dans la biologie ou l'écologie permet non seulement de nier ou occulter la sentience animale au profit d'une sorte de finalité naturelle, mais aussi de redonner du sens (une finalité) au monde, quand l'évolution darwinienne fait du monde, du vivant, le fruit du hasard des circonstances. Et cette soif de sens est vraiment quelque chose d'extrêmement important chez les humains pour l'instant, au point de leur faire renoncer bien souvent à la rationnalité. On la retrouve dans les religions, bien sûr, mais aussi tout bonnement dans cette religion-socle qui ne dit pas son nom, qu'est la croyance en "la nature", en un ordre ou équilibre naturel, en une finalité naturelle... L'athéisme a encore de sacrés progrès à faire !
Je trouve ces idées très justes, mais je me demande comment les vulgariser efficacement pour qu'elles deviennent plus mainstream. Typiquement, cet entretien, bien que très interéssant, est peu abordable pour une personne lambda je trouve.
23:13 "les animaux sont avant tout des individus ayant l'intention première de c'est de ce reproduire et de survivre.". Déjà cette phrase pour un antispéciste comme vous être est problématique. Car un biologiste ou un darwiniste ne parleras pas des animaux, mais des être vivant. Vous séparer vous mêmes les animaux de l'entièreté du réel. Aussi le problème est que vous supposer que les animaux ne veulent pas propager leur gêne pour leur imposer votre idéologie, soit la vie n'est pas programmer comme cela. C'est comme si vous supposer que le corps humains n'est pour programmer pour respirer, pour justifier une idéologie anti respiration. 26:00 c'est vous qui affirmer que parce que vous n'aimer pas la souffrance chez les animaux, la vie n'a aucun sens pour légitimer l'instinction des animaux qui vous soulage du fardeaux de ne plus les voir souffrir. Quand on étudie votre antispécisme, nous constatons aisément que votre combat est de chercher à minimiser vos souffrance de voir les animaux souffrir. C'est le propre d'une idéologie, servir les intérêt humain, soit servir vos émotions. Tout réflexion scientifique ou pseudo scientifique ou phylosophique dans ces domaine est futile et ne sert qu'a donner une fausse légitimité à votre idéologie.
Merci Noé et David. Je viens de réécouter.
Le finalisme prête des intentions à des entités non-sentientes (la planète, les écosystèmes, les plantes, ou encore les organes du corps), ce qui semble infondé et n'aide pas à éclairer notre compréhension et les choix sociétaux qui en découlent.
👌
David Olivier c'est le GOAT ! ❤
😮
Merci !
Le langage finaliste dans la biologie ou l'écologie permet non seulement de nier ou occulter la sentience animale au profit d'une sorte de finalité naturelle, mais aussi de redonner du sens (une finalité) au monde, quand l'évolution darwinienne fait du monde, du vivant, le fruit du hasard des circonstances. Et cette soif de sens est vraiment quelque chose d'extrêmement important chez les humains pour l'instant, au point de leur faire renoncer bien souvent à la rationnalité. On la retrouve dans les religions, bien sûr, mais aussi tout bonnement dans cette religion-socle qui ne dit pas son nom, qu'est la croyance en "la nature", en un ordre ou équilibre naturel, en une finalité naturelle... L'athéisme a encore de sacrés progrès à faire !
Est-ce un extrait de l’entretien plus long ou est-ce un contenu inédit ?
C'est inédit.
@@noebugaudGénial ! Je regarderai ces interviews dès que je peux, ça promet d’être passionnant !
Je trouve ces idées très justes, mais je me demande comment les vulgariser efficacement pour qu'elles deviennent plus mainstream.
Typiquement, cet entretien, bien que très interéssant, est peu abordable pour une personne lambda je trouve.
je fais le même constat que vous, ce qui est désolant :(
Pourquoi tu penses qu'elle est peu abordable par une personne lambda ? c'est quoi qui l'empêcherait de comprendre, selon toi ?
23:13 "les animaux sont avant tout des individus ayant l'intention première de c'est de ce reproduire et de survivre.".
Déjà cette phrase pour un antispéciste comme vous être est problématique. Car un biologiste ou un darwiniste ne parleras pas des animaux, mais des être vivant. Vous séparer vous mêmes les animaux de l'entièreté du réel.
Aussi le problème est que vous supposer que les animaux ne veulent pas propager leur gêne pour leur imposer votre idéologie, soit la vie n'est pas programmer comme cela.
C'est comme si vous supposer que le corps humains n'est pour programmer pour respirer, pour justifier une idéologie anti respiration.
26:00 c'est vous qui affirmer que parce que vous n'aimer pas la souffrance chez les animaux, la vie n'a aucun sens pour légitimer l'instinction des animaux qui vous soulage du fardeaux de ne plus les voir souffrir.
Quand on étudie votre antispécisme, nous constatons aisément que votre combat est de chercher à minimiser vos souffrance de voir les animaux souffrir. C'est le propre d'une idéologie, servir les intérêt humain, soit servir vos émotions. Tout réflexion scientifique ou pseudo scientifique ou phylosophique dans ces domaine est futile et ne sert qu'a donner une fausse légitimité à votre idéologie.
Je ne m'attendais à rien de votre part, et je suis quand même déçu.