Je suis assez d'accord, c'est honnète. Par contre les monstres en CG j'arrive pas a y croire une seule seconde, c'est rageant surtout quand on sait que des mecs de "Algamated Dynamics" avaient bossé sur des animatroniques qui devaient servir de base avant d'y ajouter des effets pour l'incrustation. Ensuite je m'attendais a quelque chose de plus viscéral et pire que dans le premier surtout quand on voit l'état de la base quand McReady s'y rend. Et puis comme Dudu l'a démontré il y a beaucoup de choses qui ne sont pas raccord avec l'original. Donc honnète mais sans plus. Par contre il y a le jeu vidéo "The Thing" qui raconte ce qu'il se passe après le film de Carpenter avec l'équipe de secours et ça niveau paranoïa c'est pas mal foutu - Bon le scénar est cousu de fil blanc par contre.
Caljbeut toujours tapis dans l'ombre pour sortir de nulle part et soutenir avec les bonnes paroles ! À quand la vidéo sur Soral ? Je troll hein, je sais plus ou j'ai entendu que comme le raptor avait déjà sorti sa vidéo sur Soral il avait déjà dit à peu près tout. En tout cas j'attends les prochains cartoons avec impatience !
Pour moi je trouve sympa qu'il ai essayé de raconter se qu'il c'était passé avant dans la base norvégienne (je suis plus sûr de la nationalité...) plus tape à l'œil avec les effets CGI mais ça restait efficace c'est pas aussi tangible que les animatroniques de Bottin mais comme tu le dis : c'est honnête
En tant que grand fan de The Thing, je me permets modestement quelques remarques : - Who Goes There est une nouvelle, pas un roman comme tu le dis parfois. Une version plus longue de la nouvelle, appelée Frozen Hell, a été retrouvée et a été publiée récemment, mais elle n'apporte pas grand-chose par rapport à la nouvelle originale. Elle va être adaptée par le studio Blumhouse en film bientôt, donc un 4ème film "The Thing" pour bientôt. - Je ne comprends pas trop ton souci avec le perso de Clark (le maître-chien), qui est clairement défini comme un personnage plus à l'aise avec ses Huskies qu'avec ses collègues. De même, c'est très intéressant d'analyser les comportements des hommes-Choses. Par exemple, la Chose-Norris et la Chose-Palmer sont les premiers à soutenir l'idée que MacReady a été pris par la Chose quand Nauls ramène le vêtement brûlé. Ce n'est pas une coïncidence. ;) Du coup il y a au contraire plein de choses à voir dans les visionnages suivants pour réfléchir aux comportements de chacun. - Le fait que la Chose ne s'en soit pas pris à Clark montre son intelligence. Elle a attendu d'en savoir plus sur le fonctionnement de la base avant de s'en prendre à quelqu'un sans risque. Cet aspect intelligent est malheureusement un peu amoindri par la scène du chenil, où la Chose semble se faire repérer à la fois par Clark et par MacReady. Dans le script avant les modifications de Carpenter, la Chose-chien ne se faisait détecter que parce que MacReady était dans la salle commune à regarder les cassettes des Norvégiens. Sinon, les hommes endormis dans le dortoir à l'autre bout de la station n'auraient pas su ce qui s'était passé durant leur sommeil... - La musique a été composée par Ennio Morricone et "retouchée" par John Carpenter, d'où cet aspect orchestral (Morricone) et synthé (Carpenter). - La Chose, comme expliqué par MacReady, est vulnérable quand elle se transforme, ce n'est pas une situation avantageuse pour elle (à part peut-être la fin en fusionnant plusieurs corps mais je suis justement d'accord avec toi, la Chose-Blair n'est pas très active dans la scène finale ^^). C'est un truc que la prequel n'a pas du tout compris d'ailleurs. - Pour uniquement des hommes dans la version de John Carpenter, ça correspond à la nouvelle originale où il n'y a pas de femme dans la station. Je pense que c'est simplement une envie de rester fidèle à la nouvelle d'origine autant que faire se peut. - À noter que c'est Carpenter qui a donné plus d'importance au personnage de MacReady, dans les premières versions du script, le personnage n'était pas mis en avant et devenait le "héros" justement à partir du moment où il est suspecté par tous. Je trouve que c'était plus intéressant comme ça mais bon, après Kurt Russell est vraiment marquant en MacReady aussi. - Pour la question de la paranoïa et de son sens, pour moi The Thing de 82 est le film de paranoïa ultime, où chaque personne autour de soi peut se révéler porter un masque et où le mal peut surgir de n'importe où. Pour la petite histoire, la mère de John W. Campbell avait une jumelle qui, semble-t-il, s'amusait à se faire passer pour sa mère pour le tourmenter. Voilà qui a dû avoir un fort impact sur le pauvre John et le pousser à écrire Who Goes There ! - Pour le test des plombages, à noter que l'on voit que la Chose-Norris dans le film de 82 porte des plombages, donc ce test ne fonctionne pas. ;) - Ah ben je suis content que tu soulignes la bêtise de la Chose dans le prequel, le pire étant la fin avec "oups j'ai remis la boucle d'oreille du mauvais côté lol". Mon facepalm avait été d'un niveau atomique dans la salle lors de cette scène... Content que tu aies enfin fait The Thing, et on va bien voir ce que le 4ème va donner...
Bonne réplique... ou dirais-je plutôt merci pour ces compléments d'informations. Autant Durandal est ma référence alpha dans l'univers des vlogues francophones sur le cinéma, autant ici son manque d'intérêt assumé pour The Thing transpire cette capsule qui ne creuse pas trop cette œuvre sublime. Pour la première fois depuis que je suis suis Durandal, je trouve qu'il y a des éléments qu'il n'a pas saisis dans un film (à commencer le jeu subtil des acteurs qui mérite à lui seul d'être observé durant un deuxième visionnement). Mais bon, à sa défense, disons qu'en tant que fan de ce film en particulier (un intérêt qui m'a même poussé à le choisir comme sujet d'analyse académique universitaire il y a 20 ans), on ne peut pas demander à tous d'y consacrer autant de temps.
Toi t'es un vrai ! Carpenter avait les boules que le scénar d'Alien lui ait pas été proposé par son pote mais à Scott, et pourtant, The Thing est le meilleur qui soit, je l'ai vu plus de 100 fois, ce film est un chef d'oeuvre, je ressens toujours la même angoisse avec le test de sang et à chaque fois que je vois le chien, au début du film, je dis "je sais, il est chou ce chien, mais ne faites rien, rentrez à la base" LOL
@@ChristopherCompagnon1AndOnly chacun son truc. Je m'étais ennuyé devant Predator perso. A part la scène culte avec Schwarzy "GET TO THE CHOPPA !!!!" 😏
"Bonjour, je m'appelle Durendal et en attendant le prochain PJREVAT je vous fais des vidéos chiadées de qualité". Oklm. Merci beaucoup de ce contenu :)
video de qualité comme toujours MAIS MAIS mais allez voir le premier THE THING quand meme il vaut le coup pour les cinéphiles, je trouve que tu le baches un peu trop vite car pour 1951 c'est top, les plans sont simples mais bien fait et le "monstre" n'est pas forcement la pour faire peur comme dans the thing de carpenter, juste il amene l'action c'est tout, certe elle est tres moche lol mais bon pour l'epoque je trouve ca super et NON pour ses cris le monstre ne fait pas QUE des " oohh hann" etc comme tu dis ^^ ! bref moi j'ai bien aimé lol PEACE bonne continuation (j'aime te regarder car je suis souvent en désaccord avec toi, je regarde tes videos pour voir ce que tu dis sur les films que moi j'aime, et ça m'empeche pas d'etre abonné et tout ) :)
@@thek-bulous4684 Quand tu dis qu'il vaut le coup pour les cinéphiles je voudrais juste signaler qu'il n'y a pas qu'un seul genre de cinéphile, donc tu peux dire qu'il vaut le coup pour certaines personnes, mais ça n'englobe pas tous les cinéphiles, du tout. (je me suis endormie devant, désolée xD)
@@_Usaco bah je dis ca dans le sens ou plus tu regardes de films plus tu connais les rouages et les mecaniques donc tu sais quand cest bien fait et quand une scenes est bien amenée etc, si tu t'es endormi devant cetait pas le bon jour, de fois moi je mate un film soit disant ouf et je me fais chier et je le RE regarde et je me rend compte que cest une bete de film. Juste qu'on juge trop vite enfin la surtout les deux The Things cest du lourd quand meme ^^
Comme on dit : "Les gouts et les couleurs" ... Pour moi "The Thing" de Carpenter est une œuvre majeure dans le cinéma de genre .. Que ce soit en matière d'ambiance, d'effets spéciaux pratiques , etc... La musique pour moi est minimaliste à souhait et ajoute à cette ambiance générale... Quand on pense que c'est à 70 % du Ennio Morricone Que ce soit pour 2001 de Kubrick et d'autres références, nous ne serons jamais d'accord ;) Bien entendu, à chacun son avis... En tout cas merci pour tes analyses toujours pertinentes même si subjectives...
Lu sur le sujet dans la section des commentaires de la chaine à SO : Pour la BO de THE THING, le thème principal a bien été composé par Ennio Morricone, qui, je cite, dans le livre "Ennio Morricone, ma vie, ma musique" sorti en 2016 : "C'était vraiment curieux. Il (John Carpenter) est venu à Rome pour montrer le film à l'hôtel où il logeait, mais, une fois la projection terminée, il a pris la cassette et s'en est allé en me laissant seul dans la salle : était-ce du respect, de la pudeur ou autre chose ? [...] Je suis donc rentré chez moi et, grâce aux notes que j'avais prises, j'ai écrit plusieurs musiques en arborant tous les genres possibles, dissonants et consonnant, [...] J'ai fais deux versions d'un morceau assez long, une au synthétiseur que j'ai présenté à Rome et l'autre, instrumentale, que j'ai enregistrée avec l'orchestre à Los Angeles, en plus des autres morceaux. L'enregistrement s'était très bien passé, [...] à tel point qu'à la fin de la session, on m'avait félicité avec enthousiasme. [...] J'ai attendu la sortie du film, curieux d'apprécier le résultar. Et, là, je me suis rendu compte avec stupeur de "méfait" : aucune trace des enregistrements de Los Angeles! Pendant tout le film, Carpenter s'était servi de la version synthétiseur que j'avais réalisé à Rome..." (page 232)
@@CarlBoileau Merci pour cette mise au point, mais Carpenter compose aussi. Je ne t'apprends rien. Ecoute la zik d'Assault, tu verras si Morricone n'a pas tenté de faire du Carpenter pour Carpenter (qu'il a extrêmement ben saisi " notes dissonantes alternées à des consonantes" comme tu l'indiques. Mais je précise que ce que tu dis Carpenter ne s'en est pas caché, au moment de la sortie des" 8 salopards" de Tarantino, il a bien dit que QT a utilisé la zik dont lui n'a pas voulu que Morricone lui avait composé pour "the Thing". Le souci c'est que pour moi tous les films de Carpenter ont une musique synthé reconnaissable parmi toutes. Je suis allée à son concert, tu vois réellement qu'il kiffe grave et que son style identique à celui de ses musiques de films (comme sa manière d'être d'ailleurs, LOL). A plus de70 piges, il a décidé d'arrêter le ciné .. MAIS le seul film qui le ferait sortir de sa retraite est une adaptation de "Dead Space" (logique, il kiffe les survivals). Il fait un crowdfunding, direct je lui file de la thune avec si possible un low budget pour être certaine qu'il me réalise une tuerie, sinon il va bosser la forme et pas les plans, cadres, rythmes et psycho des persos !!
La Chose ! Iconique Je suis fascinée par les monstres, et celui-ci est pour moi ma préférée C'est une forme de vie très intelligente avec une capacité d'adaptation extraordinaire En peut de temps elle prend la forme de son hôte et décèle des informations dans son cerveau De plus elle est abstraite, avec ses représentations diverses terrifiantes avec des effets spéciaux tellement hors du commun sans pourtant contraster à l'écran (Au contraire de la CGI du prequel...) La forme propre de la Chose est inconnue, et on peut imaginer que ce n'est certainement qu'un groupe de cellules parasites qui communiquent entre elles à travers l'espace (le test de sang) et c'est l'originalité de ce monstre qui me fascine Enfin elle inspire la paranoïa totale, au final elle a gagné -> la paranoïa rend la Chose immortel et en finissant le film et même après 40 ans on se demande si Childs ou MacReady sont infectés (Contrairement au Xenomorph, qui l'une de mes créatures préférées également, qui se fait victimiser à chaque fois, mais ce n'est qu'une petite pique x)
« The Thing » de Carpenter est un de mes films horrifique favoris, c’est un rdv obligatoire au moins une fois dans l’année pour recevoir cette dose de bien-être. Il y’a dans ce film un charme assez fou, et une ambiance si intéressante, horrifique, mais pourtant si apaisante pour le spectateur. Le mixe SF, horreur est ici excellent, et ce serait intéressant d’avoir un peu plus de films mêlants c’est 2 genres. (Dans les films recent c’est rare, ou c’est réalisé sans moyens)
La version de1982 fut un choc pour moi, surtout lié aux conditions de visionnage: j'avais 8ans, on vivaient dans une ferme perdu dans une foret artificielle ( donc les arbres alignés parfaitement ), j'ai vu ce film seul la nuit, et dans la pièce il y avait une grande porte vitrée qui donnait sur cette forêt inquiétante souligné par l'éclairage de la pleine lune et une légère brume ... Depuis chaque visionnage me replonge dans l'angoisse que j'ai vécu ce jour la. Cependant, je suis d'accord avec ton analyse, surtout sur la fin. Point de doute à avoir. J'en profite pour te conseiller Christine, qui est à mon sens plutôt bon, et surtout n'à quasi pas vieilli. En tout cas, bravo pour ton respect de l'œuvre, même si tu n'as pas accroché.
Il y a un truc que j'aime beaucoup dans le film de Carpenter c'est le chien hôte. Je saurai pas comment l'expliquer mais il y a quelque chose de dérangeant et pas naturel dans son comportement par rapport aux autres chiens. Je me demande comment ils l'ont dressé pour parvenir à ce résultat.
J'ai l'impression que celà se traduit beaucoup par la mise en scène et la musique, plus que par "l'acting" du chien Mais je suis d'accord avec toi, il est pas commode ce toutou
@@ocblesbiV77online oui je suis d'accord, la mise en scène rend le chien flippant... si on enlève la musique anxiogène et l'éclairage un peu flippant le chien a un comportement presque normale... Mise a part justement cette fameuse scène dans le chenille avec les autres chiens, où là je trouve qu'il se passe vraiment un truc !
J'allais le dire, merci Amaruq. Jed est un chien-acteur légendaire, il était extrêmement doué, avec un jeu discipliné et d'une grande richesse. Voir la scène où il déambule silencieusement dans les couloirs de la base antarctique, ça donne des frissons.
The thing de carpenter A une transformation de la chose plus .. dérangeante ... Les tremblement de l hôte ainsi qu un certaine souffrance quand elle se déchire ( comme si l hote subissait la douleur ) Une pépite
Dudu, qui nous parle de The Thing ! ça fait tellement plaisir ! :D Pour avoir vu les 3 versions, je me permet de faire un avis rapide, sur chacun de ces films : -1951 : C'est un film qui va surement rebuter plus d'un, avec le coté vieillot et de son ambiance lente. La menace même, n'intervient que très peu . Mais, la plus grande force d'Howard Hawks et de Christian Nyby , c'est de filmer les personnages, avec des dialogues qui ont du sens. En sortant en pleine Guerre Froide, le film prend tout son sens de la paranoïa et du comportement humain. Deux équipes "s'affrontent" au débat, pour savoir qui a raison et qui a juste. Des dialogues sont pertinents là dessus, créant une nuance des deux cotés (scientifiques et militaires) , ce qui vont les amener à s'unir contre cette "chose". Bon, le monstre reste moins impressionnant au fil des années, mais reste très louable pour son époque ! Bref, un bon classique à découvrir ou à redécouvrir ! ;) -1982 : Le remake de John Carpenter, va filmer du point vu des personnages, et de la "chose" en faisait vraiment une vraie abomination cauchemardesque ! Les années 80 auront étaient la décennie d'expérimentation de maquettes et VFX pour nous proposer une vraie menace réelle et crédible. La Chose est magnifiquement redoutable, rendant le paranoïa plus fort et plus malsain ! Si j'adore The Thing, c'est parce qu'il me rappelle bien Alien dans son ambiance pesante et de ses personnages attachants et reconnaissables ! Bref, mon film Carpenter préféré, et que je salue la musique pour Ennio Moriconne ! -2011 : C'est clairement le plus mauvais des trois. Le film se veut être le Prequel direct du film de Carpenter. Ce qui n'est, pas une mauvaise chose en soit (lol, jeux de mots accomplis) , le problème, c'est dans son concept et exécution. Le film repose trop sur les EFX , ce qui tue le film de base, car la Chose n'est qu'une bouillie de pixels moches et pas crédible (ça me fait de mal de dire ça, aux personnes qui ont travailler dessus) avec les personnages peu convaincants, et des lourdeurs pas possible ! Néanmoins, je salue le courage de faire ce projet à risque, et d'avoir pu respecter l'ensemble de la chronologie des événements du The Thing 82 ! Bref, c'était comme toujours, très plaisant que tu parles de bons classiques là dessus ! J'aimerai bien, si à l'avenir, tu pourrai faire la même chose, pour d'autres films ayant leurs remakes, comme King Kong, Godzilla, Scarface, Les 7 Samourais, Nosferatu, Ocean's Eleven etc... ça peut être intéressant d'avoir ton avis là dessus ! :)
Ne pas oublier que la chose n'est pas forcément intelligente. Le crash du vaisseau étant le résultat de l'assimilation du pilote par la chose, le vaisseau étant une sorte de zoo galactique. Dans cette théorie la chose reste donc un animal réagissant au niveau cellulaire avant tout.
Pour ceux que ça intéresse, Mathijs van Heijningen, ça se prononce "Matheïs van Heïninguen". ^^ Ne me remercier pas, c'est aussi inutile que de retenir cette information.
Le coup de l'hélicoptère et du nom écrit dessus je n'y avais jamais pensé....pas mal ^^ Une chose qui a nuit au The Thing de Carpenter c'est la sortie de E.T en même temps...pas vraiment la même ambiance il faut bien admettre ^^' Et dernier point, la Chose n'a, semble t'il, aucune vraie forme..ce serait presque un virus...d'où la réflexion si le vaisseau est le sien ou un vaisseau volé suite à une assimilation...après tout la Chose copie et s'accapare autant l'apparence quelles mentalités et personnalités. ...ce qui la rend encore plus dangereuse...
Je pense aussi que La Chose a envahi l'équipage du vaisseau qui se crash quelle que soit leur "race", après tout comme le dit Blair dans son journal; elle a pu imiter des milliers de formes de vies dans des milliers de galaxies différentes.. Mais je la vois comme bien plus qu'un virus, même si son fonctionnement y fait penser. Je pense qu'elle peut également intéragir avec toute forme de vie, ce qui inclue les plantes, les insectes, les oiseaux, la faune marine, les champignons et j'en passe. Imagine un peu le cauchemar si elle arrivait à quitter l'antarctique.. 27,000 heures mon pote.
il y a guillaume guillaume cassar qui est un youtuber cinéphilie tout comme durendal qui a fait une vidéo sur the thing qui est sortir hier. sa va être marrant de comparé les 2 point de vu des youtuber. j'ai hâte :).
C’était une bonne idée de faire les 3 ensemble! Perso j’aime beaucoup celui de Carpenter, il me rappelle Lovecraft, (jusque dans la musique, qui colle super bien à la lecture) dont j’adore les nouvelles. Sinon pour le maître chien, j’ai le souvenir d’un homme assez mal à l’aise avec les gens, et plus détendu avec les animaux. Du coup j’avais pas trouvé son comportement trop exagéré. Je l’ai vu qu’une seule fois par contre, mais je le reverrai, pour voir si mon avis change aussi!
Salut tu as bien décortiqué le film mais c'est ton point de vue , j'ai vu ce film plusieurs fois et je l'apprécie toujours autant mais nous ne sommes pas de la même génération, continue à nous faire revoir nos films avec un autre regard c'est enrichissant merci .
Si tu as pas vu Prince des Ténèbres, il faut ABSOLUMENT que tu le vois :O Pour ce que ça vaut, c'est mon 2ème film favoris de Carpenter après The Thing :D Je le trouve vraiment très bon ^^
The Thing de Carpenter est un pur chef d'oeuvre, un des plus grands films d'horreur de tous les temps. Mon film préféré du cinéaste avec Halloween. La version de 1951, a certes énormément vieilli mais pour l'époque, c'était plutôt bien fichu et le film demeure un classique qui se regarde toujours avec un certain plaisir. Moi en tout cas, je l'aime bien ce film.
Ce qui est sûr c'est que beaucoup d'autres films des années 50 étaient bien mieux fichus scénaristiquement parlant.... Ici on ne compare bien évidemment pas les effets qui sont désuets, mais c'est pas parce que c'est vieux que c'est forcément bon ;)
@@paulclement3076 Je suis pour qu'on critique tout film, classique ou navet. Mais je voulais juste donner mon avis, et ayant apprécié le film en question, je me sens obligé de le défendre. C'est tout.
Je vous conseille d'ailleurs de voir la vidéo critique d'AVGN qui démontre bien en quoi le film de 1951 est sous-estimé et demeure un bon film ne méritant pas le dénigrement : ua-cam.com/video/broyjwCPNj4/v-deo.html
Donc le gars est en train de tourner la plus grosse vidéo de sa chaîne (ou presque) et il prend le temps, pour nous aider à patienter, de faire des bêtes de vidéos hyper quali et intéressantes. Posément. Tellement merci à toi 🤯 !!
Je n'ai vu que celui de Carpenter, mais pour moi c'est l'un de mes classiques. Le genre de film que j'ai vu lorsque j'ai commencé de m'intéresser réellement au cinéma. Et j'ai découvert en Carpenter un univers que j'aime beaucoup ! Pas eu le temps de tout voir, je me suis limité à Prince des ténèbres, The Thing et l'antre de la folie (trilogie de l'apocalypse). Faut vraiment que je matte le reste ;)
Belle analyse. Concernant l'absence de femmes sur la version de Carpenter, pas de théorie mais je pense que la figure féminine est généralement rassurante, (ça se vérifie avec Ripley sur Alien 1 sortie quelques années auparavant) surtout dans les films d'horreurs et ici, le téléspectateur ne doit jamais être "rassuré" tant la thématique de la paranoïa est assumée. L'absence de femme donne également une indication sur le pessimisme de l'issue du film. La femme incarne, par essence, le don de la vie et par extension : l'espoir... Dans "The Thing", il est question de la fin de l'humanité (Le personnage de Blair établi, à juste titre, ce constat)...
Je ne regarde plus du tout de films d'épouvante ou d'horreur, mais à une époque j'en avais beaucoup et The Thing de Carpenter était dans mon TOP 5. Je l'ai vu, des dizaines de fois... Et ta théorie est super intéressante. Il faut toujours aller voir du côté de la symbolique, car je pense que nous autres êtres humains nous fonctionnons énormément avec cela. Même inconsciemment. Et là pour le coup ta théorie me semble tout à fait juste. J'ajouterai ceci : la vie "normale" est faite de polarités. Et en un sens, pour reprendre tes termes, ce qui est normal est "rassurant". L'absence de femme plonge dans un univers où déjà, quelque chose ne tourne pas rond, et l'Homme fait face à une forme d'incomplétude fondamentale anxiogène. Bon... On pourrait y passer des heures :-)
En ce moment je travaille a me voir tous les Carpenter et c'est un bonheur que tu sortes cette vidéo a ce moment. Excellent travail comme a chaque fois Dudu !
Bonsoir, depuis le temps que je regarde vos vidéos avec lesquelles je ne suis pas souvent d'accord, voici mon premier commentaire. Pour commencer, j'aime beaucoup The Thing de Carpenter, mais alors vraiment beaucoup. Vous avez tout bon au sujet de Rob Bottin et Stan Winston. Mais j'adore aussi la photographie, surtout les extérieurs en plein jour. J'aimerais apporter un petit éclairage sur un point, enfin ce que moi j'en ai compris, et que je pense que vous avez raté dans ce film mais aussi dans celui de 2011. La créature ne veut pas buter tout le monde. Certes, elle ne souhaite pas être détruite, et elle ne veut surtout pas retrouver sa prison de glace. En fait, elle cherche à se cacher et à se casser. Il me semble que l'un des scientifiques, Blair si ma mémoire est bonne, fait des projections sur la contamination si la créature parvenait à s'enfuir. C'est pour cela qu'il s'en prend aux véhicules afin de lui empêcher de se barrer. Là où je veux en venir c'est que lorsque celle ci est découverte (la créature), elle se trouve bien désemparée. Si elle bute tout le monde, ça va être beaucoup plus compliqué pour elle de quitter cet endroit. Ce qui pourrait expliquer pourquoi à part pousser un gémissement, elle ne s'en prend pas à tout les personnages environnant. Le truc le plus étrange dans son comportement c'est son carnage dans le chenil. Pourquoi s'en prendre aux chiens alors qu'elle en a déjà assimilée un. C'est le meilleur moyen de se faire cramer, au propre comme au figuré. Elle est peut être incapable de se dissimuler plus de quelques jours sous l'apparence d'êtres vivants totalement différents de son organisme. Dans la préquelle, je ne suis pas d'accord avec vous. Même si je l'aime nettement moins que celui de 1982, certaines choses m'ont plu. En particulier la scène dans l'hélico, à l'exception du FX digne d'After Effects. Encore une fois, la créature se cache, elle est sur le point de réussir à fuir vers l’hôpital de la station McMurdo. Manque de Bol, la scientifique qui a découvert les plombages et la douche ensanglantée fait signe au pilote de revenir. Quand celui ci décide de finalement se poser pour voir ce qu'il se passe, la créature passe à l'attaque. Ce que j'ai aimé dans cette suite c'est le lien avec une des dernières scène et le film de 1982. Faites l'expérience de regarder celui de 2011 et enchainer la version de 82, c'est assez bluffant. Enfin, cela m'a fait plaisir de voir un film avec une fin pas hyper positive, c'est de plus en plus rare. Pas sûr que la scientifique soit en mesure de trouver la base soviétique à 80km. J'ai du mal à vous suivre concernant McReady à la fin du film de 1982 lorsque vous dites qu'il n'y aucun doute à son sujet. Le réalisateur a été clair. Malgré cette fin ambiguë, Carpenter a précisé qui est quoi et comment il l'a évoqué. A noter que j'avais vu ça à travers un documentaire intéressant sur le tournage du film, sur un DVD britannique et dont la musique des menus est l'une de celle qu'on entend dans The Hatefull Eight. C'est amusant que vous parliez d'Alien. J'avais découvert The Thing une nuit de 1985 en VHS. Mes parents avaient loué The Thing, Alien et Jaws, que j'étais censé regarder le lendemain avec eux, je n'avais que 13 ans. Je n'ai pas su attendre le lendemain. Inutile de vous dire que ces 3 films sont depuis cette nuit dans mon Top 1000, très très très haut. Bien que je peste souvent en regardant vos vidéos, j'apprécie votre travail en général et je vous suis assez régulièrement car vous m'apprenez des tas de choses sur cette passion que nous partageons, le cinéma. A ce propos, quand on sait comment tout cela est fait, ne perd-t-on pas, un petit peu, ce petit brin de magie que seul le cinéma sait nous offrir ? Bien à vous et désolé pour le pavé si vous le lisez. PS : Dans la préquelle, bien que ce soit complètement débile et super dangereux, ils font exprès de laisser fondre la glace. Le professeur Norvégien, un tantinnet psychorigide, demande à Mary Elizabeth Winstead combien de temps nécessitera l'extraction du corps de l'alien. Elle lui répond : Une demie journée. Selon Google traduction Lokk = couverture Lokke = leurre.
Punaise mon Dudu qui parle enfin de The Thing! Bon dommage que tu ne le classes pas dans ton top3, mais j'ai aimé ce que tu en as dit. Et pour le prequel tant décrié, je suis assez d'accord pour lui trouver des qualités, même si la façon dont ils trouvent le vaisseau est tellement incohérente avec la version de Carpenter et celle de 51... Après y'a Mary Elizabeth Winstead, je peux pas être objéctif.
A noter que l'épisode 8 "Projet Arctique" de la saison 1 de X-Files peut être considéré comme le "Morgan & Wong's The Thing". L'un des meilleurs de la série, par ailleurs. fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Arctique
J’ai tellement hâte de voir le prochain The Thing !!! J’espère qu’il sera la suite direct de celui de Carpenter ou à la limite un reboot total qui reprendra tous les événements de celui de 1982 et du prequel de 2011 C’est ma saga de films par excellence je suis tellement fan de cette créature, la chose reflète le schéma du parfait organisme Sa capacité de transgénèse spontanée fait de cette créature le super-prédateur ultime capable de s’adapter à tout type d’écosystèmes peu importe la biosphère concernée en s’accaparant les avantages évolutifs des créatures locales qu’elle assimile Si un tel organisme pouvait exister il demeurerait au sommet de la chaîne alimentaire sans aucun effort The Thing forever !!!
Salut Durandal, Ta comparaison sur l'utilisation des effets sonores avec le légendaire Alien, LA référence dans ce domaine, est intéressante. Cependant, l'utilisation faite de la musique par Carpenter dans The Thing suivait une autre démarche (forcément moins immersive, mais davantage marquante dans le temps car orientée dans un objectif d'encadrement philosophique). Effectivement, si la musique dans The Thing y est davantage omniprésente; voire rythmée, c'est indéniablement par choix artistique... qui prend tout sens à la fin dramatique du film lorsqu'il ne reste plus que deux survivants inévitablement voués à mourir de froid (à moins qu’un des deux ne soit pas de constitution humaine). L’un d’eux est peut-être la chose. Le sacrifice des survivants aura t’-il servi à sauver l’humanité? À écouter la musique du début recommencer… NON (la réponse est dans la musique; bien qu'à prime abord inconscient, c'est le punch final). Le film se termine donc sur un constat terrible, son histoire aura été circulaire et nous renvoie au début, un épisode précédent dont il n’est que la répétition dans un éternel retour. Le désespoir fait donc aussi partie des thèmes du film de par la réelle absence d’espérance, d’autant plus que le froid glacial de l’antarctique, cet environnement hostile et désertique où l’homme n’a pas réellement sa place, pourrait bien représenter symboliquement la mort qui envahit l’homme et éteint ses espoirs de conquête spatiale. Les cellules étrangères concevant informellement The Thing est un ennemi intérieur et invisible. Il vit en nous de nos capacités intellectuelles et détient le potentiel d’atteindre virtuellement l’humanité au complet… il est le virus mortel contaminant une à une les cellules du corps humain. Nous assistons donc dans ce combat «immunitaire» à la lutte que mène la ligne de front pour la préservation de l’intégrité humaine. Tout le long du film, nous sommes donc liés virtuellement à ces scientifiques devenus dans les circonstances les soldats de notre identité. En nous défendant pour garder notre intégrité corporelle et identitaire, ils représentent notre dernier espoir, le dernier rempart pour endiguer le mal voulant se répandre jusqu’à nous. Or, le processus d’identification fonctionne à merveille. (Fait à noter : en n’étant confinée qu’à un rôle de téléspectateur, notre impuissance à aider nos frères de sang agit dans The Thing comme un catalyseur de suspense; nous n’avons aucun contrôle sur le destin de l’humanité). Voilà toute l'inspiration atmosphérique de cette sublime bande sonore . Par ailleurs, le rythme de la musique, constante durant le film du début à la fin, suggère que la contagion de l'humanité suit inexorablement son cours en arrière-plan.(D'ailleurs, cet aspect a certainement inspiré la musique en background du jeu vidéo Plague sur les smartphones)
Excellent! Excellent! Décidément j'ai rarement lu autant d'analyses aussi pertinentes dans un forum youtube! J'ai beaucoup apprécié te lire. Tu mets des mots sur tout ce que j'ai ressenti au visionnage du film.
Très bonne vidéo Dudu ! Bien content de te voire aborder Carpenter et ces films que j'apprécie tout particulièrement . Je suis étonné de savoir que tu n'as pas vu Prince of Darkness , je te le conseille vivement ^^
John Carpenter, c'est de tellement bonne augure ! Je me mets à rêver du prochain PJREVAT... Ah ben non du coup... ça m'apprendra à mettre un commentaire avant la fin de la vidéo ;-) "They Live", quel film !
J'étais en train de refaire le tours de tes anciennes vidéos et franchement cette miniature de qualité, je ne m'en souvenais pas mais elle est vraiment très cool !
MERCI pour le son de l'ordinateur (sunshine), je cherchais ou je l'avais déjà entendu depuis 2011.. par contre, j'ai toujours pensé que le vaisseau n'appartenait pas à la créature mais à ses anciens hôtes (extra-terrestres) provoquant son crash sur terre donc sa forme dans le bloc était pas la sienne restant inconnue.
C'est soi disant un vlog, mais en réalité la vidéo est bien plus travaillée qu'un "simple" vlog. Ça fait des années que je suit t'es vidéos mais je n'ai jamais prit le temps de te remercier pour tes vidéos, c'est fait 💪 Bien entendu j'ai adoré ce vlog comme tous les autres, pourtant j'ai pas le même avis. Moi pas comprendre cette sorcellerie 😂
Mon dieu ! Enfin Dudu sort un vlog sur du Carpenter ! :D. J'espère qu'un jour tu feras un PJREVAT sur Carpenter, personnellement j'ai tous ses films et j'aimerai bien connaître tes ressentis sur les films (même si tu l'expliques vaguement dans cette vidéo sur sa filmographie)
le rêve, mais Dudu semble pas trop kiffer Carpenter, or, tu remarqueras que quand on aime Carpenter on surkiffe TOUS ses films, c'est dommage car Dudu fait des PJREVAT qui marqueront l'histoire du youtube game ciné.
15:30 C'est rigolo, je préfère "the Thing" à "Alien" exactement pour les même raison. L'ambiance, et le stress après chaque visionnage marche mieux dans the thing que dans Alien, pour moi personnellement ^___^
Pour le remake, la créature n'est pas réalisé uniquement à partir d'image de synthèse, plusieurs scènes utilisent de vrai animatronique voir des prothèses. IL y a un documentaires la dessus disponible sur youtube.
toute l'animatronique a ete remplace a la derniere minute par des images de synthese, il n'en reste presque rien dans le montage final (d'ou la gueule des effets, qui meme pour 2011 sont pas terribles). C'est dommage, car un enorme boulot avait ete realise par studio ADI
@@horseweapon Effectivement ! Les effets pratiques étaient très bien réussi, vraiment dommage car ça aurait pu être un bon prequel mais au final il paraît moyen
Sinon dans le remake de Carpenter je trouve qu'après plusieurs visionnage je trouve intéressant que l'on montre la créature comme étant faible et effrayée, consciente du danger d'être démasquée.
Leguman Tu es l'enfant de la terre Le soleil est ton père Tu fais mordre la poussière A ceux qui veulent la guerre Pourquoi j'ai encore ça dans la tête.
Super vidéo, vachement intéressante, et puis comme toujours, c'est cool d'avoir un avis différents ! Je suis un très grand fan du film Carpenter (surprenant, hein), mais pour le coup la critique que tu en fait et les défauts que tu soulève nuancent le regard sur le film, pareil pour ton avis sur le remake, relativement conspuer de partout, et l'original, dans une moindre mesure ! Et quel plaisir que de pouvoir a nouveaux trouver des axes de réflexions autour de films qu'on définit comme culte et dont on pensait qu'il n'y avait plus rien a dire ! Merci Dudu !
Pas de femmes dans un centre de recherche étasunien sous autorité militaire dans les 80 ?... C'est juste totalement normale, vous prenez pas la tête pour rien :p
C'est presque dommage parce que dans la "suite-remake" il y en a mais elles sont pas du tout utilisées (en tant que perso je veux dire ^^) comme on pouvait l'espérer. Entre le remake-suite de the thing et promtheus décidément ça manque de scènes trash au lit le ciné actuel :(
Y'avait une femme dans le casting, mais elle a su qu'elle était enceinte avant le début du tournage. Source : Carpenter (1982). Donc ton argument tombe à l'eau !
@@Darkjack-FR Oui, Adrienne Bardeau. Elle reste présente, c'est sa voix dans l'ordinateur qui sert pour la partie d'échec. (Mais elle avait bien un rôle complet de prévue).
La créature est super original , Super bien travailler. Flippante surtout les espèces de cafard 😱 Donc désolé autant je suis d'accord avec toi . Mais ce film est un claque peut être pas scénaristiquement mais le son . La réalisation . Et les effets sont génial . Surtout le derniers remaque . Donc non ce film est réussit .a part le premier bien sûr .
Très bon épisode ! Merci, même si on n'est pas forcément d'accord. À absolument voir en salles pour bien sentir l'ambiance paranoiaque de Carpenter. C'est vrai que le Niby est fort loin de la tension d'Un Rendez-vous avec la peur de Jacques Tourneur ou le superbe L'Invasion des Profanateurs de Sépulture de Don Siegel. Quand à la préquelle récente du Carpenter, elle est étonnamment bonne. Pour être complet, il aurait fallu s'intéresser au jeu vidéo sur PS2, si ma mémoire est bonne. En parlant de concept, pourquoi pas des vidéos sur les films et leurs remakes, par exemple un comparatif entre le Evil Dead de Sam Raimi et le Evil Dead de Fede Alvarez ?
Je vais rester sur mon souvenir de celui de 82 qui avait d'ailleurs généré un jeu excellent sur PC dans les années 2000, dans lequel la parano était constante.
La petite critique de The thing que tu fais au début je trouve qu'elle pourrait s'applique à la plupart des films de Carpenter (tous ?). C'est souvent à la fois sympa et en même temps ya des défauts par ci par là et ses films restent finalement assez basiques tout en étant bien fichus. Perso c'est même cette simplicité que j'apprécie beaucoup chez lui. C'est un peu série B, mais efficace, "honnête". C'est très 1er degré.
Ce qui est marrant, c'est qu'au début du film de 82, les Norvégiens alertent l'équipe sur la vraie nature du chien en leur disant littéralement que c'est un alien métaphore, sauf que manque de bol, ils ne parlent pas norvégien.
Salut, Outch, j’avoue ton avis est très personnel pour The Thing réalisé par John Carpenter... Précisément pour la musique lié çà cette œuvre, elle participe grandement à la tension est à l'emprise de la chose et de sa potentiel présence (ou non) au sein de l'équipe... Je te trouve peu objectif sur cette aspect là, même si cela reste bien évidement construit :) J’apprécie tes vidéos et merci pour ton analyse en général du cinéma, parfois un peu trop subjective par moment ;) (ça peux créer du débat et c'est très agréable aussi)
Et en même temps la musique c'est tellement subjectif. Personnellement, à l'époque, j'ai toujours trouvé que la musique faisait partie intégrante de la signature, de la patte du film de Carpenter. Maintenant, tout se discute, et je comprend le point de vue de Durendal. Un thème très exclusif, très particulier, risqué même, qui s'en sort très bien. Mais, Carpenter en a un peu abusé et par moments, il aurait été nettement préférable de miser sur autre chose. Par exemple, une ambiance sonore plus discrète, plus sombre, plus angoissante... Mais bon, c'est aussi ce qui fait que, selon moi, The Thing ne fait partie des films qui terrorisent (et c'est tant mieux). Sa musique lui permet surtout de lui donner un style, une personnalité (à l'image des panoramas et des paysages). Un film tendu, mais pas terrorisant à l'extrême.
La grande carotte m'évoque forcément "Wallace et Gromit et le mystère du lapin-garou", quoi... En tout cas génial, d'avoir re-contextualisé cette histoire dans toutes ses itérations ! Je surkiffe, perso, afin de comprendre comment le cinéma évolue, dans sa continuité, et ce qu'il apporte, change, ou garde. Si un jour tu comptes faire un format là dessus, Dudu (même si j'imagine que ça existe déjà ailleurs, m'enfin spa grave), je plusseoirais pour sûr !!
J'en vient de chez Cassar et vu que les deux n'ont pas vraiment la même approche où le même style je crois pas que ça pose problème. Mieux: plus il y en a, meilleur c'est (surtout sur un film pareil).
38:00: pas certain que ça soit la forme originelle de la créature, comme tu le dis ensuite, si ça fait "trop dinosaure", c'est peut-être justement parce que le vaisseau s'est crashé avant l'extinction du crétacé-tertiaire et qu'elle a parasité une espèce préhistorique. Comment aurait-elle pu mettre au point une telle technologie (SI elle est à l'origine de cette technologie, parce qu'au final, rien ne dit que les occupants du vaisseau n'ont pas fait halte sur une planète inconnue et se sont fait couillonner façon prométheus) avec une apparence pareille? Sans pouce opposable, elle peut même pas tenir un tournevis, alors construire ou piloter un astronef...
Très bonne vidéo mais encore une fois je te trouve tellement « difficile » .. la musique de The Thing est pour moi un élément fondamental et magnifique à la fois. Je trouve ce film proche du chef d’œuvre d’horreur.
Les effets spéciaux de Rob Bottin sont époustouflants le gars avait déjà oeuvré sur Fog et Hurlements , il n'avait que 20 ans à l'époque, il récidive sur The Thing avec concept de dingue.
29:50, le truc, c'est qu'il y a un jeu dont le scénario est "canon" à l'histoire et Mc Cready t'aide dedans le jeu, donc en soit une suite existe déjà à l'histoire de base de John Carpenter.
Concernant l'absence de femmes dans la version de Carpenter, sincèrement, je ne serais expliquer les raisons ou non de ce choix. Mais pour ce qui est de la dynamique sexuel, plutôt que d'y voir des analogies avec l'homosexualité, je serais plutôt porté à observer ce film dans une perspective d'un exobiologiste guidé par la nature intrinsèque de l'antagoniste extra-terrestre. Effectivement, en imitant les formes de vie lorsqu’en présence de celles-ci, le monstre dans The Thing peut avoir l’apparence totale de n’importe quel homme et devenir littéralement celui a qui il à volé l’identité. C’est d’ailleurs un viol absolu si l’on considère justement l’aspect sexuel. La survivance de l’individu et la perpétuation de l’espèce sont des caractéristiques de toute forme de vie. Mais la chose est elle vraiment vivante? Pour y répondre, puisque la nature de la chose demeure en grand parti un mystère, je préconise l’analogie avec le virus. Rappelons que le virus est un agent infectieux, spécifiquement une simple chaîne d’informations génétiques (ADN) qui ne peut se reproduire qu’en parasitant une cellule en y détournant ces mécanismes internes. Le virus est donc à la frontière du vivant, car : il ne respire pas, ne se nourrit pas, mais s’adapte et se reproduit. Néanmoins, sa nature est liée à la nôtre, car nous sommes le relais, l’usine de transformation, entre l’individu contaminant et sa propre survie en tant qu’espèce. Ainsi, pour les virus nous sommes bien plus que de simple réserve de nourriture, des proies, mais bien plutôt des hôtes. C’est à dire un toit, un moyen de transport, un milieu propice au développement de la reproduction. Toutefois, si la chose n’était qu’un virus, il finirait par se développer une relation entre l‘hôte et le parasite s’inscrivant dans la durée et ne prenant fin qu’à la mort naturelle de l’hôte. Mais la chose elle n’est pas vraiment cachée à l’intérieur de l’individu, elle le devient en le répliquant totalement après l’avoir absorbé. En conséquence, bien que la chose ait besoin des formes de vie pour se reproduire, elle se fout carrément de la survie de l’espèce de ses hôtes de par son indépendance à une espèce spécifique. Élément d’autant plus troublant, la simple existence de la chose est une menace fondamentale à la survie de notre espèce. Avec la chose, la vie humaine perd son sens et les corps sont immoralement mutilés, déformés, défigurés et déchiquetés comme de vulgaires poupées en plastique. L’homme n’est plus qu’une sorte de « défouloir » pour elle qui n’a finalement besoin des formes de vies que pour se cacher et se reproduire. S’ensuit donc un genre de relation sado-masochisme entre la chose et nous. Le suspense repose donc ici sur une paranoïa grandissante, et la tension est à son comble quand nous constatons que l’ennemi est définitivement à l’intérieur de nous. C’est lors de ce constat que l’intrigue dramatique entre brillamment en jeu: qui est qui? Et en même temps, que sommes-nous une fois contaminé? Si il est normalement facile de se prémunir du mal en définissant le monstre par des traits différents, il n’en est rien de tel avec celui dans The Thing qui camoufle son identité dans la notre. Comment alors reconnaître le monstre puisque celui-ci porte en surface l’identité de l’homme? Et donc aussi, comment se reconnaître entre intègres? La chose est donc sans identité définissable puisqu’elle imite la nôtre. Elle n’a pas de nom, elle est l’innommable… elle est nous. La question du moi est ici d’importance, ce n’est certainement pas notre apparence, donc notre extérieur, qui constitue notre identité. (D’ailleurs, la scène du test sanguin et celle du chien contaminé au milieu des autres chiens illustre à merveille le problème de la normalité au sein du groupe). Le moi comme le mal est donc insaisissable, croit-on le tenir qu’il est déjà ailleurs, déjà un autre. Ne serions-nous donc qu’une image, une représentation de l’altérité? Le moi ne se connaît donc jamais. Nous devenons un autre par la contamination, notre identité nous échappe et la chose devient la parfaite assimilation de cette apparence qui nous constitue tout entier. Finalement, on en arrive tranquillement à s’identifier malgré nous à cet assaillant qui confond par tous ses masques notre identité à la sienne. On ne sait jamais qui est la chose terrée dans notre intérieur, mais pourtant si fondamentalement extérieure à notre monde et notre à nature. La question du mal se trouve tout entière ici, extérieure ou intérieure, de nous ou en nous? Ainsi, selon l’angle du film, une personne en soi est à la fois la normalité et le monstre puisque que chacun peut être le monstre ou normal aux yeux de l’autre. « La Chose » est donc en sorte une forme d’alter ego de l’homme. Le groupe uni à l’origine comme les cellules du corps peut se scinder devant le danger et se retrancher dans l’isolement. De plus, le film illustre l’idée que nous ne pouvons séparer l’humain de ses instincts primaires et bestiaux. Dans The Thing, les repères instituant la civilisation explosent face à l’adversité, et chaque être humain retourne dans une sorte d’état primitif ne comptant plus que sur son instinct de conservation pour survivre en tant qu’individu.
Cest juste que dans la Nouvelle il n'y a que des hommes lol
4 роки тому+1
41:40 c'est voulu le silence sur la petite phrase habituelle de sortie ? Je me suis posé la question est-ce que cela serait un clin d'œil à la saga... mais je vois pas !
Pour le "remake-prequel" quitte à faire un remake ils auraient carrément pu instaurer une nouvelle règle et que les gens contaminés ne sachent *pas* qu'ils sont contaminés, soit parce que la contamination prend une forme subtile (un truc avalé ou une piqûre) soit parce que, plus dérangeant mais difficile à expliquer peut-être, les gens copiés garderaient globalement leur personnalité jusqu'à ce que la chose "se révèle". J'imagine très bien le concept de "porteur sain" (si on peut dire) qui se retrouve soudainement avec la créature qui lui sort du ventre et qui attaque alors qu'il est lui-même parfaitement conscient de ce qui se passe, mais impuissant. T'façon ya même pas de scène de cul avec révélation dégueulasse, et moi j'dis c'est triste. Déjà dans Prometheus on l'a pas eu :( Je suis pas un beauf qui aime quand ça claque de la fesse à tout va mais didiou dans un film d'horreur récent ya plus grand chose à faire de nouveau pour choquer/faire peur, quand on a l'occasion de faire une scène choquante (qui peut véritablement choquer, pas les pseudo scènes gores qui n'émeuvent plus personne) autant le faire ! Surtout dans une.... "licence" The thing ! Je trouve que la "létalité" de la créature est un peu élevée dans ce remake, même si en théorie ça peut se justifier ça devient un peu trop facile pour elle de tuer, on perd quelque chose. Si je devais comparer je prendrais l'alien numérique de Covenant par rapport à l'alien en costume du 8eme passager, avoir une créature "à capacité humaine", bien posée sur ses petits pieds et qui attaque avec des moyens pas si extravagants que ça a plus d'impact qu'un monstre bondissant qui t'arrache la mâchoire d'un coup de tentacule, et ça rend la survie des perso plus étrange parfois.
Tres bon contenu comme d'habitude même si une critique 40 ans après la sortie du film me gêne. Il faut se mettre dans le contexte de l'époque, Exemple, les bruits de synthé bah oui ça fait très années 80 mais le film est de 82... J'ai vu ce film quand j'avais 8 ans (en 1995 lol) et il m'a foutu une trouille dingue. Je ne regardais plus mon chien de la même façon. La, on juge carpenter sur ce qu'il a fait avant et après ce film mais les critiques de l'époque ne pouvaient juger que l'existant tout comme le public a du s'en prendre plein la tronche avec cette "chose" et le boulot fait grâce aux animatroniques . J'attends avec impatience le prochain PJREVAT 🙂🙂🙂 Bravo pour le boulot accompli, je te suis depuis de nombreuses années et c'est tjs avec autant de plaisir.
Le film de Carpenter est construit comme une énorme partie d’échecs, Mc Ready est le roi, l’homme à abattre, et la chose est la reine, la pièce la plus puissante, c est pour cela que le casting est essentiellement masculin, pour rendre l’ensemble homogène, ce sont des pions. Même la base et ses couloirs évoque un plateau d échec, je ne sais plus où j avais vu cette théorie mais cela me semble très crédible, la chose a toujours un coup d’avance. (Voir la vidéo de TCM cinéma).
The thing est un de mes films préférés et en tant que grand fan, j'ai trouvé le "préquel" très honnête. Je sais, tout le monde s'en fout...
Moins développé niveau contamination, voir bâclé... Donc moins de psychose.
Je suis assez d'accord, c'est honnète. Par contre les monstres en CG j'arrive pas a y croire une seule seconde, c'est rageant surtout quand on sait que des mecs de "Algamated Dynamics" avaient bossé sur des animatroniques qui devaient servir de base avant d'y ajouter des effets pour l'incrustation. Ensuite je m'attendais a quelque chose de plus viscéral et pire que dans le premier surtout quand on voit l'état de la base quand McReady s'y rend. Et puis comme Dudu l'a démontré il y a beaucoup de choses qui ne sont pas raccord avec l'original. Donc honnète mais sans plus. Par contre il y a le jeu vidéo "The Thing" qui raconte ce qu'il se passe après le film de Carpenter avec l'équipe de secours et ça niveau paranoïa c'est pas mal foutu - Bon le scénar est cousu de fil blanc par contre.
Caljbeut toujours tapis dans l'ombre pour sortir de nulle part et soutenir avec les bonnes paroles !
À quand la vidéo sur Soral ?
Je troll hein, je sais plus ou j'ai entendu que comme le raptor avait déjà sorti sa vidéo sur Soral il avait déjà dit à peu près tout. En tout cas j'attends les prochains cartoons avec impatience !
Pour moi je trouve sympa qu'il ai essayé de raconter se qu'il c'était passé avant dans la base norvégienne (je suis plus sûr de la nationalité...) plus tape à l'œil avec les effets CGI mais ça restait efficace c'est pas aussi tangible que les animatroniques de Bottin mais comme tu le dis : c'est honnête
J'aime cette suite, je comprends pas les mauvaises critiques!
J'aurais tellement voulu une suite du premier, un rêve!
Guillaume Cassar vient justement de commencer une rétrospective sur The Thing... Coincidence...lesquel des deux est la Chose...?
Anecdote impromptue....
Coïncidence riiigooolooote... Mais qui n'en est peut-être paaas uuune ~
"Coïncidence rigolote qui n'en est peut être pas une"
Comprendrons les vieux de la vieille ^^
Enfin moi je sais paaaaas
@@rxproject Mais moi je sais passss !!!!!
En tant que grand fan de The Thing, je me permets modestement quelques remarques :
- Who Goes There est une nouvelle, pas un roman comme tu le dis parfois. Une version plus longue de la nouvelle, appelée Frozen Hell, a été retrouvée et a été publiée récemment, mais elle n'apporte pas grand-chose par rapport à la nouvelle originale. Elle va être adaptée par le studio Blumhouse en film bientôt, donc un 4ème film "The Thing" pour bientôt.
- Je ne comprends pas trop ton souci avec le perso de Clark (le maître-chien), qui est clairement défini comme un personnage plus à l'aise avec ses Huskies qu'avec ses collègues. De même, c'est très intéressant d'analyser les comportements des hommes-Choses. Par exemple, la Chose-Norris et la Chose-Palmer sont les premiers à soutenir l'idée que MacReady a été pris par la Chose quand Nauls ramène le vêtement brûlé. Ce n'est pas une coïncidence. ;) Du coup il y a au contraire plein de choses à voir dans les visionnages suivants pour réfléchir aux comportements de chacun.
- Le fait que la Chose ne s'en soit pas pris à Clark montre son intelligence. Elle a attendu d'en savoir plus sur le fonctionnement de la base avant de s'en prendre à quelqu'un sans risque. Cet aspect intelligent est malheureusement un peu amoindri par la scène du chenil, où la Chose semble se faire repérer à la fois par Clark et par MacReady. Dans le script avant les modifications de Carpenter, la Chose-chien ne se faisait détecter que parce que MacReady était dans la salle commune à regarder les cassettes des Norvégiens. Sinon, les hommes endormis dans le dortoir à l'autre bout de la station n'auraient pas su ce qui s'était passé durant leur sommeil...
- La musique a été composée par Ennio Morricone et "retouchée" par John Carpenter, d'où cet aspect orchestral (Morricone) et synthé (Carpenter).
- La Chose, comme expliqué par MacReady, est vulnérable quand elle se transforme, ce n'est pas une situation avantageuse pour elle (à part peut-être la fin en fusionnant plusieurs corps mais je suis justement d'accord avec toi, la Chose-Blair n'est pas très active dans la scène finale ^^). C'est un truc que la prequel n'a pas du tout compris d'ailleurs.
- Pour uniquement des hommes dans la version de John Carpenter, ça correspond à la nouvelle originale où il n'y a pas de femme dans la station. Je pense que c'est simplement une envie de rester fidèle à la nouvelle d'origine autant que faire se peut.
- À noter que c'est Carpenter qui a donné plus d'importance au personnage de MacReady, dans les premières versions du script, le personnage n'était pas mis en avant et devenait le "héros" justement à partir du moment où il est suspecté par tous. Je trouve que c'était plus intéressant comme ça mais bon, après Kurt Russell est vraiment marquant en MacReady aussi.
- Pour la question de la paranoïa et de son sens, pour moi The Thing de 82 est le film de paranoïa ultime, où chaque personne autour de soi peut se révéler porter un masque et où le mal peut surgir de n'importe où. Pour la petite histoire, la mère de John W. Campbell avait une jumelle qui, semble-t-il, s'amusait à se faire passer pour sa mère pour le tourmenter. Voilà qui a dû avoir un fort impact sur le pauvre John et le pousser à écrire Who Goes There !
- Pour le test des plombages, à noter que l'on voit que la Chose-Norris dans le film de 82 porte des plombages, donc ce test ne fonctionne pas. ;)
- Ah ben je suis content que tu soulignes la bêtise de la Chose dans le prequel, le pire étant la fin avec "oups j'ai remis la boucle d'oreille du mauvais côté lol". Mon facepalm avait été d'un niveau atomique dans la salle lors de cette scène...
Content que tu aies enfin fait The Thing, et on va bien voir ce que le 4ème va donner...
Comment ça le 4ème?
@@rxproject apparemment le studio Blumhouse prevoit de faire un nouveau film The Thing
Bonne réplique... ou dirais-je plutôt merci pour ces compléments d'informations.
Autant Durandal est ma référence alpha dans l'univers des vlogues francophones sur le cinéma, autant ici son manque d'intérêt assumé pour The Thing transpire cette capsule qui ne creuse pas trop cette œuvre sublime. Pour la première fois depuis que je suis suis Durandal, je trouve qu'il y a des éléments qu'il n'a pas saisis dans un film (à commencer le jeu subtil des acteurs qui mérite à lui seul d'être observé durant un deuxième visionnement). Mais bon, à sa défense, disons qu'en tant que fan de ce film en particulier (un intérêt qui m'a même poussé à le choisir comme sujet d'analyse académique universitaire il y a 20 ans), on ne peut pas demander à tous d'y consacrer autant de temps.
@@MarvinCouturier Holàlà...je sais pas si c'est une bonne nouvelle XD Touchons du bois.
@@rxproject Pas sûr non plus en effet ! On verra bien, croisons les doigts. :)
" C'est difficile d'avoir peur d'une grande carotte "
Durendal, 2020
sorti de son contexte ça fait très phallique tout ça
@@koelo_4962 mais pas du tout voyons
Kakarot?
Donc, c'est de là que vient le mode de reproduction des choses très anciennes de la campagne des montagnes hallucinées(Call of cthulu v5)
Il a pas toujours dit ca ^^
Le graaaaand pot-au-feeeeuuuu!
Le film de Carpenter est pour moi LE meilleur film d'horreur de tous les temps. L'ambiance, la musique, le gore, la fin... Kurt Russell iconique.
Toi t'es un vrai ! Carpenter avait les boules que le scénar d'Alien lui ait pas été proposé par son pote mais à Scott, et pourtant, The Thing est le meilleur qui soit, je l'ai vu plus de 100 fois, ce film est un chef d'oeuvre, je ressens toujours la même angoisse avec le test de sang et à chaque fois que je vois le chien, au début du film, je dis "je sais, il est chou ce chien, mais ne faites rien, rentrez à la base" LOL
@@sasori7833 😏👍
C'est marrant, parce que je me suis ennuyé devant ce film.
J'ai largement préféré Predator.
@@ChristopherCompagnon1AndOnly chacun son truc. Je m'étais ennuyé devant Predator perso. A part la scène culte avec Schwarzy "GET TO THE CHOPPA !!!!" 😏
@@sasori7833 il avait surtout les boules que l'idée de base vienne de lui et que son "pote" lui ait piquée...
"Bonjour, je m'appelle Durendal et en attendant le prochain PJREVAT je vous fais des vidéos chiadées de qualité". Oklm. Merci beaucoup de ce contenu :)
video de qualité comme toujours MAIS MAIS mais allez voir le premier THE THING quand meme il vaut le coup pour les cinéphiles, je trouve que tu le baches un peu trop vite car pour 1951 c'est top, les plans sont simples mais bien fait et le "monstre" n'est pas forcement la pour faire peur comme dans the thing de carpenter, juste il amene l'action c'est tout, certe elle est tres moche lol mais bon pour l'epoque je trouve ca super et NON pour ses cris le monstre ne fait pas QUE des " oohh hann" etc comme tu dis ^^ ! bref moi j'ai bien aimé lol PEACE bonne continuation (j'aime te regarder car je suis souvent en désaccord avec toi, je regarde tes videos pour voir ce que tu dis sur les films que moi j'aime, et ça m'empeche pas d'etre abonné et tout ) :)
@@thek-bulous4684 Quand tu dis qu'il vaut le coup pour les cinéphiles je voudrais juste signaler qu'il n'y a pas qu'un seul genre de cinéphile, donc tu peux dire qu'il vaut le coup pour certaines personnes, mais ça n'englobe pas tous les cinéphiles, du tout. (je me suis endormie devant, désolée xD)
@@_Usaco bah je dis ca dans le sens ou plus tu regardes de films plus tu connais les rouages et les mecaniques donc tu sais quand cest bien fait et quand une scenes est bien amenée etc, si tu t'es endormi devant cetait pas le bon jour, de fois moi je mate un film soit disant ouf et je me fais chier et je le RE regarde et je me rend compte que cest une bete de film. Juste qu'on juge trop vite enfin la surtout les deux The Things cest du lourd quand meme ^^
Comme on dit : "Les gouts et les couleurs" ... Pour moi "The Thing" de Carpenter est une œuvre majeure dans le cinéma de genre .. Que ce soit en matière d'ambiance, d'effets spéciaux pratiques , etc... La musique pour moi est minimaliste à souhait et ajoute à cette ambiance générale... Quand on pense que c'est à 70 % du Ennio Morricone Que ce soit pour 2001 de Kubrick et d'autres références, nous ne serons jamais d'accord ;) Bien entendu, à chacun son avis... En tout cas merci pour tes analyses toujours pertinentes même si subjectives...
la musique INOUBLIABLE .. ces notes si angoissantes .. Assault et NY1997 ont ce petit plus avec la zik de Carpenter, il sait y faire BigJohn
@@sasori7833 c'est CLAIR !!!!
@@xavcrow pour moi c'est tout simplement le meilleur film d'extraterrestre jamais réalisé...
Lu sur le sujet dans la section des commentaires de la chaine à SO :
Pour la BO de THE THING, le thème principal a bien été composé par Ennio Morricone, qui, je cite, dans le livre "Ennio Morricone, ma vie, ma musique" sorti en 2016 : "C'était vraiment curieux. Il (John Carpenter) est venu à Rome pour montrer le film à l'hôtel où il logeait, mais, une fois la projection terminée, il a pris la cassette et s'en est allé en me laissant seul dans la salle : était-ce du respect, de la pudeur ou autre chose ? [...] Je suis donc rentré chez moi et, grâce aux notes que j'avais prises, j'ai écrit plusieurs musiques en arborant tous les genres possibles, dissonants et consonnant, [...] J'ai fais deux versions d'un morceau assez long, une au synthétiseur que j'ai présenté à Rome et l'autre, instrumentale, que j'ai enregistrée avec l'orchestre à Los Angeles, en plus des autres morceaux. L'enregistrement s'était très bien passé, [...] à tel point qu'à la fin de la session, on m'avait félicité avec enthousiasme. [...] J'ai attendu la sortie du film, curieux d'apprécier le résultar. Et, là, je me suis rendu compte avec stupeur de "méfait" : aucune trace des enregistrements de Los Angeles! Pendant tout le film, Carpenter s'était servi de la version synthétiseur que j'avais réalisé à Rome..." (page 232)
@@CarlBoileau Merci pour cette mise au point, mais Carpenter compose aussi. Je ne t'apprends rien. Ecoute la zik d'Assault, tu verras si Morricone n'a pas tenté de faire du Carpenter pour Carpenter (qu'il a extrêmement ben saisi " notes dissonantes alternées à des consonantes" comme tu l'indiques. Mais je précise que ce que tu dis Carpenter ne s'en est pas caché, au moment de la sortie des" 8 salopards" de Tarantino, il a bien dit que QT a utilisé la zik dont lui n'a pas voulu que Morricone lui avait composé pour "the Thing".
Le souci c'est que pour moi tous les films de Carpenter ont une musique synthé reconnaissable parmi toutes. Je suis allée à son concert, tu vois réellement qu'il kiffe grave et que son style identique à celui de ses musiques de films (comme sa manière d'être d'ailleurs, LOL). A plus de70 piges, il a décidé d'arrêter le ciné .. MAIS le seul film qui le ferait sortir de sa retraite est une adaptation de "Dead Space" (logique, il kiffe les survivals).
Il fait un crowdfunding, direct je lui file de la thune avec si possible un low budget pour être certaine qu'il me réalise une tuerie, sinon il va bosser la forme et pas les plans, cadres, rythmes et psycho des persos !!
Je ne le dis jamais mais la.. "The Thing" je dis merci et enfin !
C'est un chef d'œuvre.
La musique, les acteurs, la fin, beaucoup de bonnes choses.
Carrément!
Un must de l horreur paranoïaque
pour ma part la bande son est enorme...
La Chose ! Iconique
Je suis fascinée par les monstres, et celui-ci est pour moi ma préférée
C'est une forme de vie très intelligente avec une capacité d'adaptation extraordinaire
En peut de temps elle prend la forme de son hôte et décèle des informations dans son cerveau
De plus elle est abstraite, avec ses représentations diverses terrifiantes avec des effets spéciaux tellement hors du commun sans pourtant contraster à l'écran (Au contraire de la CGI du prequel...)
La forme propre de la Chose est inconnue, et on peut imaginer que ce n'est certainement qu'un groupe de cellules parasites qui communiquent entre elles à travers l'espace (le test de sang) et c'est l'originalité de ce monstre qui me fascine
Enfin elle inspire la paranoïa totale, au final elle a gagné -> la paranoïa rend la Chose immortel et en finissant le film et même après 40 ans on se demande si Childs ou MacReady sont infectés
(Contrairement au Xenomorph, qui l'une de mes créatures préférées également, qui se fait victimiser à chaque fois, mais ce n'est qu'une petite pique x)
« The Thing » de Carpenter est un de mes films horrifique favoris, c’est un rdv obligatoire au moins une fois dans l’année pour recevoir cette dose de bien-être. Il y’a dans ce film un charme assez fou, et une ambiance si intéressante, horrifique, mais pourtant si apaisante pour le spectateur.
Le mixe SF, horreur est ici excellent, et ce serait intéressant d’avoir un peu plus de films mêlants c’est 2 genres. (Dans les films recent c’est rare, ou c’est réalisé sans moyens)
La version de1982 fut un choc pour moi, surtout lié aux conditions de visionnage: j'avais 8ans, on vivaient dans une ferme perdu dans une foret artificielle ( donc les arbres alignés parfaitement ), j'ai vu ce film seul la nuit, et dans la pièce il y avait une grande porte vitrée qui donnait sur cette forêt inquiétante souligné par l'éclairage de la pleine lune et une légère brume ... Depuis chaque visionnage me replonge dans l'angoisse que j'ai vécu ce jour la.
Cependant, je suis d'accord avec ton analyse, surtout sur la fin. Point de doute à avoir.
J'en profite pour te conseiller Christine, qui est à mon sens plutôt bon, et surtout n'à quasi pas vieilli.
En tout cas, bravo pour ton respect de l'œuvre, même si tu n'as pas accroché.
Ce film est un chef d'œuvre de suspense d'horreur et d'angoisse.
Carpenter est un de mes réalisateur préféré.
Il y a un truc que j'aime beaucoup dans le film de Carpenter c'est le chien hôte.
Je saurai pas comment l'expliquer mais il y a quelque chose de dérangeant et pas naturel dans son comportement par rapport aux autres chiens.
Je me demande comment ils l'ont dressé pour parvenir à ce résultat.
J'ai l'impression que celà se traduit beaucoup par la mise en scène et la musique, plus que par "l'acting" du chien
Mais je suis d'accord avec toi, il est pas commode ce toutou
le chien arrivait à suivre n'importe quel direction qui lui était donné sans qu'il soit dressé, en fait le vrai chien était la chose?? ;-;
@@ocblesbiV77online oui je suis d'accord, la mise en scène rend le chien flippant... si on enlève la musique anxiogène et l'éclairage un peu flippant le chien a un comportement presque normale... Mise a part justement cette fameuse scène dans le chenille avec les autres chiens, où là je trouve qu'il se passe vraiment un truc !
Le chien qui joue la chose c'est Jed, un chien-loup acteur qui a également joué les rôles de croc-blanc dans le même film et un loup dans Natty Gann.
J'allais le dire, merci Amaruq. Jed est un chien-acteur légendaire, il était extrêmement doué, avec un jeu discipliné et d'une grande richesse.
Voir la scène où il déambule silencieusement dans les couloirs de la base antarctique, ça donne des frissons.
The thing de carpenter
A une transformation de la chose plus .. dérangeante ... Les tremblement de l hôte ainsi qu un certaine souffrance quand elle se déchire ( comme si l hote subissait la douleur )
Une pépite
Dudu, qui nous parle de The Thing ! ça fait tellement plaisir ! :D
Pour avoir vu les 3 versions, je me permet de faire un avis rapide, sur chacun de ces films :
-1951 : C'est un film qui va surement rebuter plus d'un, avec le coté vieillot et de son ambiance lente. La menace même, n'intervient que très peu . Mais, la plus grande force d'Howard Hawks et de Christian Nyby , c'est de filmer les personnages, avec des dialogues qui ont du sens. En sortant en pleine Guerre Froide, le film prend tout son sens de la paranoïa et du comportement humain. Deux équipes "s'affrontent" au débat, pour savoir qui a raison et qui a juste. Des dialogues sont pertinents là dessus, créant une nuance des deux cotés (scientifiques et militaires) , ce qui vont les amener à s'unir contre cette "chose". Bon, le monstre reste moins impressionnant au fil des années, mais reste très louable pour son époque ! Bref, un bon classique à découvrir ou à redécouvrir ! ;)
-1982 : Le remake de John Carpenter, va filmer du point vu des personnages, et de la "chose" en faisait vraiment une vraie abomination cauchemardesque ! Les années 80 auront étaient la décennie d'expérimentation de maquettes et VFX pour nous proposer une vraie menace réelle et crédible. La Chose est magnifiquement redoutable, rendant le paranoïa plus fort et plus malsain ! Si j'adore The Thing, c'est parce qu'il me rappelle bien Alien dans son ambiance pesante et de ses personnages attachants et reconnaissables ! Bref, mon film Carpenter préféré, et que je salue la musique pour Ennio Moriconne !
-2011 : C'est clairement le plus mauvais des trois. Le film se veut être le Prequel direct du film de Carpenter. Ce qui n'est, pas une mauvaise chose en soit (lol, jeux de mots accomplis) , le problème, c'est dans son concept et exécution. Le film repose trop sur les EFX , ce qui tue le film de base, car la Chose n'est qu'une bouillie de pixels moches et pas crédible (ça me fait de mal de dire ça, aux personnes qui ont travailler dessus) avec les personnages peu convaincants, et des lourdeurs pas possible ! Néanmoins, je salue le courage de faire ce projet à risque, et d'avoir pu respecter l'ensemble de la chronologie des événements du The Thing 82 !
Bref, c'était comme toujours, très plaisant que tu parles de bons classiques là dessus ! J'aimerai bien, si à l'avenir, tu pourrai faire la même chose, pour d'autres films ayant leurs remakes, comme King Kong, Godzilla, Scarface, Les 7 Samourais, Nosferatu, Ocean's Eleven etc...
ça peut être intéressant d'avoir ton avis là dessus ! :)
Ne pas oublier que la chose n'est pas forcément intelligente. Le crash du vaisseau étant le résultat de l'assimilation du pilote par la chose, le vaisseau étant une sorte de zoo galactique. Dans cette théorie la chose reste donc un animal réagissant au niveau cellulaire avant tout.
Pour ceux que ça intéresse, Mathijs van Heijningen, ça se prononce "Matheïs van Heïninguen". ^^
Ne me remercier pas, c'est aussi inutile que de retenir cette information.
Le coup de l'hélicoptère et du nom écrit dessus je n'y avais jamais pensé....pas mal ^^
Une chose qui a nuit au The Thing de Carpenter c'est la sortie de E.T en même temps...pas vraiment la même ambiance il faut bien admettre ^^'
Et dernier point, la Chose n'a, semble t'il, aucune vraie forme..ce serait presque un virus...d'où la réflexion si le vaisseau est le sien ou un vaisseau volé suite à une assimilation...après tout la Chose copie et s'accapare autant l'apparence quelles mentalités et personnalités. ...ce qui la rend encore plus dangereuse...
Je pense aussi que La Chose a envahi l'équipage du vaisseau qui se crash quelle que soit leur "race", après tout comme le dit Blair dans son journal; elle a pu imiter des milliers de formes de vies dans des milliers de galaxies différentes.. Mais je la vois comme bien plus qu'un virus, même si son fonctionnement y fait penser. Je pense qu'elle peut également intéragir avec toute forme de vie, ce qui inclue les plantes, les insectes, les oiseaux, la faune marine, les champignons et j'en passe.
Imagine un peu le cauchemar si elle arrivait à quitter l'antarctique..
27,000 heures mon pote.
@@jolangourhant4219 mais bon sang...tout s'explique,je viens de comprendre...c'est le Covid19 ^^
il y a guillaume guillaume cassar qui est un youtuber cinéphilie tout comme durendal qui a fait une vidéo sur the thing qui est sortir hier. sa va être marrant de comparé les 2 point de vu des youtuber. j'ai hâte :).
Comment t'as dit Junior on aurait dit Igor Karkarov dans la Coupe de feu quand il balance Barty Croupton Jr 😂😂😂😂
C’était une bonne idée de faire les 3 ensemble!
Perso j’aime beaucoup celui de Carpenter, il me rappelle Lovecraft, (jusque dans la musique, qui colle super bien à la lecture) dont j’adore les nouvelles.
Sinon pour le maître chien, j’ai le souvenir d’un homme assez mal à l’aise avec les gens, et plus détendu avec les animaux. Du coup j’avais pas trouvé son comportement trop exagéré.
Je l’ai vu qu’une seule fois par contre, mais je le reverrai, pour voir si mon avis change aussi!
Salut tu as bien décortiqué le film mais c'est ton point de vue , j'ai vu ce film plusieurs fois et je l'apprécie toujours autant mais nous ne sommes pas de la même génération, continue à nous faire revoir nos films avec un autre regard c'est enrichissant merci .
Si tu as pas vu Prince des Ténèbres, il faut ABSOLUMENT que tu le vois :O
Pour ce que ça vaut, c'est mon 2ème film favoris de Carpenter après The Thing :D Je le trouve vraiment très bon ^^
Ce thumbnail de malade! J'adore super vidéo !
The Thing de Carpenter est un pur chef d'oeuvre, un des plus grands films d'horreur de tous les temps. Mon film préféré du cinéaste avec Halloween.
La version de 1951, a certes énormément vieilli mais pour l'époque, c'était plutôt bien fichu et le film demeure un classique qui se regarde toujours avec un certain plaisir. Moi en tout cas, je l'aime bien ce film.
Rien n’est sacré, mon pote. Et tout peut être sujet à la critique
Ce qui est sûr c'est que beaucoup d'autres films des années 50 étaient bien mieux fichus scénaristiquement parlant....
Ici on ne compare bien évidemment pas les effets qui sont désuets, mais c'est pas parce que c'est vieux que c'est forcément bon ;)
@@paulclement3076 Je suis pour qu'on critique tout film, classique ou navet. Mais je voulais juste donner mon avis, et ayant apprécié le film en question, je me sens obligé de le défendre. C'est tout.
@@Chr0m4tik Est ce que j'ai dit qu'un film vieux était forcément un bon film ?
Je vous conseille d'ailleurs de voir la vidéo critique d'AVGN qui démontre bien en quoi le film de 1951 est sous-estimé et demeure un bon film ne méritant pas le dénigrement : ua-cam.com/video/broyjwCPNj4/v-deo.html
Donc le gars est en train de tourner la plus grosse vidéo de sa chaîne (ou presque) et il prend le temps, pour nous aider à patienter, de faire des bêtes de vidéos hyper quali et intéressantes. Posément.
Tellement merci à toi 🤯 !!
Merci pour cette analyse très quali, j'ai personnellement appris plein de choses !
ton travail mérite TELLEMENT plus de vu mais tellement
Pas forcément d’accord avec toi sur tous les points mais, je mets quand même un petit pouce en l’air pour le Boulo abattu !
Avant de regarder la vidéo je tiens à dire que la miniature est super chouette ! Bravo ☺️
Je n'ai vu que celui de Carpenter, mais pour moi c'est l'un de mes classiques.
Le genre de film que j'ai vu lorsque j'ai commencé de m'intéresser réellement au cinéma. Et j'ai découvert en Carpenter un univers que j'aime beaucoup ! Pas eu le temps de tout voir, je me suis limité à Prince des ténèbres, The Thing et l'antre de la folie (trilogie de l'apocalypse).
Faut vraiment que je matte le reste ;)
Wow inattendu et comment ça fait plaisir. The thing de Carpenter un de mes films préférés et un gros traumatisme de mon enfance.
Belle analyse.
Concernant l'absence de femmes sur la version de Carpenter, pas de théorie mais je pense que la figure féminine est généralement rassurante, (ça se vérifie avec Ripley sur Alien 1 sortie quelques années auparavant) surtout dans les films d'horreurs et ici, le téléspectateur ne doit jamais être "rassuré" tant la thématique de la paranoïa est assumée.
L'absence de femme donne également une indication sur le pessimisme de l'issue du film.
La femme incarne, par essence, le don de la vie et par extension : l'espoir...
Dans "The Thing", il est question de la fin de l'humanité (Le personnage de Blair établi, à juste titre, ce constat)...
Je ne regarde plus du tout de films d'épouvante ou d'horreur, mais à une époque j'en avais beaucoup et The Thing de Carpenter était dans mon TOP 5. Je l'ai vu, des dizaines de fois... Et ta théorie est super intéressante. Il faut toujours aller voir du côté de la symbolique, car je pense que nous autres êtres humains nous fonctionnons énormément avec cela. Même inconsciemment. Et là pour le coup ta théorie me semble tout à fait juste. J'ajouterai ceci : la vie "normale" est faite de polarités. Et en un sens, pour reprendre tes termes, ce qui est normal est "rassurant". L'absence de femme plonge dans un univers où déjà, quelque chose ne tourne pas rond, et l'Homme fait face à une forme d'incomplétude fondamentale anxiogène. Bon... On pourrait y passer des heures :-)
Merci pour la qualité de ton travail!
THE THING 🥶 un chef-d'oeuvre, la version de 2011 une bonne surprise Les SFX réussi une ambiance sombre angoissante une tension tout le long du film .
En ce moment je travaille a me voir tous les Carpenter et c'est un bonheur que tu sortes cette vidéo a ce moment. Excellent travail comme a chaque fois Dudu !
Bonsoir, depuis le temps que je regarde vos vidéos avec lesquelles je ne suis pas souvent d'accord, voici mon premier commentaire.
Pour commencer, j'aime beaucoup The Thing de Carpenter, mais alors vraiment beaucoup.
Vous avez tout bon au sujet de Rob Bottin et Stan Winston.
Mais j'adore aussi la photographie, surtout les extérieurs en plein jour.
J'aimerais apporter un petit éclairage sur un point, enfin ce que moi j'en ai compris, et que je pense que vous avez raté dans ce film mais aussi dans celui de 2011.
La créature ne veut pas buter tout le monde.
Certes, elle ne souhaite pas être détruite, et elle ne veut surtout pas retrouver sa prison de glace.
En fait, elle cherche à se cacher et à se casser. Il me semble que l'un des scientifiques, Blair si ma mémoire est bonne, fait des projections sur la contamination si la créature parvenait à s'enfuir.
C'est pour cela qu'il s'en prend aux véhicules afin de lui empêcher de se barrer.
Là où je veux en venir c'est que lorsque celle ci est découverte (la créature), elle se trouve bien désemparée.
Si elle bute tout le monde, ça va être beaucoup plus compliqué pour elle de quitter cet endroit.
Ce qui pourrait expliquer pourquoi à part pousser un gémissement, elle ne s'en prend pas à tout les personnages environnant.
Le truc le plus étrange dans son comportement c'est son carnage dans le chenil.
Pourquoi s'en prendre aux chiens alors qu'elle en a déjà assimilée un. C'est le meilleur moyen de se faire cramer, au propre comme au figuré.
Elle est peut être incapable de se dissimuler plus de quelques jours sous l'apparence d'êtres vivants totalement différents de son organisme.
Dans la préquelle, je ne suis pas d'accord avec vous.
Même si je l'aime nettement moins que celui de 1982, certaines choses m'ont plu.
En particulier la scène dans l'hélico, à l'exception du FX digne d'After Effects.
Encore une fois, la créature se cache, elle est sur le point de réussir à fuir vers l’hôpital de la station McMurdo.
Manque de Bol, la scientifique qui a découvert les plombages et la douche ensanglantée fait signe au pilote de revenir.
Quand celui ci décide de finalement se poser pour voir ce qu'il se passe, la créature passe à l'attaque.
Ce que j'ai aimé dans cette suite c'est le lien avec une des dernières scène et le film de 1982.
Faites l'expérience de regarder celui de 2011 et enchainer la version de 82, c'est assez bluffant.
Enfin, cela m'a fait plaisir de voir un film avec une fin pas hyper positive, c'est de plus en plus rare.
Pas sûr que la scientifique soit en mesure de trouver la base soviétique à 80km.
J'ai du mal à vous suivre concernant McReady à la fin du film de 1982 lorsque vous dites qu'il n'y aucun doute à son sujet.
Le réalisateur a été clair.
Malgré cette fin ambiguë, Carpenter a précisé qui est quoi et comment il l'a évoqué.
A noter que j'avais vu ça à travers un documentaire intéressant sur le tournage du film, sur un DVD britannique et dont la musique des menus est l'une de celle qu'on entend dans The Hatefull Eight.
C'est amusant que vous parliez d'Alien.
J'avais découvert The Thing une nuit de 1985 en VHS.
Mes parents avaient loué The Thing, Alien et Jaws, que j'étais censé regarder le lendemain avec eux, je n'avais que 13 ans.
Je n'ai pas su attendre le lendemain.
Inutile de vous dire que ces 3 films sont depuis cette nuit dans mon Top 1000, très très très haut.
Bien que je peste souvent en regardant vos vidéos, j'apprécie votre travail en général et je vous suis assez régulièrement car vous m'apprenez des tas de choses sur cette passion que nous partageons, le cinéma.
A ce propos, quand on sait comment tout cela est fait, ne perd-t-on pas, un petit peu, ce petit brin de magie que seul le cinéma sait nous offrir ?
Bien à vous et désolé pour le pavé si vous le lisez.
PS :
Dans la préquelle, bien que ce soit complètement débile et super dangereux, ils font exprès de laisser fondre la glace.
Le professeur Norvégien, un tantinnet psychorigide, demande à Mary Elizabeth Winstead combien de temps nécessitera l'extraction du corps de l'alien.
Elle lui répond : Une demie journée.
Selon Google traduction
Lokk = couverture
Lokke = leurre.
Ça fais plaisir, excellent travail comme d'habitude!
Punaise mon Dudu qui parle enfin de The Thing! Bon dommage que tu ne le classes pas dans ton top3, mais j'ai aimé ce que tu en as dit.
Et pour le prequel tant décrié, je suis assez d'accord pour lui trouver des qualités, même si la façon dont ils trouvent le vaisseau est tellement incohérente avec la version de Carpenter et celle de 51...
Après y'a Mary Elizabeth Winstead, je peux pas être objéctif.
J'adore ce nouveau format
A noter que l'épisode 8 "Projet Arctique" de la saison 1 de X-Files peut être considéré comme le "Morgan & Wong's The Thing". L'un des meilleurs de la série, par ailleurs.
fr.wikipedia.org/wiki/Projet_Arctique
Excellent épisode...l'un des meilleurs avec "quand vient la nuit"
OUI
Clairement un hommage très très (très) appuyé :D
Si on pouvait liker ce genre de vlog plusieurs fois, franchement je le ferais ! Quel bon travail ! Bravo :-)
Dudu a definitivement explosé le miniature game 😎😂😂😂
J’ai tellement hâte de voir le prochain The Thing !!!
J’espère qu’il sera la suite direct de celui de Carpenter ou à la limite un reboot total qui reprendra tous les événements de celui de 1982 et du prequel de 2011
C’est ma saga de films par excellence je suis tellement fan de cette créature, la chose reflète le schéma du parfait organisme
Sa capacité de transgénèse spontanée fait de cette créature le super-prédateur ultime capable de s’adapter à tout type d’écosystèmes peu importe la biosphère concernée en s’accaparant les avantages évolutifs des créatures locales qu’elle assimile
Si un tel organisme pouvait exister il demeurerait au sommet de la chaîne alimentaire sans aucun effort
The Thing forever !!!
Salut Durandal,
Ta comparaison sur l'utilisation des effets sonores avec le légendaire Alien, LA référence dans ce domaine, est intéressante. Cependant, l'utilisation faite de la musique par Carpenter dans The Thing suivait une autre démarche (forcément moins immersive, mais davantage marquante dans le temps car orientée dans un objectif d'encadrement philosophique). Effectivement, si la musique dans The Thing y est davantage omniprésente; voire rythmée, c'est indéniablement par choix artistique... qui prend tout sens à la fin dramatique du film lorsqu'il ne reste plus que deux survivants inévitablement voués à mourir de froid (à moins qu’un des deux ne soit pas de constitution humaine). L’un d’eux est peut-être la chose. Le sacrifice des survivants aura t’-il servi à sauver l’humanité? À écouter la musique du début recommencer… NON (la réponse est dans la musique; bien qu'à prime abord inconscient, c'est le punch final). Le film se termine donc sur un constat terrible, son histoire aura été circulaire et nous renvoie au début, un épisode précédent dont il n’est que la répétition dans un éternel retour. Le désespoir fait donc aussi partie des thèmes du film de par la réelle absence d’espérance, d’autant plus que le froid glacial de l’antarctique, cet environnement hostile et désertique où l’homme n’a pas réellement sa place, pourrait bien représenter symboliquement la mort qui envahit l’homme et éteint ses espoirs de conquête spatiale.
Les cellules étrangères concevant informellement The Thing est un ennemi intérieur et invisible. Il vit en nous de nos capacités intellectuelles et détient le potentiel d’atteindre virtuellement l’humanité au complet… il est le virus mortel contaminant une à une les cellules du corps humain. Nous assistons donc dans ce combat «immunitaire» à la lutte que mène la ligne de front pour la préservation de l’intégrité humaine. Tout le long du film, nous sommes donc liés virtuellement à ces scientifiques devenus dans les circonstances les soldats de notre identité. En nous défendant pour garder notre intégrité corporelle et identitaire, ils représentent notre dernier espoir, le dernier rempart pour endiguer le mal voulant se répandre jusqu’à nous. Or, le processus d’identification fonctionne à merveille. (Fait à noter : en n’étant confinée qu’à un rôle de téléspectateur, notre impuissance à aider nos frères de sang agit dans The Thing comme un catalyseur de suspense; nous n’avons aucun contrôle sur le destin de l’humanité).
Voilà toute l'inspiration atmosphérique de cette sublime bande sonore .
Par ailleurs, le rythme de la musique, constante durant le film du début à la fin, suggère que la contagion de l'humanité suit inexorablement son cours en arrière-plan.(D'ailleurs, cet aspect a certainement inspiré la musique en background du jeu vidéo Plague sur les smartphones)
Excellent! Excellent! Décidément j'ai rarement lu autant d'analyses aussi pertinentes dans un forum youtube!
J'ai beaucoup apprécié te lire. Tu mets des mots sur tout ce que j'ai ressenti au visionnage du film.
Très bonne vidéo Dudu ! Bien content de te voire aborder Carpenter et ces films que j'apprécie tout particulièrement . Je suis étonné de savoir que tu n'as pas vu Prince of Darkness , je te le conseille vivement ^^
Carpenter et son amour du synthétiseur... l’initiateur d’un courant musical... #synthwave
Merci bcp Dudu pour cette vidéo :D
''La scène de baston dans They Live représente bien mon travail''. Totalement vrai dudu!! :)
C'est un signe, moi qui vient de me mater y'a 2 jours tous les "The Thing" pour la première fois tu sors ta vidéo juste après xD
John Carpenter, c'est de tellement bonne augure ! Je me mets à rêver du prochain PJREVAT... Ah ben non du coup... ça m'apprendra à mettre un commentaire avant la fin de la vidéo ;-) "They Live", quel film !
J'étais en train de refaire le tours de tes anciennes vidéos et franchement cette miniature de qualité, je ne m'en souvenais pas mais elle est vraiment très cool !
Ça serait cool de voir la suite de la collection de Blu Ray ☺️
MERCI pour le son de l'ordinateur (sunshine), je cherchais ou je l'avais déjà entendu depuis 2011.. par contre, j'ai toujours pensé que le vaisseau n'appartenait pas à la créature mais à ses anciens hôtes (extra-terrestres) provoquant son crash sur terre donc sa forme dans le bloc était pas la sienne restant inconnue.
6:50 Du coup dans Predator, la réplique de Weathers "Ils se sont fait buter par un lézard" mérite un prix ^_^
C'est soi disant un vlog, mais en réalité la vidéo est bien plus travaillée qu'un "simple" vlog. Ça fait des années que je suit t'es vidéos mais je n'ai jamais prit le temps de te remercier pour tes vidéos, c'est fait 💪
Bien entendu j'ai adoré ce vlog comme tous les autres, pourtant j'ai pas le même avis. Moi pas comprendre cette sorcellerie 😂
Mon dieu ! Enfin Dudu sort un vlog sur du Carpenter ! :D. J'espère qu'un jour tu feras un PJREVAT sur Carpenter, personnellement j'ai tous ses films et j'aimerai bien connaître tes ressentis sur les films (même si tu l'expliques vaguement dans cette vidéo sur sa filmographie)
le rêve, mais Dudu semble pas trop kiffer Carpenter, or, tu remarqueras que quand on aime Carpenter on surkiffe TOUS ses films, c'est dommage car Dudu fait des PJREVAT qui marqueront l'histoire du youtube game ciné.
@@sasori7833 C'est bien ça le problème, l'idolâterie et l'esprit critique ne feront jamais bon ménage.....
merci dudu pour la rétro
15:30 C'est rigolo, je préfère "the Thing" à "Alien" exactement pour les même raison. L'ambiance, et le stress après chaque visionnage marche mieux dans the thing que dans Alien, pour moi personnellement ^___^
Thing*
@@gerudeercilia4330 Oups :p
Je rectifie "la chose" Merci ^^
@@GalaadLeonheart xD car a mon avis, si le film s'appellerait "La pensée" ça serais autre chose mdr
Ça m'a plu
Merci Dudu !
Le film de Carpenter a longtemps était mon film préféré !
Pour le remake, la créature n'est pas réalisé uniquement à partir d'image de synthèse, plusieurs scènes utilisent de vrai animatronique voir des prothèses. IL y a un documentaires la dessus disponible sur youtube.
toute l'animatronique a ete remplace a la derniere minute par des images de synthese, il n'en reste presque rien dans le montage final (d'ou la gueule des effets, qui meme pour 2011 sont pas terribles). C'est dommage, car un enorme boulot avait ete realise par studio ADI
@@horseweapon Effectivement ! Les effets pratiques étaient très bien réussi, vraiment dommage car ça aurait pu être un bon prequel mais au final il paraît moyen
Sinon dans le remake de Carpenter je trouve qu'après plusieurs visionnage je trouve intéressant que l'on montre la créature comme étant faible et effrayée, consciente du danger d'être démasquée.
3 vlogs pour le prix d'un (gros)! C'est beau !
Tous le monde sors une vidéo thé thing cette semaine 😀 je m’en plein pas 🤗
Haha je me suis dis la même chose XD
Le vlog qui fait plaisir 🤩
07:25 Ah ben pourtant Leguman me terrifiait quand j'étais gamin.... 🥕
Leguman
Tu es l'enfant de la terre
Le soleil est ton père
Tu fais mordre la poussière
A ceux qui veulent la guerre
Pourquoi j'ai encore ça dans la tête.
@@audric2285 Ca vaut pas Transformoule. :-)
Super vidéo, vachement intéressante, et puis comme toujours, c'est cool d'avoir un avis différents ! Je suis un très grand fan du film Carpenter (surprenant, hein), mais pour le coup la critique que tu en fait et les défauts que tu soulève nuancent le regard sur le film, pareil pour ton avis sur le remake, relativement conspuer de partout, et l'original, dans une moindre mesure ! Et quel plaisir que de pouvoir a nouveaux trouver des axes de réflexions autour de films qu'on définit comme culte et dont on pensait qu'il n'y avait plus rien a dire ! Merci Dudu !
Pas de femmes dans un centre de recherche étasunien sous autorité militaire dans les 80 ?...
C'est juste totalement normale, vous prenez pas la tête pour rien :p
C'est presque dommage parce que dans la "suite-remake" il y en a mais elles sont pas du tout utilisées (en tant que perso je veux dire ^^) comme on pouvait l'espérer. Entre le remake-suite de the thing et promtheus décidément ça manque de scènes trash au lit le ciné actuel :(
Y'avait une femme dans le casting, mais elle a su qu'elle était enceinte avant le début du tournage. Source : Carpenter (1982). Donc ton argument tombe à l'eau !
@@Darkjack-FR Oui, Adrienne Bardeau. Elle reste présente, c'est sa voix dans l'ordinateur qui sert pour la partie d'échec. (Mais elle avait bien un rôle complet de prévue).
Hier, mon algorithme UA-cam ne me proposait que des vidéos sur ce sujet: (survivre, la fin, BD). Quelle coïncidence!
Salut Dudu :) le petit message pour le référencement ! J'adore ton travail continue comme sa 😘
La créature est super original ,
Super bien travailler.
Flippante surtout les espèces de cafard 😱
Donc désolé autant je suis d'accord avec toi . Mais ce film est un claque peut être pas scénaristiquement mais le son . La réalisation . Et les effets sont génial . Surtout le derniers remaque . Donc non ce film est réussit .a part le premier bien sûr .
Très bon épisode ! Merci, même si on n'est pas forcément d'accord. À absolument voir en salles pour bien sentir l'ambiance paranoiaque de Carpenter. C'est vrai que le Niby est fort loin de la tension d'Un Rendez-vous avec la peur de Jacques Tourneur ou le superbe L'Invasion des Profanateurs de Sépulture de Don Siegel. Quand à la préquelle récente du Carpenter, elle est étonnamment bonne. Pour être complet, il aurait fallu s'intéresser au jeu vidéo sur PS2, si ma mémoire est bonne. En parlant de concept, pourquoi pas des vidéos sur les films et leurs remakes, par exemple un comparatif entre le Evil Dead de Sam Raimi et le Evil Dead de Fede Alvarez ?
Enfin quelqu’un qui n’a pas aimé Halloween, je me sens moins seul !
Je vais rester sur mon souvenir de celui de 82 qui avait d'ailleurs généré un jeu excellent sur PC dans les années 2000, dans lequel la parano était constante.
La petite critique de The thing que tu fais au début je trouve qu'elle pourrait s'applique à la plupart des films de Carpenter (tous ?).
C'est souvent à la fois sympa et en même temps ya des défauts par ci par là et ses films restent finalement assez basiques tout en étant bien fichus. Perso c'est même cette simplicité que j'apprécie beaucoup chez lui.
C'est un peu série B, mais efficace, "honnête". C'est très 1er degré.
Même sujet que "Guillaume Cassar" à un jour près.
C'est cool car tu complètes parfaitement sa vidéo.
Super travail !!
Merci Dudu !!
Ce qui est marrant, c'est qu'au début du film de 82, les Norvégiens alertent l'équipe sur la vraie nature du chien en leur disant littéralement que c'est un alien métaphore, sauf que manque de bol, ils ne parlent pas norvégien.
Yes, je me suis fait la réflexion plusieurs fois... Tout cette catastrophe s'est jouée à un problème linguistique :-o
1 an que la vidéo traîné dans mes vidéo à voir. C'est bien dommage. C'était très très cool. Merci pour cette analyse de film que j'ai jamais vu. :p
c'est une mode de faire des videos sur The Thing cette semaine ?
"they live" je l'ai vu et j'ai jamais autant rigolé de ma vie, je le recommande à tout le monde de le voir x'D
Salut, Outch, j’avoue ton avis est très personnel pour The Thing réalisé par John Carpenter... Précisément pour la musique lié çà cette œuvre, elle participe grandement à la tension est à l'emprise de la chose et de sa potentiel présence (ou non) au sein de l'équipe... Je te trouve peu objectif sur cette aspect là, même si cela reste bien évidement construit :) J’apprécie tes vidéos et merci pour ton analyse en général du cinéma, parfois un peu trop subjective par moment ;) (ça peux créer du débat et c'est très agréable aussi)
Et en même temps la musique c'est tellement subjectif. Personnellement, à l'époque, j'ai toujours trouvé que la musique faisait partie intégrante de la signature, de la patte du film de Carpenter. Maintenant, tout se discute, et je comprend le point de vue de Durendal. Un thème très exclusif, très particulier, risqué même, qui s'en sort très bien. Mais, Carpenter en a un peu abusé et par moments, il aurait été nettement préférable de miser sur autre chose. Par exemple, une ambiance sonore plus discrète, plus sombre, plus angoissante... Mais bon, c'est aussi ce qui fait que, selon moi, The Thing ne fait partie des films qui terrorisent (et c'est tant mieux). Sa musique lui permet surtout de lui donner un style, une personnalité (à l'image des panoramas et des paysages). Un film tendu, mais pas terrorisant à l'extrême.
La grande carotte m'évoque forcément "Wallace et Gromit et le mystère du lapin-garou", quoi...
En tout cas génial, d'avoir re-contextualisé cette histoire dans toutes ses itérations !
Je surkiffe, perso, afin de comprendre comment le cinéma évolue, dans sa continuité, et ce qu'il apporte, change, ou garde.
Si un jour tu comptes faire un format là dessus, Dudu (même si j'imagine que ça existe déjà ailleurs, m'enfin spa grave), je plusseoirais pour sûr !!
mdrrrrr Guillaume Cassar vas pas aimer ! Nan je rigole osef je pense xD
Le succès de la vidéo de l'un profitera à l'autre et vice versa, et puis ça reste très différent, ce n'est que du bon
J'en vient de chez Cassar et vu que les deux n'ont pas vraiment la même approche où le même style je crois pas que ça pose problème.
Mieux: plus il y en a, meilleur c'est (surtout sur un film pareil).
@@rxproject Oui tout à fait ^^
@@marininconnu9352 exactement
J'aime les deux pour leurs approches particulières.Mais il faut avouer que la coincidence est troublante.
Ah !!!! Merci ! Enfin quelqu'un qui a un avis positif sur L'Antre de la folie. Quelle claque ce film !
38:00: pas certain que ça soit la forme originelle de la créature, comme tu le dis ensuite, si ça fait "trop dinosaure", c'est peut-être justement parce que le vaisseau s'est crashé avant l'extinction du crétacé-tertiaire et qu'elle a parasité une espèce préhistorique.
Comment aurait-elle pu mettre au point une telle technologie (SI elle est à l'origine de cette technologie, parce qu'au final, rien ne dit que les occupants du vaisseau n'ont pas fait halte sur une planète inconnue et se sont fait couillonner façon prométheus) avec une apparence pareille? Sans pouce opposable, elle peut même pas tenir un tournevis, alors construire ou piloter un astronef...
Ben je pense que l'alien dans la glace était lui-même infecté par la chose, l'ayant peut-être choppé sur une autre planète.
Très bonne vidéo mais encore une fois je te trouve tellement « difficile » .. la musique de The Thing est pour moi un élément fondamental et magnifique à la fois. Je trouve ce film proche du chef d’œuvre d’horreur.
Ca semble normal que l'aspect paranoïa fonctionne moins bien dans The thing après le premier visionnage, puisqu'on sait.
Certains films même après plusieurs visionnages, on ressens ce stress et la paranoïa.
Donc ça n'as rien à voir
@@gerudeercilia4330 Du genre ?
Les effets spéciaux de Rob Bottin sont époustouflants le gars avait déjà oeuvré sur Fog et Hurlements , il n'avait que 20 ans à l'époque, il récidive sur The Thing avec concept de dingue.
"C'est difficile d'avoir peur d'une grande carotte"
...
...
Non j'vais pas faire la blague je pense c'est pas la peine
29:50, le truc, c'est qu'il y a un jeu dont le scénario est "canon" à l'histoire et Mc Cready t'aide dedans le jeu, donc en soit une suite existe déjà à l'histoire de base de John Carpenter.
Observez le poster dans le décor de la scène du test sanguin:
"They aren't labelled chum!"
De rien
Merci beaucoup pour cette superbe vidéo.
La miniature est tout simplement magnifique.
Concernant l'absence de femmes dans la version de Carpenter, sincèrement, je ne serais expliquer les raisons ou non de ce choix. Mais pour ce qui est de la dynamique sexuel, plutôt que d'y voir des analogies avec l'homosexualité, je serais plutôt porté à observer ce film dans une perspective d'un exobiologiste guidé par la nature intrinsèque de l'antagoniste extra-terrestre. Effectivement, en imitant les formes de vie lorsqu’en présence de celles-ci, le monstre dans The Thing peut avoir l’apparence totale de n’importe quel homme et devenir littéralement celui a qui il à volé l’identité. C’est d’ailleurs un viol absolu si l’on considère justement l’aspect sexuel. La survivance de l’individu et la perpétuation de l’espèce sont des caractéristiques de toute forme de vie. Mais la chose est elle vraiment vivante? Pour y répondre, puisque la nature de la chose demeure en grand parti un mystère, je préconise l’analogie avec le virus. Rappelons que le virus est un agent infectieux, spécifiquement une simple chaîne d’informations génétiques (ADN) qui ne peut se reproduire qu’en parasitant une cellule en y détournant ces mécanismes internes. Le virus est donc à la frontière du vivant, car : il ne respire pas, ne se nourrit pas, mais s’adapte et se reproduit. Néanmoins, sa nature est liée à la nôtre, car nous sommes le relais, l’usine de transformation, entre l’individu contaminant et sa propre survie en tant qu’espèce. Ainsi, pour les virus nous sommes bien plus que de simple réserve de nourriture, des proies, mais bien plutôt des hôtes. C’est à dire un toit, un moyen de transport, un milieu propice au développement de la reproduction. Toutefois, si la chose n’était qu’un virus, il finirait par se développer une relation entre l‘hôte et le parasite s’inscrivant dans la durée et ne prenant fin qu’à la mort naturelle de l’hôte. Mais la chose elle n’est pas vraiment cachée à l’intérieur de l’individu, elle le devient en le répliquant totalement après l’avoir absorbé. En conséquence, bien que la chose ait besoin des formes de vie pour se reproduire, elle se fout carrément de la survie de l’espèce de ses hôtes de par son indépendance à une espèce spécifique. Élément d’autant plus troublant, la simple existence de la chose est une menace fondamentale à la survie de notre espèce. Avec la chose, la vie humaine perd son sens et les corps sont immoralement mutilés, déformés, défigurés et déchiquetés comme de vulgaires poupées en plastique. L’homme n’est plus qu’une sorte de « défouloir » pour elle qui n’a finalement besoin des formes de vies que pour se cacher et se reproduire. S’ensuit donc un genre de relation sado-masochisme entre la chose et nous.
Le suspense repose donc ici sur une paranoïa grandissante, et la tension est à son comble quand nous constatons que l’ennemi est définitivement à l’intérieur de nous. C’est lors de ce constat que l’intrigue dramatique entre brillamment en jeu: qui est qui? Et en même temps, que sommes-nous une fois contaminé? Si il est normalement facile de se prémunir du mal en définissant le monstre par des traits différents, il n’en est rien de tel avec celui dans The Thing qui camoufle son identité dans la notre. Comment alors reconnaître le monstre puisque celui-ci porte en surface l’identité de l’homme? Et donc aussi, comment se reconnaître entre intègres? La chose est donc sans identité définissable puisqu’elle imite la nôtre. Elle n’a pas de nom, elle est l’innommable… elle est nous. La question du moi est ici d’importance, ce n’est certainement pas notre apparence, donc notre extérieur, qui constitue notre identité. (D’ailleurs, la scène du test sanguin et celle du chien contaminé au milieu des autres chiens illustre à merveille le problème de la normalité au sein du groupe). Le moi comme le mal est donc insaisissable, croit-on le tenir qu’il est déjà ailleurs, déjà un autre. Ne serions-nous donc qu’une image, une représentation de l’altérité? Le moi ne se connaît donc jamais. Nous devenons un autre par la contamination, notre identité nous échappe et la chose devient la parfaite assimilation de cette apparence qui nous constitue tout entier. Finalement, on en arrive tranquillement à s’identifier malgré nous à cet assaillant qui confond par tous ses masques notre identité à la sienne. On ne sait jamais qui est la chose terrée dans notre intérieur, mais pourtant si fondamentalement extérieure à notre monde et notre à nature. La question du mal se trouve tout entière ici, extérieure ou intérieure, de nous ou en nous? Ainsi, selon l’angle du film, une personne en soi est à la fois la normalité et le monstre puisque que chacun peut être le monstre ou normal aux yeux de l’autre. « La Chose » est donc en sorte une forme d’alter ego de l’homme.
Le groupe uni à l’origine comme les cellules du corps peut se scinder devant le danger et se retrancher dans l’isolement. De plus, le film illustre l’idée que nous ne pouvons séparer l’humain de ses instincts primaires et bestiaux. Dans The Thing, les repères instituant la civilisation explosent face à l’adversité, et chaque être humain retourne dans une sorte d’état primitif ne comptant plus que sur son instinct de conservation pour survivre en tant qu’individu.
Cest juste que dans la Nouvelle il n'y a que des hommes lol
41:40 c'est voulu le silence sur la petite phrase habituelle de sortie ?
Je me suis posé la question est-ce que cela serait un clin d'œil à la saga... mais je vois pas !
Pour le "remake-prequel" quitte à faire un remake ils auraient carrément pu instaurer une nouvelle règle et que les gens contaminés ne sachent *pas* qu'ils sont contaminés, soit parce que la contamination prend une forme subtile (un truc avalé ou une piqûre) soit parce que, plus dérangeant mais difficile à expliquer peut-être, les gens copiés garderaient globalement leur personnalité jusqu'à ce que la chose "se révèle". J'imagine très bien le concept de "porteur sain" (si on peut dire) qui se retrouve soudainement avec la créature qui lui sort du ventre et qui attaque alors qu'il est lui-même parfaitement conscient de ce qui se passe, mais impuissant.
T'façon ya même pas de scène de cul avec révélation dégueulasse, et moi j'dis c'est triste. Déjà dans Prometheus on l'a pas eu :(
Je suis pas un beauf qui aime quand ça claque de la fesse à tout va mais didiou dans un film d'horreur récent ya plus grand chose à faire de nouveau pour choquer/faire peur, quand on a l'occasion de faire une scène choquante (qui peut véritablement choquer, pas les pseudo scènes gores qui n'émeuvent plus personne) autant le faire ! Surtout dans une.... "licence" The thing !
Je trouve que la "létalité" de la créature est un peu élevée dans ce remake, même si en théorie ça peut se justifier ça devient un peu trop facile pour elle de tuer, on perd quelque chose. Si je devais comparer je prendrais l'alien numérique de Covenant par rapport à l'alien en costume du 8eme passager, avoir une créature "à capacité humaine", bien posée sur ses petits pieds et qui attaque avec des moyens pas si extravagants que ça a plus d'impact qu'un monstre bondissant qui t'arrache la mâchoire d'un coup de tentacule, et ça rend la survie des perso plus étrange parfois.
Tres bon contenu comme d'habitude même si une critique 40 ans après la sortie du film me gêne.
Il faut se mettre dans le contexte de l'époque,
Exemple, les bruits de synthé bah oui ça fait très années 80 mais le film est de 82...
J'ai vu ce film quand j'avais 8 ans (en 1995 lol) et il m'a foutu une trouille dingue.
Je ne regardais plus mon chien de la même façon.
La, on juge carpenter sur ce qu'il a fait avant et après ce film mais les critiques de l'époque ne pouvaient juger que l'existant tout comme le public a du s'en prendre plein la tronche avec cette "chose" et le boulot fait grâce aux animatroniques .
J'attends avec impatience le prochain PJREVAT 🙂🙂🙂
Bravo pour le boulot accompli, je te suis depuis de nombreuses années et c'est tjs avec autant de plaisir.
Le film de Carpenter est construit comme une énorme partie d’échecs, Mc Ready est le roi, l’homme à abattre, et la chose est la reine, la pièce la plus puissante, c est pour cela que le casting est essentiellement masculin, pour rendre l’ensemble homogène, ce sont des pions. Même la base et ses couloirs évoque un plateau d échec, je ne sais plus où j avais vu cette théorie mais cela me semble très crédible, la chose a toujours un coup d’avance. (Voir la vidéo de TCM cinéma).
C'était très chouette merci !
Cela fait du bien de voir une nouvelle vidéo ^^ au top comme d'habitude ^^