Le paradoxe de la citadinité dans la région de Mazouna

Поділитися
Вставка
  • Опубліковано 15 вер 2024
  • Colloque international en ligne : Ville: langues, littérature et productions artistiques.
    Les 20 et 21 février 2024.

КОМЕНТАРІ • 4

  • @azzedineameur8270
    @azzedineameur8270 6 місяців тому

    Merci surtout à vous de nous avoir mis dans ce bain plein de culture, d'histoire et de citadinité.

  • @benaribimohammedamin5093
    @benaribimohammedamin5093 6 місяців тому

    Reflexions:
    - Se sont les études historiques (et anthropologiques) qui doivent donner le nom de citadin, et non pas les études linguistiques.
    - L'étude de Farouk est linguistique synchronique basée sur sa mémoire (familiale) et interprétation.
    - Mazouna n'a pas eu son statut historique garce à son parler, mais sa production.
    - Au Cair, on dit : ڨ ،au lieu de ق, cela veut dire leur parler n'est pas citadin.
    - A baghdad, en Iraq, ils ont une variation du : ك, qui se prononce entre : ت et ج, Baghdad ne serait pas citadine ?
    - Il y a un vrai problème dans la grille même utilisée pour catégoriser.
    - Des traces de parler citadin ! : aucune étude de terrain n'a conclu cela. Sans parler de la méthodologie !
    - Pour ce qui est de l'inférence : le parler de mazouna est de parenté avec les parlers de Cherchel, Dellys..etc., : aucune recherche ne montre cela, et seule une étude linguistique synchronique-diachronique sans prendre en considération les études historiques, anthropologiques ne peut mener qu'à une analyse pour l'analyse.
    - Différent des parlers citadins de Tlemcen, Béjaia et Mostaganem:
    Le parler de Mazouna se rapproche le plus de l'arabe classique puisqu'on y accordait une importance particulière. On y étudiait : la jurisprudence, le Coran, et y donnait le diplôme de Juge.

    • @ibtissemchachou
      @ibtissemchachou  6 місяців тому

      Vous avez des avis assez tranchés ce qui ne peut pas alimenter positivement le débat. Balayer d'un revers de main les travaux de sociologues, dialectologues et linguistes en avançant que cela existe et ceci n'existe pas n'a jamais aidé à comprendre les phénomènes, comme vous le voyez, je me montre prudente dans l'examen des éléments en me servant d'un arsenal théorique que je vous invite à lire dans un premier temps et d’appliquer sinon de tester ou nuancer sur le terrain. Mon article contiendra les références nécessaires pour saisir le cadrage théorique à la base de cette réflexion exploratoire et qui fera l'objet prochainement d'une publication plus détaillée.

    • @benaribimohammedamin5093
      @benaribimohammedamin5093 6 місяців тому

      En écrivant, je n'ai pas pensé au débat, mais à la pertinence des exemples en partant de la réalité. Le débat devrait être le résultat, et non pas prémices de mon avis.
      Si cela existe vraiment, cela veut dire qu'il y a des réelles questions qui doivent être re-posées.
      Les résultats de recherches ne sont pas la réponse absolue de tous temps et réflexions. elles sont souvent un terrain de discussions, de remises en cause et de développement pour la compréhension du sujet en question.
      On est d'accord, je pense, que le positionnement théorique et idéologique (conscients et inconscients) dans la recherche, surtout en : dialectologie, histoire et, surtout, en socio-linguistique n'est pas nouveau... Les chercheurs sont les voix et les voies de(s) vérité(s)! Je préfère cette approche puisqu'elle présuppose contredire des vérités relatives, surtout, dans l'Academia.