Pour le Qi, il faut tout de même relativiser l’égalité entre hommes et femmes puisque les test sont conçus et normalisés pour arriver à un résulta de 100 en moyenne pour l’un comme pour l’autre sexe. A noter que cette normalisation n’a pas empêché que la répartition des QIs est très différente entre hommes et femmes, en effet la courbe masculine est beaucoup plus étalée, avec beaucoup moins d’hommes que de femmes dans la moyenne et beaucoup plus d’hommes aux extrêmes déficients comme génies d’ailleurs. Il n’est donc pas étonnant que les grands génies de toutes les époques aient eu l’impression que les femmes sont moins intelligentes étant donné leur rareté dans cette catégorie. Je remarque aussi que si les gens sont choqués par le fait que plus d’hommes soient cadre, aucun ne note le désavantage des hommes dans le niveau d’étude incompatible avec une égalité intellectuelle ou une égalité sociale, à vous de choisir si les garçons sont moins intelligents pu moins bien traités par l’éducation nationale. Pour ce qui est de la différence moyenne de volume du cerveau, 1230-1070 cm3 cela fait 15% d’écart et non 9%, je suppose que Franck Ramus a tenu compte de la différence de taille entre hommes et femmes, mais cela eut été mieux de le préciser. Pour le test des stéréotypes, vous remarquerez que techniquement si vous annoncez qu’il n’y a pas de différence de compétences entre candidat, il y a moins d’écart de résultat, mais il subsiste une différence substantielle de score. Peut-être devons nous attribuer l’annonce d’égalité de score au stéréotype d’égalité entre hommes et femmes ? Ensuite, nous avons le graphique de différences entre sexes. Ce qui est amusant, c’est que personne ne semble remarquer que les femmes sur ce graph montrent de meilleures compétences en maths et de moins bons en analogies verbales alors que les stéréotypes sont contraires à ces résultats. Ce qui montre que soit ces résultats sont erronés, soit l’effet du stéréotype n’est franchement pas démontré. Dire aussi que pour certaines caractéristiques vous avez moins de chance de trouver une différence entre un homme et une femme qu’entre 2 hommes ou 2 femmes, et en conclure que ces différences ne sont pas significatives, c’est un peu comme dire qu’étant donné que les femmes ont moins de gènes en commun avec les hommes qu’avec les guenons alors la différence génétique entre humanité et chimpanzé n’est pas significative. Regardons maintenant la conclusion du type, il ne faut pas discriminer les femmes, elles ne doivent pas gagner moins parce qu’elles sont des femmes, et donc mettons en avant l’égalité des droits. Evidemment dans l’idée tout le monde est d’accord sur l’égalité des droits, le problème étant que ce n’est pas ce qui est réclamé en pratique. En effet les femmes ne sont pas discriminées par principe mais à causes de réalités bien concrètes. Par exemple, elles tombent enceintes et si Franck Ramus indique que la différence de taille entre hommes et femmes est indiscutable même si certaines femmes sont plus grandes que certains hommes, que dire du fait biologique que 100% des humains portant des enfants sont de sexe féminin. Ensuite d’autres facteurs comme le fait que les femmes travaillent moins d’heures, s’arrêtent quand elles ont des enfants, travaillent à temps partiel, ont moins d’expérience, sont mois agressive au travail, choisissent des carrières qui les intéressent mais ne sont pas forcément rémunératrices, etc … jouent sur la rémunération, au point que l’INSEE ne trouve que 5% d’écart salarial non expliqué. Et l’INSEE ne dit pas que ces 5% sont liés à une discrimination, juste que les critères qu’elle utilise ne suffisent pas à expliquer ces 5%. Enfin, reste à expliquer ce qu’est un stéréotype, ce qui en est à l’origine et quels est son rôle. En fait la plupart des stéréotypes sont des raccourcis du cerveau qui permettent de faire des choix rapidement basés sur l’expérience. Si dans votre expérience la majorité des personnes violentes portent du bleu, alors votre esprit va associer le bleu à la violence, si la majorité des gens partagent votre expérience, alors le stéréotype du bleu comme synonyme de personne dangereuse va émerger. Ce stéréotype comprend le risque d’associer une personne innocente à une personne dangereuse, mais a le bénéfice dans la majorité des cas de vous faire éviter le danger. De la même manière qu’un employeur qui utilise le stéréotype du diplômé pour discriminer à l’embauche peut commettre l’erreur de ne pas embaucher une personne compétente mais non diplômée ou d’embaucher une personne diplômé mais incompétente, l’employeur prend le risque d’embaucher un homme plutôt qu’une femme selon les stéréotypes qu’une femme risque de tomber enceinte, de faire moins d’heures, etc …. Ce qui est amusant, parce que c’est là qu’intervient le stéréotype de la femme oppressée, car si personne ne lui reproche de choisir la ligne la moins risquée dans le cas du diplôme, tout le monde l’accuse de discrimination dans le cas de la femme. Je termine par l’idée que quoi en pensent nos amis « bien pensant », le principe même du stéréotype fait qu’il plus probable que les faits soient à l’origine d’un stéréotype plutôt qu’un stéréotype soit à l’origine des faits. Il est plus raisonnable de penser que le fait femmes petites - hommes grands soit à l’origine du stéréotype plutôt que de penser que le stéréotype soit l’origine de la différence de taille entre les sexes. Ne plaisantez pas avec cela, certaines féministes pensent que les hommes sont plus grands parcequ’ils ont délibérément privé les femmes de nourriture au cours des générations précédentes. Certains stéréotypes peuvent bien sûr ne recouvrir aucune réalité ou être le résultat de la pression de certains groupes, mais ils sont facilement démystifiables, et j’encourage chacun à le faire. Il faut aussi prendre du recul par rapport aux stéréotypes, puisqu’ils sont des raccourcis il faut les considérer comme tels, y recourir quand la décision doit être rapide et explorer plus loin quand on a le temps de regarder un problème sous différents angles, mais je n’apprends rien aux gens raisonnables.
@@DCBfanboy Il ne suffit jamais de dire que les arguments sont faibles, il faut l'expliquer car personne ne peut être compétent dans tous les domaines, il est donc essentiel d'expliquer ce qui est inexact ou trompeur.
C'est un Ted pas un cours sur la neurobiologie des différences intersexuelles. Il a vulgarisé rapidement, mais s'il pouvait il aurait détaillé beaucoup plus j'imagine, voire répondu à tes remarques. Son propos restait "le cerveau a un sexe" et il l'a présenté et c'est déjà un grand pas pour certains qui se refuse à cette idée tellement biaisés par l'idéologie "égalitarisante". Je suis d'accord avec une partie de ta critique sinon, mais en 20 min je sais pas s'il pouvait mieux faire :)
@@Creativeetea Je comprend ton raisonnement, mais il ne se contente pas de vulgariser, il donne un avis biaisé idéologiquement ce qui n'est pas scientifiquement éthique.
La conclusion est à côté de la plaque. "il y à des différences (indiscutables et prouvées), mais soyons tous traité pareil, et nous DEVONS obtenir tous les mêmes choses dans la vie" C'est confondre au final égalité de droits et de chances, et égalité de résultat. L'égalité de droit et des chances existe en occident depuis longtemps. Pourtant, on vois bien qu'il faut en arriver à imposer des quotas si on veut arriver à l'égalité de résultats, car elle n'est pas naturelle. La cause? Des différences de nature intrinsèques tout simplement.
C'est comme dire que malgré les différences intrinsèques entre des joueurs comme Olivier Giroud et Lionel Messi, ils peuvent jouer de la même manière, au même poste, dans le même club, au même niveau et avoir le même salaire. C'est ridicule. Mais je pense qu'il fait une telle conclusion pour ne pas pousser le bouchon trop loin, il a déjà avancé beaucoup de faits "inacceptables" pour certains, et il n'est pas là pour faire de la politique. Comme il dit au début : "c'est inacceptable donc c'est faux", c'est comme ça que réfléchissent beaucoup de gens et c'est un réel problème en plus d'être énervant.
François Garcia-Vero Je dirais même, quand la croyance empêche le raisonnement... Le pire c’est qu’ils sont persuadés de détenir la vérité. Comme si la nature allait s’aligner parfaitement à leurs idéaux subjectifs.
Franck Ramus, né en 1972, est un ingénieur français, chercheur en sciences cognitives et directeur de recherche au CNRS. Il dirige l'équipe « Développement cognitif et pathologie » au sein du laboratoire de sciences cognitives et psycholinguistique, rattaché à l'École normale supérieure de Paris.
C'est intéressant de remarquer le nombre de commentaires offusqués sous cette vidéo. Je trouve cela extrêmement révélateur de l'importance de l'autodétermination aux yeux de beaucoup de personnes. En effet, on parle ici de différences innées, génétiques et donc sur lesquels l'individu n'a aucun contrôle, mais en plus de cela, on parle du cerveau, c'est-à-dire de l'intelligence, de ce qui va déterminer nos choix de vie et donc notre libre arbitre. En résumé, il semble que remettre en cause cette égalité de pouvoir du libre arbitre est insupportable à certains chez qui l'idée libéraliste du "vous pouvez devenir ce que vous voulez" ou du "vous avez votre destin en main" a apparemment fait des ravages.
En réalité, l'innée peut se modifier. L'epigénitique et les théoriciens de la plasticité cérébrale le montrent. La question reste toutefois le degré de plasticité.
@@yohann2217 Déjà pourquoi modifié l'inné ? Deuxièmement plasticité ou pas on peut pas modifier son taux d'hormones donc les réactions physiologiques associées ne peuvent pas se modifier non ?
@@Biutyj Il me semble que le taux d'hormone est également une réaction aux actions de la personne. Un père qui s'occupe de son enfant va voir son taux de testostérone baisser.
Ca démarre à fond dans l'idéologie "mainstream" la plus ennuyeuse et la plus convenue ! ....j'ai bossé dans l'administration , dans le privé, à la SNCF ET A LA POSTE (fonctionnaire! ) les grilles de rémunérations ne font pas le distingo homme-femme, les salaires sont les mêmes dans toute l'administration Educ Nat etc ! Dans le privé, les différences dans les postes de responsabilités proviennent du fait que les femmes sacrifient moins que les hommes (et elles ont raison) leur vie familiale. Si un homme n'a pas d'ambition, n'a pas le culot de demander une augmentation à son patron, sa femme le lui reprochera ! C'est un fait que c'est la femme (par définition) qui porte l'enfant pendant 9 mois, et ensuite si elle ne veut pas fourguer son bébé à une nounou qui le traitera sans affection, elle doit rester un an sans travailler, alors le boss choisira un mec de peur que la "chef des ventes", enceinte, le laisse choir. Pas de sexisme là dedans, un vieux pote à moi, etait cadre chez Johnson France, il était en passe d'obtenir une super promo, manque de chance il s'explose aux sports d'hiver en ski, résultat adieu la promo et après 6 mois de rééducation il a été gentiment licencié...c'est ça le privé ils veulent des gens productifs, pas des absents ,que ça soient hommes ou femmes ! Nos vaillantes féministes bobo veulent qu'on RETOURNE AU 19° SIECLE où les bourgeoises n'allaitaient jamais, et faisaient faire tout le "sale boulot" (couches, toilettes, ménage etc) à de pauvres bonnes venues des campagnes, aujourd'hui remplacées par des femmes immigrées! Je le vois à Paris où je suis né, les enfants de bobos avec leurs nounous de couleur dans les parcs ! Les féministes sont les pires ennemies des femmes, qui subiront la double peine= se battre pour grimper les échelons professionnels + s'occuper de leur famille...avec un peu de chance, leurs mecs daigneront faire un peu de ménage pour les aider ...vu qu'eux aussi, pour ne pas avoir l'air de gros fainéants aux crochets de leurs épouses, devront se défoncer au boulot. Resultat des courses le couple devra embaucher une aide à domicile pour les courses, la bouffe, le ménage, chercher les enfants à l'école etc dont le salaire engloutira (avec les charges sociales) le bénéfice ..Tout cela n'a pas de sens !
J'aimerais bien effectivement quelle discrimination il peut y avoir chez les fonctionnaires quand la progression salariale suit des grilles totalement neutres et rigides. Pourtant les hommes y ont des revenus supérieurs.
Tout cela au final est très bon pour ma consommation, donc pour la croissance... On peut observer en plus que les femmes occupent souvent des postes sans réelle valeur ajoutée, des choses qui ne manquerai pas vraiment si elles n'existaient pas. Très nombreuses dans l'administration, les services administratifs internes aux entreprises, alors que le ratio de postes "non productifs/productifs" à augmenté énormément depuis les années 50, sans mener à une gestion plus efficace. Forcément ça permet de créer des poste au total, et donc de donner des salaires aux femmes, consommatrices compulsives et volages parfaites, avec de nouveaux postes de dépenses : mode, déco, maquillage, une voiture de plus dans le ménage, aides ménagères à la maison et nounous, etc...
@@guillaumelefrancois5255 Ce qui est amusant, c'est que pour limiter la discrimination de grosses entreprises et des administrations ont testé des solutions. Ils ont testé d'invisibiliser le genre sur les candidatures, avec pour résultat plus d'embauche d'hommes qu'avant, ce qui montre que le système actuel discrimine en fait les hommes. Ils on testé l'embauche par un intelligence artificielle, mais au bout d'un moment d'apprentissage, celle-ci a commencé à favoriser les candidatures masculines qu'elle a repéré comme plus rentables, du coup à la poubelle l'ordi. Plus drôle encore, des audits ont été menés pour éliminer le wage gap à la BBC et che google aussi. Résultat : ils ont dû augmenter les hommes moins bien payés à poste égal que leurs collègues féminines. Comme quoi logique et idéologie ne font pas bon ménage.
C'est bien des temoignages de mecs et d'arriere. Ca me donne envie de gerber🤮Et le paradoxe de tout cela c'est que l'on a bien besoin de femmes dans certains metiers. Estheticienne, gynecologue, sage femmes et j'en passe.... bref le masochisme dans tte sa splendeur et sa stupidite. Je plains vos meufs mecs!
La différence de salaire se justifie peut-être par le taux d'absentéisme plus élevé chez les femmes (réel ou fantasmé) ? Et/ou la gestion de la maternité plus compliquée à gérer pour l'employeur ? Ou le caractère moins volontaire et plus passif attribué aux femmes (à tort ou à raison) ?
Taux d’absentéisme chez les femmes : Dû aux « rôle maternel » attribué aux normes sociales féminines dans la structure sociale. La gestion de la maternité ne serait pas plus compliquée à gérer pour l’employeur si les hommes avaient également un congé paternel pour aider les nouvelles mamans pendant leur rétablissement. Le caractère « passif » des femmes est entretenu par des stéréotypes féminins qui remontent aux temps où les femmes devaient encaisser les dires et comportements de leur maris sous prétexte qu’elles n’avaient légalement pas de « droits » et que l’homme était la figure d’autorité tant pour la femme que pour l’enfant au sein du foyer et de l’espace public. La femme devait être « passive » devant son mari, être en accord avec lui, l’écouter sans parler (principes que l’on peut retrouvé dans Le Guide de la parfaite femme au foyer enseigné aux femmes de cet époque), subir passivement les sévices sexuelles dont elles étaient victimes par légalisation de ceux-ci, et j’en passe. Je suis sociologue et ce que tu nommes sont tous des construits sociaux nés d’une société aux origines patriarcales dans sa temporalité historique. Les femmes sont bel et bien moins rémunérées que les hommes pour ces raisons (et d’autres, d’ailleurs), mais cela relève toujours d’un phénomène social qui peut être transformé et d’une structure qui valorise le sexe masculin.
Pour en ajouter, même si on est de même sexe, éduquer dans les mêmes conditions, on ne sera jamais identique. Il a été démontré par Damasio que l'emplacement des régions cérébrales chez les humains était variable.
1. Quand on sait que dès que les parents ont conscience du sexe de l'enfant avant même sa naissance, il traite l'enfant en construction différemment. L'argumentation de "les enfants sont jeunes donc ce n'est pas une construction sociale" a un peu du plomb dans l'aile... On parle d'enfants de quelques mois, à cet âge, les réactions des parents face aux pleurs sont déjà différentes! Bien sûr que cela construit socialement l'enfant et bien sûr qu'il est déjà influencée... J'adore "il est assez peu plausible que les parents influence déjà "... Mais bien sûr... 2. Sympathique le chercheur qui a fait de la sélection sur les expériences qu'ils montrent... A l'heure actuelle, la science n'a pas vraiment tranché sur les différences innée des 2 sexes... enfin plus exactement pas dans le sens qu'il indique...
Vous avez raison: je ne doute pas que les femmes ayant recours à la "PMA pour toutes" enseigneront à leurs enfants (choisis) la haine des hommes, bien avant leur naissance...
Oui enfin, on voit difficilement comment des enfants de 3 et 5 mois peuvent être influencé au point d'avoir des différences d'aptitudes en terme de rotation mentale... sachant que c'est un prérequis du cerveau hein, cette compétence est innée a priori. Maintenant, on a pas vraiment de raison de penser que cette différence entre les garçons et les filles soient culturelles. Cela ne veut pas dire que les enfants ne sont pas influencés dès le plus jeune âge, mais il fait ici référence à une aptitude bien spécifique. Il faut arrêter avec ce joker du "oui mais les enfants sont influencés avant leur naissance"! C'est une piste intéressante, mais pas un contre argument en soit.
On reconnait ici le sérieux et la rigueur intellectuelle de Franck Ramus. Approximations (où "entre 3 et 5 mois" devient "dès la naissance"; où on fait une jolie zone grise sensée représenter "l'impact des stéréotypes" comme si ils impactaient rigoureusement également tout ce qu'il prétend mesurer), poncifs, et choix intéressé des études et données. Ramus mime très bien le regard froid et objectif qu'on attribue (à tort) aux scientifiques, c'est un fait; il aurait sûrement fait un acteur potable.
Avant de chercher les différences entre les genres il faudrait déterminer qu'est-ce qu"une femme et qu'est-ce qu'un homme ? Certains "hommes ont des comportements très féminins et inversement...quid des hermaphrodites ? La frontière est très floue ! Et évidemment l'éducation et l'entourage ont une influence ainsi que l'héritage héréditaire....ça me semble tellement évident !
La différence est très claire, elle est génétique, XX ou XY, plutôt simple non? En plus de cela, les différences physiologiques, comportementales,... sont tellement importantes, que le taux d'adéquation entre le sexe biologique et les caratéristique du genre (masculin ou féminin) est de plus de 99%. Pour vous donner une idée, vous avez plus de chance de confondre un loup et un chien (2 espèces différentes) que de confondre un homme avec une femme.
C'est de la déconstruction. À un moment il vaut mirux reconnaitre l'existence de certained généralités. Les personnes réagissant mal à certains faits sont simplement en souffrance. Il faut apprendre à les considérer cimme tel sans accepter de mentir pour les apaiser.
Très intéressante intervention. Une chose m’a choquée : l’expérimentation sur les animaux ! J’espère que depuis les choses ont changé et que cette pratique sadique est interdite ! Je me moque de savoir si les hommes et les femmes sont différents ou quoi que ce soit d’autre si pour cela on doit soumettre des animaux à la souffrance.
@@msyteremysterieux9047 Ou plus simple: la prochaine fois qu'elle aura besoin d'aller chez le véto, qu'elle lui demande comment ils savent soigner son petit chat d'amour
Outre le biais féministe de son étude, je pense qu'on peut retenir sa conclusion qui incite à une égalité de résultats et pas des chances. Fin à la discrimination positive merci
C'est son intro et sa conslusion que j'ai trouvé idéologiquement biaisé et féministe. Par contre le discours scientfique que le cerveau est sexué, il est très mal vu chez les féministes, d'ailleurs Frank a déjà été banni d'un débat à cause de Catherine Vidal (neurobiologiste féministe assumé) qui elle est contre cet argument et qui refuse toute discussion.
@@hopewonder Merci river pour cette réponse mûrement réfléchie, qui a dû te demander de grands efforts de concentration. C'est bien parce que il y a 30 ans nous aurions pu être d'accord, mais dans le monde actuel où la discrimination positive règne, je ne peux être d'accord avec toi. Les femmes n'ont pas besoin d'être libérées, il faut arrêter de voir des chaînes et des inégalités partout et se recentrer sur les vrais problèmes en France. Mais bon ça demanderait un peu d'effort, d'objectivité, et surtout de ne pas laisser l'émotion parler quand il s'agit de voir des faits, des faits établis
@@pauldrijard8793 Essaye de t’intéresser également à tes propre biais Paulo tu pourra peut être être plus objectif. Et les attaques ad personam c’est très bas pour quelqu’un qui se pense intelligent
@@FraiseOsucre1 évidemment que ma vision est biaisée, comme toutes les visions, mais je m'efforce de me laisser influencer le moins possible. Et surtout, je ne recopie pas des phrases qui nous sont bassinées dans tous les médias conventionnels. J'essaye d'avoir mon opinion personnelle et pas de répéter ce qu'ont me crache au visage sur konbini. D'où l'ironie légère de mon commentaire, qui demande un peu de second degré, et qui n'est en rien une insulte, et encore moins une attaque, mais qui invite à la réflexion personnelle.
@@FraiseOsucre1 et je trouve intéressant que tu dise "pour quelqu'un qui se pense intelligent ". Je n'ai jamais prétendu ça et encore moins sous entendu, mais bon merci du compliment
Bon ok des différences comme vous dites "et alors" au delà de l homme et de la femme ,pourra t on tout simplement étre libre d'étre qui l'on veut étre?
@@paultix5292 Oui : le papier de Priscille Touraille, féministe qui déclare (dans un article open access sur le site Nature) que le dimorphisme sexuel au niveau de la taille est le fait d'une construction sociale - la privation des grandes femmes de nourriture (non, tu ne rêves pas). Cette hypothèse, socle du "patriarcat du steak", a été adulée par de nombreuses féministes, et c'est même le résultat le plus référencé en français sur google quand on se demande d'où vient cette différence. Cette hypothèse complètement ridicule a eu un écho monstrueux. Est-ce représentatif du féminisme ? Peut-être pas, mais ces milieux militants ont toutefois accordé bien trop d'importance à ce qui relève d'une pseudo-science. Pour ce qui est du patriarcat chez les mammifères, c'est un terme d'anthropologue donc pas vraiment de sens, mais la plupart des mammifères et primates présentent une organisation sociale et des dimorphismes très similaires aux nôtres, malgré des différence de magnitude. Le bonobo ferait exception.
@@Scorpioide Ah tu parle de la privation des femmes en nourriture qui aurait causé leur taille plus petite. Et bien, c'est prouvé me semble t il ? Qu'est ce qu'il y a de ridicule ? C'est pas un complot, c'est un fait anthropologique, notamment issu du travail colossal de Françoise Héritier. Tu as des sources crédibles qui démontent les arguments énoncés sur cette théorie au lieu de pleurnicher parce que ça te dérange ? Au passage, les femmes rattrapent de plus en plus les hommes, au niveau de la taille et du poids moyen, car elles sont beaucoup moins soumises à des privations autoritaires (c'est plutôt l'aspect normatif qui joue à présent avec les régimes minceur, par exemple). En conclusion, le dimorphisme sexuel n'est pas toujours à l'avantage des mâles y compris chez les mammifères comme les baleines...
@@paultix5292 Intéressant. Comment expliques tu les différences de tailles chez les autres mammifères ? La baleine femelle empêche t-elle le mâle de se nourrir convenablement ?
Exact, qu'ils étudient la psychologie développementale : dès la naissance et même avant l'enfant apprend énormément. Ce mec dit que de la merde... Rien n'est inné là dedans.
Ce qu'ils apprennent, c'est le comportement de l'humain, c'est à classifier tous les objets de leur quotidien, c'est à se mouvoir, etc... Je ne vois pas comment leur perception mécanique de l'espace pourrait être affectée par leur éducation : cette capacité de représentation est un prérequis du cerveau pour analyser le monde, et je ne vois pas à quoi les garçons et les filles seraient exposés de différent qui justifierait un développement différent de cette capacité, si tant est qu'elle se développe de façon perceptible.
@@dreamstorm194 Et pourtant. Si c'est le cas, il faut le démontrer pour pouvoir l'utiliser. en 5 mois, un nourrisson est confronté à énormément de choses. Il n'est pas possible de démontrer que les différences entre garçons et filles ne sont pas liées à une différence de socialisation des la naissance.
@@lawlietryuzaki4694 il a surtout l'air d'avoir une certaine habileté pour tourner autour du pot, un peut le genre d'habileté qui a put être nécessaire à une époque, pour dire que la terre est ronde mais sans trop l'affirmer quand même, histoire de ne pas se faire couper la tête.
On sait que la Terre est ronde depuis le temps de la Grèce antique. Tu voulais sans doute parler du fait qu'elle tournait autour du Soleil... C'est ça qui a fait débat.
@@lawlietryuzaki4694 en effet, autant pour moi. Ceci dit, j'avais écris sans voir la présentation en entier (deuxième erreur...). Et en effet, la conclusion est deconnante je crois. Le mec à tout devant les yeux, mais il refuse d'y croire. C'est Galilée qui d'interdirai de lui même de tirer les conclusions qui s'imposent de ces observations. A noter que ce n'est pas lui non plus qui à fait les observations. Finalement qu'à fait ce personnage, à part tenter de nier la conclusion, tout en admettant les faits?
TedX a effectivemment autorisé des visions différentes , ils laissent tout le monde s'exprimer mais.. une telle absurdité est effrayante, se baser sur les sacro saintes études pour justifier des inégalités sociales , c'est effrayant..
Il ne parle pas de l attirance sexuelle qui doit influer sur le cerveau d une maniere ou d une autre et j ai jamais entendu d hypothese en ce sens. Et il parle entre deux sexe qui en eux meme il y a difference entre individu et leur attirance sexuel par exemple les homosexuelles et les heterosexuelles leur difference cognitive et la difference entre elle et les sexes opposé car un homme qui est attiré par un homme est il cognitivement plus comme la femme oubien l homme et vis vers ca???
Il me semble que le bouquin "quand le cerveau devient masculin" de Jacques Balthazar pourrait pas mal t'intéresser, il y traite notamment de l'homosexualité et du développement du cerveau via les hormones
Oui, mais... Et si on déconstruit un peu le concept du test de QI? Pouvons-nous vraiment déclarer qu'un tel test est à la fois acceptable pour une femme comme pour un homme? Une partie complète est basée sur la représentation dans l'espace, par exemple. Et si l'on va un peu plus loin, et que l'on se base sur l'influence de l'environnement, et donc de l'éducation des enfants en fonction de leur sexe biologique, cela peut être rendre l'étude du QI encore plus douteuse. En effet, si depuis le plus jeune age (à travers les cadeaux offerts souvent genrés, ou encore les différentes activités proposées au petits garçons et petites filles) on oriente indirectement les garçons à être plus à l'aise avec les représentations dans l'espace, le résultat du test ne sera pas une représentation objective de la réalité mais une projection de l'influence de la socialisation sur les humains. Par cela, il est difficile de dire qu'on peut prouver une différence de cerveau ou d'intelligence entre hommes et femmes. On ne pourrait le faire que si des individus avaient été socialisés indépendamment de leur sexe, ce qui à l'heure actuelle est quasiment impossible à démontrer. Car même en étudiant des jumeaux vivant dans le meme contexte, le poids des stereotypes amènera sans doute une différence entre les deux, que cela soit au niveau de l'habillement, des cadeaux, activités, ou autres. Et encore, même si faisable à un jeune âge, dès que la socialisation externe, avec les pairs, entre en action, en se comparant aux autres et étant influencés par eux, tout change forcément. En résumé, il parait bien compliqué de prouver, en isolant TOUS les paramètres externes, que le cerveau de l'homme est forcément différent de celui de la femme dans son fonctionnement quotidien.
@@FraiseOsucre1 Non les hommes ont en moyenne un QI supérieur, dans tous les pays, quand le test passé est le même pour les deux sexes. Le QI ne mesure pas l'érudition ou les connaissances, seulement la puissance potentielle du cerveau.
C'est ce qu'on appelle la "menace du stereotype". En vérité c'est un sujet controversé et certains chercheurs ne sont pas d'accord que les sterotypes ont une influence sur la cognition et les comportements.Tu peux déjà commencer par une lecture de la fiche wikipdia, en tout cas ta seconde remarque est pertinente. Frank a parlé d'une étude très connue, mais ce n'est pas la seule, celle ci a été critiquée (comme toutes les études dans le monde des sciences) et certaines études ne tombent pas du tout sur le même effet du stéréotype. Après j'imagine qu'en 10 min de parole, il a juste vulgarisé vite fait, surtout que c'était pas le centre du sujet.
@@Creativeetea Par contre, au delà de l'effet de stereotype (= annonce dans l'énoncé que les hommes et femmes ont des résultats identiques), il manque tout de même cruellement la dedans l'effet de la socialisation à un genre dès le plus jeune âge. Par exemple au niveau des activités proposées qui sont très largement genrées, ou encore les cadeaux offerts. Les garçons reçoivent plus de choses "techniques" et "manuelles" et les filles plus de choses liées à l'intellect. Il semble donc vraiment difficile de pouvoir affirmer que le cerveau de l'homme fonctionne différemment de celui de la femme au quotidien en isolant TOUS les paramètres. L'étude qui montre les différence (en moyenne) entre le cerveau des femmes (axé sur la communication) et celui des hommes (meilleur dans l'espace) omet complètement le principe que le cerveau évolue depuis la naissance. SI depuis le plus jeune âge on accentue les activités liées à l'une ou l'autres de capacités alors forcément la partie du cerveau y étant relatif sera plus développées (par exemple: un pianiste aura une coordination des mains plus développées qu'un individu lambda). Cette étude ne démontre qu'une seule chose, que les individus développe des facilités dans les activités vers lesquelles ils sont poussés.
@@didierdubrit8666 Prouver un lien causal en isolant la totalité des variables n'est absolument pas possible, en tous cas pas dans les limites éthiques de l'expérimentation humaine. Ce qui fait dire à F.Ramus qu'il existe des prédispositions biologiques différentes entre hommes et femmes, c'est qu'un ensemble de données (de pleins de champs disciplinaires différents) convergent dans ce sens là : ces différences sont avérés chez les autres primates; dès la naissance les filles montrent des aptitudes empathiques rudimentaires plus développées ; très tôt, des aptitudes verbales plus développées; les garçons présentent des aptitudes visuo-spatiales plus développées (même si c'est encore sujet à débat) et des intérêts pour les "objets" plutôt que les "gens". Les scientifiques n'excluent évidemment pas que tout ça puisse être modulé par l'éducation et l'environnement après la naissance, mais, par exemple, ils ne voient pas comment, si tôt chez l'enfant, l'éducation différenciée pourrait créer des écarts aussi visibles dans les tâches de rotations mentales ou d'empathie (on parle parfois de nouveaux nés hein...). Donc non seulement ces différences apparaissent très très tôt pour certaines, mais en plus le taux d'exposition aux androgènes (post et prénatales) semble bien moduler ces différences : non seulement c'est ce que montrent les études qui évaluent le taux d'androgène à partir du liquide amniotique, mais en plus les filles qui font de l'hyperplasie (exposées à des taux élevés d'androgènes in utero) présentent une personnalité et des intérêts typiquement "masculins" et des compétences en rotation mentale comparables à celles des garçons. Pourtant, ces filles présentent une identité de genre féminine, passent du temps essentiellement avec d'autres filles, et sont éduquées comme des petites filles. Ajoutons à ça que les différences de personnalité entre hommes et femmes s'accentuent dans les pays les plus égalitaires, et que les différences d'intérêts sont décorrélées du niveau d'égalitarisme. Dans l'état actuel de la science, il paraît peu probable qu'on puisse trouver davantage de preuves que ça, mais ces preuves, si elles ne constituent pas des certitudes absolues, sont quand même nombreuses, probantes et cohérentes entre elles. En fait, fonctionner par "faisceau d'indices convergents" est très classique dans le cadre d'une théorie scientifique. La plupart des spécialistes de la question (neuroscience, neuroendocrinologie) sont d'accord là-dessus. Pour ceux qui ne seraient pas convaincus, dites vous ceci : il y a aujourd'hui un consensus pour dire que l'homosexualité est intimement relié à la génétique et aux hormones, et les preuves sont exactement du même ordre que celles que j'ai citées. D'ailleurs, le lien causal entre éducation et développement est également impossible à prouver réellement... et pourtant, il y a fort à parier qu'il existe. Car rassurons nous, la majorité des neuroscientifiques et des psychologues savent très bien que l'éducation a un rôle important dans le développement de ces différences, simplement, ils disent aussi qu'il existe des prédispositions biologiques différentes, et que ces variables interagissent entre elles (modèle biopsychosocial, ou encore génotype-environnement).
Les différences existent bel et bien entre les cerveaux des hommes et des femmes mais : à la naissance, on ne peut pas reconnaître le cerveau d’une fille de celui d’un garçon. Ensuite, il existe autant de différences entre 2 cerveaux de femmes qu’entre un cerveau de femme et celui d’un homme. Les connexions se font selon les expériences vécues. Rien d’inné. Donc cessons d’éduquer les enfants différemment selon leur sexe et on vivra mieux.
Ce que vous dites est faux. A la naissance, il est possible de distinguer le cerveau masculin de féminin.
et une récente étude démontre que le sexe à un impacte sur la différence de cerveau. Dans cette conférence, le présentateur dit que pour être sûr de l'impacte il faut faire varier la part de testostérone chez la femme et observer les résultat. Il dit aussi que ça n'est pas éthique de le faire sur des sujets humains. Mais l'étude porte sur certains enfants. Ces enfants sont nés suite à une modification des gonades (la modification n'a bien évidemment pas été induite pour l'expérience) ce qui a augmenté la charge de testostérone. Ainsi on a pu observer les effets d’une variation d’hormone chez les enfants. Les filles qui ont subi ce changement adoptent des comportements masculins. Ces filles jouent avec des jouets de garçons.
@@didierdubrit8666 Bonjour, j'ai vu que vous avez posté de nombreux commentaires sous cette vidéo, traitant tous de la même chose. Vous préciser qu'il est difficile de prendre TOUT les éléments en compte, et je suis d'accord avec vous. Mais vous disiez aussi que c'est parce que les enfant sont conditionnés : " Les garçons reçoivent plus de choses "techniques" et "manuelles" et les filles plus de choses liées à l'intellect." Maintenant que vous avez de véritables sources montrant que le conditionnement initial n'est pas due à l'environnement mais bien aux gènes, que pensez-vous ? Avez-vous changé d'avis ? si non, pourquoi ?
@@emericheymans8659 bonjour, je n'ai vu aucune source qui pouvais une partie innée pour le comportement des garçons qui iraient davantage vers les objets techniques. Au contraire, toutes les études que j'ai pu voir et en particulier celle de Baron-Cohen souffres au mieux de biais évident et au pire ne démontré rien du tout. Je ne connais pas l'étude que vous mentionnez donc je ne peux pas me positionner dessus.
J'aime beaucoup la contradiction des propos : d'un côté, en préambule, les différences observées ne sont pas marginales et finalement les données montrent qu'elles le sont... Autre contradiction : l'influence des stéréotypes tantôt minorée, tantôt réhabilitée ou niée (préférences par exemple)... Bref, aucun intérêt.
Pour la rigueur des graphiques c'est moyen (disons que c'est peut être voulu, pour simplifier) : le coup de la zone grise pour la part d'influence des stéréotype dans les capacités, on ne sait pas d'où ça sort... sur les courbes d'agressivité, on nous présente deux belles courbes en cloche de distribution dite "normale" avec un décalage plus vers l'agressivité pour les hommes. Mais la pente des courbes est visuellement identique. Pourtant il est dit que du coté non agressif on à un homme pour une femme, et du côté agressif on à 8 hommes pour une femme. Où est passé la déformation vers la droite de la courbe masculine?
C'est parce qu'il faut raisonner en terme de surface de courbe après la valeur choisie (il parle de la proportion d'hommes et de femmes qui dépasse un certain score). Quand on est a 50, on va dire qu'il y a 96% des femmes au dessus et 99% d'hommes au dessus (soit 4% des femmes en dessous et 1% d'hommes en dessous) donc a peu près à 1 femme pour 1 homme. Quand tu es a 200, il y a 1% des femmes au dessus et 4% des hommes au dessus (donc on est sur les même chiffres au niveau pourcentage qu'a 50, en inversé si je puis dire) sauf que là, ca fait 4 hommes pour 1 femme.
Vous vous imaginez être tous les jours intelligent comme Einstein chaque seconde chaque minute chaque heure de votre 🍷 ...ou bien tout le temps être fort...ça n'existe pas .... personne ne voudrait être chaque minut de sa vie être intelligent en tout... sérieux..
Avec un rapport poids/cerveau à l'avantage de l'homme, un nombre supérieur de neuronnes (10% ) dans le cerveau mâle, on détient des données chiffrées brutes qui permettent de conclure à la supériorité du cerveau masculin. La conclusion sur l'égalité des QI à laquelle arrive Franck Ramus me semble un inflexion de sa pensée dans le sens de la bien pensance. Comme l'idée que soumise à une pression de résultat les filles perdraient leurs moyens au point de ne pas pouvoir résoudre un pb de maths. Si cette observation n'est pas une vulgaire foutaise, elle nécessiterait des développements sur les faiblesses psychologiques qu'elle implique.
Le mec est sûrement obligé d'utiliser des artifices pour ne pas se faire lyncher. Tu peut dire en société que les femmes sont des comméres, si tu le tourne dans le sens "elles on plus de capacités relationnelles".... Avec ce genre d'astuce le mec arrive à garder un budget de recherche, et même à faire un TedX.. 😉 C'est une supposition, mais ça serais malin de sa part.
Pourquoi cette vidéo me met mal à l'aise ? parce qu'en insistant sur la différence de volume du cerveau de l'homme et de la femme, le conférencier induit, peut-être malgré lui, que la référence ultime est celui de l'homme. Le cerveau d'Einstein pesait 1230 g contre 1350 g en moyenne chez un homme. Ce qui montre clairement qu'un cerveau volumineux n'est pas la condition nécessaire à une intelligence particulière. La grosseur du cerveau n'a rien à voir avec l'intelligence. Mais tout le monde l'aura compris sauf moi...!
Un cas particulier ne prévaut pas sur des statistiques recueillie a partir de beaucoup d'individus, les statistiques ne dégage d'ailleurs elles-mêmes que des "moyennes"; c'est en cela qu'elles ne devraient pas te mettre mal a l'aise; elles ne disent absolument rien sur une personne en particulier.
Est ce qu'on parle du nombre de connexions synaptiques ou de leur volume ? Si on prend deux cerveaux de taille différente à nombre de neurones équivalent, les neurones seront plus rapprochés dans un cerveau plus petit, et donc les connexions plus courtes. Ce qui fait qu'il peut y avoir autant de connexions (en nombre) dans un petit cerveau que dans un gros cerveau, même si leur volume diffère. Donc la réponse a la question de WecsWorld est oui.
Il dit : "à 3 ou 5 mois très peu probable que les bébés aient été influencés" mais qu'en sait il? A t il étudié au préalable l'impact de l'environnement que les parents pouvaient infliger à leurs enfants? Non. Encore une inexactitude qui peut fausser les résultats. Et puis même s'il s'avère que les nourrissons mâles sont plus vifs que les nourrissons femelles, (même si vu les conditions de l'expérience, rajouté au trop faible nombre de bébés testés pour effectuer une généralité) cela n'induit pas qu'elles se prolongent à l'âge adulte. Tout est inexact!
Le raisonnement n'est pas très convainquant, décrire des tendances différentes entre hommes et femmes, c'est un constat de fait : ça ne veut pas dire que la différence est innée. C'est dangereux, et sûrement très faux, de dire que "spontanément les hommes et les femmes sont attirés par des objets et des activités différentes". Voyez cet article, qui montre qu'il n'y a pas besoin de maîtriser les sciences cognitives pour voir qu'il y a un problème dans cette façon de penser : uneboueedansloceandevosprejuges.wordpress.com/2016/12/04/la-science-contre-le-feminisme-lessentialisme-en-question/
Malheureusement, dans votre article, l'auteur semble ne pas avoir très bien compris les méthodes employées, ni l'interprétation des résultats, pour finalement partir sur un raisonnement philosophique qui n'a pas franchement sa place ici car cette conférence ne parle que d'expérimentations et de faits. Mr Ramus ici est bel et bien conscient qu'il existe une bonne partie des différences liées à l'éducation et il explique comment ils ont fait pour contourner ces biais. "C'est dangereux, et sûrement très faux, de dire que "spontanément les hommes et les femmes sont attirés par des objets et des activités différentes"" Pas si les expériences le démontrent, ce n'est pas quelque chose dit au hasard. "Voyez cet article, qui montre qu'il n'y a pas besoin de maîtriser les sciences cognitives pour voir qu'il y a un problème dans cette façon de penser" Ce n'est pas une "façon de penser", c'est juste un constat de faits découverts en suivant la méthode scientifique qui est pour l'instant la méthode plus exacte auquel on puisse avoir recourt. Et forcément, pour pouvoir faire ces expériences et les expliquer, il faut maîtriser les sciences cognitives. Sinon, il s'agit d'une autre discussion, dans un autre domaine qui n'a absolument rien à voir.
Disons que c'est une question de point de vue... Mais je ne crois pas que ce soit un constat si indiscutable, parce que Catherine Vidal tient un discours totalement contraire !
Le TEDx de Catherine Vidal a été tenu 3 ans plus tôt, certaines choses on pu être découvertes ou précisées entre temps. Par exemple pour les tests entre femmes et hommes sur la visualisation des objets dans l'espace, le test n'avais peut-être pas été effectué sur des nourrissons comme l'a fait Franck Ramus, ou les résultats n'étaient peut être pas publiés. Je doute fortement que les données aient été truqués volontairement pour tenter de prouver quoi que ce soit, surtout quand on prends en compte sa conclusion. "je ne crois pas que ce soit un constat si indiscutable" Rien n'est indiscutable, c'est d'ailleurs le fondement de la science. Peut-être que dans quelques années, des résultats d'autres expériences nous prouverons le contraire, qui sait ?
Il faut ajouter aussi que Vidal utilise des arguments dont on sait maintenant qu'ils ne sont pas fondés et incompatibles avec l'état actuel des connaissances. Gauvrit l'explique bien dans cet article : www.scilogs.fr/raisonetpsychologie/le-sexe-du-cerveau/ Cordialement :)
Enfin c'est difficile de se faire un avis quand on est pas spécialiste, faut faire confiance aux vulgarisateurs... ^^' puis ça ne justifie pas trop les généralisations du type "tous les hommes sont comme ça..."
c'est dommage, il base tout son discours sur des exprériences scientifiques pour une conclusion moralisateur, je suis d'accord avec ce qu'il dit mais ça reste dommage de voir que tout son cheminement basé sur la science s'arrête sur un discours aussi simpliste, j'aurais aimé qu'il nous démontre scientifiquement que les femmes ont autant leurs places de que les hommes, cette fin est un virage à 180° dommage
On ne peut pas le démontrer justement parce qu’il s'agit d'un jugement moral; pas plus qu'on ne peut démontrer que l'homme a plus ça place que la femme.
Cette vidéo fut très bleu et rose. Je comprend pas l'utilité de ce qu'il vient de faire. Tant mieux si ça lui plaît mais 0.2 % de différence et savoir qui est ce qui regarde ça c'est pas très utile. La liberté d'être soi ( l'egalite des chances et la liberté de genre..) est tellement plus intéressante que mettre des différences entre mémoire spatiale et manipulation spatiale. Enfin bref, moi j'ai le sexe dit féminin et j'y correspond peu et ça me pete les couilles qu'on est obsédé par savoir quel sexe ont les gens. C'est débile et dire que c'est parce qu'on a besoin de savoir avec qui on peut se reproduire n'est pas une bonne excuse. On est plus 10 000 on est 7 milliards donc la personne qui est trans ou sans sexe définit ne lui demande pas. C'est intime. Bref je dis de la merde. C'est con désolée mais c'est débile de vouloir savoir.
Non c'est naturel. Tout les animaux présentent un dimorphisme sexuel, qui permet notamment de se reconnaître entre partenaires potentiels, et qui correspond aussi à des différences de comportement innés. L'être humain étant un mammifère, il reste soumis à des vérités naturelles profondes. La culture, plus que nier ces vérités, est plus harmonieuse quand elle les sublimes. La séduction joue sur ça, tout comme la gastronomie joue sur l'attirance animale pour la cuisine aux goûts équilibré, signe de bonnes valeurs nutritives.
Il y a un exemple d'utilité à 11:45 : chez les auteurs d'homicides il y a à peu près 10 hommes pour une femme. Ces petites différences peuvent donner de grands écarts si on ne regarde que les cas extrêmes, et c'est très utile pour construire un a priori si on doit identifier un suspect. Un autre domaine où ça peut être utile, c'est simplement pour les diagnostics en psychiatrie : encore une fois seuls les cas extrêmes sont concernés donc pour les mêmes symptômes le diagnostic peut être différent selon si le patient est un homme ou une femme.
Si le cerveau est bel et bien sexué avec des différences cognitives, et bien les fameuses "théories du genre" et les sempiternels "le sexe biologique n'a rien à avoir avec le genre" s'effondrent. Toute la transidentité est en fait construite de toute pièce sur du néant, autrement dit : sur différentes psycho-pathologie. Mais comme toutes choses à la mode, ils se rendront bien compte de leur erreur.
Frank Ramus a montré que certaines femmes sont bien plus masculines que la moyenne et que des hommes peuvent être plus féminins que leur confrère. De plus, certains écarts entre les femmes et les hommes sont renforcés par la société bien au-delà de ce qui s'explique par la biologie. Enfin, la génétique se modifie plus ou moins.
Ensuite l'expérience sur les objets 3D: j'ai jamais rien entendu d'aussi ridicule. Je redis ce que j'ai déjà dit: les échantillons sont trop petits pour considérer qu'une majorité de garçon pourrait apercevoir tel ou tel changement. Ensuite le temps passé en plus par les garçons n'est même pas dit. De plus qui vous dit que les filles n'ont pas pris moins de temps à se rendre compte de la différence? Où que les petits garçons ont été entraînés à se rendre compte des différences (puisque les parents ayant "donné" leurs enfants à l'expérience savaient après tout que leurs enfants allaient être testés)... Bref trop d'inexactitudes qui conduisent à croire que ces pseudo chercheurs essaient d'orienter notre avis sur un échantillonage inexact.
Mais... Tu poses des questions méthodologiques en disant "je ne sais pas s'ils ont tenus compte de tel ou tel biais", c'est très bien il faut être rigoureux comme ça (je suppose que tu fais le même travail de critique sur les études qui t'arrangent genre celles de Catherine Vidal?), mais va regarder les études dont il parle plutôt que de décréter que tu n'y crois pas parce qu'il n'a pas parlé de tout. Effectivement une conf ted talk c'est 10--20 minutes il ne peut pas prendre le temps d'ajouter une critique sur la fiabilité des tests statistiques ou faire une méta analyse de tout ce qui a été découvert. Si son échantillonnage est faible, il existe sans doute d'autres études plus rigoureuses, peut-être existe t-il une review de toutes les données sur le sujet? La critique est la base de la méthode scientifique, mais la critique sans fondement est contre productive. Ce que tu fais là me semble plus du genre à essayer de lui apprendre son boulot. Crois-tu qu'il n'est pas au courant des biais de son étude? Connais-tu le principe de peer-reviewing? Et encore une fois, fais tu le même travail critique sur des études qui vont dans ton sens? J'en doute.
Comme par hasard les compétences dans lesquelles les garçons seraient en moyenne plus forts que les filles sont les plus valorisées : très pervers tout ça
Comme l'agressivité ? Ou alors, on lit les études à ce sujet, et on se rend compte que les caractéristiques dites "féminines" sont plus valorisés par la société que les caractéristiques "masculines" ?
OULA LA Alors. Il y a un endroit où je ne suis absolument pas d'accord, et qui révèle d'un manque de jugeote de la part des chercheurs sur le sujet. Lorsque vous dites que dans vos laboratoires, des enfants dès la naissance: les filles préfèrent regarder le visage féminin, et les garçons l'autre image avec le mobile. D'une, que je sache, vous n'avez pas pris les enfants directement sortis du ventre de leur mère. Donc le conditionnement a pu déjà s'effectuer entre temps. Par exemple, l'un des deux parents qui simulera son petit garçon en essayant de le faire rire en jouant tout seul à la bagarre, et pour une petite fille, un langage adapté plus doux, car on a une vision du nourrisson féminin plus fragile. Donc cet argument de la "naissance" est aussi aberrant que dangereux. Ensuite, votre expérience n'est même pas retransmise, de même que les conditions dans lesquelles elles ont été effectuées. On ne sait pas, comme je viens de le dire, comment ont été habitués les nourrissons à réagir à leur environnement, à quelles images/ton de voix/ambiance ils ont été habitués, etc... Ce qui pourrait les prédisposer à se tourner vers telle ou telle image. De plus, rien n'est précisé sur la durée de l'expérience. A-t-on laissé plus de temps à certains bébés qu'à d'autres? Quelles étaient leurs positions face aux images, et comment ont agi les chercheurs visualisant l'expérience? Bref, rien ne nous est précisé, c'est de la pseudo expérience scientifique de pacotille. C'est absolument inexact, et de grands facteurs de modifications peuvent intervenir. Ensuite, peut-on considérer à quelques secondes ou nanosecondes prés qu'un enfant ait fixé le regard plus ou moins longtemps sur une image plutôt que sur une autre? J'ajouterai que scientifiquement, cette étude peut être contredite par le biais des mathématiques. Les échantillons de petits garçons et de petites filles prélevés signifient ils quelque chose, lorsque le nombre est trop petit? Imaginons que l'expérience ait été faite sur 50 petits garçons et 50 petites filles (précisons d'ailleurs qu'il ne nous précise pas le nombre), qui nous dit que par exemple les 43 petits garçons ayant regardé plus longtemps l'image avec le mobile ne soient pas les seuls à le faire si on avait étendu l'intervalle du nombre de petits garçons à 200 et que si au contraire, on avait rajouté 150 autres bébés filles à l'expérience (pour atteindre 200), et que les 3/4 de cet ajout ait regardé plus longtemps l'image du mobile.. Bref tout se joue sur l'échantillon de nourrissons filles ou garçons prélevés. Les probabilités sont et resteront inexactes concernant un trop petit nombre d'individus. Cependant, je tiens à dire que je ne nie pas les différences cognitives établies par certaines études, qui montrent des différences dans certaines zones du cerveau. C'est evident: nous avons des corps/morphologies différentes, cela induit donc des zones cérébrales différentes. Mais celles ci sont tellement minces que je ne pense pas qu'elles puissent induire les comportements adoptés dans notre sociétés. Surtout que si l'on est bien attentif à l'évolution du comportement de l'homme et de la femme au cours de l'histoire, on peut constater que les attentes des rôles varient constamment, et n'imposent à chaque fois qu'une différenciation entre l'homme rt la femme. L'exemple le plus concret est la manière pour les hommesà l'époque de Louis XIV d'affirmer leur virilité: maquillage à outrance, longs manteaux luxueux, paroles distinguées et rires mielleux.. ça ne vous rappelle pas les standards actuels attendus chez les femmes dans certaines classes sociales actuellement? J'ai cependant conscience que mes arguments sont vagues, mais essayez de vous projeter dans votre entourage et de regarder si au fond, les différences comportementales sont elles si différentes une fois qu'on enleve celles des attendus ACTUELS des rôles masculins et féminins dans la société.
Pour en ajouter, même si on est de même sexe, éduquer dans les mêmes conditions, on ne sera jamais identique. Il a été démontré par Damasio que l'emplacement des régions cérébrales chez les humains était variable.
Ensuite l'expérience sur les objets 3D: j'ai jamais rien entendu d'aussi ridicule. Je redis ce que j'ai déjà dit: les échantillons sont trop petits pour considérer qu'une majorité de garçon pourrait apercevoir tel ou tel changement. Ensuite le temps passé en plus par les garçons n'est même pas dit. De plus qui vous dit que les filles n'ont pas pris moins de temps à se rendre compte de la différence? Où que les petits garçons ont été entraînés à se rendre compte des différences (puisque les parents ayant "donné" leurs enfants à l'expérience savaient après tout que leurs enfants allaient être testés)... Bref trop d'inexactitudes qui conduisent à croire que ces pseudo chercheurs essaient d'orienter notre avis sur un échantillonage inexact.
Renseigne toi sur ce qu’on appelle la rotation mentale, tu t’apercevras que des études très sérieuses ont démontrés que les hommes sont naturellement prédisposés pour cela Les femmes seront plus portées sur les taches de fluence verbale
Toutes les études scientifiques vont dans le même sens, le cerveau masculin est différent du cerveau féminin. D'ailleurs, comment imaginer que le cerveau soit le seul organe épargné par les différences entre hommes et femmes. Ceci dit, et études mises à part il suffit de ragrder autour de soit pour le constater. Savais tu par exemple qu'à un âge précis, tous les garçons se mettent à casser le bras pour lancer une balle même si personne ne leur apprend, ce qu'aucune fille ne fait si on ne lui enseigne pas. Les différence entre garçons sont non seulement une réalité dès la naissance, mais l'évolution des cerveaux masculins et féminins est programmée dans le temps. Je trouve amusant d'ailleurs que les même féministes qui prônent l'indifférenciation sexuelle sont les même qui prétendent que les filles sont plus douées verbalement, murissent plus vites, sont plus sages voir plus intelligentes. Mais la logique et les féministes ....
@@malain1715 Tu n’écoutes visiblement pas les féministes. Te penser objectif avec un tel niveau de biais de confirmation est assez drôle je dois dire. La bonne foi la logique et les masculinistes ...
"À casser le bras pour lancer une balle"? Je ne comprends pas ce que ça veut dire. Se casser le bras, c'est se fracturer des os. Tous les garçons font ça naturellement ? De plus, où est votre étude qui le prouve ?
Il dit : "à 3 ou 5 mois très peu probable que les bébés aient été influencés" mais qu'en sait il? A t il étudié au préalable l'impact de l'environnement que les parents pouvaient infliger à leurs enfants? Non. Encore une inexactitude qui peut fausser les résultats. Et puis même s'il s'avère que les nourrissons mâles sont plus vifs que les nourrissons femelles, (même si vu les conditions de l'expérience, rajouté au trop faible nombre de bébés testés pour effectuer une généralité) cela n'induit pas qu'elles se prolongent à l'âge adulte. Tout est inexact!
"même s'il" suivi de "Tout est inexact!" Donc....tu ne sais pas "si" [...] ca se prolonge, mais tu sais que c'est faux 🤣 serait-ce le génie lesbien dont tout le monde parle ?
OULA LA Alors. Il y a un endroit où je ne suis absolument pas d'accord, et qui révèle d'un manque de jugeote de la part des chercheurs sur le sujet. Lorsque vous dites que dans vos laboratoires, des enfants dès la naissance: les filles préfèrent regarder le visage féminin, et les garçons l'autre image avec le mobile. D'une, que je sache, vous n'avez pas pris les enfants directement sortis du ventre de leur mère. Donc le conditionnement a pu déjà s'effectuer entre temps. Par exemple, l'un des deux parents qui simulera son petit garçon en essayant de le faire rire en jouant tout seul à la bagarre, et pour une petite fille, un langage adapté plus doux, car on a une vision du nourrisson féminin plus fragile. Donc cet argument de la "naissance" est aussi aberrant que dangereux. Ensuite, votre expérience n'est même pas retransmise, de même que les conditions dans lesquelles elles ont été effectuées. On ne sait pas, comme je viens de le dire, comment ont été habitués les nourrissons à réagir à leur environnement, à quelles images/ton de voix/ambiance ils ont été habitués, etc... Ce qui pourrait les prédisposer à se tourner vers telle ou telle image. De plus, rien n'est précisé sur la durée de l'expérience. A-t-on laissé plus de temps à certains bébés qu'à d'autres? Quelles étaient leurs positions face aux images, et comment ont agi les chercheurs visualisant l'expérience? Bref, rien ne nous est précisé, c'est de la pseudo expérience scientifique de pacotille. C'est absolument inexact, et de grands facteurs de modifications peuvent intervenir. Ensuite, peut-on considérer à quelques secondes ou nanosecondes prés qu'un enfant ait fixé le regard plus ou moins longtemps sur une image plutôt que sur une autre? J'ajouterai que scientifiquement, cette étude peut être contredite par le biais des mathématiques. Les échantillons de petits garçons et de petites filles prélevés signifient ils quelque chose, lorsque le nombre est trop petit? Imaginons que l'expérience ait été faite sur 50 petits garçons et 50 petites filles (précisons d'ailleurs qu'il ne nous précise pas le nombre), qui nous dit que par exemple les 43 petits garçons ayant regardé plus longtemps l'image avec le mobile ne soient pas les seuls à le faire si on avait étendu l'intervalle du nombre de petits garçons à 200 et que si au contraire, on avait rajouté 150 autres bébés filles à l'expérience (pour atteindre 200), et que les 3/4 de cet ajout ait regardé plus longtemps l'image du mobile.. Bref tout se joue sur l'échantillon de nourrissons filles ou garçons prélevés. Les probabilités sont et resteront inexactes concernant un trop petit nombre d'individus. Cependant, je tiens à dire que je ne nie pas les différences cognitives établies par certaines études, qui montrent des différences dans certaines zones du cerveau. C'est evident: nous avons des corps/morphologies différentes, cela induit donc des zones cérébrales différentes. Mais celles ci sont tellement minces que je ne pense pas qu'elles puissent induire les comportements adoptés dans notre sociétés. Surtout que si l'on est bien attentif à l'évolution du comportement de l'homme et de la femme au cours de l'histoire, on peut constater que les attentes des rôles varient constamment, et n'imposent à chaque fois qu'une différenciation entre l'homme rt la femme. L'exemple le plus concret est la manière pour les hommesà l'époque de Louis XIV d'affirmer leur virilité: maquillage à outrance, longs manteaux luxueux, paroles distinguées et rires mielleux.. ça ne vous rappelle pas les standards actuels attendus chez les femmes dans certaines classes sociales actuellement? J'ai cependant conscience que mes arguments sont vagues, mais essayez de vous projeter dans votre entourage et de regarder si au fond, les différences comportementales sont elles si différentes une fois qu'on enleve celles des attendus ACTUELS des rôles masculins et féminins dans la société.
Pour répondre à tes interrogations, évidemment personne ne conditionne les petits bébé garçons à regarder les objets plutôt que les visages, faudrait être tordu. Et pour info, les différences de formation du cerveau apparaissent déjà sur l'imagerie des fétus. Mais pourquoi croire les biologistes quand on a la propagande féministe sous la main. Si je vous dis que croire que la terre est ronde est sexiste, allez vous devenir platiste?
Vagues d'idéologues en PLS dans les commentaires
Pour le Qi, il faut tout de même relativiser l’égalité entre hommes et femmes puisque les test sont conçus et normalisés pour arriver à un résulta de 100 en moyenne pour l’un comme pour l’autre sexe. A noter que cette normalisation n’a pas empêché que la répartition des QIs est très différente entre hommes et femmes, en effet la courbe masculine est beaucoup plus étalée, avec beaucoup moins d’hommes que de femmes dans la moyenne et beaucoup plus d’hommes aux extrêmes déficients comme génies d’ailleurs. Il n’est donc pas étonnant que les grands génies de toutes les époques aient eu l’impression que les femmes sont moins intelligentes étant donné leur rareté dans cette catégorie.
Je remarque aussi que si les gens sont choqués par le fait que plus d’hommes soient cadre, aucun ne note le désavantage des hommes dans le niveau d’étude incompatible avec une égalité intellectuelle ou une égalité sociale, à vous de choisir si les garçons sont moins intelligents pu moins bien traités par l’éducation nationale.
Pour ce qui est de la différence moyenne de volume du cerveau, 1230-1070 cm3 cela fait 15% d’écart et non 9%, je suppose que Franck Ramus a tenu compte de la différence de taille entre hommes et femmes, mais cela eut été mieux de le préciser.
Pour le test des stéréotypes, vous remarquerez que techniquement si vous annoncez qu’il n’y a pas de différence de compétences entre candidat, il y a moins d’écart de résultat, mais il subsiste une différence substantielle de score. Peut-être devons nous attribuer l’annonce d’égalité de score au stéréotype d’égalité entre hommes et femmes ?
Ensuite, nous avons le graphique de différences entre sexes. Ce qui est amusant, c’est que personne ne semble remarquer que les femmes sur ce graph montrent de meilleures compétences en maths et de moins bons en analogies verbales alors que les stéréotypes sont contraires à ces résultats. Ce qui montre que soit ces résultats sont erronés, soit l’effet du stéréotype n’est franchement pas démontré.
Dire aussi que pour certaines caractéristiques vous avez moins de chance de trouver une différence entre un homme et une femme qu’entre 2 hommes ou 2 femmes, et en conclure que ces différences ne sont pas significatives, c’est un peu comme dire qu’étant donné que les femmes ont moins de gènes en commun avec les hommes qu’avec les guenons alors la différence génétique entre humanité et chimpanzé n’est pas significative.
Regardons maintenant la conclusion du type, il ne faut pas discriminer les femmes, elles ne doivent pas gagner moins parce qu’elles sont des femmes, et donc mettons en avant l’égalité des droits. Evidemment dans l’idée tout le monde est d’accord sur l’égalité des droits, le problème étant que ce n’est pas ce qui est réclamé en pratique.
En effet les femmes ne sont pas discriminées par principe mais à causes de réalités bien concrètes. Par exemple, elles tombent enceintes et si Franck Ramus indique que la différence de taille entre hommes et femmes est indiscutable même si certaines femmes sont plus grandes que certains hommes, que dire du fait biologique que 100% des humains portant des enfants sont de sexe féminin. Ensuite d’autres facteurs comme le fait que les femmes travaillent moins d’heures, s’arrêtent quand elles ont des enfants, travaillent à temps partiel, ont moins d’expérience, sont mois agressive au travail, choisissent des carrières qui les intéressent mais ne sont pas forcément rémunératrices, etc … jouent sur la rémunération, au point que l’INSEE ne trouve que 5% d’écart salarial non expliqué. Et l’INSEE ne dit pas que ces 5% sont liés à une discrimination, juste que les critères qu’elle utilise ne suffisent pas à expliquer ces 5%.
Enfin, reste à expliquer ce qu’est un stéréotype, ce qui en est à l’origine et quels est son rôle. En fait la plupart des stéréotypes sont des raccourcis du cerveau qui permettent de faire des choix rapidement basés sur l’expérience. Si dans votre expérience la majorité des personnes violentes portent du bleu, alors votre esprit va associer le bleu à la violence, si la majorité des gens partagent votre expérience, alors le stéréotype du bleu comme synonyme de personne dangereuse va émerger. Ce stéréotype comprend le risque d’associer une personne innocente à une personne dangereuse, mais a le bénéfice dans la majorité des cas de vous faire éviter le danger.
De la même manière qu’un employeur qui utilise le stéréotype du diplômé pour discriminer à l’embauche peut commettre l’erreur de ne pas embaucher une personne compétente mais non diplômée ou d’embaucher une personne diplômé mais incompétente, l’employeur prend le risque d’embaucher un homme plutôt qu’une femme selon les stéréotypes qu’une femme risque de tomber enceinte, de faire moins d’heures, etc …. Ce qui est amusant, parce que c’est là qu’intervient le stéréotype de la femme oppressée, car si personne ne lui reproche de choisir la ligne la moins risquée dans le cas du diplôme, tout le monde l’accuse de discrimination dans le cas de la femme.
Je termine par l’idée que quoi en pensent nos amis « bien pensant », le principe même du stéréotype fait qu’il plus probable que les faits soient à l’origine d’un stéréotype plutôt qu’un stéréotype soit à l’origine des faits. Il est plus raisonnable de penser que le fait femmes petites - hommes grands soit à l’origine du stéréotype plutôt que de penser que le stéréotype soit l’origine de la différence de taille entre les sexes. Ne plaisantez pas avec cela, certaines féministes pensent que les hommes sont plus grands parcequ’ils ont délibérément privé les femmes de nourriture au cours des générations précédentes.
Certains stéréotypes peuvent bien sûr ne recouvrir aucune réalité ou être le résultat de la pression de certains groupes, mais ils sont facilement démystifiables, et j’encourage chacun à le faire.
Il faut aussi prendre du recul par rapport aux stéréotypes, puisqu’ils sont des raccourcis il faut les considérer comme tels, y recourir quand la décision doit être rapide et explorer plus loin quand on a le temps de regarder un problème sous différents angles, mais je n’apprends rien aux gens raisonnables.
Merci beaucoup de prendre votre temps à écrire tout cela! La faiblesse de cette vidéo a été bien démontrée.
@Check Check César
@@DCBfanboy Il ne suffit jamais de dire que les arguments sont faibles, il faut l'expliquer car personne ne peut être compétent dans tous les domaines, il est donc essentiel d'expliquer ce qui est inexact ou trompeur.
C'est un Ted pas un cours sur la neurobiologie des différences intersexuelles. Il a vulgarisé rapidement, mais s'il pouvait il aurait détaillé beaucoup plus j'imagine, voire répondu à tes remarques. Son propos restait "le cerveau a un sexe" et il l'a présenté et c'est déjà un grand pas pour certains qui se refuse à cette idée tellement biaisés par l'idéologie "égalitarisante".
Je suis d'accord avec une partie de ta critique sinon, mais en 20 min je sais pas s'il pouvait mieux faire :)
@@Creativeetea Je comprend ton raisonnement, mais il ne se contente pas de vulgariser, il donne un avis biaisé idéologiquement ce qui n'est pas scientifiquement éthique.
Vidéo instructive. Trop de négation de ces différences dans les commentaires.
La conclusion est à côté de la plaque.
"il y à des différences (indiscutables et prouvées), mais soyons tous traité pareil, et nous DEVONS obtenir tous les mêmes choses dans la vie"
C'est confondre au final égalité de droits et de chances, et égalité de résultat.
L'égalité de droit et des chances existe en occident depuis longtemps.
Pourtant, on vois bien qu'il faut en arriver à imposer des quotas si on veut arriver à l'égalité de résultats, car elle n'est pas naturelle. La cause? Des différences de nature intrinsèques tout simplement.
C'est comme dire que malgré les différences intrinsèques entre des joueurs comme Olivier Giroud et Lionel Messi, ils peuvent jouer de la même manière, au même poste, dans le même club, au même niveau et avoir le même salaire. C'est ridicule. Mais je pense qu'il fait une telle conclusion pour ne pas pousser le bouchon trop loin, il a déjà avancé beaucoup de faits "inacceptables" pour certains, et il n'est pas là pour faire de la politique. Comme il dit au début : "c'est inacceptable donc c'est faux", c'est comme ça que réfléchissent beaucoup de gens et c'est un réel problème en plus d'être énervant.
Quand la croyance surpasse le raisonnement. C'est malheureux.
François Garcia-Vero Je dirais même, quand la croyance empêche le raisonnement... Le pire c’est qu’ils sont persuadés de détenir la vérité. Comme si la nature allait s’aligner parfaitement à leurs idéaux subjectifs.
L'égalité des chances est un mythe à l'école comme ailleurs...
Oui c'est ça j'ai bien aimé la vidéo globalement mais c'est vrai que j'ai trouvé la conclusion très perturbante.
Franck Ramus, né en 1972, est un ingénieur français, chercheur en sciences cognitives et directeur de recherche au CNRS. Il dirige l'équipe « Développement cognitif et pathologie » au sein du laboratoire de sciences cognitives et psycholinguistique, rattaché à l'École normale supérieure de Paris.
C'est intéressant de remarquer le nombre de commentaires offusqués sous cette vidéo. Je trouve cela extrêmement révélateur de l'importance de l'autodétermination aux yeux de beaucoup de personnes. En effet, on parle ici de différences innées, génétiques et donc sur lesquels l'individu n'a aucun contrôle, mais en plus de cela, on parle du cerveau, c'est-à-dire de l'intelligence, de ce qui va déterminer nos choix de vie et donc notre libre arbitre.
En résumé, il semble que remettre en cause cette égalité de pouvoir du libre arbitre est insupportable à certains chez qui l'idée libéraliste du "vous pouvez devenir ce que vous voulez" ou du "vous avez votre destin en main" a apparemment fait des ravages.
En réalité, l'innée peut se modifier. L'epigénitique et les théoriciens de la plasticité cérébrale le montrent. La question reste toutefois le degré de plasticité.
@@yohann2217 Déjà pourquoi modifié l'inné ? Deuxièmement plasticité ou pas on peut pas modifier son taux d'hormones donc les réactions physiologiques associées ne peuvent pas se modifier non ?
@@Biutyj Il me semble que le taux d'hormone est également une réaction aux actions de la personne. Un père qui s'occupe de son enfant va voir son taux de testostérone baisser.
Ca démarre à fond dans l'idéologie "mainstream" la plus ennuyeuse et la plus convenue ! ....j'ai bossé dans l'administration , dans le privé, à la SNCF ET A LA POSTE (fonctionnaire! ) les grilles de rémunérations ne font pas le distingo homme-femme, les salaires sont les mêmes dans toute l'administration Educ Nat etc ! Dans le privé, les différences dans les postes de responsabilités proviennent du fait que les femmes sacrifient moins que les hommes (et elles ont raison) leur vie familiale. Si un homme n'a pas d'ambition, n'a pas le culot de demander une augmentation à son patron, sa femme le lui reprochera ! C'est un fait que c'est la femme (par définition) qui porte l'enfant pendant 9 mois, et ensuite si elle ne veut pas fourguer son bébé à une nounou qui le traitera sans affection, elle doit rester un an sans travailler, alors le boss choisira un mec de peur que la "chef des ventes", enceinte, le laisse choir. Pas de sexisme là dedans, un vieux pote à moi, etait cadre chez Johnson France, il était en passe d'obtenir une super promo, manque de chance il s'explose aux sports d'hiver en ski, résultat adieu la promo et après 6 mois de rééducation il a été gentiment licencié...c'est ça le privé ils veulent des gens productifs, pas des absents ,que ça soient hommes ou femmes ! Nos vaillantes féministes bobo veulent qu'on RETOURNE AU 19° SIECLE où les bourgeoises n'allaitaient jamais, et faisaient faire tout le "sale boulot" (couches, toilettes, ménage etc) à de pauvres bonnes venues des campagnes, aujourd'hui remplacées par des femmes immigrées! Je le vois à Paris où je suis né, les enfants de bobos avec leurs nounous de couleur dans les parcs ! Les féministes sont les pires ennemies des femmes, qui subiront la double peine= se battre pour grimper les échelons professionnels + s'occuper de leur famille...avec un peu de chance, leurs mecs daigneront faire un peu de ménage pour les aider ...vu qu'eux aussi, pour ne pas avoir l'air de gros fainéants aux crochets de leurs épouses, devront se défoncer au boulot. Resultat des courses le couple devra embaucher une aide à domicile pour les courses, la bouffe, le ménage, chercher les enfants à l'école etc dont le salaire engloutira (avec les charges sociales) le bénéfice ..Tout cela n'a pas de sens !
J'aimerais bien effectivement quelle discrimination il peut y avoir chez les fonctionnaires quand la progression salariale suit des grilles totalement neutres et rigides. Pourtant les hommes y ont des revenus supérieurs.
Tout cela au final est très bon pour ma consommation, donc pour la croissance...
On peut observer en plus que les femmes occupent souvent des postes sans réelle valeur ajoutée, des choses qui ne manquerai pas vraiment si elles n'existaient pas.
Très nombreuses dans l'administration, les services administratifs internes aux entreprises, alors que le ratio de postes "non productifs/productifs" à augmenté énormément depuis les années 50, sans mener à une gestion plus efficace.
Forcément ça permet de créer des poste au total, et donc de donner des salaires aux femmes, consommatrices compulsives et volages parfaites, avec de nouveaux postes de dépenses : mode, déco, maquillage, une voiture de plus dans le ménage, aides ménagères à la maison et nounous, etc...
@@guillaumelefrancois5255 Ce qui est amusant, c'est que pour limiter la discrimination de grosses entreprises et des administrations ont testé des solutions.
Ils ont testé d'invisibiliser le genre sur les candidatures, avec pour résultat plus d'embauche d'hommes qu'avant, ce qui montre que le système actuel discrimine en fait les hommes.
Ils on testé l'embauche par un intelligence artificielle, mais au bout d'un moment d'apprentissage, celle-ci a commencé à favoriser les candidatures masculines qu'elle a repéré comme plus rentables, du coup à la poubelle l'ordi.
Plus drôle encore, des audits ont été menés pour éliminer le wage gap à la BBC et che google aussi. Résultat : ils ont dû augmenter les hommes moins bien payés à poste égal que leurs collègues féminines.
Comme quoi logique et idéologie ne font pas bon ménage.
@@malain1715 bonjour, est ce que vouq auriez les sources s'il vous plait.
C'est bien des temoignages de mecs et d'arriere. Ca me donne envie de gerber🤮Et le paradoxe de tout cela c'est que l'on a bien besoin de femmes dans certains metiers. Estheticienne, gynecologue, sage femmes et j'en passe.... bref le masochisme dans tte sa splendeur et sa stupidite. Je plains vos meufs mecs!
La différence de salaire se justifie peut-être par le taux d'absentéisme plus élevé chez les femmes (réel ou fantasmé) ?
Et/ou la gestion de la maternité plus compliquée à gérer pour l'employeur ?
Ou le caractère moins volontaire et plus passif attribué aux femmes (à tort ou à raison) ?
Taux d’absentéisme chez les femmes : Dû aux « rôle maternel » attribué aux normes sociales féminines dans la structure sociale. La gestion de la maternité ne serait pas plus compliquée à gérer pour l’employeur si les hommes avaient également un congé paternel pour aider les nouvelles mamans pendant leur rétablissement. Le caractère « passif » des femmes est entretenu par des stéréotypes féminins qui remontent aux temps où les femmes devaient encaisser les dires et comportements de leur maris sous prétexte qu’elles n’avaient légalement pas de « droits » et que l’homme était la figure d’autorité tant pour la femme que pour l’enfant au sein du foyer et de l’espace public. La femme devait être « passive » devant son mari, être en accord avec lui, l’écouter sans parler (principes que l’on peut retrouvé dans Le Guide de la parfaite femme au foyer enseigné aux femmes de cet époque), subir passivement les sévices sexuelles dont elles étaient victimes par légalisation de ceux-ci, et j’en passe. Je suis sociologue et ce que tu nommes sont tous des construits sociaux nés d’une société aux origines patriarcales dans sa temporalité historique. Les femmes sont bel et bien moins rémunérées que les hommes pour ces raisons (et d’autres, d’ailleurs), mais cela relève toujours d’un phénomène social qui peut être transformé et d’une structure qui valorise le sexe masculin.
Pour en ajouter, même si on est de même sexe, éduquer dans les mêmes conditions, on ne sera jamais identique. Il a été démontré par Damasio que l'emplacement des régions cérébrales chez les humains était variable.
Me semble très peu solide l'argument qui consiste à faire croire que la différence de salaire entre hommes et femmes ne serait basée que sur le sexe.
1. Quand on sait que dès que les parents ont conscience du sexe de l'enfant avant même sa naissance, il traite l'enfant en construction différemment. L'argumentation de "les enfants sont jeunes donc ce n'est pas une construction sociale" a un peu du plomb dans l'aile... On parle d'enfants de quelques mois, à cet âge, les réactions des parents face aux pleurs sont déjà différentes! Bien sûr que cela construit socialement l'enfant et bien sûr qu'il est déjà influencée... J'adore "il est assez peu plausible que les parents influence déjà "... Mais bien sûr...
2. Sympathique le chercheur qui a fait de la sélection sur les expériences qu'ils montrent... A l'heure actuelle, la science n'a pas vraiment tranché sur les différences innée des 2 sexes... enfin plus exactement pas dans le sens qu'il indique...
Remet-toi la conférence, il dit lui-même que la testostérone influence sur la composition du cerveau.
Vous avez raison: je ne doute pas que les femmes ayant recours à la "PMA pour toutes" enseigneront à leurs enfants (choisis) la haine des hommes, bien avant leur naissance...
Je me demande si à quelque mois les parents peuvent amener leurs enfants à avoir des préférences pour des objets en 3D
Oui enfin, on voit difficilement comment des enfants de 3 et 5 mois peuvent être influencé au point d'avoir des différences d'aptitudes en terme de rotation mentale... sachant que c'est un prérequis du cerveau hein, cette compétence est innée a priori. Maintenant, on a pas vraiment de raison de penser que cette différence entre les garçons et les filles soient culturelles.
Cela ne veut pas dire que les enfants ne sont pas influencés dès le plus jeune âge, mais il fait ici référence à une aptitude bien spécifique. Il faut arrêter avec ce joker du "oui mais les enfants sont influencés avant leur naissance"! C'est une piste intéressante, mais pas un contre argument en soit.
On reconnait ici le sérieux et la rigueur intellectuelle de Franck Ramus. Approximations (où "entre 3 et 5 mois" devient "dès la naissance"; où on fait une jolie zone grise sensée représenter "l'impact des stéréotypes" comme si ils impactaient rigoureusement également tout ce qu'il prétend mesurer), poncifs, et choix intéressé des études et données. Ramus mime très bien le regard froid et objectif qu'on attribue (à tort) aux scientifiques, c'est un fait; il aurait sûrement fait un acteur potable.
Avant de chercher les différences entre les genres il faudrait déterminer qu'est-ce qu"une femme et qu'est-ce qu'un homme ?
Certains "hommes ont des comportements très féminins et inversement...quid des hermaphrodites ?
La frontière est très floue !
Et évidemment l'éducation et l'entourage ont une influence ainsi que l'héritage héréditaire....ça me semble tellement évident !
L'héritage "génétique" bien sûr...
La différence est très claire, elle est génétique, XX ou XY, plutôt simple non?
En plus de cela, les différences physiologiques, comportementales,... sont tellement importantes, que le taux d'adéquation entre le sexe biologique et les caratéristique du genre (masculin ou féminin) est de plus de 99%. Pour vous donner une idée, vous avez plus de chance de confondre un loup et un chien (2 espèces différentes) que de confondre un homme avec une femme.
Prouve moi que l'herbe est verte
C'est de la déconstruction.
À un moment il vaut mirux reconnaitre l'existence de certained généralités.
Les personnes réagissant mal à certains faits sont simplement en souffrance. Il faut apprendre à les considérer cimme tel sans accepter de mentir pour les apaiser.
Très intéressante intervention. Une chose m’a choquée : l’expérimentation sur les animaux ! J’espère que depuis les choses ont changé et que cette pratique sadique est interdite ! Je me moque de savoir si les hommes et les femmes sont différents ou quoi que ce soit d’autre si pour cela on doit soumettre des animaux à la souffrance.
On en reparlera quand votre enfant aura besoin d'un traitement contre une maladie grave...
@@msyteremysterieux9047 Ou plus simple: la prochaine fois qu'elle aura besoin d'aller chez le véto, qu'elle lui demande comment ils savent soigner son petit chat d'amour
12:00 a 16:34
Outre le biais féministe de son étude, je pense qu'on peut retenir sa conclusion qui incite à une égalité de résultats et pas des chances. Fin à la discrimination positive merci
C'est son intro et sa conslusion que j'ai trouvé idéologiquement biaisé et féministe. Par contre le discours scientfique que le cerveau est sexué, il est très mal vu chez les féministes, d'ailleurs Frank a déjà été banni d'un débat à cause de Catherine Vidal (neurobiologiste féministe assumé) qui elle est contre cet argument et qui refuse toute discussion.
@@hopewonder Merci river pour cette réponse mûrement réfléchie, qui a dû te demander de grands efforts de concentration. C'est bien parce que il y a 30 ans nous aurions pu être d'accord, mais dans le monde actuel où la discrimination positive règne, je ne peux être d'accord avec toi. Les femmes n'ont pas besoin d'être libérées, il faut arrêter de voir des chaînes et des inégalités partout et se recentrer sur les vrais problèmes en France.
Mais bon ça demanderait un peu d'effort, d'objectivité, et surtout de ne pas laisser l'émotion parler quand il s'agit de voir des faits, des faits établis
@@pauldrijard8793 Essaye de t’intéresser également à tes propre biais Paulo tu pourra peut être être plus objectif.
Et les attaques ad personam c’est très bas pour quelqu’un qui se pense intelligent
@@FraiseOsucre1 évidemment que ma vision est biaisée, comme toutes les visions, mais je m'efforce de me laisser influencer le moins possible.
Et surtout, je ne recopie pas des phrases qui nous sont bassinées dans tous les médias conventionnels. J'essaye d'avoir mon opinion personnelle et pas de répéter ce qu'ont me crache au visage sur konbini.
D'où l'ironie légère de mon commentaire, qui demande un peu de second degré, et qui n'est en rien une insulte, et encore moins une attaque, mais qui invite à la réflexion personnelle.
@@FraiseOsucre1 et je trouve intéressant que tu dise "pour quelqu'un qui se pense intelligent ".
Je n'ai jamais prétendu ça et encore moins sous entendu, mais bon merci du compliment
Bon ok des différences comme vous dites "et alors" au delà de l homme et de la femme ,pourra t on tout simplement étre libre d'étre qui l'on veut étre?
Merci Sandrine! A croire qu'on est un vagin et une servante sur patte!
n'est-ce pas déjà le cas ?
Non les hommes sont BESOIN qu’on leur confirme qu’ils sont supérieur
@@FraiseOsucre1 n’importe quoi 😅
Selon les femen, la différence de taille et de poids est aussi une construction sociale ourdie par le patriarcat...
Il y aurait donc aussi un patriarcat chez la majorité des mammifères.
ah bon, tu as une source ?
@@paultix5292 Oui : le papier de Priscille Touraille, féministe qui déclare (dans un article open access sur le site Nature) que le dimorphisme sexuel au niveau de la taille est le fait d'une construction sociale - la privation des grandes femmes de nourriture (non, tu ne rêves pas). Cette hypothèse, socle du "patriarcat du steak", a été adulée par de nombreuses féministes, et c'est même le résultat le plus référencé en français sur google quand on se demande d'où vient cette différence. Cette hypothèse complètement ridicule a eu un écho monstrueux.
Est-ce représentatif du féminisme ? Peut-être pas, mais ces milieux militants ont toutefois accordé bien trop d'importance à ce qui relève d'une pseudo-science.
Pour ce qui est du patriarcat chez les mammifères, c'est un terme d'anthropologue donc pas vraiment de sens, mais la plupart des mammifères et primates présentent une organisation sociale et des dimorphismes très similaires aux nôtres, malgré des différence de magnitude. Le bonobo ferait exception.
@@Scorpioide Ah tu parle de la privation des femmes en nourriture qui aurait causé leur taille plus petite. Et bien, c'est prouvé me semble t il ? Qu'est ce qu'il y a de ridicule ? C'est pas un complot, c'est un fait anthropologique, notamment issu du travail colossal de Françoise Héritier. Tu as des sources crédibles qui démontent les arguments énoncés sur cette théorie au lieu de pleurnicher parce que ça te dérange ? Au passage, les femmes rattrapent de plus en plus les hommes, au niveau de la taille et du poids moyen, car elles sont beaucoup moins soumises à des privations autoritaires (c'est plutôt l'aspect normatif qui joue à présent avec les régimes minceur, par exemple). En conclusion, le dimorphisme sexuel n'est pas toujours à l'avantage des mâles y compris chez les mammifères comme les baleines...
@@paultix5292 Intéressant. Comment expliques tu les différences de tailles chez les autres mammifères ? La baleine femelle empêche t-elle le mâle de se nourrir convenablement ?
entre 3 et 5 mois on aurait pas le temps de biaiser l'apprentissage des garçons et des filles ?? Vous savez tout ce qu'ils apprennent en 150 jours ?
Exact, qu'ils étudient la psychologie développementale : dès la naissance et même avant l'enfant apprend énormément.
Ce mec dit que de la merde... Rien n'est inné là dedans.
Ce qu'ils apprennent, c'est le comportement de l'humain, c'est à classifier tous les objets de leur quotidien, c'est à se mouvoir, etc... Je ne vois pas comment leur perception mécanique de l'espace pourrait être affectée par leur éducation : cette capacité de représentation est un prérequis du cerveau pour analyser le monde, et je ne vois pas à quoi les garçons et les filles seraient exposés de différent qui justifierait un développement différent de cette capacité, si tant est qu'elle se développe de façon perceptible.
@@dreamstorm194 Et pourtant. Si c'est le cas, il faut le démontrer pour pouvoir l'utiliser. en 5 mois, un nourrisson est confronté à énormément de choses. Il n'est pas possible de démontrer que les différences entre garçons et filles ne sont pas liées à une différence de socialisation des la naissance.
Pas scientifique sa zone grise d'impact des stéréotypes
Développe !
C'est tout lol.
"ne justifient pas nécessairement les différences de traitement" : pas NECESSAIREMENT ?!
beaucoup des problemes avec les chiffres. c'est dangereux.
Il n'a pas parlé de différences de traitement mais de différences de répartition des rôles.
@@lawlietryuzaki4694 il a surtout l'air d'avoir une certaine habileté pour tourner autour du pot, un peut le genre d'habileté qui a put être nécessaire à une époque, pour dire que la terre est ronde mais sans trop l'affirmer quand même, histoire de ne pas se faire couper la tête.
On sait que la Terre est ronde depuis le temps de la Grèce antique. Tu voulais sans doute parler du fait qu'elle tournait autour du Soleil... C'est ça qui a fait débat.
@@lawlietryuzaki4694 en effet, autant pour moi.
Ceci dit, j'avais écris sans voir la présentation en entier (deuxième erreur...). Et en effet, la conclusion est deconnante je crois.
Le mec à tout devant les yeux, mais il refuse d'y croire. C'est Galilée qui d'interdirai de lui même de tirer les conclusions qui s'imposent de ces observations.
A noter que ce n'est pas lui non plus qui à fait les observations. Finalement qu'à fait ce personnage, à part tenter de nier la conclusion, tout en admettant les faits?
TedX a effectivemment autorisé des visions différentes , ils laissent tout le monde s'exprimer mais.. une telle absurdité est effrayante, se baser sur les sacro saintes études pour justifier des inégalités sociales , c'est effrayant..
Il ne parle pas de l attirance sexuelle qui doit influer sur le cerveau d une maniere ou d une autre et j ai jamais entendu d hypothese en ce sens. Et il parle entre deux sexe qui en eux meme il y a difference entre individu et leur attirance sexuel par exemple les homosexuelles et les heterosexuelles leur difference cognitive et la difference entre elle et les sexes opposé car un homme qui est attiré par un homme est il cognitivement plus comme la femme oubien l homme et vis vers ca???
Il me semble que le bouquin "quand le cerveau devient masculin" de Jacques Balthazar pourrait pas mal t'intéresser, il y traite notamment de l'homosexualité et du développement du cerveau via les hormones
Sauf que beaucoup d'études montrent qu'il y a une différence de QI entre hommes et femmes. Dans tous les pays.
Oui, mais...
Et si on déconstruit un peu le concept du test de QI?
Pouvons-nous vraiment déclarer qu'un tel test est à la fois acceptable pour une femme comme pour un homme?
Une partie complète est basée sur la représentation dans l'espace, par exemple.
Et si l'on va un peu plus loin, et que l'on se base sur l'influence de l'environnement, et donc de l'éducation des enfants en fonction de leur sexe biologique, cela peut être rendre l'étude du QI encore plus douteuse. En effet, si depuis le plus jeune age (à travers les cadeaux offerts souvent genrés, ou encore les différentes activités proposées au petits garçons et petites filles) on oriente indirectement les garçons à être plus à l'aise avec les représentations dans l'espace, le résultat du test ne sera pas une représentation objective de la réalité mais une projection de l'influence de la socialisation sur les humains.
Par cela, il est difficile de dire qu'on peut prouver une différence de cerveau ou d'intelligence entre hommes et femmes.
On ne pourrait le faire que si des individus avaient été socialisés indépendamment de leur sexe, ce qui à l'heure actuelle est quasiment impossible à démontrer. Car même en étudiant des jumeaux vivant dans le meme contexte, le poids des stereotypes amènera sans doute une différence entre les deux, que cela soit au niveau de l'habillement, des cadeaux, activités, ou autres. Et encore, même si faisable à un jeune âge, dès que la socialisation externe, avec les pairs, entre en action, en se comparant aux autres et étant influencés par eux, tout change forcément.
En résumé, il parait bien compliqué de prouver, en isolant TOUS les paramètres externes, que le cerveau de l'homme est forcément différent de celui de la femme dans son fonctionnement quotidien.
C’est faux en France le QI est sensiblement le même et les femmes dépassent les hommes dans plusieurs pays il faut se mettre à jour.
@@didierdubrit8666 je partage votre point de vue
@@FraiseOsucre1 Non les hommes ont en moyenne un QI supérieur, dans tous les pays, quand le test passé est le même pour les deux sexes. Le QI ne mesure pas l'érudition ou les connaissances, seulement la puissance potentielle du cerveau.
@@Jeremie1987 des sources ?
Mais wsh comment il calcule l’effet de stéréotypes
C’est trop bizarre de dire s’il y a trop de différences ce ne peut pas être lié seulement aux stéréotypes
C'est ce qu'on appelle la "menace du stereotype". En vérité c'est un sujet controversé et certains chercheurs ne sont pas d'accord que les sterotypes ont une influence sur la cognition et les comportements.Tu peux déjà commencer par une lecture de la fiche wikipdia, en tout cas ta seconde remarque est pertinente.
Frank a parlé d'une étude très connue, mais ce n'est pas la seule, celle ci a été critiquée (comme toutes les études dans le monde des sciences) et certaines études ne tombent pas du tout sur le même effet du stéréotype. Après j'imagine qu'en 10 min de parole, il a juste vulgarisé vite fait, surtout que c'était pas le centre du sujet.
@@Creativeetea Par contre, au delà de l'effet de stereotype (= annonce dans l'énoncé que les hommes et femmes ont des résultats identiques), il manque tout de même cruellement la dedans l'effet de la socialisation à un genre dès le plus jeune âge. Par exemple au niveau des activités proposées qui sont très largement genrées, ou encore les cadeaux offerts. Les garçons reçoivent plus de choses "techniques" et "manuelles" et les filles plus de choses liées à l'intellect.
Il semble donc vraiment difficile de pouvoir affirmer que le cerveau de l'homme fonctionne différemment de celui de la femme au quotidien en isolant TOUS les paramètres.
L'étude qui montre les différence (en moyenne) entre le cerveau des femmes (axé sur la communication) et celui des hommes (meilleur dans l'espace) omet complètement le principe que le cerveau évolue depuis la naissance. SI depuis le plus jeune âge on accentue les activités liées à l'une ou l'autres de capacités alors forcément la partie du cerveau y étant relatif sera plus développées (par exemple: un pianiste aura une coordination des mains plus développées qu'un individu lambda). Cette étude ne démontre qu'une seule chose, que les individus développe des facilités dans les activités vers lesquelles ils sont poussés.
@@didierdubrit8666 Prouver un lien causal en isolant la totalité des variables n'est absolument pas possible, en tous cas pas dans les limites éthiques de l'expérimentation humaine.
Ce qui fait dire à F.Ramus qu'il existe des prédispositions biologiques différentes entre hommes et femmes, c'est qu'un ensemble de données (de pleins de champs disciplinaires différents) convergent dans ce sens là : ces différences sont avérés chez les autres primates; dès la naissance les filles montrent des aptitudes empathiques rudimentaires plus développées ; très tôt, des aptitudes verbales plus développées; les garçons présentent des aptitudes visuo-spatiales plus développées (même si c'est encore sujet à débat) et des intérêts pour les "objets" plutôt que les "gens". Les scientifiques n'excluent évidemment pas que tout ça puisse être modulé par l'éducation et l'environnement après la naissance, mais, par exemple, ils ne voient pas comment, si tôt chez l'enfant, l'éducation différenciée pourrait créer des écarts aussi visibles dans les tâches de rotations mentales ou d'empathie (on parle parfois de nouveaux nés hein...).
Donc non seulement ces différences apparaissent très très tôt pour certaines, mais en plus le taux d'exposition aux androgènes (post et prénatales) semble bien moduler ces différences : non seulement c'est ce que montrent les études qui évaluent le taux d'androgène à partir du liquide amniotique, mais en plus les filles qui font de l'hyperplasie (exposées à des taux élevés d'androgènes in utero) présentent une personnalité et des intérêts typiquement "masculins" et des compétences en rotation mentale comparables à celles des garçons. Pourtant, ces filles présentent une identité de genre féminine, passent du temps essentiellement avec d'autres filles, et sont éduquées comme des petites filles. Ajoutons à ça que les différences de personnalité entre hommes et femmes s'accentuent dans les pays les plus égalitaires, et que les différences d'intérêts sont décorrélées du niveau d'égalitarisme.
Dans l'état actuel de la science, il paraît peu probable qu'on puisse trouver davantage de preuves que ça, mais ces preuves, si elles ne constituent pas des certitudes absolues, sont quand même nombreuses, probantes et cohérentes entre elles. En fait, fonctionner par "faisceau d'indices convergents" est très classique dans le cadre d'une théorie scientifique. La plupart des spécialistes de la question (neuroscience, neuroendocrinologie) sont d'accord là-dessus. Pour ceux qui ne seraient pas convaincus, dites vous ceci : il y a aujourd'hui un consensus pour dire que l'homosexualité est intimement relié à la génétique et aux hormones, et les preuves sont exactement du même ordre que celles que j'ai citées. D'ailleurs, le lien causal entre éducation et développement est également impossible à prouver réellement... et pourtant, il y a fort à parier qu'il existe.
Car rassurons nous, la majorité des neuroscientifiques et des psychologues savent très bien que l'éducation a un rôle important dans le développement de ces différences, simplement, ils disent aussi qu'il existe des prédispositions biologiques différentes, et que ces variables interagissent entre elles (modèle biopsychosocial, ou encore génotype-environnement).
Les différences existent bel et bien entre les cerveaux des hommes et des femmes mais : à la naissance, on ne peut pas reconnaître le cerveau d’une fille de celui d’un garçon. Ensuite, il existe autant de différences entre 2 cerveaux de femmes qu’entre un cerveau de femme et celui d’un homme. Les connexions se font selon les expériences vécues. Rien d’inné. Donc cessons d’éduquer les enfants différemment selon leur sexe et on vivra mieux.
Ce que vous dites est faux. A la naissance, il est possible de distinguer le cerveau masculin de féminin.
et une récente étude démontre que le sexe à un impacte sur la différence de cerveau.
Dans cette conférence, le présentateur dit que pour être sûr de l'impacte il faut faire varier la part de testostérone chez la femme et observer les résultat. Il dit aussi que ça n'est pas éthique de le faire sur des sujets humains.
Mais l'étude porte sur certains enfants. Ces enfants sont nés suite à une modification des gonades (la modification n'a bien évidemment pas été induite pour l'expérience) ce qui a augmenté la charge de testostérone.
Ainsi on a pu observer les effets d’une variation d’hormone chez les enfants.
Les filles qui ont subi ce changement adoptent des comportements masculins. Ces filles jouent avec des jouets de garçons.
Donc si l’inné a un rôle.
@@emericheymans8659 Vous avez des sources?
@@didierdubrit8666 Bonjour, j'ai vu que vous avez posté de nombreux commentaires sous cette vidéo, traitant tous de la même chose. Vous préciser qu'il est difficile de prendre TOUT les éléments en compte, et je suis d'accord avec vous. Mais vous disiez aussi que c'est parce que les enfant sont conditionnés : " Les garçons reçoivent plus de choses "techniques" et "manuelles" et les filles plus de choses liées à l'intellect."
Maintenant que vous avez de véritables sources montrant que le conditionnement initial n'est pas due à l'environnement mais bien aux gènes, que pensez-vous ? Avez-vous changé d'avis ? si non, pourquoi ?
@@emericheymans8659 bonjour, je n'ai vu aucune source qui pouvais une partie innée pour le comportement des garçons qui iraient davantage vers les objets techniques. Au contraire, toutes les études que j'ai pu voir et en particulier celle de Baron-Cohen souffres au mieux de biais évident et au pire ne démontré rien du tout.
Je ne connais pas l'étude que vous mentionnez donc je ne peux pas me positionner dessus.
@@didierdubrit8666 effectivement, mon message n'apparaît pas, je vais essayer de regler le problème.
J'aime beaucoup la contradiction des propos : d'un côté, en préambule, les différences observées ne sont pas marginales et finalement les données montrent qu'elles le sont... Autre contradiction : l'influence des stéréotypes tantôt minorée, tantôt réhabilitée ou niée (préférences par exemple)... Bref, aucun intérêt.
Pour la rigueur des graphiques c'est moyen (disons que c'est peut être voulu, pour simplifier) :
le coup de la zone grise pour la part d'influence des stéréotype dans les capacités, on ne sait pas d'où ça sort...
sur les courbes d'agressivité, on nous présente deux belles courbes en cloche de distribution dite "normale" avec un décalage plus vers l'agressivité pour les hommes. Mais la pente des courbes est visuellement identique. Pourtant il est dit que du coté non agressif on à un homme pour une femme, et du côté agressif on à 8 hommes pour une femme. Où est passé la déformation vers la droite de la courbe masculine?
C'est parce qu'il faut raisonner en terme de surface de courbe après la valeur choisie (il parle de la proportion d'hommes et de femmes qui dépasse un certain score).
Quand on est a 50, on va dire qu'il y a 96% des femmes au dessus et 99% d'hommes au dessus (soit 4% des femmes en dessous et 1% d'hommes en dessous) donc a peu près à 1 femme pour 1 homme. Quand tu es a 200, il y a 1% des femmes au dessus et 4% des hommes au dessus (donc on est sur les même chiffres au niveau pourcentage qu'a 50, en inversé si je puis dire) sauf que là, ca fait 4 hommes pour 1 femme.
L'éléphant possède 3 fois plus de neurone que l'humain...
Certain dauphin sont plus intelligents que beaucoup de personnes ;-)
Vous vous imaginez être tous les jours intelligent comme Einstein chaque seconde chaque minute chaque heure de votre 🍷 ...ou bien tout le temps être fort...ça n'existe pas .... personne ne voudrait être chaque minut de sa vie être intelligent en tout... sérieux..
Droite et gauche en PLS.
Avec un rapport poids/cerveau à l'avantage de l'homme, un nombre supérieur de neuronnes (10% ) dans le cerveau mâle, on détient des données chiffrées brutes qui permettent de conclure à la supériorité du cerveau masculin. La conclusion sur l'égalité des QI à laquelle arrive Franck Ramus me semble un inflexion de sa pensée dans le sens de la bien pensance. Comme l'idée que soumise à une pression de résultat les filles perdraient leurs moyens au point de ne pas pouvoir résoudre un pb de maths. Si cette observation n'est pas une vulgaire foutaise, elle nécessiterait des développements sur les faiblesses psychologiques qu'elle implique.
Le mec est sûrement obligé d'utiliser des artifices pour ne pas se faire lyncher.
Tu peut dire en société que les femmes sont des comméres, si tu le tourne dans le sens "elles on plus de capacités relationnelles"....
Avec ce genre d'astuce le mec arrive à garder un budget de recherche, et même à faire un TedX.. 😉
C'est une supposition, mais ça serais malin de sa part.
Pourquoi cette vidéo me met mal à l'aise ? parce qu'en insistant sur la différence de volume du cerveau de l'homme et de la femme, le conférencier induit, peut-être malgré lui, que la référence ultime est celui de l'homme. Le cerveau d'Einstein pesait 1230 g contre 1350 g en moyenne chez un homme. Ce qui montre clairement qu'un cerveau volumineux n'est pas la condition nécessaire à une intelligence particulière. La grosseur du cerveau n'a rien à voir avec l'intelligence. Mais tout le monde l'aura compris sauf moi...!
Un cas particulier ne prévaut pas sur des statistiques recueillie a partir de beaucoup d'individus, les statistiques ne dégage d'ailleurs elles-mêmes que des "moyennes"; c'est en cela qu'elles ne devraient pas te mettre mal a l'aise; elles ne disent absolument rien sur une personne en particulier.
sauf que l'intelligence n'a rien à voir avec la taille du cerveau, mais avec le nombre de connexions synaptiques. Dommage :-)
Donc dans un cm3 je peux mettre autant de connexions synaptiques que dans un m3 ? "Dommage" O_O
Il montre pourtant qu'à sexe constant, la moyenne du QI augmente avec la taille du cerveau
Est ce qu'on parle du nombre de connexions synaptiques ou de leur volume ? Si on prend deux cerveaux de taille différente à nombre de neurones équivalent, les neurones seront plus rapprochés dans un cerveau plus petit, et donc les connexions plus courtes. Ce qui fait qu'il peut y avoir autant de connexions (en nombre) dans un petit cerveau que dans un gros cerveau, même si leur volume diffère. Donc la réponse a la question de WecsWorld est oui.
Il dit : "à 3 ou 5 mois très peu probable que les bébés aient été influencés" mais qu'en sait il? A t il étudié au préalable l'impact de l'environnement que les parents pouvaient infliger à leurs enfants? Non. Encore une inexactitude qui peut fausser les résultats.
Et puis même s'il s'avère que les nourrissons mâles sont plus vifs que les nourrissons femelles, (même si vu les conditions de l'expérience, rajouté au trop faible nombre de bébés testés pour effectuer une généralité) cela n'induit pas qu'elles se prolongent à l'âge adulte.
Tout est inexact!
La réponse du berger à la bergère ? :-)
S'il vous plait, je ne connais pas cette expression. Qu'est ce que ça veut dire?
Le raisonnement n'est pas très convainquant, décrire des tendances différentes entre hommes et femmes, c'est un constat de fait : ça ne veut pas dire que la différence est innée. C'est dangereux, et sûrement très faux, de dire que "spontanément les hommes et les femmes sont attirés par des objets et des activités différentes". Voyez cet article, qui montre qu'il n'y a pas besoin de maîtriser les sciences cognitives pour voir qu'il y a un problème dans cette façon de penser : uneboueedansloceandevosprejuges.wordpress.com/2016/12/04/la-science-contre-le-feminisme-lessentialisme-en-question/
Malheureusement, dans votre article, l'auteur semble ne pas avoir très bien compris les méthodes employées, ni l'interprétation des résultats, pour finalement partir sur un raisonnement philosophique qui n'a pas franchement sa place ici car cette conférence ne parle que d'expérimentations et de faits.
Mr Ramus ici est bel et bien conscient qu'il existe une bonne partie des différences liées à l'éducation et il explique comment ils ont fait pour contourner ces biais.
"C'est dangereux, et sûrement très faux, de dire que "spontanément les hommes et les femmes sont attirés par des objets et des activités différentes"" Pas si les expériences le démontrent, ce n'est pas quelque chose dit au hasard.
"Voyez cet article, qui montre qu'il n'y a pas besoin de maîtriser les sciences cognitives pour voir qu'il y a un problème dans cette façon de penser"
Ce n'est pas une "façon de penser", c'est juste un constat de faits découverts en suivant la méthode scientifique qui est pour l'instant la méthode plus exacte auquel on puisse avoir recourt.
Et forcément, pour pouvoir faire ces expériences et les expliquer, il faut maîtriser les sciences cognitives. Sinon, il s'agit d'une autre discussion, dans un autre domaine qui n'a absolument rien à voir.
Disons que c'est une question de point de vue... Mais je ne crois pas que ce soit un constat si indiscutable, parce que Catherine Vidal tient un discours totalement contraire !
Le TEDx de Catherine Vidal a été tenu 3 ans plus tôt, certaines choses on pu être découvertes ou précisées entre temps.
Par exemple pour les tests entre femmes et hommes sur la visualisation des objets dans l'espace, le test n'avais peut-être pas été effectué sur des nourrissons comme l'a fait Franck Ramus, ou les résultats n'étaient peut être pas publiés.
Je doute fortement que les données aient été truqués volontairement pour tenter de prouver quoi que ce soit, surtout quand on prends en compte sa conclusion.
"je ne crois pas que ce soit un constat si indiscutable" Rien n'est indiscutable, c'est d'ailleurs le fondement de la science.
Peut-être que dans quelques années, des résultats d'autres expériences nous prouverons le contraire, qui sait ?
Il faut ajouter aussi que Vidal utilise des arguments dont on sait maintenant qu'ils ne sont pas fondés et incompatibles avec l'état actuel des connaissances.
Gauvrit l'explique bien dans cet article : www.scilogs.fr/raisonetpsychologie/le-sexe-du-cerveau/
Cordialement :)
Enfin c'est difficile de se faire un avis quand on est pas spécialiste, faut faire confiance aux vulgarisateurs... ^^' puis ça ne justifie pas trop les généralisations du type "tous les hommes sont comme ça..."
c'est dommage, il base tout son discours sur des exprériences scientifiques pour une conclusion moralisateur, je suis d'accord avec ce qu'il dit mais ça reste dommage de voir que tout son cheminement basé sur la science s'arrête sur un discours aussi simpliste, j'aurais aimé qu'il nous démontre scientifiquement que les femmes ont autant leurs places de que les hommes, cette fin est un virage à 180° dommage
On ne peut pas le démontrer justement parce qu’il s'agit d'un jugement moral; pas plus qu'on ne peut démontrer que l'homme a plus ça place que la femme.
La science n'est pas egalitariste. L'égalitarisme est une pathologie qui se développe dans nos sociétés. Elle est même contagieuse.
Cette vidéo fut très bleu et rose. Je comprend pas l'utilité de ce qu'il vient de faire. Tant mieux si ça lui plaît mais 0.2 % de différence et savoir qui est ce qui regarde ça c'est pas très utile. La liberté d'être soi ( l'egalite des chances et la liberté de genre..) est tellement plus intéressante que mettre des différences entre mémoire spatiale et manipulation spatiale. Enfin bref, moi j'ai le sexe dit féminin et j'y correspond peu et ça me pete les couilles qu'on est obsédé par savoir quel sexe ont les gens. C'est débile et dire que c'est parce qu'on a besoin de savoir avec qui on peut se reproduire n'est pas une bonne excuse. On est plus 10 000 on est 7 milliards donc la personne qui est trans ou sans sexe définit ne lui demande pas. C'est intime. Bref je dis de la merde. C'est con désolée mais c'est débile de vouloir savoir.
Non c'est naturel.
Tout les animaux présentent un dimorphisme sexuel, qui permet notamment de se reconnaître entre partenaires potentiels, et qui correspond aussi à des différences de comportement innés.
L'être humain étant un mammifère, il reste soumis à des vérités naturelles profondes.
La culture, plus que nier ces vérités, est plus harmonieuse quand elle les sublimes.
La séduction joue sur ça, tout comme la gastronomie joue sur l'attirance animale pour la cuisine aux goûts équilibré, signe de bonnes valeurs nutritives.
Il y a un exemple d'utilité à 11:45 : chez les auteurs d'homicides il y a à peu près 10 hommes pour une femme. Ces petites différences peuvent donner de grands écarts si on ne regarde que les cas extrêmes, et c'est très utile pour construire un a priori si on doit identifier un suspect.
Un autre domaine où ça peut être utile, c'est simplement pour les diagnostics en psychiatrie : encore une fois seuls les cas extrêmes sont concernés donc pour les mêmes symptômes le diagnostic peut être différent selon si le patient est un homme ou une femme.
Si le cerveau est bel et bien sexué avec des différences cognitives, et bien les fameuses "théories du genre" et les sempiternels "le sexe biologique n'a rien à avoir avec le genre" s'effondrent.
Toute la transidentité est en fait construite de toute pièce sur du néant, autrement dit : sur différentes psycho-pathologie. Mais comme toutes choses à la mode, ils se rendront bien compte de leur erreur.
Frank Ramus a montré que certaines femmes sont bien plus masculines que la moyenne et que des hommes peuvent être plus féminins que leur confrère. De plus, certains écarts entre les femmes et les hommes sont renforcés par la société bien au-delà de ce qui s'explique par la biologie. Enfin, la génétique se modifie plus ou moins.
Ensuite l'expérience sur les objets 3D: j'ai jamais rien entendu d'aussi ridicule.
Je redis ce que j'ai déjà dit: les échantillons sont trop petits pour considérer qu'une majorité de garçon pourrait apercevoir tel ou tel changement.
Ensuite le temps passé en plus par les garçons n'est même pas dit.
De plus qui vous dit que les filles n'ont pas pris moins de temps à se rendre compte de la différence? Où que les petits garçons ont été entraînés à se rendre compte des différences (puisque les parents ayant "donné" leurs enfants à l'expérience savaient après tout que leurs enfants allaient être testés)...
Bref trop d'inexactitudes qui conduisent à croire que ces pseudo chercheurs essaient d'orienter notre avis sur un échantillonage inexact.
Oui, on a bien compris qu'à vos yeux les hommes sont une espèce inférieure, pas la peine d'essayer d'argumenter...
Mais... Tu poses des questions méthodologiques en disant "je ne sais pas s'ils ont tenus compte de tel ou tel biais", c'est très bien il faut être rigoureux comme ça (je suppose que tu fais le même travail de critique sur les études qui t'arrangent genre celles de Catherine Vidal?), mais va regarder les études dont il parle plutôt que de décréter que tu n'y crois pas parce qu'il n'a pas parlé de tout. Effectivement une conf ted talk c'est 10--20 minutes il ne peut pas prendre le temps d'ajouter une critique sur la fiabilité des tests statistiques ou faire une méta analyse de tout ce qui a été découvert. Si son échantillonnage est faible, il existe sans doute d'autres études plus rigoureuses, peut-être existe t-il une review de toutes les données sur le sujet?
La critique est la base de la méthode scientifique, mais la critique sans fondement est contre productive. Ce que tu fais là me semble plus du genre à essayer de lui apprendre son boulot. Crois-tu qu'il n'est pas au courant des biais de son étude? Connais-tu le principe de peer-reviewing?
Et encore une fois, fais tu le même travail critique sur des études qui vont dans ton sens? J'en doute.
Comme par hasard les compétences dans lesquelles les garçons seraient en moyenne plus forts que les filles sont les plus valorisées : très pervers tout ça
L'agressivité n'est pas valorisé, au contraire
Comme l'agressivité ? Ou alors, on lit les études à ce sujet, et on se rend compte que les caractéristiques dites "féminines" sont plus valorisés par la société que les caractéristiques "masculines" ?
OULA LA
Alors. Il y a un endroit où je ne suis absolument pas d'accord, et qui révèle d'un manque de jugeote de la part des chercheurs sur le sujet.
Lorsque vous dites que dans vos laboratoires, des enfants dès la naissance: les filles préfèrent regarder le visage féminin, et les garçons l'autre image avec le mobile.
D'une, que je sache, vous n'avez pas pris les enfants directement sortis du ventre de leur mère. Donc le conditionnement a pu déjà s'effectuer entre temps. Par exemple, l'un des deux parents qui simulera son petit garçon en essayant de le faire rire en jouant tout seul à la bagarre, et pour une petite fille, un langage adapté plus doux, car on a une vision du nourrisson féminin plus fragile. Donc cet argument de la "naissance" est aussi aberrant que dangereux.
Ensuite, votre expérience n'est même pas retransmise, de même que les conditions dans lesquelles elles ont été effectuées. On ne sait pas, comme je viens de le dire, comment ont été habitués les nourrissons à réagir à leur environnement, à quelles images/ton de voix/ambiance ils ont été habitués, etc... Ce qui pourrait les prédisposer à se tourner vers telle ou telle image.
De plus, rien n'est précisé sur la durée de l'expérience. A-t-on laissé plus de temps à certains bébés qu'à d'autres? Quelles étaient leurs positions face aux images, et comment ont agi les chercheurs visualisant l'expérience? Bref, rien ne nous est précisé, c'est de la pseudo expérience scientifique de pacotille. C'est absolument inexact, et de grands facteurs de modifications peuvent intervenir.
Ensuite, peut-on considérer à quelques secondes ou nanosecondes prés qu'un enfant ait fixé le regard plus ou moins longtemps sur une image plutôt que sur une autre?
J'ajouterai que scientifiquement, cette étude peut être contredite par le biais des mathématiques. Les échantillons de petits garçons et de petites filles prélevés signifient ils quelque chose, lorsque le nombre est trop petit? Imaginons que l'expérience ait été faite sur 50 petits garçons et 50 petites filles (précisons d'ailleurs qu'il ne nous précise pas le nombre), qui nous dit que par exemple les 43 petits garçons ayant regardé plus longtemps l'image avec le mobile ne soient pas les seuls à le faire si on avait étendu l'intervalle du nombre de petits garçons à 200 et que si au contraire, on avait rajouté 150 autres bébés filles à l'expérience (pour atteindre 200), et que les 3/4 de cet ajout ait regardé plus longtemps l'image du mobile..
Bref tout se joue sur l'échantillon de nourrissons filles ou garçons prélevés. Les probabilités sont et resteront inexactes concernant un trop petit nombre d'individus.
Cependant, je tiens à dire que je ne nie pas les différences cognitives établies par certaines études, qui montrent des différences dans certaines zones du cerveau. C'est evident: nous avons des corps/morphologies différentes, cela induit donc des zones cérébrales différentes. Mais celles ci sont tellement minces que je ne pense pas qu'elles puissent induire les comportements adoptés dans notre sociétés.
Surtout que si l'on est bien attentif à l'évolution du comportement de l'homme et de la femme au cours de l'histoire, on peut constater que les attentes des rôles varient constamment, et n'imposent à chaque fois qu'une différenciation entre l'homme rt la femme.
L'exemple le plus concret est la manière pour les hommesà l'époque de Louis XIV d'affirmer leur virilité: maquillage à outrance, longs manteaux luxueux, paroles distinguées et rires mielleux.. ça ne vous rappelle pas les standards actuels attendus chez les femmes dans certaines classes sociales actuellement?
J'ai cependant conscience que mes arguments sont vagues, mais essayez de vous projeter dans votre entourage et de regarder si au fond, les différences comportementales sont elles si différentes une fois qu'on enleve celles des attendus ACTUELS des rôles masculins et féminins dans la société.
Pour en ajouter, même si on est de même sexe, éduquer dans les mêmes conditions, on ne sera jamais identique. Il a été démontré par Damasio que l'emplacement des régions cérébrales chez les humains était variable.
Ensuite l'expérience sur les objets 3D: j'ai jamais rien entendu d'aussi ridicule.
Je redis ce que j'ai déjà dit: les échantillons sont trop petits pour considérer qu'une majorité de garçon pourrait apercevoir tel ou tel changement.
Ensuite le temps passé en plus par les garçons n'est même pas dit.
De plus qui vous dit que les filles n'ont pas pris moins de temps à se rendre compte de la différence? Où que les petits garçons ont été entraînés à se rendre compte des différences (puisque les parents ayant "donné" leurs enfants à l'expérience savaient après tout que leurs enfants allaient être testés)...
Bref trop d'inexactitudes qui conduisent à croire que ces pseudo chercheurs essaient d'orienter notre avis sur un échantillonage inexact.
Renseigne toi sur ce qu’on appelle la rotation mentale, tu t’apercevras que des études très sérieuses ont démontrés que les hommes sont naturellement prédisposés pour cela
Les femmes seront plus portées sur les taches de fluence verbale
Toutes les études scientifiques vont dans le même sens, le cerveau masculin est différent du cerveau féminin. D'ailleurs, comment imaginer que le cerveau soit le seul organe épargné par les différences entre hommes et femmes.
Ceci dit, et études mises à part il suffit de ragrder autour de soit pour le constater.
Savais tu par exemple qu'à un âge précis, tous les garçons se mettent à casser le bras pour lancer une balle même si personne ne leur apprend, ce qu'aucune fille ne fait si on ne lui enseigne pas. Les différence entre garçons sont non seulement une réalité dès la naissance, mais l'évolution des cerveaux masculins et féminins est programmée dans le temps.
Je trouve amusant d'ailleurs que les même féministes qui prônent l'indifférenciation sexuelle sont les même qui prétendent que les filles sont plus douées verbalement, murissent plus vites, sont plus sages voir plus intelligentes. Mais la logique et les féministes ....
@@malain1715 Tu n’écoutes visiblement pas les féministes. Te penser objectif avec un tel niveau de biais de confirmation est assez drôle je dois dire. La bonne foi la logique et les masculinistes ...
"À casser le bras pour lancer une balle"? Je ne comprends pas ce que ça veut dire. Se casser le bras, c'est se fracturer des os. Tous les garçons font ça naturellement ?
De plus, où est votre étude qui le prouve ?
Il dit : "à 3 ou 5 mois très peu probable que les bébés aient été influencés" mais qu'en sait il? A t il étudié au préalable l'impact de l'environnement que les parents pouvaient infliger à leurs enfants? Non. Encore une inexactitude qui peut fausser les résultats.
Et puis même s'il s'avère que les nourrissons mâles sont plus vifs que les nourrissons femelles, (même si vu les conditions de l'expérience, rajouté au trop faible nombre de bébés testés pour effectuer une généralité) cela n'induit pas qu'elles se prolongent à l'âge adulte.
Tout est inexact!
"même s'il" suivi de "Tout est inexact!"
Donc....tu ne sais pas "si" [...] ca se prolonge, mais tu sais que c'est faux 🤣
serait-ce le génie lesbien dont tout le monde parle ?
Ouin ouin
OULA LA
Alors. Il y a un endroit où je ne suis absolument pas d'accord, et qui révèle d'un manque de jugeote de la part des chercheurs sur le sujet.
Lorsque vous dites que dans vos laboratoires, des enfants dès la naissance: les filles préfèrent regarder le visage féminin, et les garçons l'autre image avec le mobile.
D'une, que je sache, vous n'avez pas pris les enfants directement sortis du ventre de leur mère. Donc le conditionnement a pu déjà s'effectuer entre temps. Par exemple, l'un des deux parents qui simulera son petit garçon en essayant de le faire rire en jouant tout seul à la bagarre, et pour une petite fille, un langage adapté plus doux, car on a une vision du nourrisson féminin plus fragile. Donc cet argument de la "naissance" est aussi aberrant que dangereux.
Ensuite, votre expérience n'est même pas retransmise, de même que les conditions dans lesquelles elles ont été effectuées. On ne sait pas, comme je viens de le dire, comment ont été habitués les nourrissons à réagir à leur environnement, à quelles images/ton de voix/ambiance ils ont été habitués, etc... Ce qui pourrait les prédisposer à se tourner vers telle ou telle image.
De plus, rien n'est précisé sur la durée de l'expérience. A-t-on laissé plus de temps à certains bébés qu'à d'autres? Quelles étaient leurs positions face aux images, et comment ont agi les chercheurs visualisant l'expérience? Bref, rien ne nous est précisé, c'est de la pseudo expérience scientifique de pacotille. C'est absolument inexact, et de grands facteurs de modifications peuvent intervenir.
Ensuite, peut-on considérer à quelques secondes ou nanosecondes prés qu'un enfant ait fixé le regard plus ou moins longtemps sur une image plutôt que sur une autre?
J'ajouterai que scientifiquement, cette étude peut être contredite par le biais des mathématiques. Les échantillons de petits garçons et de petites filles prélevés signifient ils quelque chose, lorsque le nombre est trop petit? Imaginons que l'expérience ait été faite sur 50 petits garçons et 50 petites filles (précisons d'ailleurs qu'il ne nous précise pas le nombre), qui nous dit que par exemple les 43 petits garçons ayant regardé plus longtemps l'image avec le mobile ne soient pas les seuls à le faire si on avait étendu l'intervalle du nombre de petits garçons à 200 et que si au contraire, on avait rajouté 150 autres bébés filles à l'expérience (pour atteindre 200), et que les 3/4 de cet ajout ait regardé plus longtemps l'image du mobile..
Bref tout se joue sur l'échantillon de nourrissons filles ou garçons prélevés. Les probabilités sont et resteront inexactes concernant un trop petit nombre d'individus.
Cependant, je tiens à dire que je ne nie pas les différences cognitives établies par certaines études, qui montrent des différences dans certaines zones du cerveau. C'est evident: nous avons des corps/morphologies différentes, cela induit donc des zones cérébrales différentes. Mais celles ci sont tellement minces que je ne pense pas qu'elles puissent induire les comportements adoptés dans notre sociétés.
Surtout que si l'on est bien attentif à l'évolution du comportement de l'homme et de la femme au cours de l'histoire, on peut constater que les attentes des rôles varient constamment, et n'imposent à chaque fois qu'une différenciation entre l'homme rt la femme.
L'exemple le plus concret est la manière pour les hommesà l'époque de Louis XIV d'affirmer leur virilité: maquillage à outrance, longs manteaux luxueux, paroles distinguées et rires mielleux.. ça ne vous rappelle pas les standards actuels attendus chez les femmes dans certaines classes sociales actuellement?
J'ai cependant conscience que mes arguments sont vagues, mais essayez de vous projeter dans votre entourage et de regarder si au fond, les différences comportementales sont elles si différentes une fois qu'on enleve celles des attendus ACTUELS des rôles masculins et féminins dans la société.
Pour répondre à tes interrogations, évidemment personne ne conditionne les petits bébé garçons à regarder les objets plutôt que les visages, faudrait être tordu.
Et pour info, les différences de formation du cerveau apparaissent déjà sur l'imagerie des fétus.
Mais pourquoi croire les biologistes quand on a la propagande féministe sous la main.
Si je vous dis que croire que la terre est ronde est sexiste, allez vous devenir platiste?