Bonjour, vous utilisez largement nos émissions sans autorisation... Comment vous contacter? Florent Latrive (directeur délégué au numérique, France Culture)
Je viens de me rendre compte que cette chaîne ne publiera plus rien ...décidément la bêtise n'a point de fond ....j'en suis sincèrement désolée pour vous...In fine c''est donc un vrai trésor que je viens de découvrir !!!!! merci de l'avoir laissée telle quelle figée au milieu du temps... son exploration n'en sera que plus délicieuse.....🌬🎏
Nouvellement abonnée ,je découvre votre chaîne, c'est comme si j'avais trouvé une étrange malle au fond d'un vieux grenier contenant ....de nombreux trésors. Merci, la thématique est passionnante ! échanges de haut vol j'adore! 🌬🎏
Comment parvenir à concevoir qu'un élément soit libre au sein d'un univers qui est naturellement donc totalement déterminé (les cycles, les éclipses solaires ect) ? L'illusion du choix en tant que cause de tous nos actes, ne se situerait il pas uniquement dans la notion de survie et dans les moyens d'y parvenir, ainsi que la nécéssité d'exister ? Survie qui semble etre la cause premiere et déterminante de nos choix quotidiens, mais qui reste néanmoins instinctive et innée (Eros). Car même les choix qui n'auraient pas de liens évidents avec la survie en ont toujours à un niveau latent, inconscient. A ce stade, seule la volonté en soi selon Schopenhauer serait au commande, ce qui exclue la possibilité d'une volonté véritablement autonome. Merci pour vos émissions !
Je vous remercie pour ce contenu enrichissant, édifiant et très instructif ! Ce travail nous permet d'avoir une base solide en philo et j'aimerais bien que vous fassiez une série de vidéos sur les idées platonicienne, puisqu'on y trouve pas. Et j'ai hâte de suivre les cours à venir.
Emission très intéressante et instructive, y compris par le souci constant des intervenants de proposer des explications hétérogènes: essentiellement relatives à des domaines différents ( quel rapport entre la question de l'automne sociale et celle des déterminations neurobiolologiques, par exemple..), et donc manifestement "ad hoc" à la fois par elles-mêmes et par leurs mises en relation, tout cela pour sauver la notion de libre arbitre mise à mal par les avancées de la connaissance permises par les progrès des neurosciences. La société et ses contraintes et la marge d'autonomie qu'elle peut permettre malgré tout, sont une chose, les mécanismes de l'activité cérébrale en vue d'une décision me semblent en être une autre, toute différente par sa nature même. Une telle pratique du mélange des genres me paraît assez révélatrice de l'embarras où se trouve actuellement, pour le coup bel et bien la société, pour tenter de concilier à tout prix même l'inconciliable. En oubliant de prendre en compte ce qui permettrait PEUT-ETRE véritablement de rendre compatibles détermination et "liberté" (de choix): à savoir la différence entre les actes vus - de l'extérieur, "objectivement, à la troisième personne, - vécus comme expériences subjectives, donc à la première.. La sociologie ayant pour sa part un champ d'application sinon indépendant, du moins distinct .
Bonjour. Je vous écris pour vous remercier de tous vos posts, excellents, magiques, un pur bonheur dans nos vies et également vous demander si vous allez bien, j'ai constaté que depuis 1 an vous n'avez plus rien posté. S'il vous plaît, donnez-nous de vos nouvelles ?
En août 1932, Albert Einstein écrit " Mon Credo", un document dans lequel il détaille ses idées sur l'homme, la société et la politique. Écrit à la main, ce document est ensuite confié à Konrad Wachsmann, l'architecte de sa maison d'été. Quelques mois plus tard, Einstein lit son credo à haute voix pour la ligue allemande des droits de l'homme. Un enregistrement sonore en est produit (vous pouvez en écouter un extrait en cliquant sur ce lien "Einstein's Credo"). Or, en épluchant ce document, on apprend plusieurs choses surprenantes sur la façon dont Einstein concevait la nature humaine, et notamment le fait qu'Einstein ne croyait pas... au libre arbitre. Voici un extrait du credo d'Einstein, consacré précisément à sa conception du libre-arbitre : "Je ne crois pas au libre-arbitre. Les mots de Schopenhauer: « L'homme peut faire ce qu'il veut, mais il ne peut pas vouloir ce qu'il veut », m'accompagnent dans toutes les situations tout au long de ma vie, et me réconcilient avec les actions des autres, même si elles sont pénibles pour moi. Cette conscience d'absence de libre arbitre m'empêchera de me prendre moi-même ainsi que mes collègues trop au sérieux, et de perdre mon sang-froid".
#Bar FREEWONT, pour ma part je partage tout à fait l'idée de Schopenhauer; cela me console du reste un peu de sa misogynie absurde: il ne pouvait vouloir s'en débarrasser; outre qu'heureusement, son lecteur, lui, peut très bien la laisser de côté s'il le désire, notamment parce que son retrait n'enlève rien ni à la cohérence ni à la plausibilité de la doctrine de Schopenhauer. Cela dit, j'ai pour ma part, justement, du mal à vouloir/pouvoir rester de marbre face au brouillage des repères et des notions auxquels se livrent trop souvent à mon goût les intervenants e cette émission, qui en prennent un peu trop leurs aises à mon goût avec le caractère foncièrement hétérogène de notions telles que le libre arbitre philosophique, l'économie, libérale ou non, les déterminations sociales, et celles qui proviennent de notre structure psychologique profonde -sans qu'il soit besoin de recourir aux lésions cérébrales ou autres kystes, pour expliquer des comportements déviants et malfaisants. Pendant les cours de "calcul", mon institutrice disait volontiers, à propos de procédés analogues, qu'il ne fallait pas mélanger les carottes et les cerises... J'ajouterais pour ma part, pardon pour le jeu de mots facile et un peu forcé en plus: "de peur qu'il n'en résulte de la fumée", bref, de l'enfumage. Et pourtant: de plus en plus la sociologie semble appelée au secours de la métaphysique... Comme si les institutions judiciaires avaient absolument besoin du concept flou de "responsabilité" pour infliger des sanctions soit dissuasives soit réparatrices, soit les deux, aux membres de la collectivité lésés par de tels comportements. Au point, par exemple, de dissuader certains éditeurs, comme Syllepse pour ne pas le nommer (lol), d'arrêter net la diffusion d'ouvrages qui, tels ceux de Ted Honderich par exemple, montrent par A + B que la notion de liberté métaphysique est devenue une position intenable (alors que, juste pour l'anecdote, les versions anglaise et allemande notamment sont toujours disponibles, elles, - un peu comme si les francophones étaient plus prédisposés à céder à la tentation du crime que les autres gens? -) Je pense bien entendu à l'ouvrage qui ETAIT intitulé en français: "Etes-vous libre? Le problème du déterminisme", et qui fut brièvement disponible après sa sortie en 2009.. Passons, de peur que quelqu'un m'accuse de sarcasme aussi gratuit que le fameux acte de Lafcadio dans "Les caves du Vatican" de Gide, voire de diffamation... Ou, tout au moins, de "procès d'intention"! Juste ceci pour finir: si une considération purement rationnelle suffit à faire taire vos affects et à vous faire garder votre sang-froid, je vous en félicite: vous êtes alors à mon avis du moins, d'une "fermeté d'âme" digne de celles de Sénèque et de Marc Aurèle réunis..
@@Oscar7468 Ne me félicitez pas, je ne décide librement de rien. Mais vous pouvez partager avec moi enthousiaste cette conscience d’absence de libre arbitre.
il me semble totalement absurde de prendre Einstein comme exemple de sagesse sur ce sujet ( comme quand on le cite à outrance sur tout et n'importe quoi...), tout le monde sait que c'était un ''humain'' imbuvable et que ses seules vraies qualités furent son sens des mathématiques et son incroyable imaginaire scientifique.
Lorsque l'on parvient à mettre à jour les fourvoiements intellectuels et émotionnels qu'inflige l'illusion du libre arbitre aux êtres humains, on ne peut être étranger aux désirs profonds qui les assaillent. Et, l'essentiel est là : "...me réconcilie avec les actions des autres, même si elles sont pénibles pour moi. Cette conscience d'absence de libre arbitre m'empêchera de me prendre moi-même ainsi que mes collègues trop au sérieux, et de perdre mon sang-froid..." En confessant une telle déduction, il est impossible d'ignorer la sagesse, ainsi, même les pires calomnies ne peuvent entamer cette évidence.
@@claudiasilvanavarrete6238 croyez bien que je ne persiste pas à répondre juste pour "avoir le dernier mot", ni par pur esprit de contradiction; j'aimerais juste mieux comprendre: oui, il y a choix de chacun, soit; mais ce choix est-il LIBRE, selon vous? Car enfin, il me semble qu'il faut bien une raison pour choisir de faire une chose plutôt qu'une autre! Nous ne jouons pas nos décisions "à pile ou face", tout de même!?..
@@Oscar7468 cela dépend de chacun encore une fois car les raisons pour lesquelles on choisit une chose plutôt qu'une autre sont liées pour la plupart à nos émotions tout d'abord et à nos croyances ensuite sans oublier notre éducation et l'image qu'on veut porter comme modèle si on a des enfants La liberté est déjà là pour ma part La prise de conscience l'entendement et consentement éclairé avec soi-même
45:12 sa remarque '' ça c'est Kant c'est pas Sartre''..... alors que c'était bien Sartre... est purement dû à sa position de pseudo ''mâle dominant'' ..un exemple choquant de bitocratie ou le type se permet de couper l'intervenante en la traitant comme une gamine ...
Nous faisons le choix qui nous à fait être faisant le choix (puisque nous ne sommes pas " de nous mêmes" ,mais concourront à être modes de la Substance
J'ai coupé à 10 minutes quand j'ai entendu "l'autonomie était favorisée dans les années 70 notamment à travers les mouvements auto-gestionnaires". Euuuuh on parle ici d'autonomie collective, pas individuelle. Chapeau l'artiste, ça c'est ce qui s'appelle préparer une émission. Bref on a compris qu'on avait autour de la table des "philosophes" convoqués pour réhabiliter l'idée d'autonomie individuelle et de libre arbitre tel que le réclame l'idéologie libérale dont ils sont les porte-drapeau. Tout en feignant d'être libres et nuancés et "raisonnables" comme le veut la norme. Dieu qu'on à régréssé dans la pensé, et dire que ces gens la sont des "intellectuels"... France Cul-de-sac libéral, TINA. Rideau. Comprenne qui pourra.
Un des philosophes a effleuré rapido la question de la pédophilie en disant '' Prenez le pédophile, il ne peut pas s'empêcher!'' Monsieur le philosophe, UN HOMME ÇA S'EMPÊCHE!!! Quand le détraqué commet son crime, agit-il par son libre arbitre....bien sûr que oui. Personne ne le force à agir ainsi. Et cet individu peut-il exercer son libre arbitre pour immédiatement aller consulter un psychiatre ou psychologue pour aller chercher de l'aide? Bien sûr que oui, mais il ne le fait pas. Pourquoi? Parce que, comme le toxicomane, son libre arbitre choisit de poursuivre ses actions qui lui procurent du plaisir. Et quand je parle de libre arbitre, j'entends faire le choix de l'action de vouloir, DE VOULOIR!
.. non ... définitivement non. et vous savez pourquoi vous en êtes venu à cette conclusion erronée ? et bien tout simplement parce que vous jugez le pédophile selon une norme, le sujet '' hors norme'' ne peut pas être jugé selon une norme, ainsi de même les pulsions du sujet hors normes ne peuvent pas être comparées à celles du sujet dans la norme ...un malade mental n'a pas toute sa raison et il ne peut en effet se soustraire à ses pulsions ..( cela ne veut pas dire qu'il ne doit pas être enfermé, mais cela veut dire qu'il ne peut pas être jugé responsable. )
Responsabilité et Culpabilité sont différents. Personne n'est en fait coupable car on est tous programmés pour être ce qu'on est. Y a aucun choix. Par contre, la responsabilité est lié l'acte, abstraction faite, de la volonté ou du choix de celui qui le commet. Les pédophiles, les psychopathes et les pervers narcissique ne sont pas coupables de ce qu'ils sont, soit, mais ils sont responsables. Alors on les enferme faute de ne pouvoir les éliminer. C'est la seule solution efficace qui reste
C'est pas de ma faute si j'entre dans les toilettes des femmes, parce que je suis déterminé à avoir envie de pisser à ce moment là. Le sociologue est un sociologue, il n'y a pas de doute...Et pas trop de fiabilité du coup.
nous sommes des êtres qui faisons des expériences, certaines expériences sont positives d'autres négatifs, le libre arbitre appartient à chacuns de nous, se que veut dire et que nos pensées sont des facteurs de crées nos actions humaines. Une parole que je veux exprimer et que nous sommes tous confrontés à la façon dont nous avons entendu. Merci
@@dextrogyren : demandez-vous peut-être si nous sommes libres de penser et d'agir, au sens absolu: - si oui, quelle serai(en)t la (les) raison(s) de penser (et de faire) telle chose plutôt qu'une autre, contrairement au choix que ferait telle ou telle autre personne par exemple, qui serait tout aussi "libre"; - si non, la question de la liberté ne se pose même pas. Pour le peu que je puisse comprendre moi-même de la dernière phrase de mailka manuel, elle me semble étrangère au sujet.
ba non rien ne veut pas rien dire rien signifie rien mais ne veut pas rien dire puisque il veut dire rien. Rien est le sens du mot rien mais ça ne veut pas rien dire au sens propre du mot
Bonjour, l'expression « rien ne veut rien dire » peut être comprise d'au moins deux façons totalement antithétiques (d'où son intérêt) : 1. rien ne signifie quelque chose, il n'y a rien qui soit signifiant, tout est donc vide de sens ; 2. rien ne signifie pas quelque chose, il n'y a rien qui soit insignifiant, tout signifie donc toujours quelque chose ; 3. une troisième lecture serait : le mot « rien » ne veut rien dire, idée défendue notamment par l'écrivain Nicolas Bouvier : « "Rien" est un mot spécieux qui ne veut rien dire. "Rien" m'a toujours mis la puce à l'oreille. »
@@rienneveutriendire la troisième lecture: "rien" ne signifie rien , serait donc l'autre appelation du chaos ou obscurité des choses, lorsqu'elles sont en négativité ou sans issue
Aucun des invités ne vient des sciences expérimentales (la « neuroéthique » n’est pas de la neurobiologie). Tout le monde parle de sociologie et d’histoire. C’est quelquefois intéressant. Mais entre deux blagues sur leur incompréhension du vocabulaire en neurosciences, on réutilise un verbiage de philosophes dans leur entre-soi. Aucun vrai neuroscientifique n’est présent - le seul spécialiste qui aurait des réponses concrètes à apporter. On entend parler de Sade et de Freud. Mais pas une fois on n’entend parler des synthèses de Damasio ou de Harris, ni d’aucun vrai spécialiste du cerveau. Par contre, des concepts psychanalytiques et existentialistes, en veux-tu en voilà... Fatigue... Mais enfin merci d’avoir essayé.
D'autres 'Vendredis de la philosophie' : bit.ly/2JhT6BA
Bonjour, vous utilisez largement nos émissions sans autorisation... Comment vous contacter? Florent Latrive (directeur délégué au numérique, France Culture)
@@FranceCulture à la libre pensée.. Fc aurait des royalties ? On reste ds le domaine publique ou bien ou quoi ?
Hey je vous salue
@@FranceCulture PAAmaaaaaaa
Vous devriez continuer votre magnifique travail sur cette chaîne
Merci d'être là, de vos partages philosophiques, la générosité, c'est important pour nous, jeunes, moins jeunes ou vieux
Merci beaucoup ! Quel plaisir d'écouter des émissions intelligentes qui invitent à penser !
Je viens de me rendre compte que cette chaîne ne publiera plus rien ...décidément la bêtise n'a point de fond ....j'en suis sincèrement désolée pour vous...In fine c''est donc un vrai trésor que je viens de découvrir !!!!! merci de l'avoir laissée telle quelle figée au milieu du temps... son exploration n'en sera que plus délicieuse.....🌬🎏
@André coloma la démocratie en France est en état de mort cérébrale.
Nouvellement abonnée ,je découvre votre chaîne, c'est comme si j'avais trouvé une étrange malle au fond d'un vieux grenier contenant ....de nombreux trésors. Merci, la thématique est passionnante ! échanges de haut vol j'adore! 🌬🎏
merci pour le travail de diffusion
Passionnant, merci pour le partage!
Merci ! Très intéressant.
Comment parvenir à concevoir qu'un élément soit libre au sein d'un univers qui est naturellement donc totalement déterminé (les cycles, les éclipses solaires ect) ? L'illusion du choix en tant que cause de tous nos actes, ne se situerait il pas uniquement dans la notion de survie et dans les moyens d'y parvenir, ainsi que la nécéssité d'exister ? Survie qui semble etre la cause premiere et déterminante de nos choix quotidiens, mais qui reste néanmoins instinctive et innée (Eros). Car même les choix qui n'auraient pas de liens évidents avec la survie en ont toujours à un niveau latent, inconscient. A ce stade, seule la volonté en soi selon Schopenhauer serait au commande, ce qui exclue la possibilité d'une volonté véritablement autonome. Merci pour vos émissions !
on est "agi " par volonté de suivre un chemin ou de ne pas le suivre
Par coeurs inter-posés ...
Vous en auriez mérité un. 🫀
@@simoncussoneytoreller8134nous n'avons pas le choix.
Je vous remercie pour ce contenu enrichissant, édifiant et très instructif ! Ce travail nous permet d'avoir une base solide en philo et j'aimerais bien que vous fassiez une série de vidéos sur les idées platonicienne, puisqu'on y trouve pas. Et j'ai hâte de suivre les cours à venir.
Emission très intéressante et instructive, y compris par le souci constant des intervenants de proposer des explications hétérogènes:
essentiellement relatives à des domaines différents ( quel rapport entre la question de l'automne sociale et celle des déterminations neurobiolologiques, par exemple..),
et donc manifestement "ad hoc" à la fois par elles-mêmes et par leurs mises en relation, tout cela pour sauver la notion de libre arbitre mise à mal par les avancées de la connaissance permises par les progrès des neurosciences.
La société et ses contraintes et la marge d'autonomie qu'elle peut permettre malgré tout, sont une chose,
les mécanismes de l'activité cérébrale en vue d'une décision me semblent en être une autre, toute différente par sa nature même.
Une telle pratique du mélange des genres me paraît assez révélatrice de l'embarras où se trouve actuellement, pour le coup bel et bien la société, pour tenter de concilier à tout prix même l'inconciliable.
En oubliant de prendre en compte ce qui permettrait PEUT-ETRE véritablement de rendre compatibles
détermination et "liberté" (de choix): à savoir la différence entre les actes vus
- de l'extérieur, "objectivement, à la troisième personne,
- vécus comme expériences subjectives, donc à la première..
La sociologie ayant pour sa part un champ d'application sinon indépendant, du moins distinct .
Bonjour. Je vous écris pour vous remercier de tous vos posts, excellents, magiques, un pur bonheur dans nos vies et également vous demander si vous allez bien, j'ai constaté que depuis 1 an vous n'avez plus rien posté. S'il vous plaît, donnez-nous de vos nouvelles ?
En août 1932, Albert Einstein écrit " Mon Credo", un document dans lequel il détaille ses idées sur l'homme, la société et la politique. Écrit à la main, ce document est ensuite confié à Konrad Wachsmann, l'architecte de sa maison d'été. Quelques mois plus tard, Einstein lit son credo à haute voix pour la ligue allemande des droits de l'homme. Un enregistrement sonore en est produit (vous pouvez en écouter un extrait en cliquant sur ce lien "Einstein's Credo").
Or, en épluchant ce document, on apprend plusieurs choses surprenantes sur la façon dont Einstein concevait la nature humaine, et notamment le fait qu'Einstein ne croyait pas... au libre arbitre.
Voici un extrait du credo d'Einstein, consacré précisément à sa conception du libre-arbitre :
"Je ne crois pas au libre-arbitre. Les mots de Schopenhauer: « L'homme peut faire ce qu'il veut, mais il ne peut pas vouloir ce qu'il veut », m'accompagnent dans toutes les situations tout au long de ma vie, et me réconcilient avec les actions des autres, même si elles sont pénibles pour moi. Cette conscience d'absence de libre arbitre m'empêchera de me prendre moi-même ainsi que mes collègues trop au sérieux, et de perdre mon sang-froid".
#Bar FREEWONT, pour ma part je partage tout à fait l'idée de Schopenhauer; cela me console
du reste un peu de sa misogynie absurde:
il ne pouvait vouloir s'en débarrasser;
outre qu'heureusement, son lecteur,
lui, peut très bien la laisser de côté s'il le désire, notamment parce que son retrait n'enlève rien
ni à la cohérence ni à la plausibilité de la doctrine de Schopenhauer.
Cela dit, j'ai pour ma part, justement, du mal à vouloir/pouvoir rester de marbre face au brouillage
des repères et des notions auxquels se livrent trop souvent à mon goût les intervenants
e cette émission,
qui en prennent un peu trop leurs aises à mon goût avec le caractère foncièrement hétérogène
de notions telles que le libre arbitre philosophique,
l'économie, libérale ou non, les déterminations sociales, et celles qui proviennent de notre structure
psychologique profonde -sans qu'il soit besoin de recourir aux lésions cérébrales ou autres kystes,
pour expliquer des comportements déviants et malfaisants.
Pendant les cours de "calcul", mon institutrice disait volontiers, à propos de procédés analogues,
qu'il ne fallait pas mélanger les carottes et les cerises...
J'ajouterais pour ma part, pardon pour le jeu de mots facile et un peu forcé en plus:
"de peur qu'il n'en résulte de la fumée", bref, de l'enfumage.
Et pourtant: de plus en plus la sociologie semble appelée au secours de la métaphysique...
Comme si les institutions judiciaires avaient absolument besoin du concept flou
de "responsabilité"
pour infliger des sanctions soit dissuasives soit réparatrices, soit les deux, aux membres
de la collectivité lésés par de tels comportements.
Au point, par exemple, de dissuader certains éditeurs, comme Syllepse pour ne pas le nommer (lol),
d'arrêter net la diffusion d'ouvrages qui, tels ceux de Ted Honderich
par exemple, montrent par A + B que la notion de liberté métaphysique est devenue une position
intenable
(alors que, juste pour l'anecdote, les versions anglaise et allemande notamment sont toujours
disponibles, elles,
- un peu comme si les francophones étaient plus prédisposés à céder à la tentation du crime que
les autres gens? -)
Je pense bien entendu à l'ouvrage qui ETAIT intitulé en français:
"Etes-vous libre? Le problème du déterminisme", et qui fut brièvement disponible après sa sortie
en 2009..
Passons, de peur que quelqu'un m'accuse de sarcasme aussi gratuit que le fameux acte de Lafcadio
dans "Les caves du Vatican" de Gide, voire de diffamation...
Ou, tout au moins, de "procès d'intention"!
Juste ceci pour finir: si une considération purement rationnelle suffit à faire taire vos affects
et à vous faire garder votre sang-froid,
je vous en félicite: vous êtes alors à mon avis du moins, d'une "fermeté d'âme" digne de celles
de Sénèque et de Marc Aurèle réunis..
@@Oscar7468 Ne me félicitez pas, je ne décide librement de rien. Mais vous pouvez partager avec moi enthousiaste cette conscience d’absence de libre arbitre.
il me semble totalement absurde de prendre Einstein comme exemple de sagesse sur ce sujet ( comme quand on le cite à outrance sur tout et n'importe quoi...), tout le monde sait que c'était un ''humain'' imbuvable et que ses seules vraies qualités furent son sens des mathématiques et son incroyable imaginaire scientifique.
Lorsque l'on parvient à mettre à jour les fourvoiements intellectuels et émotionnels qu'inflige l'illusion du libre arbitre aux êtres humains, on ne peut être étranger aux désirs profonds qui les assaillent.
Et, l'essentiel est là : "...me réconcilie avec les actions des autres, même si elles sont pénibles pour moi. Cette conscience d'absence de libre arbitre m'empêchera de me prendre moi-même ainsi que mes collègues trop au sérieux, et de perdre mon sang-froid..."
En confessant une telle déduction, il est impossible d'ignorer la sagesse, ainsi, même les pires calomnies ne peuvent entamer cette évidence.
@@barfreewont1123 : faute de pouvoir vous féliciter, je dirai donc simplement que je m'en réjouis!
Merci !
magnifique. merci
Merci
Super merci !!
Nous sommes ce
que l'on fait de nous.
Nous sommes ce
que l'on en fait.
Alors que nous
devons être ce que
nous sommes en
nous.
CSN
Reste juste à savoir si nous pouvons, en rejetant le DEVOIR, aussi bien NE PAS "être ce que nous sommes en nous"....
@@Oscar7468 c'est le choix de chacun
@@claudiasilvanavarrete6238 croyez bien que je ne persiste pas à répondre juste pour "avoir le dernier mot", ni par pur esprit de contradiction; j'aimerais juste mieux comprendre:
oui, il y a choix de chacun, soit; mais ce choix est-il LIBRE, selon vous?
Car enfin, il me semble qu'il faut bien une raison pour choisir de faire une chose plutôt qu'une autre! Nous ne jouons pas nos décisions "à pile ou face", tout de même!?..
@@Oscar7468 cela dépend de chacun encore une fois car les raisons pour lesquelles on choisit une chose plutôt qu'une autre sont liées pour la plupart à nos émotions tout d'abord et à nos croyances ensuite sans oublier notre éducation et l'image qu'on veut porter comme modèle si on a des enfants
La liberté est déjà là pour ma part
La prise de conscience l'entendement et consentement éclairé avec soi-même
@@claudiasilvanavarrete6238 là, cette fois, je peux tomber d'accord avec vous!
Bonne nuit!
Plus d'uploads ?
Connaissez-vous le générique de l'émission, la musique qu'on entend au début et à la fin?
Non
La musique du fond est très ennuyeuse ,même un peu au début !!
45:12 sa remarque '' ça c'est Kant c'est pas Sartre''..... alors que c'était bien Sartre... est purement dû à sa position de pseudo ''mâle dominant'' ..un exemple choquant de bitocratie ou le type se permet de couper l'intervenante en la traitant comme une gamine ...
Blblblbl.
ou du paon qui fait la roue de sa science infuse, même s'il à compris certaines choses essentielles et métaphysiques
Ce qui montre au passage combien l’homme est esclave de ses hormones. Merci de l’avoir souligné.
Ca s appelle la precision et le refus de la confusion et de la betise. Ca marche dans tous les sens
Revenez svp !! on a besoin de vous...
❤
Très belle émission svp pouvez vous rendre quelques vidéos téléchargeable
Nous faisons
le choix ou
c'est le choix
qui nous fait?
CSN
Nous faisons le choix qui nous à fait être faisant le choix (puisque nous ne sommes pas " de nous mêmes" ,mais concourront à être modes de la Substance
Khey t'es encore vivant ?
par contre, il faudrait penser à changer l'animateur
J'ai coupé à 10 minutes quand j'ai entendu "l'autonomie était favorisée dans les années 70 notamment à travers les mouvements auto-gestionnaires". Euuuuh on parle ici d'autonomie collective, pas individuelle. Chapeau l'artiste, ça c'est ce qui s'appelle préparer une émission. Bref on a compris qu'on avait autour de la table des "philosophes" convoqués pour réhabiliter l'idée d'autonomie individuelle et de libre arbitre tel que le réclame l'idéologie libérale dont ils sont les porte-drapeau. Tout en feignant d'être libres et nuancés et "raisonnables" comme le veut la norme.
Dieu qu'on à régréssé dans la pensé, et dire que ces gens la sont des "intellectuels"... France Cul-de-sac libéral, TINA. Rideau. Comprenne qui pourra.
Il y a quand même un bourdieusien dans le lot...
Au moins, on a le point de vue des libéraux faut aller écouter l autre opinion maintenant
@@MrCyberElephant C est vrai que Bourdieu est vraiment le sommet de la pensee... Pourquoi pas Onfray ?
Un des philosophes a effleuré rapido la question de la pédophilie en disant '' Prenez le pédophile, il ne peut pas s'empêcher!'' Monsieur le philosophe, UN HOMME ÇA S'EMPÊCHE!!! Quand le détraqué commet son crime, agit-il par son libre arbitre....bien sûr que oui. Personne ne le force à agir ainsi. Et cet individu peut-il exercer son libre arbitre pour immédiatement aller consulter un psychiatre ou psychologue pour aller chercher de l'aide? Bien sûr que oui, mais il ne le fait pas. Pourquoi? Parce que, comme le toxicomane, son libre arbitre choisit de poursuivre ses actions qui lui procurent du plaisir. Et quand je parle de libre arbitre, j'entends faire le choix de l'action de vouloir, DE VOULOIR!
.. non ... définitivement non. et vous savez pourquoi vous en êtes venu à cette conclusion erronée ? et bien tout simplement parce que vous jugez le pédophile selon une norme, le sujet '' hors norme'' ne peut pas être jugé selon une norme, ainsi de même les pulsions du sujet hors normes ne peuvent pas être comparées à celles du sujet dans la norme ...un malade mental n'a pas toute sa raison et il ne peut en effet se soustraire à ses pulsions ..( cela ne veut pas dire qu'il ne doit pas être enfermé, mais cela veut dire qu'il ne peut pas être jugé responsable. )
Responsabilité et Culpabilité sont différents. Personne n'est en fait coupable car on est tous programmés pour être ce qu'on est. Y a aucun choix. Par contre, la responsabilité est lié l'acte, abstraction faite, de la volonté ou du choix de celui qui le commet. Les pédophiles, les psychopathes et les pervers narcissique ne sont pas coupables de ce qu'ils sont, soit, mais ils sont responsables. Alors on les enferme faute de ne pouvoir les éliminer. C'est la seule solution efficace qui reste
Le L.B Tel le Shibori 🤳
C'est pas de ma faute si j'entre dans les toilettes des femmes, parce que je suis déterminé à avoir envie de pisser à ce moment là.
Le sociologue est un sociologue, il n'y a pas de doute...Et pas trop de fiabilité du coup.
nous sommes des êtres qui faisons des expériences, certaines expériences sont positives d'autres négatifs, le libre arbitre appartient à chacuns de nous, se que veut dire et que nos pensées sont des facteurs de crées nos actions humaines. Une parole que je veux exprimer et que nous sommes tous confrontés à la façon dont nous avons entendu. Merci
J'aimerais tellement vous comprendre!
@@dextrogyren : demandez-vous peut-être si nous sommes libres de penser et d'agir, au sens absolu:
- si oui, quelle serai(en)t la (les) raison(s) de penser (et de faire) telle chose plutôt qu'une autre, contrairement au choix que ferait telle ou telle autre personne par exemple, qui serait tout aussi "libre";
- si non, la question de la liberté ne se pose même pas.
Pour le peu que je puisse comprendre moi-même de la dernière phrase de mailka manuel, elle me semble étrangère au sujet.
Bonjour moi aussi j'ai une chaine
ba non rien ne veut pas rien dire rien signifie rien mais ne veut pas rien dire puisque il veut dire rien. Rien est le sens du mot rien mais ça ne veut pas rien dire au sens propre du mot
Bonjour, l'expression « rien ne veut rien dire » peut être comprise d'au moins deux façons totalement antithétiques (d'où son intérêt) :
1. rien ne signifie quelque chose, il n'y a rien qui soit signifiant, tout est donc vide de sens ;
2. rien ne signifie pas quelque chose, il n'y a rien qui soit insignifiant, tout signifie donc toujours quelque chose ;
3. une troisième lecture serait : le mot « rien » ne veut rien dire, idée défendue notamment par l'écrivain Nicolas Bouvier : « "Rien" est un mot spécieux qui ne veut rien dire. "Rien" m'a toujours mis la puce à l'oreille. »
@@rienneveutriendire la troisième lecture: "rien" ne signifie rien , serait donc l'autre appelation du chaos ou obscurité des choses, lorsqu'elles sont en négativité ou sans issue
Aucun des invités ne vient des sciences expérimentales (la « neuroéthique » n’est pas de la neurobiologie). Tout le monde parle de sociologie et d’histoire. C’est quelquefois intéressant. Mais entre deux blagues sur leur incompréhension du vocabulaire en neurosciences, on réutilise un verbiage de philosophes dans leur entre-soi. Aucun vrai neuroscientifique n’est présent - le seul spécialiste qui aurait des réponses concrètes à apporter. On entend parler de Sade et de Freud. Mais pas une fois on n’entend parler des synthèses de Damasio ou de Harris, ni d’aucun vrai spécialiste du cerveau. Par contre, des concepts psychanalytiques et existentialistes, en veux-tu en voilà... Fatigue... Mais enfin merci d’avoir essayé.