Choisir son école d’ingénieur

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  • Опубліковано 18 січ 2024

КОМЕНТАРІ • 14

  • @thetom65978
    @thetom65978 5 місяців тому +4

    Les écoles généralistes vont bien plus loin que le top 5/7, Telecom est une école généraliste

    • @Soulergonote
      @Soulergonote 5 місяців тому +1

      Je pense pareil, on peut suivre un cursus généraliste et trouver sa spé de prédilection même dans une école de milieu de classement. Cependant c'est peut être plus judicieux dans ce cas là de trouver une école plus spécialisée qui compense un classement moyen par une renommée dans son domaine (informatique, énergie...)

  • @lh9135
    @lh9135 5 місяців тому +2

    Et la meilleure école pour les bacheliers scientifiques français reste l’EPFL (top 15 mondial) loin devant l’X (top 60). Le niveau d’admission a encore été renforcé pour l’admission de septembre 2024 (toujours le bac mention TB minimum, mais avec aussi 16/20 au minimum à l’épreuve finale du bac en spé. maths et physique, notes non-compensatoires, ce qui signifie une moyenne de 18/20 minimum par sécurité toute l’année dans ces deux matières).
    5.000 élèves ingénieurs et doctorants français sont présents sur le campus à Lausanne en progression constante depuis 20 ans (avec une accélération de +35% des inscrits entre 2021 et 2023). Sur la base de cette tendance, cela confirme l’équivalent de 36 des meilleurs classes de MPSI/MP2I des prépas d’élite tricolores inscrites au bord du lac Léman lors de cette rentrée universitaire 2024.
    En revanche c’est une école d’ingénièrie de niveau mondial : pour exemple sa section informatique se situe, d’après certains recruteurs, juste après celle de Stanford considérée comme la meilleure mondiale, et son corps enseignant est sous la houlette du professeur Karl Haberer. Cette section comporte dans chaque domaine étudié en « computer science » un enseignant-chercheur envié par les meilleures universités/écoles de la planète, avec des salaires de sortie situés entre deux et trois fois celui de l’X. L’inscription pour admission à l’EPFL est à réserver aux profils acceptant de travailler intensivement, tout en gardant un minimum de vie sociale, et qui sont autonomes et réguliers dans leur apprentissage sur une séquence de 14 semaines avant examen (durée d’un semestre). Il s’agit d’un système universitaire, loin du modèle des prépas française avec leur encadrement quotidien ne nécessitant que très peu de prise en charge et de rigueur personnelle, les professeurs étant là pour le cadrage journalier, système français ayant ses qualités par ailleurs à réserver aux profils manquant de maturité.

    • @octavekoenig8597
      @octavekoenig8597 5 місяців тому

      Non

    • @lh9135
      @lh9135 5 місяців тому

      @@octavekoenig8597 Pour septembre 2025 l’EPFL vient d’enclencher la procédure ramenant le nombre d’admis français à seulement 850 places environ. C’est presque moitié moins que les 1.600 admis français attendus en septembre 2024.
      Fait nouveau, les admis en septembre 2025 seront choisis sur la base du classement des meilleures moyennes au bac (toujours avec spé. maths et physique) dans les demandes d’admission. Un numérus clausus réservé aux meilleurs bacheliers scientifiques français, ce sont les 20 meilleurs MPSI/MP2I qui vont migrer à Lausanne et manquer à l’X et CS ! L’écart entre l’EPFL top 15 mondiale et l’X top 60 ne va que s’accroître !
      C’est ainsi, mais s’il vous plaît de croire aux fariboles…
      Je vous invite aussi à consulter la lettre ouvertes signée des 300 polytechniciens demandant en 2017 à ce que la stratégie de développement de l’X en chute dans tous les classements internationaux s’inspire de celle gagnante de l’EPFL ! 7 ans plus tard c’est encore plus flagrant.

    • @clemsim2623
      @clemsim2623 2 місяці тому

      @@lh9135
      1) le niveau d’un X en maths reste incomparable à celui d’un EPFL.
      2) l’X bénéficie d’une place de choix dans les programmes doctoraux aux US, en atteste le nombre exorbitants d’étudiants en 4ème année qui partent dans des top Ivy Leagues comme MIT, Harvard, Stanford, etc… Donc les élèves n’ont pas vraiment besoin de s’inquiéter pour leur spécialisation.
      3) La stratégie de l’école n’est pas de grossir ses effectifs pour grossir sa visibilité dans les classements internationaux. D’ailleurs, la tendance générale est à l’abandon de cet objectif, à en croire la récente décision de votre chère université de Zurich ?

    • @lh9135
      @lh9135 2 місяці тому

      @@clemsim2623
      1/ Sur quelle base avérée affirmez-vous cela ? Il se trouve que les étudiants de l’EPFL en échange à Ulm n’ont pas vraiment de problème concernant leur niveau en mathématique ! Pour l’X, les commentaires des étudiants de l’EPFL en retour d’échange sont édifiants sur la qualité des cours un peu « poussiéreux » ainsi que sur l’investissement de 90/95% des élèves dans… le sport et les activités festives. Heureusement, il reste 5/10% de polards qui permettent à la réputation de l’X de perdurer. Pour combien de temps encore ? Par ailleurs, vous noterez que l’X fait sa campagne de recrutement 2024 sur YT en expliquant qu’en l’intégrant on pourra aller en double-diplôme à l’EPFL 😉 !
      2/ Ai-je écrit le contraire ? A noter aussi qu’un échange universitaire en 4ème année de cycle ingénieur n’est pas le début d’un cycle doctoral, sauf erreur de ma part !
      3/ Documentez-vous avant d’interpréter la stratégie des écoles fédérales suisses. Dans les trois systèmes d’enseignement de rang mondial, Ivy league-Universités californiennes, OxBridge+Imperial, ETHZ/EPFL, seule la Suisse offre la gratuité des frais annuels de scolarité (1600 euros vs 50/80000 $ ou 35/60000 £). Grace à cette gratuité, le nombre des étudiants a doublé en 20 ans en Suisse pour les deux écoles fédérales. C’est sans équivalent. Le budget n’a lui été augmenté que de 50%. C’est pour cette raison que les deux écoles ont sans cesse relevé le niveau d’admission puis de sélection en fin de première année. De plus, l’EPFL va mettre en place un numérus clausus, dès 2025 à 3000 admis, en BA1 qui impactera les candidatures étrangères (90% de français) sur la base des notes en mathématiques et en physique à l’épreuve du baccalauréat. L’ETHZ réfléchit à la même stratégie.
      On est donc loin de vouloir diminuer les effectifs, mais dans un souhait à budget équivalent de pouvoir investir plus fortement dans le corps professoral et les domaines scientifiques et laboratoires de recherche, et non de financer le nombre exponentiel d’admis en première année. C’est bien différent de vos affirmations françaises !
      Enfin, vous n’aurez pas manqué de constater la baisse du salaire moyen de sortie de l’X entre 2023 et 2022 (source 2024 l’étudiant et l’AX), là où ceux de l’ETH et de l’EPFL, déjà deux à trois fois supérieurs à ceux de l’X, continuent d’augmenter !
      Allez pour vous taquiner, allez aussi consulter les programmes de maths de Princeton, Harvard, Cambridge, de l’EPFL ou même celui du bachelor of science de l’X, dispensé par les professeurs de l’X eux-même, avant de continuer à colporter la légende du niveau en maths de l’X par rapport au reste du monde. Avec ce même bachelor of science on intègre très bien le cycle ingénieur et on le réussit très bien aussi. Il est simplement à 45 keuros/3ans, loin des 4800 euros/3 ans à Lausanne ou Zurich !

    • @lh9135
      @lh9135 2 місяці тому

      @@clemsim2623 1/ Pourquoi alors les élèves de l’EPFL en échange à Ulm n’ont-ils aucun problème de niveau en mathématiques ?