Sujet de mon mémoire (impact climatique des avions en particulier des contrails), je suis content qu'un spécialiste vienne en parler car elles sont beaucoup trop souvent oubliées lorsque l'on parle de pollution due au trafic aérien... Pour ceux qui désirent plus de détails : - 10:13 Tout a fait, on nomme ces noyaux, noyaux de condensation ou de congélation en fonction de s'ils donnent des gouttelettes ou des cristaux de glace. Les Cirrus étant des nuages de glace (car temp et pression basses), on parle donc ici de noyaux de congélation (ou glacigènes, glaçogènes). - La suie n'est rejetée qu'en petite proportion en réalité. C'est d'ailleurs la plus petite proportion de ce qui est rejeté par les réacteurs. D'autres gaz comme les oxydes d'azote (NOx) sont très embêtant car ils vont réagir dans l'atmosphère pour générer de l'ozone O3, vont produire des aérosols qui vont servir de noyaux glacigènes et détruisent par réaction chimique l'ozone stratosphérique "naturel". De plus, ils sont toxiques pour l'homme (inflammation pulmonaire). Ces NOx sont les gaz les plus rejetés après le CO2 puis la vapeur d'eau. Il n'y a donc pas que la suie qui contribue à créer des noyaux mais également les gaz rejetés qui produisent par réaction dans l'atmosphère des noyaux. - L'effet dont on parle pour former les traînées de condensation est un effet indirect (albédo). On réalité on en a principalement deux (Twomey qui engendre l'albédo et Albrecht pour les intéressés). En gros on réfléchit le rayonnement infra-rouge émis par la Terre la nuit (donc comme une couverture, on réchauffe) et on réfléchit les rayonnements solaires la journée (comme un parasol donc effet refroidissant). Le bilan global est tout de même réchauffant. Pour l'effet direct, il s'agit de la capacité des particules de suie à absorber la lumière (et la suie est un très bon "absorbant") donc il y a aussi réchauffement. D'autres particules sont au contraire de bons diffuseurs (la particule réfléchit le rayonnement) donc ayant un effet refroidissant à l'instar des sulfates, produits par oxydation de SO2 (gaz rejeté par les réacteurs). - 12:52 Les noyaux n'ont pas tous une très bonne capacité à nucléer la vapeur d'eau. Un noyau hygroscopique (qui a une bonne affinité avec l'eau) est plus efficace qu'un noyau qui ne l'est pas, donc cela dépend. Typiquement NOx peut produire des nitrates qui sont fortement hygroscopiques donc très efficace. - 26:06 : Les traînées disparaissent de plusieurs manières : soit par diffusion (un peu comme une toile que l'on étire), soit en ayant des cristaux qui vont être suffisamment gros pour descendre en altitude et pouvoir se précipiter et se sustenter en fines gouttelettes, soit par convection, soit par sublimation. Il y a plein de façons et il peut parfois se produire plusieurs de ces effets sur une même traînée.
Merci pour les détails que vous partagez... toujours intéressant d'ajouter des données à la réflexion... (sans jeu de mot 😋) Dans votre travail sur le sujet, avez vous eu l'occasion de vous rapprocher des personnes ou du travail fait par une équipe internationale qui avait étudié cette question par des mesures d'impact lors des événements du 11-09-2001, le trafic aérien avait été gelé suite aux attentats pendant une dizaine de jours, et cette équipe avait constaté une augmentation de la variation des températures entre le jour et la nuit, du fait de la quasi absence de traînées... Il devrait aussi être intéressant de voir si le travail a été suivi pendant la période covid, du fait là aussi du quasi arrêt des vols pendant une longue période... Merci si vous pouviez m'apporter une info complémentaire...
Autre question, si on sait que les traînées sont surtout produites au dessus de 8000 mètres, faire plafonner les vols à 7500 mètres pourrait-il apporter une amélioration "instantanée", sachant que dans ce cas, les réacteurs consommeront plus... mais que rapidement, les fabricants arriveront peut être à optimiser les réacteurs à cette altitude... même si l'aérodynamique elle restera plus contraignante...??? Merci si vous savez apporter un peu de lumière.
@@paddycitron5925 Pour votre premier commentaire, je ne me suis pas intéressé à la période du 11 septembre mais d'autres rapports pendant la période du COVID19 ont permis de mettre en valeur l'effet immédiat de l'arrêt des traînées de condensation ainsi que pour les émissions CO2. Néanmoins le GIEC estime que le trafic aérien continuera de croître de 3 à 4% pour les deux prochaines décennies, ce qui rend illusoire un trafic aérien réduit comme il était le cas en 2020. Pour votre second commentaire, la réflexion est pertinente car en effet les turboréacteurs à double flux (la majorité des réacteurs actuels) sont optimisés pour des hautes altitudes. En dessous, ce sont plutôt les turbopropulseurs qui deviennent avantageux mais ils ne permettent pas les mêmes performances (capacité d'emport, distances...). C'est pour cela que les solutions sont plus compliquées à prendre. D'un point de vue scientifique, on cherche à déterminer vers quoi penche la balance : une élimination des traînées pour tant de carburants en plus, est-ce profitable d'un point de vue écologique ? Ce sont encore des questions en cours d'études et qui méritent tout intérêt mais une fois la question scientifique "résolue" vient la politique, l'économie et bien d'autres facteurs qui aboutissent à une solution parfois en décalée avec ce que préconise les études scientifiques.
@@vincefighterpilot349 Merci de votre réponse. Concernant le changement d'altitude, le type de propulsion est-il si important? car il me semblait que la raison principale du turboréacteur double flux se trouvait dans la vitesse d'exploitation supérieure (la vitesse des hélices limitant la vitesse des avions autours de 700 km/h...) , et son rapport de consommation... On doit bien pouvoir optimiser le turboréacteur pour des altitudes de l'ordre de 7500 m... Par contre le travail fait sur le turbofan (non caréné) qui est un peu "intermédiaire" pourrait être une solution... Avez vous un avis ou les avis autorisés, sur ce type de nouveauté? Si une baisse d'altitude permettait un gain significatif dans les effets délétères, quelle baisse de vitesse d'exploitation serait-elle acceptable pour la profession du transport aérien? (si ce genre de question est déjà arrivées auprès de ce public?) Car un tel choix pourrait avoir rapidement un effet positif... et à relativement peu de frais... Merci encore de vos réponses.
Est-il possible de consulter votre "mémoire (impact climatique des avions en particulier des contrails)" ou bien des travaux équivalents ? La question de l'assèchement de l'atmosphère n'est pas abordé. Cet assèchement modifie obligatoirement l'intensité du rayonnement solaire sur le sol. Le rôle de filtration des UV est modifié. C'est facilement mesurable, j'imagine que les données existe sur ce sujet. En tout cas, merci pour vos excellentes contributions sur le sujets.
Bonjour, j'aimerai bien avoir une source fiable sur l'étude de l'impact de ces traînées. J'ai beaucoup de doute de leur réels impact sur l'effet de serre. Ca doit être négligeable par rapport a la couverture nuageuse. Combien représente toutes les traînées en surface en pourcentage sur toute la terre? 1 %? 5% Une couverture sur 5% de mon corps ne me chauffe pas....
Ayant réalisé un mémoire sur ce sujet, la couverture mondiale d'AIC (nuages d'origine anthropiques donc des traînées de condensation et des Cirrus persistants générés par les traînées ayant évoluées) est de l'ordre de 0.68% (DOI de l'étude : 10.1038/nclimate1068). Cela varie beaucoup en fonction des régions à cause des climats locaux comme en Europe où la couverture nuageuse due aux AIC atteint 2% du ciel. Il faut noter que ce que l'on voit des traînées n'est qu'une partie de celles-ci, d'autres ne sont visibles que dans le secteur IR (seuls des satellites peuvent les détecter). Les nuages en haute altitude se font rare, il y a en fait peu de Cirrus comparé aux cumulus. Les traînées présentes en haute altitude ont donc un impact beaucoup plus grand car modifiant généreusement la proportion de Cirrus. Le bilan radiatif terrestre est également plus sensible aux nuages de haute atmosphère.
@@Olivier511 L'impact climatique est dû à deux effets : effets CO2 et non-CO2 (les traînées majoritairement et les NOx comme dit dans la vidéo). On estime que le forçage radiatif dû à l'aviation est à 57% dû aux trainées (attention, il y a une marge d'incertitudes !) contre 34% pour le CO2, le reste étant les NOx (source : l'académie de l'air et de l'espace, "les moteurs et l'environnement" mais il y a d'autres sources qui le confirment comme le GIEC). Cette contribution est donc plus pondérante que celle du CO2 pour l'impact climatique, surtout que les trainées disparaissent très vite mais sont reformées très vite par d'autres avions donc l'effet est constant. Le forçage radiatif des traînées est plus important car les cristaux de glace ont une forte faculté à réfléchir les rayonnements IR provenant du sol la nuit (et symétriquement du Soleil le jour). De plus, les particules de suie sont de bons absorbants de lumière, ce qui vient réchauffer localement l'atmosphère. A ces hautes altitudes, les effets ne sont pas les mêmes qu'ici et ces perturbations prennent une ampleur importante. Les traînées formant des Cirrus viennent impacter significativement l'albédo car elles représentent une part importante de la couverture nuageuse à ces altitudes (les Cirrus "naturels" se font assez rares). L'avantage si l'on pouvait cesser de faire des traînées est que l'on peut avoir un impact immédiat sur le climat puisque dès lors que les traînées cessent, le forçage radiatif qui leur est dû cesse également. Pour le CO2, c'est une autre affaire puisqu'il a une durée de séjour moyenne dans l'atmosphère de 100 ans ! Si on décidait d'arrêter maintenant de faire voler tous les avions, on éliminerait le CO2 émis cette année dans 100 ans seulement. Cela permet donc d'avoir une idée de l'avantage que représenterait une diminution des traînées (voire une élimination) mais les solutions sont difficiles à trouver, pénibles à mettre en place lorsque l'on en a (à l'instar de Breakthrough Energy). En restant 100 ans dans l'air, on accumule du CO2 à chaque vol (qui n'a pas le temps d'être éliminé) donc sur le long terme c'est le CO2 qui produit les effets les plus néfastes. Le fait est que les avionneurs mettent le doigt sur le CO2 pour le réduire drastiquement - ce qui est très bien - mais oublient l'autre partie que sont les traînées de condensation. Le problème est que les traînées représentent actuellement 2,5% de la pollution anthropique mondiale (la moitié des 5% totaux) donc il faut aussi s'en charger.
23'35, quand ils parlent des infos pour les pilotes, oui, c'est évident pour les pilotes militaires, qui doivent tenir compte du risque de traînée... car c'est une indication pour le pilote ennemi qui la voit de très loin... chaque pilote tient donc compte du risque
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il ne faut PLUS mélanger énergie climat et pollution ! Il faut lutter contre la désertification, et ça se fait avec de l'eau et du végétal vivant 🌳 ! les accords de Paris n'ont dangereusement pas pris en compte le principal Gaz à Effet de Serre qui est la vapeur d'eau (60% des effets source GIEC, contre 26% pour le CO2). L'eau de l’atmosphère régule les températures des continents depuis des millions d'années mais cette hypothèse a été écartée dès le début en pensant que les activités humaines n'avaient pas d'impact sur l'eau , or il est maintenant prouvé que la disparition de la couverture végétale des continents (déforestation) coupe le cycle de l'eau et provoque les phénomènes climatiques actuels : inondations, sécheresses, canicules et feux ! Sans EAU le soleil est notre ennemi : La Terre subit des rayonnements solaires très nocifs pour la faune et la flore terrestre, l'eau et la vapeur d'eau de l’atmosphère sont nos meilleurs protections. La couverture végétale des sols assurent une humidité permanente de la troposphère par l'évapotranspiration, la permaculture : couverure permanente des sols est une priorité l'été ! des champs verts et vivants l'été c'est 20°c de moins sur des millions d'hectares, des pluies régulières, une sécurité alimentaire et énergétique ! . La France et l’Europe font systématiquement et méthodiquement l’inverse de ce qu’il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d’eau et d’énergie … Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! #pasdeclimatsanseau
La vapeur d'eau est assez peu considéré dans les calculs de gaz à effet de serre car elle retombe assez vite sous forme d'eau de pluie. Le CO2, le CH4 et autres restent beaucoup beaucoup plus longtemps et s'accumulent. La concentration en CO2 a très nettement augmenté depuis les années 60, à un rythme jamais vu auparavant. Ce qui ne remet pas en cause les problématiques d'eau potable, de désertification des sols et d'artificialisation des sols
Tu y es presque ! Oui, parce qu'on nous bourre le mou avec le « réchauffement climatique ». Le climat a toujours changé et le fait est que ça se réchauffe, mais il n'y a pas péril en la demeure en réalité. Effectivement, il ne faut pas négliger l'eau et son cycle de première importance pour le climat. Considérer la vapeur d'eau toute seule est une fausse piste. Les gaz à effet de serre n'existent pas, C'EST UN ÉNORME BOBARD ! En fait, l'eau agit sur le climat par changements d'état (solide-liquide-gazeux). Le soleil chauffe le sol, ce qui échauffe l'air au contact et provoque des évaporations, soit une accumulation d'énergie qui assure des températures agréables sur Terre. À propos de la végétation, tu as tout à fait raison. Les forêts régulent le climat et il faut y faire attention à elles.
@@po5591-i3s Faux, ces gaz ne s'accumulent pas ! Tout le CO2 qui sort de terre ou des océans est consommé presque entièrement via la photosynthèse, au point qu'il n'en reste qu'environ 0,04% dans l'air. Quant au méthane, c'est un gaz instable qui finit par s'oxyder. Il y en a souvent temporairement au-dessus de certains endroits (marécages) mais en moyenne, il n'en reste quasiment rien. Ces gaz ne détraquent pas le climat. Ceux qui disent ça racontent des bobards.
@@H3x4r35 Il est facile de traiter quelqu'un d'hurluberlu. Je remarque que les réflexions de LaurentDenise sont autrement étayées que ce jugement rapide.
Beaucoup de baratin chez quelqu’un qui ne connaît pas vraiment son dossier… quand j’entends ONG de lutte contre le « réchauffement » (ou dérèglement on ne sait plus) je me méfie de la propagande anti aviation. 5% des vols font des traînées sur des surfaces ridicules par rapport à la planète. Les chiffres qu’il donne n’ont pas de relation les uns par rapport aux autres ce qui finalement ne donne pas la réalité de l’impact réel.
Avez-vous une source vers des chiffres fiables ? J'avoue ne pas avoir d'opinion sur l'impact des contrails faute de connaissance du sujet. Je m'inquiète beaucoup du changement climatique. On parle de "changement climatique" plutôt que de "réchauffement" pour contrer les climato-dénialistes car un réchauffement global peut avoir des refroidissements locaux et une année peut être plus froide que les précédentes.
@@Olivier511 Les traînées d'un point de vue RF (forçage radiatif) ont un net effet réchauffant (+37.5 mW/m²). J'ai également une source qui explicite que 2% des vols génèrent 80% du forçage radiatif global des traînées (DOI : 10.1021/acs.est.9b05608) mais je ne l'ai pas encore lue.
@@Olivier511 utilisez donc les mots que vous voulez, mais vous faites seulement preuve d'une intolérance non scientifique quand vous déniez la possibilité du doute.... Par essence, le doute fait partie de la démarche scientifique, et le monde des réchauffistes n'est en rien scientifique quand ils contrôlent les infos afin que ne paraissent que celle qui vont dans le "bon sens"...!!!!
Heureusement qu’on a des parapluies qui résistent aux pluies acides et qu’on se fout trois tonnes de gels sur le crâne pour éviter de se faire aspirer par le trou de la couche d’ozone, on l’a échappé bel, saloperie de laque en spray 😂😂😂😂
Petite question, le ciel est particulière quadrillé aujourd'hui par des traînées persistante. J'ai observé pas mal de temps les différents avions qui passent et pourquoi si les conditions atmosphériques sont identiques certains laissent des traînées qui persistent et d'autres des traînées qui disparaissent rapidement ?
Il semblerait que la traîné de condensation visible (il suffit de volé moins haut pour ne plus les voir) n'est pas le problème en soit c'est plutôt ce qu'elle contient qui pose problème et il n'y a pas que le co2...
Juste un petit point sur les équivalents du DLR en France : c'est à la fois l'ONERA bien sûr, le CNES aussi, mais ils regroupent des activités de Météo France (CNRM) et du CNRS (notamment dans le cadre de cette émission le LAMP qui etudie la structure des nuages et le SAFIRE qui fait voler des avions de recherche)
Il serait bon de revenir au réel : la france représente 0.1% des émissions de CO2 mondiales. L'UE c'est 1%. Donc à supposer que vous y arrêtiez toute activité, cela n'aura aucun effet. Et vu que la chine et l'inde ouvrent 1 a 2 nouvelles centrales à charbon PAR SEMAINE, ce qu'aurait épargné l'arrêt total de l'UE est rattrapé en 6 mois! C'est très louable ce que fait ce monsieur sûrement plein de bonne volonté, mais autant pisser dans un violon. Ce qui se profile, à l'évidence, c'est que le surcout en carburant induit par les modifications de trajectoire des avions que sa méthodologie induira, abouttira à une nouvelle taxe aux frais des passagers. Une fois de plus. Le marché des droits à polluer avec les quota de CO2 ont déjà coûté des milliards aux contribuables. Pour AUCUN résultat. Ca ne vous suffit pas?
"la france représente 0.1% des émissions de CO2" Le chiffre de 2019 est 0,78%. Quand on englobe les transports et les importations, on arrive à 1%. Par habitant, les Français émettent environ 35% de CO2 de plus qu'un Terrien "moyen. Après, s'il est vrai que nous sommes parmi les bons élèves, il faut aussi expliquer que nous avons exporté notre industrie, que ce soit en Chine, en Inde ou même en Europe de l'Est. Une bonne partie des émissions chinoises sont à destination des exportations notamment vers l'Europe. Donc tout cela est un peu plus compliqué que ce que vous présentez.
"la france représente 0.1% des émissions de CO2" Le chiffre de 2019 est 0,78%. Quand on englobe les transports et les importations, on arrive à 1%. Par habitant, les Français émettent environ 35% de CO2 de plus qu'un Terrien "moyen. Après, s'il est vrai que nous sommes parmi les bons élèves, il faut aussi expliquer que nous avons exporté notre industrie, que ce soit en Chine, en Inde ou même en Europe de l'Est. Une bonne partie des émissions chinoises sont à destination des exportations notamment vers l'Europe. Donc tout cela est un peu plus compliqué que ce que vous présentez.
J'apprécie sa passion pour le sujet même si je ne suis pas d'accord avec lui mais j'ai quand même appris beaucoup de choses intéressantes. Je ne suis pas un spécialiste dans ces domaines de compétences mais il serait temps de sortir du discours de la doxa climatique qui prétend que le CO² est un gaz à effet de serre. De nombreux spécialistes du sujet au niveau mondial affirment que c'est absolument faux. Il à même été observé que la fluctuation de la courbe d'évolution du CO² était décalée de six mois après les variations de température. Du plus, on est à la limite basse de la quantité de CO² dans l'air (0.04%, 400 ppm) pour que la vie persiste sur terre. Il oublie aussi de parler des trainée chimiques (chemtrail) de géo-ingénierie qui sont pourtant officiellement reconnues par les USA qui avaient déjà commencé leurs essais au Vietnam (dossiers déclassifiés). Comment peut-on passer sous silence le fait qu'on peut très bien voir en même temps dans le ciel des trainées de condensation qui durent quelques secondes après le passage de l'avion et d'autre qui durent plusieurs minutes voire plusieurs heures jusqu'à créer un voile blanchâtre dans le ciel avec l'accumulation des trainées, alors qu'on sait très bien que tous les avions volent plus ou moins à la même altitude en vol de croisière pour des raisons de consommation. Les variations du climat seraient en grande partie liées au éruptions solaire, il ne savent pas dans quelles proportions mais c'est un phénomène observé depuis plusieurs siècles depuis l'apparition de moyens d'observer le soleil. Maintenant avec les satellites météo il ont observé que la terre était de plus en plus verte. Quand au avion à hydrogène, c'est encore une fois une aberration quand on sait toute l'énergie nécessaire pour la produire, la stoker et la transporter. Quand j'entends parler de Bill Gates (qui n'a rien d'un philanthrope, que ce soit sur le climat comme pour ses tests de vaccins dans les pays pauvres)) comme principal financeur, j'ai des doutes sur la finalité recherchée.
Votre invité utilise à plusieurs reprises le terme anthropomorphique. Ce n'est pas le bon terme (=Qui a rapport à l'anthropomorphisme (tendance à attribuer aux animaux et aux choses des réactions humaines). Le terme exact est tout simplement ANTHROPIQUE (Fait par un être humain ; dû à l'existence et à la présence d'humains.)
Matteo n'est pas un scientifique, il suffit de regarder sa formation. Pour traiter ces sujets il faut un scientifique, il suffit d'écouter ses explications, c'est poussif, peu précis, hésitant, confond à plusieurs reprises anthropomorphique et anthropique. J'attends le papier qui explique l'impact de ces traînées.
La seule bonne solution serait de réduire drastiquement l'activité aéronautique, et au delà nos activités en générale... Mais personne n'est prêt au sacrifice.
Surtout, ne pas aborder l hypothèse d'épandage chimique volontaire , interdit dans plusieurs états US, parce que ça n'existe pas, bien entendu. D'ou l'interdiction.
Aujourd’hui, on dit souvent que l’hydrogène est une "énergie" d’avenir. Tant qu’on n’en aura pas extrait de la terre, cela restera un vecteur et non une énergie. Mais la combustion de l’hydrogène rejette de l’eau '("que de l’eau" disent ceux qui y sont favorables). Mais l’eau, sous forme de vapeur, EST un gaz à effet de serre, c’est même le tout premier. Et, derrière les avions, cela crée aussi des traînées…
Les gaz à effet de serre n'existent pas. C'est un énorme bobard ! Cependant, tu as raison à propos de la combustion d'H2, ses effluents sont les plus humides. Par contre, ils sont moins polluants, voire quasiment pas polluants. Il faut donc s'attendre à trouver derrière des moteurs à H2 plus souvent une condensation, mais très fugace, ne formant pas vraiment de trainées persistantes comme derrière des moteurs au JET-A1.
@@christianmeynard4952 Merci de préciser "l’énorme bobard" (avec des sources vérifiables, et bien entendu, dignes de sérieux). On appelle cela comme on veut, l’essentiel étant de comprendre de quoi l’on parle. Si l’on ne considère que le bilan radiatif de la terre (elle reçoit la chaleur du soleil et en réémet une partie par rayonnement IR), la terre serait bien plus froide qu’elle ne l’est. Disons, pour fixer les idées -18 à -20 au lieu de 15°C. La différence vient de la chaleur qui n’est pas réémise et qui est piégée par ce qu’on appelle les gaz à effet de serre (certes, c’est imagé, mais cela correspond à la réalité : chaleur piégée par l’atmosphère - et pas par le dôme de verre qui nous surplombe, hein). Et la vapeur d’eau représente 75% de l’effet de serre « naturel » lié à sa présence dans la troposphère. On considère en général qu’un gaz est un gaz à effet de serre lorsqu’il est constitué de 3 atomes ou plus. H2 n’est PAS un gaz à effet de serre (2 atomes), CO2 l’est (3 atomes), de même H2O, CH4 (5 atomes), mais pas O2 (2 atomes), pas NO (2 atomes), mais NO2 l’est, etc.
@@JeanLucCoulon Mes sources correspondent aux lois de la physique antérieures aux douteuses publications du GIEC, largement suffisantes et vérifiées par la pratique. Le soleil chauffe le sol et provoque des évaporations, ce qui suffit largement à expliquer le climat.
@@JeanLucCoulon « La différence vient de la chaleur qui n’est pas réémise et qui est piégée par ce qu’on appelle les gaz à effet de serre ». C'est là où tu te trompes. C'est bien plus simple que ça, le flux solaire chauffe le sol mais pas seulement, cette chaleur se communique aussi à l'air au contact et provoque des évaporations. Soit un captage d'énergies sous forme de chaleur directe et de chaleur latente. Il n'y a pas besoin de « gaz à effet de serre » pour disposer de températures agréables sur Terre.
Jacqueline Roche a mis à votre disposition un film plus clair que cette vidéo Par ailleurs il y a un principe de précaution : S'il y a un risque on arrête Alors pourquoi ce monsieur fait patienter Il trouve n'importe quel pretexte pour continuer l'existance des chaimtrails C'est une attitude meurtrière. Non ?
La traînée de condensation n'a t'il pas juste un impact immédiat et éphémère sur le climat? L'éviter c'est brûler du pétrole donc du C02, par contre lui il reste 20 ans dans l'atmosphère...
Les plus trentenaires doivent faire la différence un minima entre contrail (condensation la vraie) et chemtrails (la géo-ingénierie) qui épandes trainées blanchâtre s'élargissent créant amas laiteux dans le ciel visiblement facile à détecté Hein.
Alors là je suis stupéfait autant l'ingénieur de chez Dassault on le sentait ingénieur autant là on sent qu'il brasse du vent puisque incompétent ??? Vous avez craqué chez Jumpseat ou quoi ??? C'est pas parce que Cambridge que intéressant. C'est du n'importe quoi vraiment là je suis scié...
C'est ton commentaire qui est sciant, juste de l'insulte et de la rage de rageux du web, aucun argument. Vous êtes climato-sceptique ? Vous pensez qu'on a tout le temps pour agir, que rien ne presse ?
Bonjour, bonsoir, Si je comprends bien, pour IATA, "être prudent" équivaut beaucoup à "ne rien faire" ... 🤨 Moi je vais être très prudent alors ... je ne vais plus mettre mes fesses en aéronef ... IATA est un troupeau de dinosaures ou quoi ? Ceci dit, plus je constate la qualité des intervenants (sur votre chaine comme d'autres), plus je pense : "A BAS L' E.N.A." Merci pour cette diffusion. Très intéressant. Et très bien vulgarisé par ce "jeune" homme. Même moi ait compris. 🙂👏👏
Aucun impact réel ! Par contre Chemtrails épandages volontaire à des fin modification ou contrôle du climat (Haarp, La Géo-ingénierie) pas oublier à des fin lobbyings dénaturé le ciel, la nature de toute forme en niquant ce qui y vivent sur terre. Pas confondre la petit trainée d'avion à l'arrière qui s'efface sur à mesure qu'il avance.. condensation est naturel due au différence de température. ua-cam.com/video/pzFKmAg5FUU/v-deo.html&pp=gAQBiAQB
Sujet de mon mémoire (impact climatique des avions en particulier des contrails), je suis content qu'un spécialiste vienne en parler car elles sont beaucoup trop souvent oubliées lorsque l'on parle de pollution due au trafic aérien...
Pour ceux qui désirent plus de détails :
- 10:13 Tout a fait, on nomme ces noyaux, noyaux de condensation ou de congélation en fonction de s'ils donnent des gouttelettes ou des cristaux de glace. Les Cirrus étant des nuages de glace (car temp et pression basses), on parle donc ici de noyaux de congélation (ou glacigènes, glaçogènes).
- La suie n'est rejetée qu'en petite proportion en réalité. C'est d'ailleurs la plus petite proportion de ce qui est rejeté par les réacteurs. D'autres gaz comme les oxydes d'azote (NOx) sont très embêtant car ils vont réagir dans l'atmosphère pour générer de l'ozone O3, vont produire des aérosols qui vont servir de noyaux glacigènes et détruisent par réaction chimique l'ozone stratosphérique "naturel". De plus, ils sont toxiques pour l'homme (inflammation pulmonaire). Ces NOx sont les gaz les plus rejetés après le CO2 puis la vapeur d'eau. Il n'y a donc pas que la suie qui contribue à créer des noyaux mais également les gaz rejetés qui produisent par réaction dans l'atmosphère des noyaux.
- L'effet dont on parle pour former les traînées de condensation est un effet indirect (albédo). On réalité on en a principalement deux (Twomey qui engendre l'albédo et Albrecht pour les intéressés). En gros on réfléchit le rayonnement infra-rouge émis par la Terre la nuit (donc comme une couverture, on réchauffe) et on réfléchit les rayonnements solaires la journée (comme un parasol donc effet refroidissant). Le bilan global est tout de même réchauffant. Pour l'effet direct, il s'agit de la capacité des particules de suie à absorber la lumière (et la suie est un très bon "absorbant") donc il y a aussi réchauffement. D'autres particules sont au contraire de bons diffuseurs (la particule réfléchit le rayonnement) donc ayant un effet refroidissant à l'instar des sulfates, produits par oxydation de SO2 (gaz rejeté par les réacteurs).
- 12:52 Les noyaux n'ont pas tous une très bonne capacité à nucléer la vapeur d'eau. Un noyau hygroscopique (qui a une bonne affinité avec l'eau) est plus efficace qu'un noyau qui ne l'est pas, donc cela dépend. Typiquement NOx peut produire des nitrates qui sont fortement hygroscopiques donc très efficace.
- 26:06 : Les traînées disparaissent de plusieurs manières : soit par diffusion (un peu comme une toile que l'on étire), soit en ayant des cristaux qui vont être suffisamment gros pour descendre en altitude et pouvoir se précipiter et se sustenter en fines gouttelettes, soit par convection, soit par sublimation. Il y a plein de façons et il peut parfois se produire plusieurs de ces effets sur une même traînée.
Merci pour les détails que vous partagez... toujours intéressant d'ajouter des données à la réflexion... (sans jeu de mot 😋)
Dans votre travail sur le sujet, avez vous eu l'occasion de vous rapprocher des personnes ou du travail fait par une équipe internationale qui avait étudié cette question par des mesures d'impact lors des événements du 11-09-2001, le trafic aérien avait été gelé suite aux attentats pendant une dizaine de jours, et cette équipe avait constaté une augmentation de la variation des températures entre le jour et la nuit, du fait de la quasi absence de traînées...
Il devrait aussi être intéressant de voir si le travail a été suivi pendant la période covid, du fait là aussi du quasi arrêt des vols pendant une longue période...
Merci si vous pouviez m'apporter une info complémentaire...
Autre question, si on sait que les traînées sont surtout produites au dessus de 8000 mètres, faire plafonner les vols à 7500 mètres pourrait-il apporter une amélioration "instantanée", sachant que dans ce cas, les réacteurs consommeront plus... mais que rapidement, les fabricants arriveront peut être à optimiser les réacteurs à cette altitude... même si l'aérodynamique elle restera plus contraignante...??? Merci si vous savez apporter un peu de lumière.
@@paddycitron5925 Pour votre premier commentaire, je ne me suis pas intéressé à la période du 11 septembre mais d'autres rapports pendant la période du COVID19 ont permis de mettre en valeur l'effet immédiat de l'arrêt des traînées de condensation ainsi que pour les émissions CO2. Néanmoins le GIEC estime que le trafic aérien continuera de croître de 3 à 4% pour les deux prochaines décennies, ce qui rend illusoire un trafic aérien réduit comme il était le cas en 2020.
Pour votre second commentaire, la réflexion est pertinente car en effet les turboréacteurs à double flux (la majorité des réacteurs actuels) sont optimisés pour des hautes altitudes. En dessous, ce sont plutôt les turbopropulseurs qui deviennent avantageux mais ils ne permettent pas les mêmes performances (capacité d'emport, distances...). C'est pour cela que les solutions sont plus compliquées à prendre. D'un point de vue scientifique, on cherche à déterminer vers quoi penche la balance : une élimination des traînées pour tant de carburants en plus, est-ce profitable d'un point de vue écologique ? Ce sont encore des questions en cours d'études et qui méritent tout intérêt mais une fois la question scientifique "résolue" vient la politique, l'économie et bien d'autres facteurs qui aboutissent à une solution parfois en décalée avec ce que préconise les études scientifiques.
@@vincefighterpilot349 Merci de votre réponse. Concernant le changement d'altitude, le type de propulsion est-il si important? car il me semblait que la raison principale du turboréacteur double flux se trouvait dans la vitesse d'exploitation supérieure (la vitesse des hélices limitant la vitesse des avions autours de 700 km/h...) , et son rapport de consommation... On doit bien pouvoir optimiser le turboréacteur pour des altitudes de l'ordre de 7500 m...
Par contre le travail fait sur le turbofan (non caréné) qui est un peu "intermédiaire" pourrait être une solution... Avez vous un avis ou les avis autorisés, sur ce type de nouveauté?
Si une baisse d'altitude permettait un gain significatif dans les effets délétères, quelle baisse de vitesse d'exploitation serait-elle acceptable pour la profession du transport aérien? (si ce genre de question est déjà arrivées auprès de ce public?) Car un tel choix pourrait avoir rapidement un effet positif... et à relativement peu de frais...
Merci encore de vos réponses.
Est-il possible de consulter votre "mémoire (impact climatique des avions en particulier des contrails)" ou bien des travaux équivalents ?
La question de l'assèchement de l'atmosphère n'est pas abordé. Cet assèchement modifie obligatoirement l'intensité du rayonnement solaire sur le sol. Le rôle de filtration des UV est modifié. C'est facilement mesurable, j'imagine que les données existe sur ce sujet.
En tout cas, merci pour vos excellentes contributions sur le sujets.
Sujet passionnant! Il y a de nombreuses voies d'amélioration. Cela rend optimiste sur le futur de l'industrie.
Merci pour cette vidéo c'est très intéressant.
Bonjour, j'aimerai bien avoir une source fiable sur l'étude de l'impact de ces traînées. J'ai beaucoup de doute de leur réels impact sur l'effet de serre. Ca doit être négligeable par rapport a la couverture nuageuse.
Combien représente toutes les traînées en surface en pourcentage sur toute la terre? 1 %? 5%
Une couverture sur 5% de mon corps ne me chauffe pas....
Cherchez les sources et communiquez-nous les. Chercher des articles scientifiques ?
Ayant réalisé un mémoire sur ce sujet, la couverture mondiale d'AIC (nuages d'origine anthropiques donc des traînées de condensation et des Cirrus persistants générés par les traînées ayant évoluées) est de l'ordre de 0.68% (DOI de l'étude : 10.1038/nclimate1068). Cela varie beaucoup en fonction des régions à cause des climats locaux comme en Europe où la couverture nuageuse due aux AIC atteint 2% du ciel. Il faut noter que ce que l'on voit des traînées n'est qu'une partie de celles-ci, d'autres ne sont visibles que dans le secteur IR (seuls des satellites peuvent les détecter). Les nuages en haute altitude se font rare, il y a en fait peu de Cirrus comparé aux cumulus. Les traînées présentes en haute altitude ont donc un impact beaucoup plus grand car modifiant généreusement la proportion de Cirrus. Le bilan radiatif terrestre est également plus sensible aux nuages de haute atmosphère.
@@vincefighterpilot349 Ces contrails sont-ils une part significative de l'impact climatique de l'aviation ?
@@Olivier511 L'impact climatique est dû à deux effets : effets CO2 et non-CO2 (les traînées majoritairement et les NOx comme dit dans la vidéo). On estime que le forçage radiatif dû à l'aviation est à 57% dû aux trainées (attention, il y a une marge d'incertitudes !) contre 34% pour le CO2, le reste étant les NOx (source : l'académie de l'air et de l'espace, "les moteurs et l'environnement" mais il y a d'autres sources qui le confirment comme le GIEC). Cette contribution est donc plus pondérante que celle du CO2 pour l'impact climatique, surtout que les trainées disparaissent très vite mais sont reformées très vite par d'autres avions donc l'effet est constant. Le forçage radiatif des traînées est plus important car les cristaux de glace ont une forte faculté à réfléchir les rayonnements IR provenant du sol la nuit (et symétriquement du Soleil le jour). De plus, les particules de suie sont de bons absorbants de lumière, ce qui vient réchauffer localement l'atmosphère. A ces hautes altitudes, les effets ne sont pas les mêmes qu'ici et ces perturbations prennent une ampleur importante. Les traînées formant des Cirrus viennent impacter significativement l'albédo car elles représentent une part importante de la couverture nuageuse à ces altitudes (les Cirrus "naturels" se font assez rares).
L'avantage si l'on pouvait cesser de faire des traînées est que l'on peut avoir un impact immédiat sur le climat puisque dès lors que les traînées cessent, le forçage radiatif qui leur est dû cesse également. Pour le CO2, c'est une autre affaire puisqu'il a une durée de séjour moyenne dans l'atmosphère de 100 ans ! Si on décidait d'arrêter maintenant de faire voler tous les avions, on éliminerait le CO2 émis cette année dans 100 ans seulement. Cela permet donc d'avoir une idée de l'avantage que représenterait une diminution des traînées (voire une élimination) mais les solutions sont difficiles à trouver, pénibles à mettre en place lorsque l'on en a (à l'instar de Breakthrough Energy). En restant 100 ans dans l'air, on accumule du CO2 à chaque vol (qui n'a pas le temps d'être éliminé) donc sur le long terme c'est le CO2 qui produit les effets les plus néfastes. Le fait est que les avionneurs mettent le doigt sur le CO2 pour le réduire drastiquement - ce qui est très bien - mais oublient l'autre partie que sont les traînées de condensation. Le problème est que les traînées représentent actuellement 2,5% de la pollution anthropique mondiale (la moitié des 5% totaux) donc il faut aussi s'en charger.
@@vincefighterpilot349 OK, merci beaucoup pour ces explications.
23'35, quand ils parlent des infos pour les pilotes, oui, c'est évident pour les pilotes militaires, qui doivent tenir compte du risque de traînée... car c'est une indication pour le pilote ennemi qui la voit de très loin... chaque pilote tient donc compte du risque
Oui, c'est une des rares infos pertinentes de la vidéo.
Ceux qui critique "sa logorrhée" ne semblent pas capter son sujet.
Il est excellent. Merci.
Est il encore pertinent de maintenir la présence de celui qui se répète 1 mot sur 2 (pour ne pas dire sur 1.8) ?
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A ne pas confondre avec les chemtrails
il ne faut PLUS mélanger énergie climat et pollution ! Il faut lutter contre la désertification, et ça se fait avec de l'eau et du végétal vivant 🌳 ! les accords de Paris n'ont dangereusement pas pris en compte le principal Gaz à Effet de Serre qui est la vapeur d'eau (60% des effets source GIEC, contre 26% pour le CO2). L'eau de l’atmosphère régule les températures des continents depuis des millions d'années mais cette hypothèse a été écartée dès le début en pensant que les activités humaines n'avaient pas d'impact sur l'eau , or il est maintenant prouvé que la disparition de la couverture végétale des continents (déforestation) coupe le cycle de l'eau et provoque les phénomènes climatiques actuels : inondations, sécheresses, canicules et feux ! Sans EAU le soleil est notre ennemi : La Terre subit des rayonnements solaires très nocifs pour la faune et la flore terrestre, l'eau et la vapeur d'eau de l’atmosphère sont nos meilleurs protections. La couverture végétale des sols assurent une humidité permanente de la troposphère par l'évapotranspiration, la permaculture : couverure permanente des sols est une priorité l'été ! des champs verts et vivants l'été c'est 20°c de moins sur des millions d'hectares, des pluies régulières, une sécurité alimentaire et énergétique !
.
La France et l’Europe font systématiquement et méthodiquement l’inverse de ce qu’il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d’eau et d’énergie … Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps !
#pasdeclimatsanseau
La vapeur d'eau est assez peu considéré dans les calculs de gaz à effet de serre car elle retombe assez vite sous forme d'eau de pluie.
Le CO2, le CH4 et autres restent beaucoup beaucoup plus longtemps et s'accumulent. La concentration en CO2 a très nettement augmenté depuis les années 60, à un rythme jamais vu auparavant.
Ce qui ne remet pas en cause les problématiques d'eau potable, de désertification des sols et d'artificialisation des sols
Tu y es presque ! Oui, parce qu'on nous bourre le mou avec le « réchauffement climatique ». Le climat a toujours changé et le fait est que ça se réchauffe, mais il n'y a pas péril en la demeure en réalité. Effectivement, il ne faut pas négliger l'eau et son cycle de première importance pour le climat. Considérer la vapeur d'eau toute seule est une fausse piste. Les gaz à effet de serre n'existent pas, C'EST UN ÉNORME BOBARD ! En fait, l'eau agit sur le climat par changements d'état (solide-liquide-gazeux). Le soleil chauffe le sol, ce qui échauffe l'air au contact et provoque des évaporations, soit une accumulation d'énergie qui assure des températures agréables sur Terre. À propos de la végétation, tu as tout à fait raison. Les forêts régulent le climat et il faut y faire attention à elles.
@@po5591-i3s Faux, ces gaz ne s'accumulent pas ! Tout le CO2 qui sort de terre ou des océans est consommé presque entièrement via la photosynthèse, au point qu'il n'en reste qu'environ 0,04% dans l'air. Quant au méthane, c'est un gaz instable qui finit par s'oxyder. Il y en a souvent temporairement au-dessus de certains endroits (marécages) mais en moyenne, il n'en reste quasiment rien. Ces gaz ne détraquent pas le climat. Ceux qui disent ça racontent des bobards.
Hurluberlu complet.
@@H3x4r35 Il est facile de traiter quelqu'un d'hurluberlu. Je remarque que les réflexions de LaurentDenise sont autrement étayées que ce jugement rapide.
J’ai une question 🙋♂️ au carbonifère faisait il 60 degrés
Y avait pas d'humains...
@VladimirBroussilov ? parlez en Kelvin, c'est la seule température scientifique.
@VladimirBroussilov merci, crétin.
Beaucoup de baratin chez quelqu’un qui ne connaît pas vraiment son dossier… quand j’entends ONG de lutte contre le « réchauffement » (ou dérèglement on ne sait plus) je me méfie de la propagande anti aviation.
5% des vols font des traînées sur des surfaces ridicules par rapport à la planète. Les chiffres qu’il donne n’ont pas de relation les uns par rapport aux autres ce qui finalement ne donne pas la réalité de l’impact réel.
Avez-vous une source vers des chiffres fiables ? J'avoue ne pas avoir d'opinion sur l'impact des contrails faute de connaissance du sujet. Je m'inquiète beaucoup du changement climatique.
On parle de "changement climatique" plutôt que de "réchauffement" pour contrer les climato-dénialistes car un réchauffement global peut avoir des refroidissements locaux et une année peut être plus froide que les précédentes.
@@Olivier511 Les traînées d'un point de vue RF (forçage radiatif) ont un net effet réchauffant (+37.5 mW/m²). J'ai également une source qui explicite que 2% des vols génèrent 80% du forçage radiatif global des traînées (DOI : 10.1021/acs.est.9b05608) mais je ne l'ai pas encore lue.
@@Olivier511 utilisez donc les mots que vous voulez, mais vous faites seulement preuve d'une intolérance non scientifique quand vous déniez la possibilité du doute....
Par essence, le doute fait partie de la démarche scientifique, et le monde des réchauffistes n'est en rien scientifique quand ils contrôlent les infos afin que ne paraissent que celle qui vont dans le "bon sens"...!!!!
Heureusement qu’on a des parapluies qui résistent aux pluies acides et qu’on se fout trois tonnes de gels sur le crâne pour éviter de se faire aspirer par le trou de la couche d’ozone, on l’a échappé bel, saloperie de laque en spray 😂😂😂😂
@@paddycitron5925 ok climato-négationiste, ferme les yeux, la réalité demeure. "Réchauffiste", mdr, c'est signé, et si nias. La téterre, plaplatte ?
Petite question, le ciel est particulière quadrillé aujourd'hui par des traînées persistante. J'ai observé pas mal de temps les différents avions qui passent et pourquoi si les conditions atmosphériques sont identiques certains laissent des traînées qui persistent et d'autres des traînées qui disparaissent rapidement ?
il ne connaît pas les textes chez airbus...il ferait mieux de ce taire ce type des ONG...
Il semblerait que la traîné de condensation visible (il suffit de volé moins haut pour ne plus les voir) n'est pas le problème en soit c'est plutôt ce qu'elle contient qui pose problème et il n'y a pas que le co2...
Juste un petit point sur les équivalents du DLR en France : c'est à la fois l'ONERA bien sûr, le CNES aussi, mais ils regroupent des activités de Météo France (CNRM) et du CNRS (notamment dans le cadre de cette émission le LAMP qui etudie la structure des nuages et le SAFIRE qui fait voler des avions de recherche)
Il serait bon de revenir au réel : la france représente 0.1% des émissions de CO2 mondiales. L'UE c'est 1%.
Donc à supposer que vous y arrêtiez toute activité, cela n'aura aucun effet. Et vu que la chine et l'inde ouvrent 1 a 2 nouvelles centrales à charbon PAR SEMAINE, ce qu'aurait épargné l'arrêt total de l'UE est rattrapé en 6 mois!
C'est très louable ce que fait ce monsieur sûrement plein de bonne volonté, mais autant pisser dans un violon.
Ce qui se profile, à l'évidence, c'est que le surcout en carburant induit par les modifications de trajectoire des avions que sa méthodologie induira, abouttira à une nouvelle taxe aux frais des passagers. Une fois de plus.
Le marché des droits à polluer avec les quota de CO2 ont déjà coûté des milliards aux contribuables. Pour AUCUN résultat. Ca ne vous suffit pas?
"la france représente 0.1% des émissions de CO2"
Le chiffre de 2019 est 0,78%. Quand on englobe les transports et les importations, on arrive à 1%. Par habitant, les Français émettent environ 35% de CO2 de plus qu'un Terrien "moyen.
Après, s'il est vrai que nous sommes parmi les bons élèves, il faut aussi expliquer que nous avons exporté notre industrie, que ce soit en Chine, en Inde ou même en Europe de l'Est. Une bonne partie des émissions chinoises sont à destination des exportations notamment vers l'Europe.
Donc tout cela est un peu plus compliqué que ce que vous présentez.
"la france représente 0.1% des émissions de CO2"
Le chiffre de 2019 est 0,78%. Quand on englobe les transports et les importations, on arrive à 1%. Par habitant, les Français émettent environ 35% de CO2 de plus qu'un Terrien "moyen.
Après, s'il est vrai que nous sommes parmi les bons élèves, il faut aussi expliquer que nous avons exporté notre industrie, que ce soit en Chine, en Inde ou même en Europe de l'Est. Une bonne partie des émissions chinoises sont à destination des exportations notamment vers l'Europe.
Donc tout cela est un peu plus compliqué que ce que vous présentez.
J'apprécie sa passion pour le sujet même si je ne suis pas d'accord avec lui mais j'ai quand même appris beaucoup de choses intéressantes. Je ne suis pas un spécialiste dans ces domaines de compétences mais il serait temps de sortir du discours de la doxa climatique qui prétend que le CO² est un gaz à effet de serre. De nombreux spécialistes du sujet au niveau mondial affirment que c'est absolument faux. Il à même été observé que la fluctuation de la courbe d'évolution du CO² était décalée de six mois après les variations de température. Du plus, on est à la limite basse de la quantité de CO² dans l'air (0.04%, 400 ppm) pour que la vie persiste sur terre. Il oublie aussi de parler des trainée chimiques (chemtrail) de géo-ingénierie qui sont pourtant officiellement reconnues par les USA qui avaient déjà commencé leurs essais au Vietnam (dossiers déclassifiés). Comment peut-on passer sous silence le fait qu'on peut très bien voir en même temps dans le ciel des trainées de condensation qui durent quelques secondes après le passage de l'avion et d'autre qui durent plusieurs minutes voire plusieurs heures jusqu'à créer un voile blanchâtre dans le ciel avec l'accumulation des trainées, alors qu'on sait très bien que tous les avions volent plus ou moins à la même altitude en vol de croisière pour des raisons de consommation. Les variations du climat seraient en grande partie liées au éruptions solaire, il ne savent pas dans quelles proportions mais c'est un phénomène observé depuis plusieurs siècles depuis l'apparition de moyens d'observer le soleil. Maintenant avec les satellites météo il ont observé que la terre était de plus en plus verte. Quand au avion à hydrogène, c'est encore une fois une aberration quand on sait toute l'énergie nécessaire pour la produire, la stoker et la transporter. Quand j'entends parler de Bill Gates (qui n'a rien d'un philanthrope, que ce soit sur le climat comme pour ses tests de vaccins dans les pays pauvres)) comme principal financeur, j'ai des doutes sur la finalité recherchée.
Votre invité utilise à plusieurs reprises le terme anthropomorphique. Ce n'est pas le bon terme (=Qui a rapport à l'anthropomorphisme (tendance à attribuer aux animaux et aux choses des réactions humaines).
Le terme exact est tout simplement ANTHROPIQUE (Fait par un être humain ; dû à l'existence et à la présence d'humains.)
Matteo n'est pas un scientifique, il suffit de regarder sa formation. Pour traiter ces sujets il faut un scientifique, il suffit d'écouter ses explications, c'est poussif, peu précis, hésitant, confond à plusieurs reprises anthropomorphique et anthropique. J'attends le papier qui explique l'impact de ces traînées.
La seule bonne solution serait de réduire drastiquement l'activité aéronautique, et au delà nos activités en générale... Mais personne n'est prêt au sacrifice.
Surtout, ne pas aborder l hypothèse d'épandage chimique volontaire , interdit dans plusieurs états US, parce que ça n'existe pas, bien entendu. D'ou l'interdiction.
Aujourd’hui, on dit souvent que l’hydrogène est une "énergie" d’avenir. Tant qu’on n’en aura pas extrait de la terre, cela restera un vecteur et non une énergie.
Mais la combustion de l’hydrogène rejette de l’eau '("que de l’eau" disent ceux qui y sont favorables).
Mais l’eau, sous forme de vapeur, EST un gaz à effet de serre, c’est même le tout premier.
Et, derrière les avions, cela crée aussi des traînées…
Et aujourd'hui plus de 70%de l'hydrogène est produit à partir d'hydrocarbures, avec un rendement merdique.
Les gaz à effet de serre n'existent pas. C'est un énorme bobard ! Cependant, tu as raison à propos de la combustion d'H2, ses effluents sont les plus humides. Par contre, ils sont moins polluants, voire quasiment pas polluants. Il faut donc s'attendre à trouver derrière des moteurs à H2 plus souvent une condensation, mais très fugace, ne formant pas vraiment de trainées persistantes comme derrière des moteurs au JET-A1.
@@christianmeynard4952 Merci de préciser "l’énorme bobard" (avec des sources vérifiables, et bien entendu, dignes de sérieux).
On appelle cela comme on veut, l’essentiel étant de comprendre de quoi l’on parle. Si l’on ne considère que le bilan radiatif de la terre (elle reçoit la chaleur du soleil et en réémet une partie par rayonnement IR), la terre serait bien plus froide qu’elle ne l’est. Disons, pour fixer les idées -18 à -20 au lieu de 15°C.
La différence vient de la chaleur qui n’est pas réémise et qui est piégée par ce qu’on appelle les gaz à effet de serre (certes, c’est imagé, mais cela correspond à la réalité : chaleur piégée par l’atmosphère - et pas par le dôme de verre qui nous surplombe, hein).
Et la vapeur d’eau représente 75% de l’effet de serre « naturel » lié à sa présence dans la troposphère.
On considère en général qu’un gaz est un gaz à effet de serre lorsqu’il est constitué de 3 atomes ou plus. H2 n’est PAS un gaz à effet de serre (2 atomes), CO2 l’est (3 atomes), de même H2O, CH4 (5 atomes), mais pas O2 (2 atomes), pas NO (2 atomes), mais NO2 l’est, etc.
@@JeanLucCoulon Mes sources correspondent aux lois de la physique antérieures aux douteuses publications du GIEC, largement suffisantes et vérifiées par la pratique. Le soleil chauffe le sol et provoque des évaporations, ce qui suffit largement à expliquer le climat.
@@JeanLucCoulon « La différence vient de la chaleur qui n’est pas réémise et qui est piégée par ce qu’on appelle les gaz à effet de serre ». C'est là où tu te trompes. C'est bien plus simple que ça, le flux solaire chauffe le sol mais pas seulement, cette chaleur se communique aussi à l'air au contact et provoque des évaporations. Soit un captage d'énergies sous forme de chaleur directe et de chaleur latente. Il n'y a pas besoin de « gaz à effet de serre » pour disposer de températures agréables sur Terre.
Jacqueline Roche a mis à votre disposition un film plus clair que cette vidéo Par ailleurs il y a un principe de précaution : S'il y a un risque on arrête Alors pourquoi ce monsieur fait patienter Il trouve n'importe quel pretexte pour continuer l'existance des chaimtrails C'est une attitude meurtrière. Non ?
"Lien entre couverture végétale et pluviométrie | Cédric CABROL"
ua-cam.com/video/Ew1cRqu854E/v-deo.html
Tout allait bien jusqu'à "bill gates"...
La traînée de condensation n'a t'il pas juste un impact immédiat et éphémère sur le climat? L'éviter c'est brûler du pétrole donc du C02, par contre lui il reste 20 ans dans l'atmosphère...
lorsque la "condensation" visible disparaît, la vapeur d'eau reste.
@@marcobsomer5574 d'accord mais combien de temps?
Pas de souci, tout ça n'est qu'un amas d'idioties. Les gaz à effet de serre n'existent pas.
Les plus trentenaires doivent faire la différence un minima entre contrail (condensation la vraie) et chemtrails (la géo-ingénierie) qui épandes trainées blanchâtre s'élargissent créant amas laiteux dans le ciel visiblement facile à détecté Hein.
Alors là je suis stupéfait autant l'ingénieur de chez Dassault on le sentait ingénieur autant là on sent qu'il brasse du vent puisque incompétent ??? Vous avez craqué chez Jumpseat ou quoi ??? C'est pas parce que Cambridge que intéressant. C'est du n'importe quoi vraiment là je suis scié...
C'est ton commentaire qui est sciant, juste de l'insulte et de la rage de rageux du web, aucun argument. Vous êtes climato-sceptique ? Vous pensez qu'on a tout le temps pour agir, que rien ne presse ?
@@Olivier511 non bien au contraire c’est criant de vide
@@juliancudennec5958 OK vous me rassurez sur ce point ;-) . Mais au contraire de vous je trouve cette vidéo très intéressante.
@@Olivier511 il est vrai que donner du climato-sceptique est un argument des plus constructifs....🤡
@@svenpatate3961 On a le droit de poser la question non ?
Arrêtez de prendre les gens pour des cons.
Bla bla bla, politique, ONG..., donc PIPO!
Bonjour, bonsoir,
Si je comprends bien, pour IATA, "être prudent" équivaut beaucoup à "ne rien faire" ... 🤨
Moi je vais être très prudent alors ... je ne vais plus mettre mes fesses en aéronef ...
IATA est un troupeau de dinosaures ou quoi ?
Ceci dit, plus je constate la qualité des intervenants (sur votre chaine comme d'autres), plus je pense : "A BAS L' E.N.A."
Merci pour cette diffusion. Très intéressant. Et très bien vulgarisé par ce "jeune" homme. Même moi ait compris. 🙂👏👏
Aucun impact réel !
Par contre Chemtrails épandages volontaire à des fin modification ou contrôle du climat (Haarp, La Géo-ingénierie) pas oublier à des fin lobbyings dénaturé le ciel, la nature de toute forme en niquant ce qui y vivent sur terre.
Pas confondre la petit trainée d'avion à l'arrière qui s'efface sur à mesure qu'il avance.. condensation est naturel due au différence de température.
ua-cam.com/video/pzFKmAg5FUU/v-deo.html&pp=gAQBiAQB